Derrière le lac
L’histoire que je vais vous raconter remonte à de nombreuses années, vers les années 80, alors que j’étais en poste à Bordeaux. J’avais alors à peine la trentaine, marié deux enfants, et malgré une vie sexuelle en couple que certains jugeraient plus que normale, il m’était assez coutumier de draguer les femmes de mon entourage pour y faire quelques conquêtes et je me sentais aussi attirer par des expériences masculines mais sans pour autant y prêter plus d’attention. La lecture des courriers de revues comme « Union » et « lettres magazine » me permettait de fantasmer sur bien des situations érotiques de tous bords et suffisait à me calmer si besoin.
Mon travail m’obligeait bien souvent à terminer tard voire très tard dans la nuit et avant de rentrer à mon domicile je faisais régulièrement le tour des quartiers de bordeaux en voiture pour y rencontrer l’aventure, étudiantes prostituées entre autres. Mes recherches routières autour de Bordeaux m’avaient amené à trainer derrière le lac, vers le parking du parc des expositions actuel où un va et vient permanent de véhicules la nuit jouant des appels de phares m’avait plutôt intrigué et surtout intéressé.
Un soir parmi d’autres je décidais donc de m’y attarder pour voir un peu quelle clientèle était dans ce coin. Après m’être garé parmi d’autres véhicules, je me promenais dans une semi-pénombre sur le bord de route plantée de haies assez épaisses où des ombres disparaissaient régulièrement. Il n’y avait pratiquement que des hommes et j’ai rapidement compris que le lieu était fréquenté par les mecs en recherches de partenaires du même sexe. Les quelques rares allures féminines semblaient être des travestis. Je suis parti de l’endroit plutôt gêné, un peu angoissé par l’idée de me trouver au milieu d’un monde que la morale me criait d’oublier mais que ma libido me demandait de ne pas complètement rayer de mes désirs.
Au fil des jours, l’envie de retourner là-bas devenait pesante, obsessionnelle. Même lors de rapports avec ma femme, je ne pouvais ôter de mon esprit ce besoin de retourner vers l’inconnu. Mais comment éviter de se faire remarquer, de se faire reconnaitre éventuellement, les gendarmes patrouillent-ils la bas, je pourrais tomber sur des mecs dangereux, une foule de questions me rendait mal-à-l’aise et me retenait encore.
Vous savez ce que c’est quand une idée vous obsède, c’est omniprésent et pour ma part je ne peux pas y résister. Je me sentais donc obligé d’aller y faire à nouveau un tour un soir.
A un peu moins de trente ans, je faisais à l’époque à peine plus de 60kg pour 1m75, donc longiligne, menu, j’avais les cheveux mi- longs, un petit côté androgyne peut-être. Ceci explique certainement cela. Toujours est-il qui m’était arrivé parfois, en l’absence de ma femme d’essayer ses dessous et ses vêtements pour m’amuser et cela m’avait énormément excité.
L’idée avait fait son chemin dans ma tête que si je me rendais là-bas habillé en femme, nul ne pourrait me reconnaître si d’aventure quelqu’un de mon entourage professionnel ou voisinage se trouvait là. Toute la difficulté résidait alors à emmener discrètement des habits de ma femme et à les vêtir après mon boulot.
Le hasard faisant parfois bien les choses, les vacances de printemps étant là, mon épouse décida se partir avec les enfants quelques jours chez ses parents en Charente-Maritime, je les rejoindrai le vendredi soir pour y passer le week-end. Je n’avais donc aucun obstacle pour mener mon idée à son terme.
Un fois seul, et une fois sûr de l’être, je procédais le lendemain de son départ à l’inventaire de ses tenues de manière à trouver celle qui me conviendrait le mieux. Compte-tenu de ma corpulence je n’avais que le choix. Tout devrait m’aller ou presque. En effet, je suis plus grand en taille et ma poitrine est inexistante, je ne dispose même pas de beaux pectoraux pour remplir un soutif.
Il me fallait une tenue facile à mettre car je serais obligé de me changer dans ma voiture. Impossible de le faire à sur mon lieu de travail. Après quelques essayages, qui n’ont fait que m’exister davantage, mon choix s’est donc porté sur un polo et une jupe, associés à des collants. Mes chaussures unisexes feraient parfaitement l’affaire et je me voyais mal marcher avec des chaussures avec talons, trop petites de ses quelques pointures manquantes.
Le début de la semaine et mes horaires particuliers ne me permirent pas de profiter de ma liberté et je restais sagement à la maison toujours tenaillé par l’attrait de l’interdit mais prêt à y renoncer quand la morale prenait le dessus. Ma main ces quelques jours fit ce qu’il faut pour calmer mes ardeurs avec toute la frustration qui l’accompagne après avoir joui.
Le planning de la semaine me permettait un mercredi et un jeudi soirs propices à mes escapades. Le mercredi donc je pensais à bien préparer dans un petit sac l’ensemble des vêtements qui me permettraient la discrétion souhaitée.
Je vous laisse imaginer l’excitation de cette journée, l’idée obsédante de ce que j’avais prévu pour ma fin de travail occupait mes pensées dès que mes activités me le permettaient.
Puis la journée se passe, la soirée aussi, je me retrouve libre aux alentours de 23h00.
Je prends ma voiture, mon sac était resté dans le coffre je le mets sur le siège passager, et je quitte mon travail en direction de bordeaux lac. Un parking sur le chemin est le lieu que je choisis pour ma transformation. Après quelques contorsions, et tout en essayant d’être le plus discret possible compte tenu des quelques voitures qui passent, je quitte mes effets pour revêtir les vêtements de ma femme. Je me sens tout bizarre, avec ces collants qui montent sur mes jambes, et cette petite jupe ridicule rempart pour mes fesses, ma verge a du mal à rester en place dans le petit slip de madame que j’ai voulu mettre.
Je suis prêt, méconnaissable, du moins je l’espère.
Direction bordeaux Lac, le trajet me fait monter l’excitation.
Me voilà sur les lieux, comme à l’accoutumé des véhicules tournent, s’arrêtent, repartent, des appels de phares, un va et vient soutenu qui laisse imaginer l’appétit sexuel qui règne ici.
Je me gare un peu en retrait, en évitant la lumière des réverbères, et profite d’une accalmie de trafic pour sortir de ma voiture et je suis le chemin parallèle à la route qui me permets de rejoindre le lieu où l’activité me semble plus active.
Le lieu, même s’il est un peu proche de la route baignée de la lumière de réverbères, est bordé d’une large futaie d’épais buissons qui en font un repère discret et obscur qui longe la route en retrait de celle-ci.
Je m’en approche, en essayant d’être le plus discret possible, et je me glisse dans la première ouverture qui m’est offerte. Des ombres me semblent proches, il faut que je m’habitue à cette relative obscurité.
Des présences, des corps me frôlent, je continue ma progression. Je m’arrête, ma progression est arrêtée par un corps d’homme qui occupe le chemin inverse.
Il me toise, et sa carrure plus grande que la mienne me met plus que mal à l’aise. J’ai du mal à bien le voir, mais c’est un grand gaillard.
Sans un mot ses mains se posent sur moi et partent à la découverte du corps qu’il vient de rencontrer. Il en fait le parcours rapidement, et il comprend rapidement que le costume qui est le mien ne correspond pas à mon sexe. Loin de le rebuter, je sens ses mains me caresser les fesses et le sexe sous ma jupe. Je l’entends même siffler un peu, puis me glisser à l’oreille « petit coquin, tu sais que tu me plais beaucoup ». Il me plaque contre lui, et je sens alors contre moi quelque chose qui prouve effectivement que je lui plais. Sa verge est contre moi, grosse, ferme et dure, d’un calibre qui me semble déjà hors de la moyenne. Ma main va alors à la rencontre de celle-ci, elle est déjà sortie de son pantalon et se dresse fièrement, le contact est doux et chaud, ma main l’entoure à peine telle son calibre est impressionnant.
Il a l’air d’apprécier puisque un léger gémissement montre son approbation et ses mains continuent de parcourir mon corps et ses doigts de se glisser sous mes vêtements.
Mes doigts jouent avec sa verge et cherchent ses bourses, sa bite turgescente se dresse fièrement vers moi, nous n’échangeons aucuns mots. Seuls quelques soupirs trahissent nos activités particulières dans le silence de la nuit.
Mes mains s’occupent de sa verge, les siennes jouent avec la mienne et pour faciliter le contact je les sens descendre délicatement mon collant. Les doigts accrochent la petite culotte au passage et descendent l’ensemble qui laisse désormais libre accès à ma verge et mes fesses qu’il caresse brièvement au passage.
Une pression plus pressante sur mes épaules ne me laisse pas de doute sur ses attentes. C’est ma première fois, je suis partagé entre la fuite et l’obéissance. Je crains de fuir, comment pourrait-il réagir, il a dû ressentir mon hésitation, car la pression sur mes épaules devient insistante et ne me laisse que peu d’alternatives.
Je plie sous la pression de ses grosses mains et me trouve à genoux face à son sexe bandé. Il montre son approbation et susurre « voilà ma chérie, avales ça et montre comment tu sais t’y prendre ».
Sa verge est devant ma bouche, je sens sa présence plus que je ne la vois. J’ouvre légèrement la bouche et je le sens avancer son membre pour me pénétrer. Le gland de bonne taille entre doucement entre mes lèvres et m’ouvre la bouche, il sent bon, le mec est propre, c’est une chance pour ma première fellation.
A genoux devant mon premier sexe, le gland de bonne taille force doucement mes lèvres et docilement j’entrouvre celles-ci. Je le suce délicatement avant de le laisser progresser dans ma bouche. Je suis dans un état d’excitation difficilement imaginable, j’en tremble presque, je suis en train de pratiquer ma première fellation et je ne ressens pas de culpabilité, ni de honte, le moment est magique.
Le gland gorgé de sang est complétement dans ma bouche et le membre continu doucement à y pénétrer, sa taille est telle que je ne peux l’engloutir complètement sans avoir un haut le cœur. Je recule donc ma tête de manière à pouvoir entamer un mouvement de vat et vient. Mes lèvres entourent du mieux qu’elles peuvent ce bâton de chair que ma salive lubrifie abondamment, ma langue profite de chaque retrait pour jouer avec le gland et titiller le méat dont un peu de liquide suinte et me laisse un petit goût nouveau dans la bouche.
Le grand gaillard devant qui je suis agenouillé, émets des petits gémissements de satisfaction ce qui m’encourage à satisfaire au mieux son plaisir. Malgré mon manque total d’expérience, j’essaie de restituer au mieux ce que ma femme et les prostituées que j’ai pu rencontrer ont pu me pratiquer avec leurs lèvres, bouches et langues. Je l’entends me dire discrètement « tu suces à merveille ma chérie ». Les mots « ma chérie » me surprennent un bref instant avant que me revienne en tête que ma tenue autorise ce féminin. J’en ressens presque un peu de fierté, satisfait de savoir que je ne me débrouille pas si mal que ça pour une première fois. Je m’applique donc du mieux que je peux pour donner à cet homme le maximum de plaisir. Je m’enhardis même jusqu’à entourer de ma main la peau douce de la partie de verge que je ne peux engloutir complètement.
Ce nouveau contact semble ravir son propriétaire qui soupire de plus belle et prends ma tête dans ses mains de manière à accompagner mes mouvements de sucions. J’adore cette sensation de domination, de soumission à la virilité que l’homme dégage.
Ma main qui coulisse en rythme avec ma bouche sur ce membre me permet d’en apprécier la raideur et la fermeté, c’est un véritable morceau de bois à l’écorce douce et fragile.
Mais à force de me trouver agenouillé à pratiquer ma première pipe je ressens une douleur aux genoux et je me relève tout en restant penché de manière à continuer le travail de ma bouche. Cette nouvelle position moins inconfortable me rend plus disponible pour les mains baladeuses de mon homme. Car dès ma nouvelle position adoptée, l’une de ses mains prend mon sexe excité qui se dresse fièrement et l’autre me caresse doucement les fesses. Je me laisse aller sous ces caresses plus qu’agréables.
La main qui me caresse les fesses devient plus aventureuse, puisque je sens un doigt s’aventurer vers mon anus. Le contact m’électrise et malgré moi je gémis légèrement.
Je ne sais comment réagir ;
- écarter cette main pour faire comprendre que ce côté n’est pas à prendre au risque de tout gâcher. Certes mon anus a déjà eu quelques visites, stylos, bougies, doigts de madame, mais il est vierge de toute pénétration d’un sexe masculin et je ne sais pas si je suis prêt à franchir un tel pas.
- Le laisser faire, c’est accepter la suite des événements et surtout lui donner un accord de principe sur une pratique sexuelle inconnue pour moi et qui me fait peur quand je pense à la taille du membre que j’ai en bouche.
Pris par mon ouvrage buccal et malgré mes réticences, la main continue de s’aventurer entre mes fesses et me titille doucement l’anus. Je suis secoué de légers frissons et m’abandonne docilement à cette main et ses doigts.
Un doigt plus espiègle appuie sur mon petit trou pour y trouver son chemin et je me laisse faire docilement. J’entends mon homme dire à basse voix « humm, ta petite chatte est bien serrée ma chérie» et moi de répondre bêtement « oui, je suis encore vierge de ce côté… ».
Je ne suis pas certain de vouloir aller plus loin, j’ai du mal à mettre de l’ordre dans mes pensées, ma bouche continue à s’activer sur la bite qui m’occupe les lèvres tandis que des mains baladeuses s’active sur mon sexe et ma petite rondelle.
Crispé, serré, mon petit trou reçoit une dose de salive pour le rendre plus docile, et le doigt de mon homme rendre alors plus facilement accompagné d’un soupir de ma part qui ne peut être pris que comme un encouragement.
Les idées se bousculent dans ma tête, rester, partir, finir ma fellation et fuir, me laisser sodomiser, je vais avoir mal, je ne suis pas pd….
Tout se bouscule dans ma tête, mais je sais que je ne vais pas partir, le moment est trop fort, je prends plaisir à donner du plaisir à ce sexe et à profiter de ces mains qui me caressent, de ce doigt inquisiteur qui fouille délicatement mon fondement.
Ma bouche s’active du mieux qu’elle peut enveloppant le sexe dans un écrin chaud et humide, jouant de ma langue autour du gland ce qui fait émettre à chaque fois un nouveau soupir de plaisir au grand gaillard que je pompe.
Un craquement soudain derrière moi me surprend et inquiet j’arrête net ma fellation, je me redresse la jupe couvre à nouveau mes fesses. Mon mec me dit alors « pas d’inquiétude c’est un copain » puis « reprends ton job, tu te débrouilles à merveille » et il me reprend la tête pour la diriger vers son membre qui n’a rien perdu de sa superbe.
Puis c’est alors que je sens que l’on relève ma jupe et que deux mains s’attardent sur mes fesses et me caressent doucement. Le copain de dire « dis donc, c’est une joli petite biche que tu t’es trouvée mon salaud » et de rajouter « j’espère que tu veux bien la partager un peu ». Je sens que les deux types sont un peu complices et ne doivent pas être à leur première expérience à plusieurs.
Pendant que le mandrin du premier continue d’aller et venir dans ma bouche, les mains du second partent à l’aventure de mon corps mais surtout du bas. Mon sexe est palpé, puis une main le prend dans son fourreau pour le branler doucement. L’autre main s’attarde sur mes testicules qui sont soupesées et caressées ce qui déclenchent en moi de légers frissons qui me parcourent tout le corps.
Mon service trois pièces fait donc l’objet de la première convoitise du nouveau venu qui poursuit ensuite par la découverte de mes rondeurs. Les mains glissent vers mes fesses, les caresses semblent apprécier la douceur de la peau de mon postérieur qui est lisse de toute pilosité. Je l’entends susurrer « humm, une vrai peau de jeune fille ». Ce contact m’électrise et je m’abandonne docilement à ces mains caressantes.
Je sens mes fesses être écartées par les mains et une sensation soudaine, inattendue me tétanise un instant. Quelque chose de tiède et humide est en train de s’amuser avec mon anus, c’est bien une langue qui joue avec ma rondelle et je ne peux retenir un petit soupir d’approbation tant ce contact est agréable.
Cette caresse complètement nouvelle pour moi m’électrise, j’adore la sensation que me donne cette langue douce mais ferme qui joue avec les plis de ma corolle anale.
Elle s’applique à bien me la lécher, en essayant parfois d’y introduire le bout malicieux comme un petit sexe fureteur. Je ne peux que gémir de bien-être sous cette caresse jusqu’alors inconnue pour moi.
Son possesseur ne s’en tient pas uniquement à me donner du plaisir avec celle-ci, car sa main s’active délicatement sur ma verge jouant de ses doigts pour me titiller le bout du gland à chacun de ses va et vient. Ma verge sous cette savante caresse est à son plus beau développement et je sens le plaisir grandir à chaque instant sous les actions conjointes prodiguées par cette langue et cette main.
Malgré l’état d’abandon dans lequel je me trouve, je n’en oublie pas moins de m’activer sur le sexe qui m’occupe la bouche et qui coulisse régulièrement dans celle-ci avec des petits bruits de sucions caractéristiques. Son propriétaire soupire de plus en plus en me disant doucement « ta bouche est merveilleuse » et « continue comme ça, je sens mon plaisir venir ». Je me sens plutôt flatter par ce compliment qui me prouve que pour ma première pipe, je me débrouille plutôt bien.
Mais ce n’est pas le seul plaisir qui est en train de monter à son point de non-retour, car je sens au plus profond de moi monter les prémices de ma future jouissance catalysée par les douces caresses que m’inflige l’homme toujours occupé à me lécher l’anus et dont la main s’active sur ma verge congestionnée. Lui aussi semble sentir la montée de mon plaisir du fait de la tension grandissante de ce qui occupe sa main.
Et soudain mon corps se tétanise, je sens la semence monter, mon anus se contracte, on me dit « va-y chérie laisse toi aller », et ma verge lâche son jus en plusieurs jets puissants qu’une main accompagne dans l’éjaculation. J’ai l’impression de me vider et de perdre pied.
Mais je suis rapidement rappelé à la réalité car l’homme qui occupe ma bouche, stimulé par ma jouissance, se libère à son tour dans ma bouche en me tenant fermement la tête pour bien me faire profiter de son plaisir. Des jets puissants m’inondent le palais, je ne sais combien de contractions éjaculent leur semence dans ma bouche mais le nombre me semble considérable. Les mains me maintiennent en position et je finis par être obligé de déglutir une partie de la semence qui vient de féconder ma bouche. Le goût du foutre, nouveau pour moi, n’est pas désagréable et je ne regrette aucunement de l’avoir avaler. Pour une première fellation de ma part, j’ai eu droit à la totale.
La verge après s’être vidée perd de sa superbe et abandonne doucement ma bouche, son propriétaire me redresse et embrasse tendrement les lèvres qui viennent de lui donner tant de plaisir. L’homme derrière moi a déjà disparu, en quête vraisemblablement d’un nouveau partenaire. Je me rajuste, remets en place string et collant.
Mon partenaire me dit alors à quel point il a apprécié ce délicieux moment dans ma bouche et souhaite faire plus ample connaissance avec mon corps si l’occasion de se revoir est envisageable. Il m’indique alors qu’il sera à nouveau là, la soirée prochaine vers 23h. Après m’avoir donné le détail de son véhicule car il souhaite me retrouver sur le parking pour être sûr de ne pas me rater, nous nous séparons sans avoir oublié d’échanger un rapide baisé. Je lui adresse un timide « bonsoir » et il me répond « à bientôt j’espère, ma chérie ». Je quitte l’abri discret des buissons pour rejoindre ma voiture au plus vite.
Sur le chemin du retour, le parking qui avait vu ma transformation me permet de retrouver mon aspect masculin, et je rentre à mon domicile des souvenirs récents plein la tête. Ma première fellation, complète en plus, les mains et la langue qui ont parcouru mon anus, ma verge reprend forme rien qu’à évoquer ces souvenirs.
Mais ce qui occupait de plus en plus mon esprit, était de savoir si je souhaitai donner suite à cette aventure et me rendre donc le soir venu au rendez-vous que m’avez donné l’homme.
De retour à mon domicile, je tombais comme une masse sur mon lit et tombais dans les bras de Morphée en souhaitant que la nuit me porte conseil.
Je vous passe la journée de travail qui a suivie avec son lot d’interrogations sur le choix que je dois faire quand l’heure de prendre une décision sonnera. Je suis partagé entre arrêter là cette aventure qui me laissera des souvenirs mémorables ou la poursuivre en sachant qu’il faudra aller encore plus loin dans mes relations avec un homme. Je ne vous cache pas que j’ai passé la journée la boule au ventre face à ce dilemme bien qu’intimement je sentais que mon choix était déjà fait. Je savais que je ne pourrai en rester là et qu’il fallait que je poursuive l’aventure pour la vivre dans sa totalité.
Fin du travail 22h, je m’empresse de prendre une douche puis de rassembler mes effets féminins pour me travestir à nouveau sur le chemin qui me mènera au parking du lac de Bordeaux. Bien décidé, je me rends vers le lieu de ma future rencontre, je m’arrête au même endroit que la veille pour procéder à ma transformation, polo, collants et jupe courte, léger maquillage devant le rétroviseur et me voilà à nouveau transformée.
J’arrive sur le lieu de rendez-vous, il est environ 22h55, je suis un peu en avance, peut-être ne sera-t-il pas encore arrivé. Non, sa voiture est là, les vitres sont ouvertes et il fume tranquillement en attendant. Je peux encore partir et arrêter tout mais je me gare à côté de sa voiture. Il me voit, descend de sa voiture et s’approche de ma fenêtre que je baisse. Après un rapide bonsoir, il me dit sa satisfaction de me voir là et me propose de le suivre pour un lieu plus tranquille.
Je le regarde pour mieux le redécouvrir car notre première rencontre dans l’obscurité des taillis de m’a permis que de deviner sa carrure et de connaître son anatomie privée. Il est de grande taille je dirais dans les 1m85, carré, un visage tout ce qu’il y a de normal mais avec un regard perçant qui lui donne un charme particulier et une certaine assurance. Il est habillé très classiquement d’une tenue décontractée mais correcte.
Je finis par répondre à sa proposition par un petit « oui, je vous suis ». Nous nous mettons en route et prenons la direction du centre de la ville. Après quelques minutes son véhicule s’arrête sur le parking d’une résidence d’un quartier calme. Nous descendons et je le suis pour rejoindre un appartement au premier étage. Si des résidents nous ont vus arriver, ils ont pu constater que leur voisin avait une rencontre féminine avec lui.
L’appartement était soigné, bien rangé, propre, ce qui avait pour avantage de diminuer une peu les craintes que j’aurai pu avoir à me trouver pour la première fois chez un homme que j’avais rencontré dans des conditions assez particulières.
Il m’invita à m’assoir dans un grand canapé au salon et me proposa un verre. J’avais besoin d’un petit remontant car je me sentais plutôt tendu. Un whisky devrait faire mon affaire et en dégustant nos verres nous avons échangé des banalités et la tension qui était la mienne commençait à fondre doucement.
Assis à mes côtés sur le canapé, sa main vint se poser délicatement sur ma jambe et son regard transperça le mien. Il me demanda si je me travestissais souvent et je lui racontais les raisons de ce déguisement qui bien que m’apportant quelque excitation m’était plutôt inhabituel.
Il m’engagea alors à me dévêtir devant lui pour retrouver ma vrai nature, et c’est un peu gêné mais plutôt consentant que je commençais à m’effeuiller. Telle une stripteaseuse j’ôtais un à un mes vêtements féminins. Ne voulant être en reste, il se mit à son tour à quitter ses vêtements et nous nous retrouvâmes très rapidement tous deux en sous-vêtements, boxer pour lui, string pour moi. Je pouvais à loisir admirer son corps musclé naturellement qu’une légère pilosité ombrait par endroit. La bosse qui déformait son boxer prouvait dans quel état d’excitation mon déshabillage avait pu le mettre.
D’une main assurée, me souriant, il me prit le bras pour m’entrainer vers une autre pièce qui s’avéra être sa chambre où un grand lit deux places nous attendait. Une fois dans la chambre, Il s’approcha de moi et se colla contre mon dos en m’enserrant de ses bras. Ses mains commencèrent à me caresser le torse en s’attardant sur mes tétons ce qui me fit frémir. Ses caresses devinrent plus précises en descendant sur mes anches car deux de ses doigts accrochèrent délicatement mon string qu’il me descendit et qui tomba à mes pieds. L’objet de sa convoitise était maintenant à nu, et il me caressa plus fermement les fesses dont la fermeté avait l’air de lui plaire. Il se recula un peu pour m’admirer de dos et me félicita pour la délicatesse de mon postérieur.
Je sentais son regard de braise sur le bas de mon dos et mes fesses qui étaient parfois secoués d’imperceptibles frissons dus à cette troublante situation. Je le sentis à nouveau se coller à mon dos, et je compris très rapidement qu’il avait quitté son boxer car sa verge pointait contre le haut de mes fesses. Je la sentais fièrement dressée et plaquée entre son ventre et mes reins. Je laissais faire conscient d’une suite qui me paraissait inéluctable et à laquelle je ne semblais pas m’opposer.
Tout en continuant à tendrement me caresser le devant du corps en s’attardant parfois sur ma verge et mes testicules, je sentis son corps se faire plus présent en me bloquant contre le lit. Ses mains rejoignirent mes épaules et d’une pression significative m’obligèrent à poser ma poitrine sur le lit, le fessier ben au bord. Mon manque de résistance était significatif de mon abandon. La raison et la prudence m’avaient abandonné au profit de l’inconnu.
J’étai là, à moitié allongé sur le lit d’un homme rencontré la veille, les fesses offertes à sa vue et vouées à son futur plaisir. Je n’avais pas de craintes pour la suite, seule peut-être une légère inquiétude compte-tenu de la taille de ce que j’avais pu avoir longuement en bouche la veille.
Mon attente dans cette position fut assez brève car je le sentis se reculer légèrement et se mettre à genoux pour poser ses lèvres sur mes fesses. En s’aidant de ses mains, il en écarta les lobes et commença à me prodiguer la caresse que j’avais découvert le soir précèdent grâce son ami.
Fermement sa langue joua avec la sensibilité de mon orifice m’arrachant quelques petits gémissements de plaisir, elle en humidifiait abondamment le centre tout en cherchant à le détendre et à l’assouplir.
C’est après quelques minutes de cette délicieuse caresse qu’il se redressa derrière moi et que je sentis alors quelque chose de plus volumineux s’appuyer contre ma rondelle. Il présentait son gros gland contre mon petit trou et sous sa ferme pression je sentais que mon anneau commençait à s’ouvrir doucement. Mais c’est alors que la douleur de la pénétration commença à se faire sentir, mon anus n’avait pas connu de calibre de cette taille lors de mes amusements et le gland avait du mal à franchir l’entrée sans me faire souffrir et ce malgré les mots apaisants de son propriétaire. J’étais puceau et pour ma première, le calibre choisit n’était pas commun.
Conscient de la douleur que cette première pénétration pouvait m’infliger, et de peur de ne pouvoir profiter pleinement d’un pucelage, il se retira et alla chercher un flacon dans le tiroir de la commode à la tête de lit. A plusieurs reprises et avec délicatesse il fit pénétrer dans mon orifice le liquide lubrifiant en l’appliquant avec l’un de ses doigts, sa verge fut à son tour enduite, et il représenta le gland contre mon orifice.
Le derrière bien relevé, les fesses ouvertes, je sentis le gland appuyer fermement sur mon petit trou dont la résistance était en train d’abdiquer. La pression permanente de la verge eut raison de mes sphincters et c’est accompagné d’un profond grognement et de grimaces de ma part qu’elle fit lentement, mais surement, son chemin dans mes entrailles. Il arrêta sa progression quand ses testicules furent contre mes fesses me laissant alors le temps de reprendre mon souffle et d’attendre un peu que la douleur s’atténue. J’avais l’impression d’avoir dans le ventre une barre de fer brûlante qui occupait mon boyau. La sensation n’était pas des plus agréables pour le moment, je ne savais pas si je voulais qu’il continue ou qu’il se retire tant la sensation était limite douloureuse.
Il me parla doucement pour s’enquérir de la situation, me rassurant sur une douleur qui devrait rapidement s’atténuer pour faire bientôt place à des sensations qui devraient me faire gémir de plaisir.
Quand il jugea que mon corps s’était suffisamment détendu suite à l’incursion de son pénis dans mon fragile conduit, il entama un léger va et vient. La douleur fit place à une sensation de brulure très supportable. Les mouvements de la verge s’accentuèrent et la sensation devint de plus en plus acceptable voire même agréable, puisqu’un léger gémissement de ma part accompagnait chaque mouvement de la bite dans mon cul.
Conscient de la montée de mon plaisir, il accentua son va et vient me faisant profiter pleinement de toute la longueur de son sexe, en me couvrant le dos de baisers. Il me demandait si cela me plaisait, me disait qu’il avait pris la virginité de sa petite femelle. Ses mots m’excitaient et m’aidaient à m’abandonner complètement à cette bite qui vivait en moi.
J’étais heureux, le fondement occupé par ce sexe qui me faisait connaître des sensations inconnues mais extraordinaires. Je sentais le plaisir monter en moi sans même me toucher, je ne pouvais me maîtriser, accompagnée d’une succession de contractions de mon anus, ma verge se libéra en jets puissants sur le couvre lit, comment cela pouvait être possible une telle jouissance.
Mon partenaire, la verge bien enserrée dans mon conduit, commençait lui aussi à montrer des signes annonciateurs d’une prochaine jouissance. Dans un mouvement plus ample que les autres, je le sentis se bloquer bien au fond de moi et ses convulsions successives le firent se libérer de sa semence au plus profond de mon derrière.
Après ce bel orgasme, sa verge perdit rapidement de sa splendeur et abandonna son fourreau d’où un liquide blanchâtre commençait à ressortir.
Ce dépucelage fut pour moi une aventure dont je garde à tout jamais un souvenir privilégié et que je considère comme le plus beau de ma vie sexuelle.
Mon travail m’obligeait bien souvent à terminer tard voire très tard dans la nuit et avant de rentrer à mon domicile je faisais régulièrement le tour des quartiers de bordeaux en voiture pour y rencontrer l’aventure, étudiantes prostituées entre autres. Mes recherches routières autour de Bordeaux m’avaient amené à trainer derrière le lac, vers le parking du parc des expositions actuel où un va et vient permanent de véhicules la nuit jouant des appels de phares m’avait plutôt intrigué et surtout intéressé.
Un soir parmi d’autres je décidais donc de m’y attarder pour voir un peu quelle clientèle était dans ce coin. Après m’être garé parmi d’autres véhicules, je me promenais dans une semi-pénombre sur le bord de route plantée de haies assez épaisses où des ombres disparaissaient régulièrement. Il n’y avait pratiquement que des hommes et j’ai rapidement compris que le lieu était fréquenté par les mecs en recherches de partenaires du même sexe. Les quelques rares allures féminines semblaient être des travestis. Je suis parti de l’endroit plutôt gêné, un peu angoissé par l’idée de me trouver au milieu d’un monde que la morale me criait d’oublier mais que ma libido me demandait de ne pas complètement rayer de mes désirs.
Au fil des jours, l’envie de retourner là-bas devenait pesante, obsessionnelle. Même lors de rapports avec ma femme, je ne pouvais ôter de mon esprit ce besoin de retourner vers l’inconnu. Mais comment éviter de se faire remarquer, de se faire reconnaitre éventuellement, les gendarmes patrouillent-ils la bas, je pourrais tomber sur des mecs dangereux, une foule de questions me rendait mal-à-l’aise et me retenait encore.
Vous savez ce que c’est quand une idée vous obsède, c’est omniprésent et pour ma part je ne peux pas y résister. Je me sentais donc obligé d’aller y faire à nouveau un tour un soir.
A un peu moins de trente ans, je faisais à l’époque à peine plus de 60kg pour 1m75, donc longiligne, menu, j’avais les cheveux mi- longs, un petit côté androgyne peut-être. Ceci explique certainement cela. Toujours est-il qui m’était arrivé parfois, en l’absence de ma femme d’essayer ses dessous et ses vêtements pour m’amuser et cela m’avait énormément excité.
L’idée avait fait son chemin dans ma tête que si je me rendais là-bas habillé en femme, nul ne pourrait me reconnaître si d’aventure quelqu’un de mon entourage professionnel ou voisinage se trouvait là. Toute la difficulté résidait alors à emmener discrètement des habits de ma femme et à les vêtir après mon boulot.
Le hasard faisant parfois bien les choses, les vacances de printemps étant là, mon épouse décida se partir avec les enfants quelques jours chez ses parents en Charente-Maritime, je les rejoindrai le vendredi soir pour y passer le week-end. Je n’avais donc aucun obstacle pour mener mon idée à son terme.
Un fois seul, et une fois sûr de l’être, je procédais le lendemain de son départ à l’inventaire de ses tenues de manière à trouver celle qui me conviendrait le mieux. Compte-tenu de ma corpulence je n’avais que le choix. Tout devrait m’aller ou presque. En effet, je suis plus grand en taille et ma poitrine est inexistante, je ne dispose même pas de beaux pectoraux pour remplir un soutif.
Il me fallait une tenue facile à mettre car je serais obligé de me changer dans ma voiture. Impossible de le faire à sur mon lieu de travail. Après quelques essayages, qui n’ont fait que m’exister davantage, mon choix s’est donc porté sur un polo et une jupe, associés à des collants. Mes chaussures unisexes feraient parfaitement l’affaire et je me voyais mal marcher avec des chaussures avec talons, trop petites de ses quelques pointures manquantes.
Le début de la semaine et mes horaires particuliers ne me permirent pas de profiter de ma liberté et je restais sagement à la maison toujours tenaillé par l’attrait de l’interdit mais prêt à y renoncer quand la morale prenait le dessus. Ma main ces quelques jours fit ce qu’il faut pour calmer mes ardeurs avec toute la frustration qui l’accompagne après avoir joui.
Le planning de la semaine me permettait un mercredi et un jeudi soirs propices à mes escapades. Le mercredi donc je pensais à bien préparer dans un petit sac l’ensemble des vêtements qui me permettraient la discrétion souhaitée.
Je vous laisse imaginer l’excitation de cette journée, l’idée obsédante de ce que j’avais prévu pour ma fin de travail occupait mes pensées dès que mes activités me le permettaient.
Puis la journée se passe, la soirée aussi, je me retrouve libre aux alentours de 23h00.
Je prends ma voiture, mon sac était resté dans le coffre je le mets sur le siège passager, et je quitte mon travail en direction de bordeaux lac. Un parking sur le chemin est le lieu que je choisis pour ma transformation. Après quelques contorsions, et tout en essayant d’être le plus discret possible compte tenu des quelques voitures qui passent, je quitte mes effets pour revêtir les vêtements de ma femme. Je me sens tout bizarre, avec ces collants qui montent sur mes jambes, et cette petite jupe ridicule rempart pour mes fesses, ma verge a du mal à rester en place dans le petit slip de madame que j’ai voulu mettre.
Je suis prêt, méconnaissable, du moins je l’espère.
Direction bordeaux Lac, le trajet me fait monter l’excitation.
Me voilà sur les lieux, comme à l’accoutumé des véhicules tournent, s’arrêtent, repartent, des appels de phares, un va et vient soutenu qui laisse imaginer l’appétit sexuel qui règne ici.
Je me gare un peu en retrait, en évitant la lumière des réverbères, et profite d’une accalmie de trafic pour sortir de ma voiture et je suis le chemin parallèle à la route qui me permets de rejoindre le lieu où l’activité me semble plus active.
Le lieu, même s’il est un peu proche de la route baignée de la lumière de réverbères, est bordé d’une large futaie d’épais buissons qui en font un repère discret et obscur qui longe la route en retrait de celle-ci.
Je m’en approche, en essayant d’être le plus discret possible, et je me glisse dans la première ouverture qui m’est offerte. Des ombres me semblent proches, il faut que je m’habitue à cette relative obscurité.
Des présences, des corps me frôlent, je continue ma progression. Je m’arrête, ma progression est arrêtée par un corps d’homme qui occupe le chemin inverse.
Il me toise, et sa carrure plus grande que la mienne me met plus que mal à l’aise. J’ai du mal à bien le voir, mais c’est un grand gaillard.
Sans un mot ses mains se posent sur moi et partent à la découverte du corps qu’il vient de rencontrer. Il en fait le parcours rapidement, et il comprend rapidement que le costume qui est le mien ne correspond pas à mon sexe. Loin de le rebuter, je sens ses mains me caresser les fesses et le sexe sous ma jupe. Je l’entends même siffler un peu, puis me glisser à l’oreille « petit coquin, tu sais que tu me plais beaucoup ». Il me plaque contre lui, et je sens alors contre moi quelque chose qui prouve effectivement que je lui plais. Sa verge est contre moi, grosse, ferme et dure, d’un calibre qui me semble déjà hors de la moyenne. Ma main va alors à la rencontre de celle-ci, elle est déjà sortie de son pantalon et se dresse fièrement, le contact est doux et chaud, ma main l’entoure à peine telle son calibre est impressionnant.
Il a l’air d’apprécier puisque un léger gémissement montre son approbation et ses mains continuent de parcourir mon corps et ses doigts de se glisser sous mes vêtements.
Mes doigts jouent avec sa verge et cherchent ses bourses, sa bite turgescente se dresse fièrement vers moi, nous n’échangeons aucuns mots. Seuls quelques soupirs trahissent nos activités particulières dans le silence de la nuit.
Mes mains s’occupent de sa verge, les siennes jouent avec la mienne et pour faciliter le contact je les sens descendre délicatement mon collant. Les doigts accrochent la petite culotte au passage et descendent l’ensemble qui laisse désormais libre accès à ma verge et mes fesses qu’il caresse brièvement au passage.
Une pression plus pressante sur mes épaules ne me laisse pas de doute sur ses attentes. C’est ma première fois, je suis partagé entre la fuite et l’obéissance. Je crains de fuir, comment pourrait-il réagir, il a dû ressentir mon hésitation, car la pression sur mes épaules devient insistante et ne me laisse que peu d’alternatives.
Je plie sous la pression de ses grosses mains et me trouve à genoux face à son sexe bandé. Il montre son approbation et susurre « voilà ma chérie, avales ça et montre comment tu sais t’y prendre ».
Sa verge est devant ma bouche, je sens sa présence plus que je ne la vois. J’ouvre légèrement la bouche et je le sens avancer son membre pour me pénétrer. Le gland de bonne taille entre doucement entre mes lèvres et m’ouvre la bouche, il sent bon, le mec est propre, c’est une chance pour ma première fellation.
A genoux devant mon premier sexe, le gland de bonne taille force doucement mes lèvres et docilement j’entrouvre celles-ci. Je le suce délicatement avant de le laisser progresser dans ma bouche. Je suis dans un état d’excitation difficilement imaginable, j’en tremble presque, je suis en train de pratiquer ma première fellation et je ne ressens pas de culpabilité, ni de honte, le moment est magique.
Le gland gorgé de sang est complétement dans ma bouche et le membre continu doucement à y pénétrer, sa taille est telle que je ne peux l’engloutir complètement sans avoir un haut le cœur. Je recule donc ma tête de manière à pouvoir entamer un mouvement de vat et vient. Mes lèvres entourent du mieux qu’elles peuvent ce bâton de chair que ma salive lubrifie abondamment, ma langue profite de chaque retrait pour jouer avec le gland et titiller le méat dont un peu de liquide suinte et me laisse un petit goût nouveau dans la bouche.
Le grand gaillard devant qui je suis agenouillé, émets des petits gémissements de satisfaction ce qui m’encourage à satisfaire au mieux son plaisir. Malgré mon manque total d’expérience, j’essaie de restituer au mieux ce que ma femme et les prostituées que j’ai pu rencontrer ont pu me pratiquer avec leurs lèvres, bouches et langues. Je l’entends me dire discrètement « tu suces à merveille ma chérie ». Les mots « ma chérie » me surprennent un bref instant avant que me revienne en tête que ma tenue autorise ce féminin. J’en ressens presque un peu de fierté, satisfait de savoir que je ne me débrouille pas si mal que ça pour une première fois. Je m’applique donc du mieux que je peux pour donner à cet homme le maximum de plaisir. Je m’enhardis même jusqu’à entourer de ma main la peau douce de la partie de verge que je ne peux engloutir complètement.
Ce nouveau contact semble ravir son propriétaire qui soupire de plus belle et prends ma tête dans ses mains de manière à accompagner mes mouvements de sucions. J’adore cette sensation de domination, de soumission à la virilité que l’homme dégage.
Ma main qui coulisse en rythme avec ma bouche sur ce membre me permet d’en apprécier la raideur et la fermeté, c’est un véritable morceau de bois à l’écorce douce et fragile.
Mais à force de me trouver agenouillé à pratiquer ma première pipe je ressens une douleur aux genoux et je me relève tout en restant penché de manière à continuer le travail de ma bouche. Cette nouvelle position moins inconfortable me rend plus disponible pour les mains baladeuses de mon homme. Car dès ma nouvelle position adoptée, l’une de ses mains prend mon sexe excité qui se dresse fièrement et l’autre me caresse doucement les fesses. Je me laisse aller sous ces caresses plus qu’agréables.
La main qui me caresse les fesses devient plus aventureuse, puisque je sens un doigt s’aventurer vers mon anus. Le contact m’électrise et malgré moi je gémis légèrement.
Je ne sais comment réagir ;
- écarter cette main pour faire comprendre que ce côté n’est pas à prendre au risque de tout gâcher. Certes mon anus a déjà eu quelques visites, stylos, bougies, doigts de madame, mais il est vierge de toute pénétration d’un sexe masculin et je ne sais pas si je suis prêt à franchir un tel pas.
- Le laisser faire, c’est accepter la suite des événements et surtout lui donner un accord de principe sur une pratique sexuelle inconnue pour moi et qui me fait peur quand je pense à la taille du membre que j’ai en bouche.
Pris par mon ouvrage buccal et malgré mes réticences, la main continue de s’aventurer entre mes fesses et me titille doucement l’anus. Je suis secoué de légers frissons et m’abandonne docilement à cette main et ses doigts.
Un doigt plus espiègle appuie sur mon petit trou pour y trouver son chemin et je me laisse faire docilement. J’entends mon homme dire à basse voix « humm, ta petite chatte est bien serrée ma chérie» et moi de répondre bêtement « oui, je suis encore vierge de ce côté… ».
Je ne suis pas certain de vouloir aller plus loin, j’ai du mal à mettre de l’ordre dans mes pensées, ma bouche continue à s’activer sur la bite qui m’occupe les lèvres tandis que des mains baladeuses s’active sur mon sexe et ma petite rondelle.
Crispé, serré, mon petit trou reçoit une dose de salive pour le rendre plus docile, et le doigt de mon homme rendre alors plus facilement accompagné d’un soupir de ma part qui ne peut être pris que comme un encouragement.
Les idées se bousculent dans ma tête, rester, partir, finir ma fellation et fuir, me laisser sodomiser, je vais avoir mal, je ne suis pas pd….
Tout se bouscule dans ma tête, mais je sais que je ne vais pas partir, le moment est trop fort, je prends plaisir à donner du plaisir à ce sexe et à profiter de ces mains qui me caressent, de ce doigt inquisiteur qui fouille délicatement mon fondement.
Ma bouche s’active du mieux qu’elle peut enveloppant le sexe dans un écrin chaud et humide, jouant de ma langue autour du gland ce qui fait émettre à chaque fois un nouveau soupir de plaisir au grand gaillard que je pompe.
Un craquement soudain derrière moi me surprend et inquiet j’arrête net ma fellation, je me redresse la jupe couvre à nouveau mes fesses. Mon mec me dit alors « pas d’inquiétude c’est un copain » puis « reprends ton job, tu te débrouilles à merveille » et il me reprend la tête pour la diriger vers son membre qui n’a rien perdu de sa superbe.
Puis c’est alors que je sens que l’on relève ma jupe et que deux mains s’attardent sur mes fesses et me caressent doucement. Le copain de dire « dis donc, c’est une joli petite biche que tu t’es trouvée mon salaud » et de rajouter « j’espère que tu veux bien la partager un peu ». Je sens que les deux types sont un peu complices et ne doivent pas être à leur première expérience à plusieurs.
Pendant que le mandrin du premier continue d’aller et venir dans ma bouche, les mains du second partent à l’aventure de mon corps mais surtout du bas. Mon sexe est palpé, puis une main le prend dans son fourreau pour le branler doucement. L’autre main s’attarde sur mes testicules qui sont soupesées et caressées ce qui déclenchent en moi de légers frissons qui me parcourent tout le corps.
Mon service trois pièces fait donc l’objet de la première convoitise du nouveau venu qui poursuit ensuite par la découverte de mes rondeurs. Les mains glissent vers mes fesses, les caresses semblent apprécier la douceur de la peau de mon postérieur qui est lisse de toute pilosité. Je l’entends susurrer « humm, une vrai peau de jeune fille ». Ce contact m’électrise et je m’abandonne docilement à ces mains caressantes.
Je sens mes fesses être écartées par les mains et une sensation soudaine, inattendue me tétanise un instant. Quelque chose de tiède et humide est en train de s’amuser avec mon anus, c’est bien une langue qui joue avec ma rondelle et je ne peux retenir un petit soupir d’approbation tant ce contact est agréable.
Cette caresse complètement nouvelle pour moi m’électrise, j’adore la sensation que me donne cette langue douce mais ferme qui joue avec les plis de ma corolle anale.
Elle s’applique à bien me la lécher, en essayant parfois d’y introduire le bout malicieux comme un petit sexe fureteur. Je ne peux que gémir de bien-être sous cette caresse jusqu’alors inconnue pour moi.
Son possesseur ne s’en tient pas uniquement à me donner du plaisir avec celle-ci, car sa main s’active délicatement sur ma verge jouant de ses doigts pour me titiller le bout du gland à chacun de ses va et vient. Ma verge sous cette savante caresse est à son plus beau développement et je sens le plaisir grandir à chaque instant sous les actions conjointes prodiguées par cette langue et cette main.
Malgré l’état d’abandon dans lequel je me trouve, je n’en oublie pas moins de m’activer sur le sexe qui m’occupe la bouche et qui coulisse régulièrement dans celle-ci avec des petits bruits de sucions caractéristiques. Son propriétaire soupire de plus en plus en me disant doucement « ta bouche est merveilleuse » et « continue comme ça, je sens mon plaisir venir ». Je me sens plutôt flatter par ce compliment qui me prouve que pour ma première pipe, je me débrouille plutôt bien.
Mais ce n’est pas le seul plaisir qui est en train de monter à son point de non-retour, car je sens au plus profond de moi monter les prémices de ma future jouissance catalysée par les douces caresses que m’inflige l’homme toujours occupé à me lécher l’anus et dont la main s’active sur ma verge congestionnée. Lui aussi semble sentir la montée de mon plaisir du fait de la tension grandissante de ce qui occupe sa main.
Et soudain mon corps se tétanise, je sens la semence monter, mon anus se contracte, on me dit « va-y chérie laisse toi aller », et ma verge lâche son jus en plusieurs jets puissants qu’une main accompagne dans l’éjaculation. J’ai l’impression de me vider et de perdre pied.
Mais je suis rapidement rappelé à la réalité car l’homme qui occupe ma bouche, stimulé par ma jouissance, se libère à son tour dans ma bouche en me tenant fermement la tête pour bien me faire profiter de son plaisir. Des jets puissants m’inondent le palais, je ne sais combien de contractions éjaculent leur semence dans ma bouche mais le nombre me semble considérable. Les mains me maintiennent en position et je finis par être obligé de déglutir une partie de la semence qui vient de féconder ma bouche. Le goût du foutre, nouveau pour moi, n’est pas désagréable et je ne regrette aucunement de l’avoir avaler. Pour une première fellation de ma part, j’ai eu droit à la totale.
La verge après s’être vidée perd de sa superbe et abandonne doucement ma bouche, son propriétaire me redresse et embrasse tendrement les lèvres qui viennent de lui donner tant de plaisir. L’homme derrière moi a déjà disparu, en quête vraisemblablement d’un nouveau partenaire. Je me rajuste, remets en place string et collant.
Mon partenaire me dit alors à quel point il a apprécié ce délicieux moment dans ma bouche et souhaite faire plus ample connaissance avec mon corps si l’occasion de se revoir est envisageable. Il m’indique alors qu’il sera à nouveau là, la soirée prochaine vers 23h. Après m’avoir donné le détail de son véhicule car il souhaite me retrouver sur le parking pour être sûr de ne pas me rater, nous nous séparons sans avoir oublié d’échanger un rapide baisé. Je lui adresse un timide « bonsoir » et il me répond « à bientôt j’espère, ma chérie ». Je quitte l’abri discret des buissons pour rejoindre ma voiture au plus vite.
Sur le chemin du retour, le parking qui avait vu ma transformation me permet de retrouver mon aspect masculin, et je rentre à mon domicile des souvenirs récents plein la tête. Ma première fellation, complète en plus, les mains et la langue qui ont parcouru mon anus, ma verge reprend forme rien qu’à évoquer ces souvenirs.
Mais ce qui occupait de plus en plus mon esprit, était de savoir si je souhaitai donner suite à cette aventure et me rendre donc le soir venu au rendez-vous que m’avez donné l’homme.
De retour à mon domicile, je tombais comme une masse sur mon lit et tombais dans les bras de Morphée en souhaitant que la nuit me porte conseil.
Je vous passe la journée de travail qui a suivie avec son lot d’interrogations sur le choix que je dois faire quand l’heure de prendre une décision sonnera. Je suis partagé entre arrêter là cette aventure qui me laissera des souvenirs mémorables ou la poursuivre en sachant qu’il faudra aller encore plus loin dans mes relations avec un homme. Je ne vous cache pas que j’ai passé la journée la boule au ventre face à ce dilemme bien qu’intimement je sentais que mon choix était déjà fait. Je savais que je ne pourrai en rester là et qu’il fallait que je poursuive l’aventure pour la vivre dans sa totalité.
Fin du travail 22h, je m’empresse de prendre une douche puis de rassembler mes effets féminins pour me travestir à nouveau sur le chemin qui me mènera au parking du lac de Bordeaux. Bien décidé, je me rends vers le lieu de ma future rencontre, je m’arrête au même endroit que la veille pour procéder à ma transformation, polo, collants et jupe courte, léger maquillage devant le rétroviseur et me voilà à nouveau transformée.
J’arrive sur le lieu de rendez-vous, il est environ 22h55, je suis un peu en avance, peut-être ne sera-t-il pas encore arrivé. Non, sa voiture est là, les vitres sont ouvertes et il fume tranquillement en attendant. Je peux encore partir et arrêter tout mais je me gare à côté de sa voiture. Il me voit, descend de sa voiture et s’approche de ma fenêtre que je baisse. Après un rapide bonsoir, il me dit sa satisfaction de me voir là et me propose de le suivre pour un lieu plus tranquille.
Je le regarde pour mieux le redécouvrir car notre première rencontre dans l’obscurité des taillis de m’a permis que de deviner sa carrure et de connaître son anatomie privée. Il est de grande taille je dirais dans les 1m85, carré, un visage tout ce qu’il y a de normal mais avec un regard perçant qui lui donne un charme particulier et une certaine assurance. Il est habillé très classiquement d’une tenue décontractée mais correcte.
Je finis par répondre à sa proposition par un petit « oui, je vous suis ». Nous nous mettons en route et prenons la direction du centre de la ville. Après quelques minutes son véhicule s’arrête sur le parking d’une résidence d’un quartier calme. Nous descendons et je le suis pour rejoindre un appartement au premier étage. Si des résidents nous ont vus arriver, ils ont pu constater que leur voisin avait une rencontre féminine avec lui.
L’appartement était soigné, bien rangé, propre, ce qui avait pour avantage de diminuer une peu les craintes que j’aurai pu avoir à me trouver pour la première fois chez un homme que j’avais rencontré dans des conditions assez particulières.
Il m’invita à m’assoir dans un grand canapé au salon et me proposa un verre. J’avais besoin d’un petit remontant car je me sentais plutôt tendu. Un whisky devrait faire mon affaire et en dégustant nos verres nous avons échangé des banalités et la tension qui était la mienne commençait à fondre doucement.
Assis à mes côtés sur le canapé, sa main vint se poser délicatement sur ma jambe et son regard transperça le mien. Il me demanda si je me travestissais souvent et je lui racontais les raisons de ce déguisement qui bien que m’apportant quelque excitation m’était plutôt inhabituel.
Il m’engagea alors à me dévêtir devant lui pour retrouver ma vrai nature, et c’est un peu gêné mais plutôt consentant que je commençais à m’effeuiller. Telle une stripteaseuse j’ôtais un à un mes vêtements féminins. Ne voulant être en reste, il se mit à son tour à quitter ses vêtements et nous nous retrouvâmes très rapidement tous deux en sous-vêtements, boxer pour lui, string pour moi. Je pouvais à loisir admirer son corps musclé naturellement qu’une légère pilosité ombrait par endroit. La bosse qui déformait son boxer prouvait dans quel état d’excitation mon déshabillage avait pu le mettre.
D’une main assurée, me souriant, il me prit le bras pour m’entrainer vers une autre pièce qui s’avéra être sa chambre où un grand lit deux places nous attendait. Une fois dans la chambre, Il s’approcha de moi et se colla contre mon dos en m’enserrant de ses bras. Ses mains commencèrent à me caresser le torse en s’attardant sur mes tétons ce qui me fit frémir. Ses caresses devinrent plus précises en descendant sur mes anches car deux de ses doigts accrochèrent délicatement mon string qu’il me descendit et qui tomba à mes pieds. L’objet de sa convoitise était maintenant à nu, et il me caressa plus fermement les fesses dont la fermeté avait l’air de lui plaire. Il se recula un peu pour m’admirer de dos et me félicita pour la délicatesse de mon postérieur.
Je sentais son regard de braise sur le bas de mon dos et mes fesses qui étaient parfois secoués d’imperceptibles frissons dus à cette troublante situation. Je le sentis à nouveau se coller à mon dos, et je compris très rapidement qu’il avait quitté son boxer car sa verge pointait contre le haut de mes fesses. Je la sentais fièrement dressée et plaquée entre son ventre et mes reins. Je laissais faire conscient d’une suite qui me paraissait inéluctable et à laquelle je ne semblais pas m’opposer.
Tout en continuant à tendrement me caresser le devant du corps en s’attardant parfois sur ma verge et mes testicules, je sentis son corps se faire plus présent en me bloquant contre le lit. Ses mains rejoignirent mes épaules et d’une pression significative m’obligèrent à poser ma poitrine sur le lit, le fessier ben au bord. Mon manque de résistance était significatif de mon abandon. La raison et la prudence m’avaient abandonné au profit de l’inconnu.
J’étai là, à moitié allongé sur le lit d’un homme rencontré la veille, les fesses offertes à sa vue et vouées à son futur plaisir. Je n’avais pas de craintes pour la suite, seule peut-être une légère inquiétude compte-tenu de la taille de ce que j’avais pu avoir longuement en bouche la veille.
Mon attente dans cette position fut assez brève car je le sentis se reculer légèrement et se mettre à genoux pour poser ses lèvres sur mes fesses. En s’aidant de ses mains, il en écarta les lobes et commença à me prodiguer la caresse que j’avais découvert le soir précèdent grâce son ami.
Fermement sa langue joua avec la sensibilité de mon orifice m’arrachant quelques petits gémissements de plaisir, elle en humidifiait abondamment le centre tout en cherchant à le détendre et à l’assouplir.
C’est après quelques minutes de cette délicieuse caresse qu’il se redressa derrière moi et que je sentis alors quelque chose de plus volumineux s’appuyer contre ma rondelle. Il présentait son gros gland contre mon petit trou et sous sa ferme pression je sentais que mon anneau commençait à s’ouvrir doucement. Mais c’est alors que la douleur de la pénétration commença à se faire sentir, mon anus n’avait pas connu de calibre de cette taille lors de mes amusements et le gland avait du mal à franchir l’entrée sans me faire souffrir et ce malgré les mots apaisants de son propriétaire. J’étais puceau et pour ma première, le calibre choisit n’était pas commun.
Conscient de la douleur que cette première pénétration pouvait m’infliger, et de peur de ne pouvoir profiter pleinement d’un pucelage, il se retira et alla chercher un flacon dans le tiroir de la commode à la tête de lit. A plusieurs reprises et avec délicatesse il fit pénétrer dans mon orifice le liquide lubrifiant en l’appliquant avec l’un de ses doigts, sa verge fut à son tour enduite, et il représenta le gland contre mon orifice.
Le derrière bien relevé, les fesses ouvertes, je sentis le gland appuyer fermement sur mon petit trou dont la résistance était en train d’abdiquer. La pression permanente de la verge eut raison de mes sphincters et c’est accompagné d’un profond grognement et de grimaces de ma part qu’elle fit lentement, mais surement, son chemin dans mes entrailles. Il arrêta sa progression quand ses testicules furent contre mes fesses me laissant alors le temps de reprendre mon souffle et d’attendre un peu que la douleur s’atténue. J’avais l’impression d’avoir dans le ventre une barre de fer brûlante qui occupait mon boyau. La sensation n’était pas des plus agréables pour le moment, je ne savais pas si je voulais qu’il continue ou qu’il se retire tant la sensation était limite douloureuse.
Il me parla doucement pour s’enquérir de la situation, me rassurant sur une douleur qui devrait rapidement s’atténuer pour faire bientôt place à des sensations qui devraient me faire gémir de plaisir.
Quand il jugea que mon corps s’était suffisamment détendu suite à l’incursion de son pénis dans mon fragile conduit, il entama un léger va et vient. La douleur fit place à une sensation de brulure très supportable. Les mouvements de la verge s’accentuèrent et la sensation devint de plus en plus acceptable voire même agréable, puisqu’un léger gémissement de ma part accompagnait chaque mouvement de la bite dans mon cul.
Conscient de la montée de mon plaisir, il accentua son va et vient me faisant profiter pleinement de toute la longueur de son sexe, en me couvrant le dos de baisers. Il me demandait si cela me plaisait, me disait qu’il avait pris la virginité de sa petite femelle. Ses mots m’excitaient et m’aidaient à m’abandonner complètement à cette bite qui vivait en moi.
J’étais heureux, le fondement occupé par ce sexe qui me faisait connaître des sensations inconnues mais extraordinaires. Je sentais le plaisir monter en moi sans même me toucher, je ne pouvais me maîtriser, accompagnée d’une succession de contractions de mon anus, ma verge se libéra en jets puissants sur le couvre lit, comment cela pouvait être possible une telle jouissance.
Mon partenaire, la verge bien enserrée dans mon conduit, commençait lui aussi à montrer des signes annonciateurs d’une prochaine jouissance. Dans un mouvement plus ample que les autres, je le sentis se bloquer bien au fond de moi et ses convulsions successives le firent se libérer de sa semence au plus profond de mon derrière.
Après ce bel orgasme, sa verge perdit rapidement de sa splendeur et abandonna son fourreau d’où un liquide blanchâtre commençait à ressortir.
Ce dépucelage fut pour moi une aventure dont je garde à tout jamais un souvenir privilégié et que je considère comme le plus beau de ma vie sexuelle.
4 年 前