Le comte de Noël...
J’ai invité le comte… Chez moi, sans tambours ni trompettes…
Il a accepté tout de go, et me voilà, l’accueillant en robe d’intérieur, l’heure n’est plus aux facéties subtiles, il est très tard, bien plus de minuit…
Sous prétexte de devoir ranger un peu mon chez-moi, j’avais gagné un peu de temps pour me préparer, pour lui…
On avait dansé, à ce bal de charité organisé par la mairie et les instances régionales…
Beaucoup de monde, des mondaines, des vieux-beaux, des couples, des cavaliers solitaires, guettant la bonne étoile…
Le comte m’a souri, m’a offert cette valse…
Je me suis envolée entre ses bras puissants… Ma robe virevoltait…
Les gens nous regardaient, les femmes m’enviaient, il flottait un parfum de scandale…
J’étais mariée et lui aussi…
Mais même celles, dont le mari sirotait son champagne à leur côté, regardaient ce couple sensuel, évoluer sur la piste… Cela me donnait des ailes…
Et j’en rajoutais, et il me suivait…
Sa cuisse qui passait entre les miennes déclenchait des étoiles dans le ciel, son sexe contre mon pubis, et mes pensées devenaient érotiques, et quand un slow vint calmer notre ardeur, au lieu de me raccompagner à ma table, il me garda dans ses bras sur la piste devenue obscure…
Je m’abandonnais alors contre lui, son ventre contre le mien, et dame nature se manifesta de nouveau contre ma cuisse, une image d’étalon vint brouiller son image, mais échauffa mes instincts…
Je ne savais plus si son ventre se frottait au mien, ou si c’était l’inverse…
En tous cas l’étalon qui se manifestait, gardait sa posture…
Nous frôlions des gens connus, ces dames me fixaient avec deux révolvers… Certaines fermaient les yeux ensuite, pour garder mon image… J’étais éblouissante…
Je me serrais étroitement contre lui, il gardait une position de danse à l’ancienne, bras levé pour me tenir la main, l’autre sur ma hanche…
Mais la distance entre nous se résumait à zéro…
Parfois il baissait les yeux, pour loucher discrètement sur ma poitrine, que je faisais exprès, d’appuyer contre son torse…
Des frissons me parcouraient, sa main semblait s’animer, de la hanche vers les reins, remonta, ses yeux plantés dans les miens demandaient si je voulais bien…
Beaucoup de couples avaient laissé de côté la bienséance, et évoluaient enlacés, parfois même flirtant sans complexe…
Je me collais à lui en guise de réponse, et mes bras remontèrent pour s’accrocher autour de son cou…
Mes seins s’écrasèrent, mon ventre se liquéfia, son sexe venait de pointer sur mon pubis, fier et résolu…
Il semblait s’excuser de cette manifestation accidentelle…
Je m’en réjouissais, je venais d’intégrer une suite à ce bal magnifique…
Quand les lumières se rallumèrent normalement, j’avais les yeux luisants, mes bras redescendirent, il me suivit à ma table désertée… Je le priais de s’assoir à mon côté, et on commanda à boire…
Il parlait de tout, de rien, mais ses yeux en disaient long… Ils ne quittaient pas les miens…
Quand une autre danse arriva, après nous être désaltérés, nous sortîmes quelques instants, sur la terrasse prendre le frais de la nuit…
- Nous pourrions quitter cette ambiance populaire… La nuit ne semble pas vouloir se terminer pour nous…
- Avec plaisir, ma villa est toute proche…
Et je lui donne l’adresse exacte en le priant de me rejoindre discrètement… Et je précise que le portail sera ouvert pour qu’il rentre à l’intérieur…
Et j’ai rougi, après coup, de cette audace…
Je ne sais s’il l’a relevée en tant que bafouillement, ou assimilée à une demande masquée…
Je débouche du champagne et le rejoins sur le canapé rouge…
Il me complimente sur ma robe, je l’invite à visiter mon jardin, je descends par la terrasse, il me suit pas à pas, je fais le tour de la piscine, je lui montre ma garçonnière d’été, sa pièce attenante, la chambre d’ami ou la salle de jeu…
Puis nous nous asseyons sur le banc face à la villa, près de mon jardin secret, ce lieu qui me voit toute nue pour bronzer sans vis-à-vis, entourée de végétation exotique…
Après cette explication un peu osée, il se tourne vers moi, sa main se pose sur ma cuisse, et avant que je bondisse, ses lèvres s’écrasent sur le miennes pour la première fois…
Quelques gouttes de pluie s’invitent à l’évènement… On passe dans le salon d’été, il pleut abondamment…
Il y fait sombre, j’ouvre la fenêtre pour un peu de lumière…
Quand je me penche pour ouvrir les volets, il se met dans mon dos, mon derrière semble lui plaire, j’ai du mal à me pencher, il le flatte, et avant que j’ouvre quoi que ce soit, l’air sous ma robe s’engouffre largement…
Alors dans l’obscurité totale, je reste arc-boutée, ses mains se régalent entre mes cuisses, sur mes deux fesses et se glissent jusqu’à ma poitrine, son dard déjà bandé semble attendre le départ de la course…
Ma robe a perdu la partie, elle git innocemment…
Je deviens la cible de sa flèche, décochée sans attendre, et surprise, elle atteint son but, le gland ouvre sa voie royale et me pourfend, le dard s’engouffre dans mon vagin béant d’un désir indicible…
Il se penche sur moi, et me baise, un délice…
Ses mains viennent chercher les miennes, il me prend en cadence, punaisée sur ce meuble de cuisine, les seins pendants se mettent à battre la mesure, alors il s’en empare et c’est un festival…
Je gémis, pleure, vagit, sentant la verge me pourfendre, détendre mon vagin, me remplir de plaisir…
Je me tiens bras écartés, solidement ancrée, et ses coups de reins redoublent…
Un orgasme me surprend, je tremble sous son joug, je ne sens plus mon ventre, je jouis pleinement…
Alors, il me redresse, me tenant par les fesses, il m’assied sur la table, écarte et replie mes cuisses, s’offrant une vue agréable sur mon bonbon détrempé de mouille et son dard me reprend…
Il me baise en cadence, martèle sa dominance, je m’accroche à la table, sa bite devient marteau-piqueur et je crie sa victoire…
Ses mains massent mes seins, je deviens poupée de chiffon entre ses mains de comte…
Il ahane ses coups de reins, je me sens engrossée, plantée d’un dard énorme, un vit infatigable qui éclate mes entrailles…
Alors, sans rien demander, je le sens pointer sur mon jardin secret, et s’immiscer dans ma rondelle, forcer ma porte arrière, me sodomiser sans frontière !
Le rapport est intense, l’acte est immoral, pour moi, pour la bourgeoise qui est encore là…
Alors pour la contrer, lui faire ferme sa bouche, je me donne à lui, je m’ouvre, je m’écartèle, je jouis de sa bite, véritable nymphomane, je jouis par ma croupe, susurre des mots imagés, des mots sans suite, des mots de bourgeoise mal baisée, qui se libère de 10 ans de mariage… Des mots de salope en devenir, aimant tout dans le sexe, se frotter en dansant à un comte milliardaire… En sentant sa queue enflammer la soirée...
- Oh, oui… Baise-moi de partout, apprend-moi l’indécence, l’amour sans barrières, le sexe des roturières, celui des princesses, des étrangères, des intrigantes.
Fais de moi ta soumise, prends-moi dans ton bateau, dans ton bureau, sous ton bureau…
Je veux gémir de toi, ne plus penser qu’à toi…
Apprends-moi les châteaux, les hôtels 5 étoiles, les courbettes, l’argent qui coule à flots, qui rend tous les services… Le luxe des aristos, la folie des artistes…
Prends-moi sur ta voiture, penchée sur le moteur, découverte comme lui, qui ronronne endormi et gémit quand tu vas vite…
Il a crié lui aussi, rugi d’un ton rauque, atteignant le sommet de cette incartade…
Marié, et père de famille, il se remet debout, il me tend la main, en ramassant ma robe froissée, piétinée, que je passe quand même, en souvenir de ce moment hors du temps…
Elle a honte de moi, baisée comme une catin… Le trou du cul rempli de sperme à particule… Que je sens s’échapper et couler dans ma vulve, puis se jeter à terre…
Sa Ferrari trône dans ma cour, il me dit au-revoir, m’embrasse à me couper le souffle…
Presque nue devant lui, je souris sans comprendre…
Le bruit divin me réveille, le portail le laisse sortir…
Je pleure son départ…
Ce conte de Noël pour vous remercier de me lire,
ce comte pour Noël, m’a rendu le sourire,
je compte bien le revoir, tous comptes faits,
pour écrire à la fin de ce billet :
Le comte est bon !… Surtout pour le sexe !
Marika842010
Décembre 2020
Il a accepté tout de go, et me voilà, l’accueillant en robe d’intérieur, l’heure n’est plus aux facéties subtiles, il est très tard, bien plus de minuit…
Sous prétexte de devoir ranger un peu mon chez-moi, j’avais gagné un peu de temps pour me préparer, pour lui…
On avait dansé, à ce bal de charité organisé par la mairie et les instances régionales…
Beaucoup de monde, des mondaines, des vieux-beaux, des couples, des cavaliers solitaires, guettant la bonne étoile…
Le comte m’a souri, m’a offert cette valse…
Je me suis envolée entre ses bras puissants… Ma robe virevoltait…
Les gens nous regardaient, les femmes m’enviaient, il flottait un parfum de scandale…
J’étais mariée et lui aussi…
Mais même celles, dont le mari sirotait son champagne à leur côté, regardaient ce couple sensuel, évoluer sur la piste… Cela me donnait des ailes…
Et j’en rajoutais, et il me suivait…
Sa cuisse qui passait entre les miennes déclenchait des étoiles dans le ciel, son sexe contre mon pubis, et mes pensées devenaient érotiques, et quand un slow vint calmer notre ardeur, au lieu de me raccompagner à ma table, il me garda dans ses bras sur la piste devenue obscure…
Je m’abandonnais alors contre lui, son ventre contre le mien, et dame nature se manifesta de nouveau contre ma cuisse, une image d’étalon vint brouiller son image, mais échauffa mes instincts…
Je ne savais plus si son ventre se frottait au mien, ou si c’était l’inverse…
En tous cas l’étalon qui se manifestait, gardait sa posture…
Nous frôlions des gens connus, ces dames me fixaient avec deux révolvers… Certaines fermaient les yeux ensuite, pour garder mon image… J’étais éblouissante…
Je me serrais étroitement contre lui, il gardait une position de danse à l’ancienne, bras levé pour me tenir la main, l’autre sur ma hanche…
Mais la distance entre nous se résumait à zéro…
Parfois il baissait les yeux, pour loucher discrètement sur ma poitrine, que je faisais exprès, d’appuyer contre son torse…
Des frissons me parcouraient, sa main semblait s’animer, de la hanche vers les reins, remonta, ses yeux plantés dans les miens demandaient si je voulais bien…
Beaucoup de couples avaient laissé de côté la bienséance, et évoluaient enlacés, parfois même flirtant sans complexe…
Je me collais à lui en guise de réponse, et mes bras remontèrent pour s’accrocher autour de son cou…
Mes seins s’écrasèrent, mon ventre se liquéfia, son sexe venait de pointer sur mon pubis, fier et résolu…
Il semblait s’excuser de cette manifestation accidentelle…
Je m’en réjouissais, je venais d’intégrer une suite à ce bal magnifique…
Quand les lumières se rallumèrent normalement, j’avais les yeux luisants, mes bras redescendirent, il me suivit à ma table désertée… Je le priais de s’assoir à mon côté, et on commanda à boire…
Il parlait de tout, de rien, mais ses yeux en disaient long… Ils ne quittaient pas les miens…
Quand une autre danse arriva, après nous être désaltérés, nous sortîmes quelques instants, sur la terrasse prendre le frais de la nuit…
- Nous pourrions quitter cette ambiance populaire… La nuit ne semble pas vouloir se terminer pour nous…
- Avec plaisir, ma villa est toute proche…
Et je lui donne l’adresse exacte en le priant de me rejoindre discrètement… Et je précise que le portail sera ouvert pour qu’il rentre à l’intérieur…
Et j’ai rougi, après coup, de cette audace…
Je ne sais s’il l’a relevée en tant que bafouillement, ou assimilée à une demande masquée…
Je débouche du champagne et le rejoins sur le canapé rouge…
Il me complimente sur ma robe, je l’invite à visiter mon jardin, je descends par la terrasse, il me suit pas à pas, je fais le tour de la piscine, je lui montre ma garçonnière d’été, sa pièce attenante, la chambre d’ami ou la salle de jeu…
Puis nous nous asseyons sur le banc face à la villa, près de mon jardin secret, ce lieu qui me voit toute nue pour bronzer sans vis-à-vis, entourée de végétation exotique…
Après cette explication un peu osée, il se tourne vers moi, sa main se pose sur ma cuisse, et avant que je bondisse, ses lèvres s’écrasent sur le miennes pour la première fois…
Quelques gouttes de pluie s’invitent à l’évènement… On passe dans le salon d’été, il pleut abondamment…
Il y fait sombre, j’ouvre la fenêtre pour un peu de lumière…
Quand je me penche pour ouvrir les volets, il se met dans mon dos, mon derrière semble lui plaire, j’ai du mal à me pencher, il le flatte, et avant que j’ouvre quoi que ce soit, l’air sous ma robe s’engouffre largement…
Alors dans l’obscurité totale, je reste arc-boutée, ses mains se régalent entre mes cuisses, sur mes deux fesses et se glissent jusqu’à ma poitrine, son dard déjà bandé semble attendre le départ de la course…
Ma robe a perdu la partie, elle git innocemment…
Je deviens la cible de sa flèche, décochée sans attendre, et surprise, elle atteint son but, le gland ouvre sa voie royale et me pourfend, le dard s’engouffre dans mon vagin béant d’un désir indicible…
Il se penche sur moi, et me baise, un délice…
Ses mains viennent chercher les miennes, il me prend en cadence, punaisée sur ce meuble de cuisine, les seins pendants se mettent à battre la mesure, alors il s’en empare et c’est un festival…
Je gémis, pleure, vagit, sentant la verge me pourfendre, détendre mon vagin, me remplir de plaisir…
Je me tiens bras écartés, solidement ancrée, et ses coups de reins redoublent…
Un orgasme me surprend, je tremble sous son joug, je ne sens plus mon ventre, je jouis pleinement…
Alors, il me redresse, me tenant par les fesses, il m’assied sur la table, écarte et replie mes cuisses, s’offrant une vue agréable sur mon bonbon détrempé de mouille et son dard me reprend…
Il me baise en cadence, martèle sa dominance, je m’accroche à la table, sa bite devient marteau-piqueur et je crie sa victoire…
Ses mains massent mes seins, je deviens poupée de chiffon entre ses mains de comte…
Il ahane ses coups de reins, je me sens engrossée, plantée d’un dard énorme, un vit infatigable qui éclate mes entrailles…
Alors, sans rien demander, je le sens pointer sur mon jardin secret, et s’immiscer dans ma rondelle, forcer ma porte arrière, me sodomiser sans frontière !
Le rapport est intense, l’acte est immoral, pour moi, pour la bourgeoise qui est encore là…
Alors pour la contrer, lui faire ferme sa bouche, je me donne à lui, je m’ouvre, je m’écartèle, je jouis de sa bite, véritable nymphomane, je jouis par ma croupe, susurre des mots imagés, des mots sans suite, des mots de bourgeoise mal baisée, qui se libère de 10 ans de mariage… Des mots de salope en devenir, aimant tout dans le sexe, se frotter en dansant à un comte milliardaire… En sentant sa queue enflammer la soirée...
- Oh, oui… Baise-moi de partout, apprend-moi l’indécence, l’amour sans barrières, le sexe des roturières, celui des princesses, des étrangères, des intrigantes.
Fais de moi ta soumise, prends-moi dans ton bateau, dans ton bureau, sous ton bureau…
Je veux gémir de toi, ne plus penser qu’à toi…
Apprends-moi les châteaux, les hôtels 5 étoiles, les courbettes, l’argent qui coule à flots, qui rend tous les services… Le luxe des aristos, la folie des artistes…
Prends-moi sur ta voiture, penchée sur le moteur, découverte comme lui, qui ronronne endormi et gémit quand tu vas vite…
Il a crié lui aussi, rugi d’un ton rauque, atteignant le sommet de cette incartade…
Marié, et père de famille, il se remet debout, il me tend la main, en ramassant ma robe froissée, piétinée, que je passe quand même, en souvenir de ce moment hors du temps…
Elle a honte de moi, baisée comme une catin… Le trou du cul rempli de sperme à particule… Que je sens s’échapper et couler dans ma vulve, puis se jeter à terre…
Sa Ferrari trône dans ma cour, il me dit au-revoir, m’embrasse à me couper le souffle…
Presque nue devant lui, je souris sans comprendre…
Le bruit divin me réveille, le portail le laisse sortir…
Je pleure son départ…
Ce conte de Noël pour vous remercier de me lire,
ce comte pour Noël, m’a rendu le sourire,
je compte bien le revoir, tous comptes faits,
pour écrire à la fin de ce billet :
Le comte est bon !… Surtout pour le sexe !
Marika842010
Décembre 2020
4 年 前
