Expériences au sauna
Cela faisait longtemps que l’idée me trotter dans la tête, et à l’occasion d’un déplacement professionnel sur Paris j’ai décidé d’aller faire un tour dans un sauna pour hommes. Ce genre d’établissement dans ma province n’existe pas et c’est assez régulièrement que je regardais sur internet les divers saunas parisiens dans l’hypothèse où j’irai un jour sur Paris. Les tarifs, les horaires de fréquentations, les avis des internautes, je regardais tout dans l’espoir un jour de pouvoir mettre les pieds dans l’un d’eux.
Marié, mais bisexuel, ma femme ne connait pas mon penchant, je n’avais que peu d’expérience ou du moins j’avais peu d’occasions dans ma province où les coins de rencontres sont rares et se limitent à des parkings où le risque de rencontrer une connaissance n’est pas à écarter. La quarantaine bien pesée, encore bien conservé, je suis plutôt d’un naturel passif avec les mecs. Le sauna me semblait donc l’endroit idéal pour passer un bon moment entre personnes consentantes et de même profil, sans les contraintes du stress en pleine nature même si ça peut parfois donner un peu de piment à la chose.
Je vous cache pas mon impatience pour ce déplacement, et je vous passe donc le voyage en train tout occupé à mes pensées coquines et la journée de réunion. Je ne devais repartir que le lendemain en fin d’après-midi et j’avais donc toute la soirée à ma disposition.
Heureusement, la réunion se terminait assez tôt, vers 17h ce qui me laissait largement le temps de profiter d’un sauna parisien, d’aller dîner par la suite et de me coucher de bonne heure. J’avais d’ailleurs vu sur internet qu’en semaine les heures de plus fortes affluences dans les saunas étaient après 17h et jusqu’à 20h, bien suffisant pour passer du bon temps.
Compte tenu de la situation de mon hôtel, j’opte pour un sauna qui m’évite un long trajet en métro. Il est 17h30, j’ai pris une bonne douche et je me rends dans la rue où se situe l’établissement. Je sors du métro, repère la rue à prendre, à peine 100m à faire, je sonne, une porte s’ouvre sur une cour intérieure particulièrement jolie, quelque marges à gravir et j’entre. L’accueil est sympa, je règle et je m’oriente vers mon vestiaire. Les vestiaires sont répartis de part et d’autre d’une superbe pièce équipée d’escaliers en arc de cercle et des numéros indiquent clairement où se rendre. La température est agréable, et quelques hommes déjà mûrs se changent tranquillement en jetant des regards furtifs au nouvel arrivant que je suis.
Une fois changé, serviette autour du bas ventre je m’aventure à reconnaître les lieux. Un escalier donne accès au sous-sol où se trouvent les douches ainsi qu’un petit domaine en contrebas avec des box équipés de couchettes où parfois un homme attend. Une grande pièce équipée d’un grand lit et disposant d’un écran qui diffuse un film gay semble attendre que des amateurs s’y livrent à la débauche.
A côté des douches, une piscine où il est clairement proscrit de s’adonner à des ébats risquant d’en polluer le contenu…
Je prends ma douche en regardant les autres nus en train de se laver, comportement que tous adoptent sans gêne.
Une fois terminé, je remonte à l’étage des vestiaires et part à la découverte de l’étage supérieur en empruntant ce monumental escalier en arc de cercle. L’étage dévoile alors un grands nombre de petites pièces avec couchette simple ou double où des mecs ont l’air d’attendre de la visite.
Je pense que cette description du lieu devrait permettre à certains lecteurs coutumiers des saunas parisiens de le reconnaître aisément.
Je passe cet étage et monte au niveau supérieur, l’escalier est plus tortueux, et une fois à l’étage qui est plus sombre je suis un couloir sur la gauche qui me mène dans une sorte de petit labyrinthe sombre. Je progresse un peu à tâtons car il faut s’habituer à la pénombre et je me trouve rapidement au bout de ce dédale. Je suis là, un peu perdu, le souffle court, quand je sens une présence et qu’une ombre massive se dessine. Je ne bouge pas et je sens une main me caresser l’entrejambe à la recherche de mon sexe. De mon côté ma main part à l’aventure pour découvrir de quoi dispose le propriétaire de cette main.
Ce que je tiens dans la main est plein de promesse, déjà bien développé, d’une fermeté grandissante, un beau morceau de bite. Nous nous caressons mutuellement sans échanger le moindre mot. Les gestes suffisent pour comprendre ce que nous attendons chacun de l’autre. Nos visages sont proches et nous pouvons nous découvrir dans cette pénombre. Il semble avoir la cinquantaine, un visage viril agrément d’une belle moustache. Je sens ses lèvres se poser sur les miennes, sa moustache me chatouille un peu. Son autre main derrière ma nuque me maintient contre sa bouche et sa langue cherche à se frayer un passage entre mes lèvres. Je me laisse faire docilement, et accueille cette langue ferme et tiède qui part à la découverte de la mienne. Nous échangeons ce baiser pendant un long moment en continuant à nous masturber mutuellement. Une pression de sa main sur mon épaule me fait comprendre que mon partenaire souhaite passer à autre chose et que ma bouche ne doit pas contenter que de sa langue.
Je me laisse faire et me mets à genoux, le visage à hauteur de sa queue que ma main tiens encore fermement. J’approche alors mes lèvres de son gland et doucement le bout de ma langue s’amuse à jouer avec. Je le couvre de salive et l’aspire délicatement avant de faire glisser le reste de son sexe dans ma bouche. Je ne peux le prendre entièrement en bouche sauf à prendre le risque de vomir. Je m’applique donc à donner le maximum de plaisir à ce membre, je m’applique à bien le faire coulisser entre mes lèvres, à jouer de ma langue. Les soupirs de son propriétaire me prouvent que je me débrouille pas mal. Il me caresse la tête en même temps que je pratique ma pipe, je suis bien content de ce début de séance au sauna.
Le sexe dans ma bouche semble gonfler encore plus et je sens son propriétaire vouloir quitter ma bouche en chuchotant « je vais jouir ». C’est l’occasion pour moi, d’ajouter une nouvelle expérience à ma bisexualité en recevant le sperme dans ma bouche. Je maintiens fermement le corps de mon partenaire pour garder son sexe en bouche, et comprenant mes intentions, il s’abandonne en plusieurs éjaculations puissantes qu’il accompagne de grognements de plaisir. Son sexe perd alors un peu de sa vigueur dans ma bouche et je le laisse quitter ma bouche pleine de son sperme. Puis il disparaît après m’avoir dit « Merci, et à plus tard, peut-être ». Je cherche un distributeur de papier, prends une feuille et y vide le contenu de ma bouche qui reste légèrement gluante et dégage une odeur caractéristique.
La soirée commence bien, et je continue ma découverte des lieux. Je repasse devant l’escalier et prends le couloir à droite. C’est sombre mais je suis maintenant bien habitué à la pénombre. Je découvre une première pièce équipée d’un sling, personne ne l’occupe et je m’amuse alors à m’y installer pour connaître la sensation d’être suspendu, jambes ouvertes, anus offert à qui souhaite jouer avec.
Je vois passer plusieurs silhouettes que ma position ne semble pas intéresser, puis une autre s’arrête et s’approche. Je stresse un peu en attendant de voir la suite. Une main aventurière me caresse alors les fesses qui lui sont totalement offertes. Je ne peux que montrer mon approbation par une petite contraction, et un doigt s’attarde sur mon petit trou. Après l’avoir doucement caresser, il en teste l’élasticité. La sécheresse de mon cul ne facilite pas la progression du doigt et le distributeur de crème lubrifiante est alors le bienvenu. L’homme prend une dose de crème et me la glisse entre les fesses pour bien l’étaler sur mon trou. Le doigt n’a alors aucune difficulté pour partir à l’exploration de mon rectum. C’est agréable, je me laisse doucement aller à cette pénétration. Le doigt est alors rejoint par un deuxième, et leur possesseur s’amuse à les faire aller et venir dans mon fondement, et à les écarter lorsqu’ils sont au plus profond pour tester la souplesse de mon intérieur. Je suis comblé par ces doigts et mon érection est à son paroxysme. L’homme se saisit d’ailleurs de mon sexe avec son autre main et la fait coulisser pour bien dégager mon gland.
Je suis là jambes grandes ouvertes, le cul offert, mes bras tiennent les chaînes du sling, les yeux fermés, la tête légèrement abandonnée en arrière, je profite pleinement de ce moment de soumission voulue.
Les doigts fureteurs quittent mon trou du cul, un bruit d’enveloppe qu’on déchire, et quelques instants après je sens quelque chose de dur se poser sur ma rondelle humide. La sensation est exquise, le membre force alors l’entrée de mes sphincters, une légère douleur mais je reste détendu et naturellement le membre glisse totalement dans mon trou du cul, les couilles en butée contre mes fesses. Me voilà enculé au plus profond, je n’ai pas vraiment mal, la sensation que me procure ce sexe en moi est indéfinissable et je savoure ce moment.
Puis l’homme commence à me limer doucement faisant aller et venir sa bite en moi sur presque toute sa longueur. Mes gémissements de plaisir accompagnent sa besogne et l’encouragent. Il sort parfois totalement sa bite, laissant mon anus se refermer, et m’embroche alors à nouveau me faisant alors lâcher un petit cri. Sa main sur ma bite continue son activité et sous les mouvements répétés de sa queue au plus profond de moi, je me sens soudain partir dans une jouissance qui arrose mon ventre et sa main de ma semence. Satisfait de son ouvrage, je sens sa bite quitter mon trou qui reste ouvert et un air plus vrai m’envahi alors le boyau. Je me retrouve seul, épuisé par cet orgasme et ravi de ce que je viens de vivre.
Je quitte le sling pour descendre les deux étages qui vont me permettre de prendre une douche réparatrice.
Arrivé au sous-sol, je rejoins les douches. Il n’y a personne et je profite de cette intimité pour bien profiter de l’eau tiède qui ruisselle sur mon corps et pour laver et masser longuement mon anus que je sens un peu endolori par mon activité récente. Je suis bien, c’est que du plaisir dans ce sauna et la soirée n’est pas encore finie.
Après de nombreuses minutes sous l’eau de la douche, je rejoins la piscine qui est à côté et profite de son eau tiède et limpide. Un affichage stipule de ne pas pratiquer dans la piscine des ébats qui pourrait en polluer la propreté. C’est très bien et rassurant à la fois, preuve que l’hygiène est prise sérieusement en compte par l’établissement.
Quelques baigneurs sont là, ils profitent tranquillement des jets qui sous l’eau font un léger massage. Le moment est particulièrement relaxant, et nécessaire pour recharger les batteries. Quelques regards complices sont échangés mais sans plus et je sors de l’eau et me sèche rapidement avant de remonter au rez-de-chaussée puis au premier où je décide de chercher une cabine pour me reposer…
Après avoir fait le tour du lieu et des différentes possibilités de cabine qui s’offrent à moi, j’opte pour une cabine dont la banquette en mousse recouverte de cuir artificiel est prévue pour une personne et se situe au fond d’un petit corridor non visible de tous. J’étends ma serviette et je m’allonge sur elle, à plat ventre afin de bien exposer mes petites fesses à qui aurait la curiosité de venir là.
Je suis bien là sur la banquette, je commence presque à somnoler, parfois attentif à quelques bruits de pas qui s’approchent curieux et repartent aussi discrètement. Les minutes passent et je me sens bien, mon petit bout de corridor est bien calme.
Soudain, dans mon semi endormissement, je sens une main se poser doucement sur mes fesses qui réagissent instantanément par une furtive contraction. La main est douce, caressante et remonte le long de ma colonne vertébrale me déclenchant un long frisson de plaisir. Une deuxième main se joint à la première pour me caresser aussi et entreprendre à elles deux un agréable massage de mon dos. Je me laisse faire, abandonné à ces douces caresses que j’accompagne de quelques soupirs de plaisir. Les mains sont parfois accompagnées d’une bouche dont la langue parcourt ma colonne vertébrale qui génère son lot de frissons de bien-être. L’homme sait y faire et je lui suis totalement abandonné.
Ma main part alors doucement à la rencontre de ce partenaire et entre en contact avec sa jambe, solide, musclée, une pilosité normale. J’imagine alors un homme dans la force de l’âge et je continue lentement mon exploration doucement le long de sa cuisse. Ma main rencontre alors deux belles bourses lisses et vient à la rencontre d’un sexe assez long et ferme dont la peau est d’une extrême douceur. Un beau gland bien décalotté le termine et je sens déjà une petite goutte perlée au méat preuve du désir de son propriétaire.
Ce dernier tout en continuant à me caresser le dos, s’approche un peu de ma couche et de mon visage pour me faciliter la tâche. C’est bien sûr avec plaisir que j’approche ma tête de ce sexe da manière à pouvoir lui donner un plaisir identique à celui que les caresses de l’homme me procure. J’entrouvre mes lèvres pour prendre le gland entre mes lèvres, je lèche le méat et recueille sa liqueur, puis je fais progresser l’ensemble de la verge entre mes lèvres. Je m’applique du mieux que je peux pour pratiquer une douce mais efficace fellation, en prenant soin de bien éviter que mes dents puissent blesser le bel organe. Mon ouvrage semble des plus satisfaisants compte-tenu des gémissements de plaisirs que laissent entendre mon partenaire.
Je peux alors voir l’homme que je suce, la quarantaine, grand, musclé sans trop l’être, un visage viril et plaisant à la fois qui m’adresse un léger sourire de satisfaction. Ses mains continuent leur massage sur mon dos et commencent à descendre doucement vers mes reins que je creuse légèrement faisant alors ressortir mon fessier comme une invitation. L’une des mains suit cette invitation et glisse sur mes fesses qui ne demandent que ça. J’écarte alors un peu plus les cuisses pour donner plus d’accès à mon intimité. La main me caresse l’entrejambe en s’attardant un peu sur mes bourses sans pouvoir atteindre ma verge qui est bloquée sous mon ventre. Mais cette dernière ne semble pas l’intéresser puisqu’elle remonte et s’attarde entre mes fesses. Je me laisse faire, ma docilité est une invitation à aller plus loin et c’est un doigt fureteur cherche alors à me caresser l’anus. Je sens mon orifice répondre à ce contact par une légère contraction que j’accompagne d’un léger soupir.
Alors que ma bouche est toujours occupée à son délicieux ouvrage, mon partenaire récolte un peu de gel dans le distributeur et m’en enduit légèrement le petit trou. Son doigt peu alors sans difficulté s’introduire doucement en moi et tester l’élasticité de mon intérieur. La sensation est prés agréable, le doigt me lime doucement l’anus et est rapidement rejoint par un deuxième qui ne rencontre aucune difficulté pour s’associer au premier. Je suis soumis à ces doigts inquisiteurs qui me procurent un véritable plaisir et me fouillent pendant plusieurs minutes.
C’est à regret que je les sens quitter mon fondement puis le sexe de mon partenaire quitte ma bouche. Ce sentiment d’abandon est rapidement remplacé par l’attente d’une suite prometteuse lorsque je constate qu’après avoir ouvert l’étui d’un préservatif il le déroule sur sa verge turgescente.
Une fois bien équipé, il monte sur la banquette pour me couvrir de son corps et je sens alors son sexe s’approcher de mon anus. Le gland est à l’entrée et doucement il force, le gel mis pour faciliter l’action précédente de ses doigts reste efficace car son membre m’ouvre et m’investit facilement. Je pousse malgré tout un léger gémissement lors de l’investissement de mon intimité et les testicules de mon partenaire viennent rapidement frapper contre mes fesses preuve de ma totale possession.
Puis après quelques secondes d’immobilisme, le sexe commence à délicieusement coulisser entre mes fesses pour le plus grand plaisir de son propriétaire et le mien. Je ne peux que m’abandonner totalement, relevant légèrement mes fesses pour sentir ce sexe m’investir le plus profondément possible en l’accompagnant de gémissements de plaisir à chaque fois qu’il me pénètre encore et encore.
Le moment est sublime, le sexe coulisse en moi en me procurant à chacun de ses mouvements une stimulation de mes terminaisons nerveuses anales qui me transportent de plaisir. Je m’abandonne au bonheur de me sentir sous la domination de ce sexe qui sait me donner de telles sensations. Mes petits gémissements, mes soupirs indiquent à mon partenaire la montée de mon plaisir. Je suis soumis à ce sexe et rien n’existe plus autour de moi. Tout mon corps se réduit à une seule zone érogène.
Cet abandon, ne m’a pas fait percevoir la présence d’une tierce personne certainement attirée par mes soupirs révélateurs. Ce n’est que lorsque l’intéressé est proche de mon visage que je réalise sa présence. Mon partenaire n’avait visiblement pas fermé le porte derrière lui, volontairement peut-être, et la présence de ce troisième homme n’avait en rien perturbé la qualité du coït qui était le nôtre.
Dans la position qui est le mienne, j’ai du mal à bien pouvoir distinguer le nouveau venu, mais je peux aisément contempler ses jambes dont la peau halée m’indique qu’il est certainement métissée. Un peu plus haut entre ses jambes une verge au mieux de sa forme se dresse fièrement au-dessus de deux testicules qui semblent pleines de promesse. Le sexe est joli, assez fin mais de bonne longueur, le gland plus foncé bien apparent. Je ne peux qu’étendre mon bras pour prendre possession de ma main ce bel organe dont je constate la douceur de la peau. Je le caresse délicatement en faisant aller et venir la paume de ma main du gland jusqu’à la naissance de la verge dont la raideur prouve que le traitement donne satisfaction à son propriétaire. Celui-ci j’approche d’ailleurs un peu de la couche sur laquelle je suis allongé, mon partenaire est lui toujours bien planté dans mon orifice anal et il s’active tranquillement tout à notre plaisir mutuel. Le nouveau venu s’approche au mieux de mon visage me faisant comprendre ce qu’il attend maintenant de ma part. Je tourne alors la tête et l’approche du mieux que je le peux, pour prendre en bouche l’offrande qui m’est proposée. Le parfum de ce sexe est des plus agréables, on sent que son propriétaire à bien nettoyé l’engin précédemment, et je prends entre mes lèvres pour l’introduire au plus profond de ma gorge et lui pratiquer la meilleure fellation que je puisse faire dans cette position.
Mon enculeur conscient que la position est inconfortable pour satisfaire de ma bouche l’autre homme, me propose de nous mettre autrement. Il sort alors de mes fesses et me demande de lui laisser la place, il s’allonge alors sur le dos, le sexe fièrement dressé et me demande de venir le chevaucher. Je l’enjambe et viens placer mon orifice sur sa verge, puis je me laisse glisser sur sa queue qui me pénètre sans aucune difficulté mon anus n’ayant pas eu le temps de se resserrer. Je ne peux qu’émettre à nouveau un grand gémissement de plaisir quand le sexe glisse en moi et m’investit totalement jusqu’à ce que mes fesses butent contre son corps.
Alors plus à l’aise, ma bouche peut à nouveau s’occuper de l’autre partenaire qui remplit de sa verge le seul orifice qui me reste. Je m’applique du mieux que je peux à ma pipe tout en faisant bouger mes fesses sur le mandrin qui se trouve en moi et durant de longues minutes ce n’est qu’un concert mutuel de gémissements de plaisir.
La verge quitte un petit moment ma bouche et mon enculeur en profite pour me coucher sur lui afin de m’embrasser et nous mélangeons nos langues dans un long baiser pendant qu’il continue à s’activer en moi.
Abandonné à ce baiser, j’en oublie l’autre client qui de son côté me caresse le dos et les fesses et que je n’ai pas entendu ouvrir un petit sachet et dérouler le contenu sur son pénis. Il joue de ses doigts sur mon anus bien occupé par le sexe de l’autre et s’aventure à essayer d’y glisser son doigt, qui à ma grande surprise trouve son chemin assez facilement sans m’occasionner de douleur malgré ma crainte. La sensation est exquise, un petit doigt fureteur en plus d’une verge bien active.
Mais l’intéressé ne compte pas se satisfaire de si peu, et il monte à son tour sur la couche et se positionne derrière moi. Mon enculeur me tient bien penché contre lui en continuant à m’embrasser pour me rassurer sur la suite des événements. J’ai bien conscience de ce qui va bientôt se passer et j’ai une véritable crainte de trop souffrir de cette pénétration hors norme. Pourtant je ne résiste pas, ne m’y oppose pas, je suis passif et attends inquiet l’instant fatidique.
Et cet instant ne traîne pas, puisque je sens un doigt me couvrir le pourtour de l’anus d’un complément de gel lubrifiant, et dans la foulée je sens que le gland cherche sa place au-dessus de l’a verge qui est en moi. Il force le passage et malgré le gel je ressens une terrible douleur qui irradie mon fondement et qui m’oblige à crisper mes mains dans le matelas de la couche en grimaçant. Mon bourreau arrête sa progression en attendant que je me détende, puis après quelques instants il continue à investir mon orifice déjà bien rempli par l’autre organe. Tout en grimaçant et en soupirant, je glisse ma main derrière moi pour vérifier la progression de la verge dans mon fondement et je constate alors que les deux bites sont pleinement introduites en moi.
Je suis pris par deux queues, jamais j’aurai pu croire cela possible pour moi, et je m’habitue doucement à ce volume qui me distend la rondelle. Les bites s’activent maintenant dans mon fondement parfois synchronisées mais parfois en décalage et m’arrachent régulièrement de forts gémissements qui mêlent légère douleur mais surtout un plaisir inconnu et indescriptible.
Cependant si pendant la sodomie de mon premier partenaire, mon sexe avait fier allure et son va et vient me fit agréablement bander, cette deuxième introduction m’avait plutôt anéanti et mon sexe reposait mollement sur le ventre de mon premier partenaire.
La double pénétration dura un temps que je ne peux déterminer mais je sentis que mes partenaires étaient proches de jouir, aussi le second se retira de mon fourreau laissant le champ libre à l’autre verge. Il quitta promptement le préservatif, descendit de la couche et me présenta son sexe en bouche qui ne tarda à m’inonder d’une belle quantité de liquide crémeux. Ce fut alors au tour de mon enculeur de se contracter en spasmes puissants accompagnés de forts gémissements pour inonder la capote au fond de mes boyaux.
Ils se retirèrent l’un de ma bouche, l’autre de mon cul me laissant tel un pantin anéanti par tant de plaisir même si ma jouissance ne s’était pas traduit par une éjaculation.
Je les remerciai pour ce moment mémorable, ma première double pénétration, et je filai vers une douche que j’espérai réparatrice avant de me rhabiller et quitter l’établissement.
Cette fin d’après-midi au sauna m’a laissé un souvenir impérissable et durant les quelques jours qui ont suivis mon anus a su me rappeler parfois douloureusement le traitement que mes deux partenaires lui avait fait subir avec mon accord…
Marié, mais bisexuel, ma femme ne connait pas mon penchant, je n’avais que peu d’expérience ou du moins j’avais peu d’occasions dans ma province où les coins de rencontres sont rares et se limitent à des parkings où le risque de rencontrer une connaissance n’est pas à écarter. La quarantaine bien pesée, encore bien conservé, je suis plutôt d’un naturel passif avec les mecs. Le sauna me semblait donc l’endroit idéal pour passer un bon moment entre personnes consentantes et de même profil, sans les contraintes du stress en pleine nature même si ça peut parfois donner un peu de piment à la chose.
Je vous cache pas mon impatience pour ce déplacement, et je vous passe donc le voyage en train tout occupé à mes pensées coquines et la journée de réunion. Je ne devais repartir que le lendemain en fin d’après-midi et j’avais donc toute la soirée à ma disposition.
Heureusement, la réunion se terminait assez tôt, vers 17h ce qui me laissait largement le temps de profiter d’un sauna parisien, d’aller dîner par la suite et de me coucher de bonne heure. J’avais d’ailleurs vu sur internet qu’en semaine les heures de plus fortes affluences dans les saunas étaient après 17h et jusqu’à 20h, bien suffisant pour passer du bon temps.
Compte tenu de la situation de mon hôtel, j’opte pour un sauna qui m’évite un long trajet en métro. Il est 17h30, j’ai pris une bonne douche et je me rends dans la rue où se situe l’établissement. Je sors du métro, repère la rue à prendre, à peine 100m à faire, je sonne, une porte s’ouvre sur une cour intérieure particulièrement jolie, quelque marges à gravir et j’entre. L’accueil est sympa, je règle et je m’oriente vers mon vestiaire. Les vestiaires sont répartis de part et d’autre d’une superbe pièce équipée d’escaliers en arc de cercle et des numéros indiquent clairement où se rendre. La température est agréable, et quelques hommes déjà mûrs se changent tranquillement en jetant des regards furtifs au nouvel arrivant que je suis.
Une fois changé, serviette autour du bas ventre je m’aventure à reconnaître les lieux. Un escalier donne accès au sous-sol où se trouvent les douches ainsi qu’un petit domaine en contrebas avec des box équipés de couchettes où parfois un homme attend. Une grande pièce équipée d’un grand lit et disposant d’un écran qui diffuse un film gay semble attendre que des amateurs s’y livrent à la débauche.
A côté des douches, une piscine où il est clairement proscrit de s’adonner à des ébats risquant d’en polluer le contenu…
Je prends ma douche en regardant les autres nus en train de se laver, comportement que tous adoptent sans gêne.
Une fois terminé, je remonte à l’étage des vestiaires et part à la découverte de l’étage supérieur en empruntant ce monumental escalier en arc de cercle. L’étage dévoile alors un grands nombre de petites pièces avec couchette simple ou double où des mecs ont l’air d’attendre de la visite.
Je pense que cette description du lieu devrait permettre à certains lecteurs coutumiers des saunas parisiens de le reconnaître aisément.
Je passe cet étage et monte au niveau supérieur, l’escalier est plus tortueux, et une fois à l’étage qui est plus sombre je suis un couloir sur la gauche qui me mène dans une sorte de petit labyrinthe sombre. Je progresse un peu à tâtons car il faut s’habituer à la pénombre et je me trouve rapidement au bout de ce dédale. Je suis là, un peu perdu, le souffle court, quand je sens une présence et qu’une ombre massive se dessine. Je ne bouge pas et je sens une main me caresser l’entrejambe à la recherche de mon sexe. De mon côté ma main part à l’aventure pour découvrir de quoi dispose le propriétaire de cette main.
Ce que je tiens dans la main est plein de promesse, déjà bien développé, d’une fermeté grandissante, un beau morceau de bite. Nous nous caressons mutuellement sans échanger le moindre mot. Les gestes suffisent pour comprendre ce que nous attendons chacun de l’autre. Nos visages sont proches et nous pouvons nous découvrir dans cette pénombre. Il semble avoir la cinquantaine, un visage viril agrément d’une belle moustache. Je sens ses lèvres se poser sur les miennes, sa moustache me chatouille un peu. Son autre main derrière ma nuque me maintient contre sa bouche et sa langue cherche à se frayer un passage entre mes lèvres. Je me laisse faire docilement, et accueille cette langue ferme et tiède qui part à la découverte de la mienne. Nous échangeons ce baiser pendant un long moment en continuant à nous masturber mutuellement. Une pression de sa main sur mon épaule me fait comprendre que mon partenaire souhaite passer à autre chose et que ma bouche ne doit pas contenter que de sa langue.
Je me laisse faire et me mets à genoux, le visage à hauteur de sa queue que ma main tiens encore fermement. J’approche alors mes lèvres de son gland et doucement le bout de ma langue s’amuse à jouer avec. Je le couvre de salive et l’aspire délicatement avant de faire glisser le reste de son sexe dans ma bouche. Je ne peux le prendre entièrement en bouche sauf à prendre le risque de vomir. Je m’applique donc à donner le maximum de plaisir à ce membre, je m’applique à bien le faire coulisser entre mes lèvres, à jouer de ma langue. Les soupirs de son propriétaire me prouvent que je me débrouille pas mal. Il me caresse la tête en même temps que je pratique ma pipe, je suis bien content de ce début de séance au sauna.
Le sexe dans ma bouche semble gonfler encore plus et je sens son propriétaire vouloir quitter ma bouche en chuchotant « je vais jouir ». C’est l’occasion pour moi, d’ajouter une nouvelle expérience à ma bisexualité en recevant le sperme dans ma bouche. Je maintiens fermement le corps de mon partenaire pour garder son sexe en bouche, et comprenant mes intentions, il s’abandonne en plusieurs éjaculations puissantes qu’il accompagne de grognements de plaisir. Son sexe perd alors un peu de sa vigueur dans ma bouche et je le laisse quitter ma bouche pleine de son sperme. Puis il disparaît après m’avoir dit « Merci, et à plus tard, peut-être ». Je cherche un distributeur de papier, prends une feuille et y vide le contenu de ma bouche qui reste légèrement gluante et dégage une odeur caractéristique.
La soirée commence bien, et je continue ma découverte des lieux. Je repasse devant l’escalier et prends le couloir à droite. C’est sombre mais je suis maintenant bien habitué à la pénombre. Je découvre une première pièce équipée d’un sling, personne ne l’occupe et je m’amuse alors à m’y installer pour connaître la sensation d’être suspendu, jambes ouvertes, anus offert à qui souhaite jouer avec.
Je vois passer plusieurs silhouettes que ma position ne semble pas intéresser, puis une autre s’arrête et s’approche. Je stresse un peu en attendant de voir la suite. Une main aventurière me caresse alors les fesses qui lui sont totalement offertes. Je ne peux que montrer mon approbation par une petite contraction, et un doigt s’attarde sur mon petit trou. Après l’avoir doucement caresser, il en teste l’élasticité. La sécheresse de mon cul ne facilite pas la progression du doigt et le distributeur de crème lubrifiante est alors le bienvenu. L’homme prend une dose de crème et me la glisse entre les fesses pour bien l’étaler sur mon trou. Le doigt n’a alors aucune difficulté pour partir à l’exploration de mon rectum. C’est agréable, je me laisse doucement aller à cette pénétration. Le doigt est alors rejoint par un deuxième, et leur possesseur s’amuse à les faire aller et venir dans mon fondement, et à les écarter lorsqu’ils sont au plus profond pour tester la souplesse de mon intérieur. Je suis comblé par ces doigts et mon érection est à son paroxysme. L’homme se saisit d’ailleurs de mon sexe avec son autre main et la fait coulisser pour bien dégager mon gland.
Je suis là jambes grandes ouvertes, le cul offert, mes bras tiennent les chaînes du sling, les yeux fermés, la tête légèrement abandonnée en arrière, je profite pleinement de ce moment de soumission voulue.
Les doigts fureteurs quittent mon trou du cul, un bruit d’enveloppe qu’on déchire, et quelques instants après je sens quelque chose de dur se poser sur ma rondelle humide. La sensation est exquise, le membre force alors l’entrée de mes sphincters, une légère douleur mais je reste détendu et naturellement le membre glisse totalement dans mon trou du cul, les couilles en butée contre mes fesses. Me voilà enculé au plus profond, je n’ai pas vraiment mal, la sensation que me procure ce sexe en moi est indéfinissable et je savoure ce moment.
Puis l’homme commence à me limer doucement faisant aller et venir sa bite en moi sur presque toute sa longueur. Mes gémissements de plaisir accompagnent sa besogne et l’encouragent. Il sort parfois totalement sa bite, laissant mon anus se refermer, et m’embroche alors à nouveau me faisant alors lâcher un petit cri. Sa main sur ma bite continue son activité et sous les mouvements répétés de sa queue au plus profond de moi, je me sens soudain partir dans une jouissance qui arrose mon ventre et sa main de ma semence. Satisfait de son ouvrage, je sens sa bite quitter mon trou qui reste ouvert et un air plus vrai m’envahi alors le boyau. Je me retrouve seul, épuisé par cet orgasme et ravi de ce que je viens de vivre.
Je quitte le sling pour descendre les deux étages qui vont me permettre de prendre une douche réparatrice.
Arrivé au sous-sol, je rejoins les douches. Il n’y a personne et je profite de cette intimité pour bien profiter de l’eau tiède qui ruisselle sur mon corps et pour laver et masser longuement mon anus que je sens un peu endolori par mon activité récente. Je suis bien, c’est que du plaisir dans ce sauna et la soirée n’est pas encore finie.
Après de nombreuses minutes sous l’eau de la douche, je rejoins la piscine qui est à côté et profite de son eau tiède et limpide. Un affichage stipule de ne pas pratiquer dans la piscine des ébats qui pourrait en polluer la propreté. C’est très bien et rassurant à la fois, preuve que l’hygiène est prise sérieusement en compte par l’établissement.
Quelques baigneurs sont là, ils profitent tranquillement des jets qui sous l’eau font un léger massage. Le moment est particulièrement relaxant, et nécessaire pour recharger les batteries. Quelques regards complices sont échangés mais sans plus et je sors de l’eau et me sèche rapidement avant de remonter au rez-de-chaussée puis au premier où je décide de chercher une cabine pour me reposer…
Après avoir fait le tour du lieu et des différentes possibilités de cabine qui s’offrent à moi, j’opte pour une cabine dont la banquette en mousse recouverte de cuir artificiel est prévue pour une personne et se situe au fond d’un petit corridor non visible de tous. J’étends ma serviette et je m’allonge sur elle, à plat ventre afin de bien exposer mes petites fesses à qui aurait la curiosité de venir là.
Je suis bien là sur la banquette, je commence presque à somnoler, parfois attentif à quelques bruits de pas qui s’approchent curieux et repartent aussi discrètement. Les minutes passent et je me sens bien, mon petit bout de corridor est bien calme.
Soudain, dans mon semi endormissement, je sens une main se poser doucement sur mes fesses qui réagissent instantanément par une furtive contraction. La main est douce, caressante et remonte le long de ma colonne vertébrale me déclenchant un long frisson de plaisir. Une deuxième main se joint à la première pour me caresser aussi et entreprendre à elles deux un agréable massage de mon dos. Je me laisse faire, abandonné à ces douces caresses que j’accompagne de quelques soupirs de plaisir. Les mains sont parfois accompagnées d’une bouche dont la langue parcourt ma colonne vertébrale qui génère son lot de frissons de bien-être. L’homme sait y faire et je lui suis totalement abandonné.
Ma main part alors doucement à la rencontre de ce partenaire et entre en contact avec sa jambe, solide, musclée, une pilosité normale. J’imagine alors un homme dans la force de l’âge et je continue lentement mon exploration doucement le long de sa cuisse. Ma main rencontre alors deux belles bourses lisses et vient à la rencontre d’un sexe assez long et ferme dont la peau est d’une extrême douceur. Un beau gland bien décalotté le termine et je sens déjà une petite goutte perlée au méat preuve du désir de son propriétaire.
Ce dernier tout en continuant à me caresser le dos, s’approche un peu de ma couche et de mon visage pour me faciliter la tâche. C’est bien sûr avec plaisir que j’approche ma tête de ce sexe da manière à pouvoir lui donner un plaisir identique à celui que les caresses de l’homme me procure. J’entrouvre mes lèvres pour prendre le gland entre mes lèvres, je lèche le méat et recueille sa liqueur, puis je fais progresser l’ensemble de la verge entre mes lèvres. Je m’applique du mieux que je peux pour pratiquer une douce mais efficace fellation, en prenant soin de bien éviter que mes dents puissent blesser le bel organe. Mon ouvrage semble des plus satisfaisants compte-tenu des gémissements de plaisirs que laissent entendre mon partenaire.
Je peux alors voir l’homme que je suce, la quarantaine, grand, musclé sans trop l’être, un visage viril et plaisant à la fois qui m’adresse un léger sourire de satisfaction. Ses mains continuent leur massage sur mon dos et commencent à descendre doucement vers mes reins que je creuse légèrement faisant alors ressortir mon fessier comme une invitation. L’une des mains suit cette invitation et glisse sur mes fesses qui ne demandent que ça. J’écarte alors un peu plus les cuisses pour donner plus d’accès à mon intimité. La main me caresse l’entrejambe en s’attardant un peu sur mes bourses sans pouvoir atteindre ma verge qui est bloquée sous mon ventre. Mais cette dernière ne semble pas l’intéresser puisqu’elle remonte et s’attarde entre mes fesses. Je me laisse faire, ma docilité est une invitation à aller plus loin et c’est un doigt fureteur cherche alors à me caresser l’anus. Je sens mon orifice répondre à ce contact par une légère contraction que j’accompagne d’un léger soupir.
Alors que ma bouche est toujours occupée à son délicieux ouvrage, mon partenaire récolte un peu de gel dans le distributeur et m’en enduit légèrement le petit trou. Son doigt peu alors sans difficulté s’introduire doucement en moi et tester l’élasticité de mon intérieur. La sensation est prés agréable, le doigt me lime doucement l’anus et est rapidement rejoint par un deuxième qui ne rencontre aucune difficulté pour s’associer au premier. Je suis soumis à ces doigts inquisiteurs qui me procurent un véritable plaisir et me fouillent pendant plusieurs minutes.
C’est à regret que je les sens quitter mon fondement puis le sexe de mon partenaire quitte ma bouche. Ce sentiment d’abandon est rapidement remplacé par l’attente d’une suite prometteuse lorsque je constate qu’après avoir ouvert l’étui d’un préservatif il le déroule sur sa verge turgescente.
Une fois bien équipé, il monte sur la banquette pour me couvrir de son corps et je sens alors son sexe s’approcher de mon anus. Le gland est à l’entrée et doucement il force, le gel mis pour faciliter l’action précédente de ses doigts reste efficace car son membre m’ouvre et m’investit facilement. Je pousse malgré tout un léger gémissement lors de l’investissement de mon intimité et les testicules de mon partenaire viennent rapidement frapper contre mes fesses preuve de ma totale possession.
Puis après quelques secondes d’immobilisme, le sexe commence à délicieusement coulisser entre mes fesses pour le plus grand plaisir de son propriétaire et le mien. Je ne peux que m’abandonner totalement, relevant légèrement mes fesses pour sentir ce sexe m’investir le plus profondément possible en l’accompagnant de gémissements de plaisir à chaque fois qu’il me pénètre encore et encore.
Le moment est sublime, le sexe coulisse en moi en me procurant à chacun de ses mouvements une stimulation de mes terminaisons nerveuses anales qui me transportent de plaisir. Je m’abandonne au bonheur de me sentir sous la domination de ce sexe qui sait me donner de telles sensations. Mes petits gémissements, mes soupirs indiquent à mon partenaire la montée de mon plaisir. Je suis soumis à ce sexe et rien n’existe plus autour de moi. Tout mon corps se réduit à une seule zone érogène.
Cet abandon, ne m’a pas fait percevoir la présence d’une tierce personne certainement attirée par mes soupirs révélateurs. Ce n’est que lorsque l’intéressé est proche de mon visage que je réalise sa présence. Mon partenaire n’avait visiblement pas fermé le porte derrière lui, volontairement peut-être, et la présence de ce troisième homme n’avait en rien perturbé la qualité du coït qui était le nôtre.
Dans la position qui est le mienne, j’ai du mal à bien pouvoir distinguer le nouveau venu, mais je peux aisément contempler ses jambes dont la peau halée m’indique qu’il est certainement métissée. Un peu plus haut entre ses jambes une verge au mieux de sa forme se dresse fièrement au-dessus de deux testicules qui semblent pleines de promesse. Le sexe est joli, assez fin mais de bonne longueur, le gland plus foncé bien apparent. Je ne peux qu’étendre mon bras pour prendre possession de ma main ce bel organe dont je constate la douceur de la peau. Je le caresse délicatement en faisant aller et venir la paume de ma main du gland jusqu’à la naissance de la verge dont la raideur prouve que le traitement donne satisfaction à son propriétaire. Celui-ci j’approche d’ailleurs un peu de la couche sur laquelle je suis allongé, mon partenaire est lui toujours bien planté dans mon orifice anal et il s’active tranquillement tout à notre plaisir mutuel. Le nouveau venu s’approche au mieux de mon visage me faisant comprendre ce qu’il attend maintenant de ma part. Je tourne alors la tête et l’approche du mieux que je le peux, pour prendre en bouche l’offrande qui m’est proposée. Le parfum de ce sexe est des plus agréables, on sent que son propriétaire à bien nettoyé l’engin précédemment, et je prends entre mes lèvres pour l’introduire au plus profond de ma gorge et lui pratiquer la meilleure fellation que je puisse faire dans cette position.
Mon enculeur conscient que la position est inconfortable pour satisfaire de ma bouche l’autre homme, me propose de nous mettre autrement. Il sort alors de mes fesses et me demande de lui laisser la place, il s’allonge alors sur le dos, le sexe fièrement dressé et me demande de venir le chevaucher. Je l’enjambe et viens placer mon orifice sur sa verge, puis je me laisse glisser sur sa queue qui me pénètre sans aucune difficulté mon anus n’ayant pas eu le temps de se resserrer. Je ne peux qu’émettre à nouveau un grand gémissement de plaisir quand le sexe glisse en moi et m’investit totalement jusqu’à ce que mes fesses butent contre son corps.
Alors plus à l’aise, ma bouche peut à nouveau s’occuper de l’autre partenaire qui remplit de sa verge le seul orifice qui me reste. Je m’applique du mieux que je peux à ma pipe tout en faisant bouger mes fesses sur le mandrin qui se trouve en moi et durant de longues minutes ce n’est qu’un concert mutuel de gémissements de plaisir.
La verge quitte un petit moment ma bouche et mon enculeur en profite pour me coucher sur lui afin de m’embrasser et nous mélangeons nos langues dans un long baiser pendant qu’il continue à s’activer en moi.
Abandonné à ce baiser, j’en oublie l’autre client qui de son côté me caresse le dos et les fesses et que je n’ai pas entendu ouvrir un petit sachet et dérouler le contenu sur son pénis. Il joue de ses doigts sur mon anus bien occupé par le sexe de l’autre et s’aventure à essayer d’y glisser son doigt, qui à ma grande surprise trouve son chemin assez facilement sans m’occasionner de douleur malgré ma crainte. La sensation est exquise, un petit doigt fureteur en plus d’une verge bien active.
Mais l’intéressé ne compte pas se satisfaire de si peu, et il monte à son tour sur la couche et se positionne derrière moi. Mon enculeur me tient bien penché contre lui en continuant à m’embrasser pour me rassurer sur la suite des événements. J’ai bien conscience de ce qui va bientôt se passer et j’ai une véritable crainte de trop souffrir de cette pénétration hors norme. Pourtant je ne résiste pas, ne m’y oppose pas, je suis passif et attends inquiet l’instant fatidique.
Et cet instant ne traîne pas, puisque je sens un doigt me couvrir le pourtour de l’anus d’un complément de gel lubrifiant, et dans la foulée je sens que le gland cherche sa place au-dessus de l’a verge qui est en moi. Il force le passage et malgré le gel je ressens une terrible douleur qui irradie mon fondement et qui m’oblige à crisper mes mains dans le matelas de la couche en grimaçant. Mon bourreau arrête sa progression en attendant que je me détende, puis après quelques instants il continue à investir mon orifice déjà bien rempli par l’autre organe. Tout en grimaçant et en soupirant, je glisse ma main derrière moi pour vérifier la progression de la verge dans mon fondement et je constate alors que les deux bites sont pleinement introduites en moi.
Je suis pris par deux queues, jamais j’aurai pu croire cela possible pour moi, et je m’habitue doucement à ce volume qui me distend la rondelle. Les bites s’activent maintenant dans mon fondement parfois synchronisées mais parfois en décalage et m’arrachent régulièrement de forts gémissements qui mêlent légère douleur mais surtout un plaisir inconnu et indescriptible.
Cependant si pendant la sodomie de mon premier partenaire, mon sexe avait fier allure et son va et vient me fit agréablement bander, cette deuxième introduction m’avait plutôt anéanti et mon sexe reposait mollement sur le ventre de mon premier partenaire.
La double pénétration dura un temps que je ne peux déterminer mais je sentis que mes partenaires étaient proches de jouir, aussi le second se retira de mon fourreau laissant le champ libre à l’autre verge. Il quitta promptement le préservatif, descendit de la couche et me présenta son sexe en bouche qui ne tarda à m’inonder d’une belle quantité de liquide crémeux. Ce fut alors au tour de mon enculeur de se contracter en spasmes puissants accompagnés de forts gémissements pour inonder la capote au fond de mes boyaux.
Ils se retirèrent l’un de ma bouche, l’autre de mon cul me laissant tel un pantin anéanti par tant de plaisir même si ma jouissance ne s’était pas traduit par une éjaculation.
Je les remerciai pour ce moment mémorable, ma première double pénétration, et je filai vers une douche que j’espérai réparatrice avant de me rhabiller et quitter l’établissement.
Cette fin d’après-midi au sauna m’a laissé un souvenir impérissable et durant les quelques jours qui ont suivis mon anus a su me rappeler parfois douloureusement le traitement que mes deux partenaires lui avait fait subir avec mon accord…
4 年 前