Océane et Erwan (3)
Ce troisième volet commence par une invitation en Nord Bretagne…
Océane et Erwan acceptent de se rendre chez eux, un mois pile après leur second rendez-vous…
Coquineries et polissonneries ont jalonné ces rencontres.
Les deux couples ont pu faire amplement connaissance, s’apprécier, et maintenant ils sont presque tristes quand ils ne se voient plus.
La vie reprend ses droits, les appels se raréfient, mais au fond d’eux-mêmes, les délices qu’ils ont partagés sont encore bien vivants…
Pierre pense souvent à Océane, tandis que son épouse, Andréa, se souvient quand Erwan l’a caressée pour la première fois et qu’elle a ressenti un trouble merveilleux, quand le sexe de son amant d’un soir, l’a sodomisée dans ce réduit technique…
Pourquoi tant de complicité ? Pourquoi tant de plaisir entre les partenaires ?
Les femmes ont trompé leur mari, les maris ont trompé leur femme, et les deux sexes se sont livrés intimement…
La route se fait sombre, la pluie fait son apparition, tant pis pour la soirée dans le jardin, où il est très facile de devenir complices…
Le panneau Erquy leur rappelle leurs premiers émois, sur cette plage naturiste, où ils ont fait connaissance…
- Quelques kilomètres encore et nous serons arrivés…
Je sens la main de mon mari remonter entre mes cuisses…
- Tu veux t’arrêter un instant ?
- Comme on faisait avant de rentrer chez ta mère ?…
Un sentier, et un parking sous les pins…
La main n’a pas bougé, mais moi je suis à point !
Je me penche sur lui, je sors sa belle bite et commence une fellation de remerciement pour cette idée adorable…
Il me dézippe peu à peu de ma robe, arrive à ses fins, pelote mes seins, mais ayant la bouche pleine je ne peux m’exprimer…
Il caresse mes fesses, je mouille de plaisir, sentant sa bite se tendre sous mes mouvements langoureux… Il me désire et j’adore ça…
Le soir tombe, je la serre entre mes doigts… Elle est prête, elle est à point, bien humide…
On se contorsionne, pour passer aux places arrière…
Ma robe est devenue chiffon et trône sur le siège avant, ma nudité le fait frémir de désir…
Il s’est assis le vit en émoi, il me soutient par les hanches, j’écarte les cuisses pour me prendre au piège…
Le sexe glisse dans ma fente, je bouge, il pénètre ma vulve, et paf !
D’un coup de rein puissant il vient à la rencontre, je ne m’y attendais pas, il me plante d’un seul coup, je crie de surprise, de plaisir…
Sa main s’insinue jusqu’à ma chatte, et ses doigts attisent mon plaisir…
Il titille mon clitoris, tandis que le sexe me prend entièrement, je remonte et redescends, et c’est une chevauchée sauvage qu’il m’aide à accomplir, ses mains soutiennent mes fesses, et il m’étreint avec passion…
- Oh que c’est bon comme ça… Comme avant… On a bien fait de s’arrêter en urgence…
- Prends-toi sauvagement chérie, fais-toi jouir comme tu aimes, dévore ma bite avec ta chatte… J’adore ta douceur… Et ton fourreau est un trésor de tendresse…
- Mais j’aime aussi quand tu me baises, que tu m’encules, en levrette, mon cul relevé pour toi, je me sens toute chose, tu profites de mes deux orifices à ta guise et j’adore m’ouvrir pour te sentir plus fort, empalée par ta bite, sodomisée, et quand tu me portes à l’extase, en me chevauchant avec passion, et que tout bouge dans la maison, le lit, les chevets, l’armoire, et que je crie mon plaisir de te sentir venir en moi…
- Alors tiens ! J’aime arroser ton jardin de sperme, en t’explosant la chatte avec mes doigts…
- J’adore ça… Tu me prends par les deux trous, tu me masturbes et me sodomises…
- Tu as aimé quand Pierre m’a aidé à le faire… Un devant, un derrière…
- Oh oui, c’était divin et j’aimerais le refaire, c’était une expérience magique que de sentir vos queues déglinguer mes organes, me procurer des orgasmes fulgurants, me baiser avec fougue, à en rougir de honte… Mais que c’était génial et Pierre est aussi doux que toi… Et sa femme a eu le même traitement, tu l’as empalée la belle Andréa, elle vociférait de vos bites qui la lutinaient en cadence… Elle aussi a vu les étoiles…
Oh, oui, viens ! Je te sens, allez ! Oui ! Gicle ! Oh que c’est bon, que c’est chaud, que c’est doux… !!!
La voiture est embuée, je respire très fort, dernier orgasme, son sperme coule sur les sièges en cuir… Mais c’est de sa faute, il avait qu’à prévoir des mouchoirs…
Je retrouve ma culote, att**** ma robe, délaisse le soutien-gorge, je sors pour remettre de l’ordre dans ma tenue, soulevant largement ma robe…
Dans la voiture voisine, deux têtes me regardent me trémousser pour m’essuyer, et remettre de l’ordre de partout, en dévoilant mes charmes…
Ils viennent de terminer eux aussi…
La femme est assise, face à lui, aussi nue que moi, aussi empalée que je l’étais, elle savoure les derniers instants de leur étreinte, encore haletante de plaisir, une main quitte les épaules de son compagnon, et glisse un mouchoir entre ses cuisses…
Elle passe sa langue sur ses lèvres…
Son visage rayonne de bonheur…
Erwan n’a rien vu, le temps que je reprenne ma place, il démarre et on reprend la route…
J’ai eu le temps de détailler cette petite blonde, visage agréable, seins blancs et ronds, et lui, jeune homme brun, pas mal pour ce que j’ai pu voir…
Cet intermède m’a vivifiée et je descends guillerette pour embrasser nos amis…
Ils sont choux, ces deux-là, ils nous ont préparé des boissons, sur la terrasse, mais nous restons un long moment dans le salon, à nous dire bonjour…
Pierre m’embrasse le premier en effleurant mes lèvres, laisse traîner ses mains autour de mes seins, ce doux contact innocent me procure des sensations délicieuses…
Andréa se retrouve bouche à bouche avec mon mari, et donc, pas de raison de s’en priver…
Je me colle contre Pierre, qui sens mes seins libres sous ma frêle robe d’été…
Pas de chichis, je lui rends son baiser, je suffoque, il m’entraîne sur le canapé, ma robe n’en peut plus, mes seins sortent prendre l’air, mes cuisses s’ouvrent et il vient me sucer à genoux entre mes cuisses…
Sa langue est un délice, un apéro de folie, je gémis sans faire attention et les autres se retournent, puis Andréa se laisse empaler par Erwan, trop content de doubler la mise pour aujourd’hui…
Nous ronronnons comme deux chattes en manque de matou…
Ils nous rejoignent sur le canapé, on s’assied, on fait les folles, on s’empale sur nos amants, nos seins tressautant de plaisir, Andréa jouit la première, emportée par un orgasme, je la rejoins peu de temps après, allongée par terre, sauvagement baisée, le cul en l’air…
Belle entrée en matière, si je peux me permettre…
On a soif, peignoirs et terrasses…
Pas de voisinage, le soir est tombé, l’alcool me fait du bien, Andréa caresse mes cuisses sous la table…
- Je vous adore, j’ai envie de toi… Pour moi, seule…
- Cette nuit ? Ton mari va dormir…
- Le tien est déjà crevé, il parait que vous aviez pris de l’avance près de notre plage ?
- Oui… Une folie… En voiture, comme avant !...
- Nous, c’est dans la cave, on faisait le compte de nos bouteilles, on n’a plus de Bordeaux… Je suis montée pour voir les cartons sur la dernière étagère, il n’a pas résisté… Ses mains ont arraché ma culotte, je me tenais aux étagères, et il a tout fait, écartelée, sucée, fouillée avec ses doigts indiscrets… Quand je suis descendue, par peur de perdre l’équilibre, il m’a violée… Sur la table, en levrette… Quel pied ! Un élan soudain, le fantasme de me faire troncher par un inconnu dans un coin sombre…
- Et bien, tu as eu des péripéties…
- Ne m’en parle pas… Enfin, à la tienne, et à vous les mecs, on s’est régalées, vous nous avez bien accueillis…
C’est en préparant le dîner qu’elle a sorti du frigo, que nous nous abandonnons dans la cuisine… Peignoirs ouverts, seins caressés, puis bouts sucés, et le désir qui nous entraîne…
Cuisses ouvertes, on se masturbe, nos doigts s’enflamment, on s’ouvre, on feule, on se donne, on partage…
Me voici appuyée sur la table, elle m’étreint par derrière, un doigt s’enfonce dans mon vagin, un autre dans l’anus, je m’abandonne à sa folie…
Je jouis de ses doigts, je tremble de désir, de plaisir, et je râle en m’agrippant à la table…
Les hommes sont venus voir…
Pierre, me sodomise, Erwan la baise sur une chaise, levrette bien menée, orgasme assuré…
Je me sens soumise, une impression, étrange, mais en fait j’aime quand sa queue glisse dans mon rectum, se l’approprie, en diffusant son plaisir…
Chacune fait son chemin, on part vers la chambre, il me porte en riant, elle reste plantée par mon mari, jusque sur le lit et c’est un festival d’échangisme…
Lui et moi, elle et lui, moi et elle, lui et lui…
Ça suce, ça bande, ça jute, ça mouille, ça s’empale, ça se fait empaler, ça se fait doigter, et ça rend la monnaie…
J’ai du sperme sur le visage, elle est maculée aussi, Pierre a débordé ! Erwan l’a imité…
Nous sommes en sueur, on se retrouve sous la douche toutes les deux, à se frotter l’une à l’autre, savon, puis avec nos seins…
Coquineries, tendresses, caresses… Que du bonheur !
Ils viennent nous déloger, la queue basse…
Ils font pareil, se branlent mutuellement, et nous suçons leurs bites en fin de vie pour terminer cet apéro érotique…
On passe la nuit tous les quatre, enlacés, heureux de partager des instants si reposants…
Quelques baisers volés, des seins caressés, c’est tout jusqu’aux premières lueurs du jour…
Je sens la bonne odeur du café, et des croissants qui tiédissent, avec leurs copines les brioches, dorées à point… Confiture, beurre, miel, flocons, et des jus de fruit…
A moitié habillées, les yeux a demi fermés, nous devenons ogresses…
Il faut refaire le plein d’énergie…
J’ai envie de courir sur la plage…
Il fait gris, mais le soleil n’est pas loin, par contre le vent est frais, j’enfile un jogging…
Andréa me suit, les hommes s’interrogent…
Pierre a une nouvelle console, avec un jeu à la pointe de la technologie…
- Qu’est-ce que vous voulez faire aujourd’hui ?
- Tu pourras me masser, il parait que tu étais une pro…
- Je le pratique encore, à des clientes, des voisines… Un peu de noir… Mais c’est gratuit pour mes amies…
- Nos hommes aussi ?
- Oui, j’aime les caresser… Et puis ils bandent… ça me plait alors de les exciter, et ça termine souvent en baise… Cela dit, j’adore les sucer… et je mouille comme une malade…
- Miam… Et après ?
- On prévoit le réveillon, vous restez ?
- Bon, oui… On en a pas parlé, mais on pourrait vraiment se lâcher…
- Qu’est-ce qui te ferait plaisir ?
- Vous deux…
- Pierre a un copain qui vient souvent manger avec nous, il est sympa, et seul…
- Oui…
- Nus du début à la fin ? Un réveillon naturiste ?
- Oh, oui, juste un truc en plume, de quoi exciter ? Oh, oui ! Super idée… On va se faire démonter… Un homme de plus…
- Tu en veux d’autres ? Des couples ? Il faut leur donner de quoi se défouler…
- De la chair fraîche ? De belles chattes qui n’attendent que ça… J’en ai l’eau à la bouche…
- Fais voir !...
On décide ensemble, avec nos hommes et ils sont d’accord pour le réveillon coquin, juste un accessoire…
Pour la buche glacée, elle une idée, mais elle me laisse sur ma faim…
Le temps s’est levé, et après le repas, promenade digestive sur le chemin du littoral, dans les dunes et sur le rivage…
Bain, très coquin, nous sommes émoustillées par la pensée de se retrouver demain soir…
Nous évitons de nous donner en spectacle, car nous ne sommes plus sur la zone naturiste… Nous revenons par le sentier des dunes…
J’ai envie de faire pipi… Andréa m’aide à repérer un endroit discret…
Les hommes nous attendent, ils descendent carrément se re-baigner…
Bon, on a trouvé un coin entouré de végétation assez haute…
- Tu aurais pu aller dans l’eau…
- C’est vrai…
Une fois terminé, on continue malgré tout, bras-dessus, bras-dessous…
Une zone plus désertique sur la gauche, on bifurque du sentier…
La petite blonde de la voiture de ce matin est écartelée, chatte au soleil… Un havre de verdure dans ce coin aride…
Son ami est invisible…
- Bonjour, tu me reconnais ?
- Oui, j’ai bien flashé sur toi… Je suis Karine…
- Et moi Océane, mon amie Andréa…
- Vous habitez par ici ?
- Oh, non, on n’est pas ensemble, c’était un copain de rencontre… Je suis d’ici, oui, vers le Château Marly…
- Oh ! Beau quartier…
- Oui, un peu isolé et franchement oldy… Pas de mecs… J’angoisse parfois, alors je viens me promener, je rencontre des gens, je drague, me fais draguer, mais j’aime ça… Et le tien ?
- Avec son mari dans l’eau…
- Vous avez le temps ?
- Pour ?
- Faire connaissance, venez, il y a un coin charmant…
Nous la suivons, ses petites fesses tressautent devant moi… Ses seins juste couverts d’un châle, attirent mon regard…
Havre de nature, entouré de roseaux, de verdure… Elle se met nue, nous aussi…
On s’allonge dans le sable fin et sec… Elle vient sur moi, m’embrasse, son pubis contre le mien pour une danse folle…
Andréa la caresse, caresse ses seins, cherche sa bouche…
Nous voici toutes les trois en train de faire l’amour…
Sa chatte est large et s’ouvre sous mes doigts, je la masturbe, plantant 3 doigts au fond de son vagin dilaté… Elle se frotte contre Andréa en ondulant sous ma caresse… Elles échangent aussi des baisers, se pelotent, Andréa se met à onduler aussi, écartelée devant nous, le sexe envahi par la main de notre nouvelle copine…
3 chattes en chaleur, au soleil, qui miaulent ensemble…
On se frotte l’une contre l’autre, en ciseaux, sexe contre sexe, en feulant notre plaisir, Andréa s’est écartelée sur son visage, elles font un 69 charmant, jusqu’à un premier orgasme de la petite blonde…
- Oh, tu aimes ça…
- Oui, prends ma chatte, tu peux me doigter aussi… J’aime la sodo…
- On va aller voir nos mecs alors, ils adorent les petits culs comme le tien…
- Mais je suis vannée… Je ne sais pas si je pourrai encore…
- Fais la bête…
Quelques succions plus tard, nous voici toutes les trois devant nos hommes endormis…
- Voici Karine, une copine des sables…
- Salut, moi c’est Pierre, et lui c’est Erwan…
- Vous venez vous tremper, elle est bonne…
- Moi aussi, il parait… C’est Océane qui me l’a dit…
Ils ont vite fait de la prendre chacun par un bras, de la soulever, de l’entraîner au large, de la caresser, la bite de Pierre est la première dans sa chatte, et celle d’Erwan, vient compléter le tableau, par un superbe sandwich…
Elle a l’air d’aimer se faire prendre en duo, et elle frémit de plaisir, en se donnant à fond aux deux bites qui la travaillent avec ardeur…
Ils se régalent à la faire crier, synchronisant leurs assauts, se défoulant, l’échangeant, pour la défoncer…
Elle se laisse faire, véritable poupée de chiffons savourant les deux queues qui la baisent…
Elle embrasse Pierre devant elle, en ondulant sous la bite d’Erwan qui la prend en levrette, par derrière…
A les regarder, on se gouine toutes les deux, ivres de les voir l’enfiler comme une putain, se la prêtant volontiers, pour qu’elle les suce sous l’eau…
Puis elle s’écartèle pour se planter la bite de Pierre, avec frénésie, gémissant et tremblant sous son étreinte…
Erwan attend sagement, en la soutenant, l’embrassant, jusqu’à ce qu’elle ait joui…
Ensuite, il la baise à son tour, la serrant contre lui, l’eau à mi-torse, ses beaux seins découverts, alors qu’elle l’enserre de ses cuisses, et qu’il peut les masser à volonté, la faisant jouir…
Elle atteint encore un orgasme, il doit être au bout, elle se laisse inséminer, elle vocalise en sentant la délivrance de son amant…
- Oh oui !... Baise-moi à fond… Délivre-toi en moi ! Jouis de moi !... J’aime être possédée, je me sens femme, pleine de semence…
- Vas-y, encule-la aussi, elle est à point et elle adore ça…
Pierre la soulève et l’empale sur son dard, elle gémit, puis elle jouit jusqu’à ce qu’il éjacule aussi dans ses entrailles…
- Oh ! quels hommes… Quelles queues ! Je suis comblée… Après vos délicieuses femmes, qui m’ont tant excitée, je n’ai pas résisté à vous connaitre… Avec leur accord, bien entendu…
- Tu es si sensuelle et si rayonnante… Tu baises avec tout le monde comme ça ?
- Cela m’arrive, mais normalement je suis sage… Là, je suis en vacances et je me dévergonde… Je me lâche, et je fais le plein de souvenirs pour mes longues soirées d’hiver, solitaire et entourée de neige… J’habite en chalet, en montagne, j’ai la charge d’une petite école dans un petit village des Alpes…
- Oh, super !... Et tu t’évades ici, en profitant au maxi du sexe et de la baise !
- Oui, je fais tout ce qui se présente, j’accumule les amants… Je n’ai pas de limite, sauf pour ce qui est trop sale ou douloureux… J’aime les soirées sur la plage entre copains, les parties dans les manoirs, les villas privées, avec les gens de la haute, les médecins, avocats, les hauts gradés, les édiles, la fine fleur politique… Femmes, hommes, connus parfois, enfin tout ce qui se présente… Là, j’ai craqué sur vous 4, un ensemble bien équilibré, beaux, sensuels, corrects et performants… C’est agréable de se laisser emporter par les sens… Mais je viens d’arriver et je n’ai pas encore posé mes valises…
- Tu veux venir chez nous ? On peut t’héberger…
- Vraiment ? Ça ne vous dérange pas ? Je vais rompre votre équilibre…
- Nos amis ne sont là que ce week-end… Autant en profiter avec nous…
Arrivés, la douche est prise d’assaut, Karine, rejoint les femmes, je me laisse emporter par des mains adorables, des caresses très tendres…
- Tu as envie d’un massage ?
- Intégral ?
- C’est compté… Et toi Karine tu aimes te laisser tripoter ?
- Oui, c’est relaxant et sexuellement appréciable… Nous, on ne bande pas, on n’affiche pas notre désir comme un étendard, mais on sécrète, on mouille, pour faciliter les rapports… Je m’en aperçois à ça, aux poils détrempés, aux seins gonflés, aux cuisses qui s’ouvrent, et aux yeux langoureux de certaines, venues exprès, dans mon salon, parfaitement au courant de mes aptitudes, grâce à une amie bienveillante…
Les voilà dans la chambre d’amis, où un salon complet est installé, étant la formation et le métier de Andréa.
Je m’allonge sur la table, nue et offerte aux mains douces de mon amie… Karine se délecte de mes mimiques, car je vibre sous les caresses de plus en plus précises…
Quand je me mets à feuler, Karine se masturbe devant moi et vient quérir des caresses…
- Viens Karine, mets-toi entre ses cuisses, tu pourras la lécher, et moi, te caresser…
Le cul d’Andréa virevolte sous les mouvements, qu’elle imprime à sa patiente, surtout quand elle se penche sur elle, sur ses seins, lorsqu’elle l’entend jouir de la langue de leur nouvelle partenaire de jeux…
La petite blonde est trempée de désir, elle prend la place d’Océane et subit les assauts croisés des deux amies…
Les hommes entendent les gémissements qui proviennent de la chambre du fond…
- Elles se gouinent toutes les 3…
- Elles doivent être trempées…
- On s’enfoncerait comme dans du beurre… Ça te dit ?
- 3 chattes et trois culs…
- Et 3 bouches pour nous sucer…
- Tu bandes comme un âne…
- Echauffe-toi avec moi…
Pierre prend le sexe érigé, le masse, puis le prend dans sa bouche… Erwan se glisse sur le côté et fait pareil… Un 69 masculin, une fellation échangée, des sensations pleines de sensualité… Puis ils se dirigent vers la salle de sports…
Elles sont à terre, sur les coussines et les matelas, et se broutent à foison, échangent, jouissent, se donnent, se masturbent, s’offrent, orgasment, et deviennent folles en voyant les membres érigés des deux hommes se mêler à leurs ébats…
- Oh, oui, venez… Baisez-nous, enculez-nous, on est à point, ivres de désir masculin, on vient de jouir une heure de nos langues et de nos doigts…
- Oui, venez nous saillir, nous sodomiser, montrer que vous êtes des hommes, des mâles, baisez nos chattes en chaleur…
- Oh, oui, enfilez vos queues dans nos méats grand-ouverts, détrempés de nos mouilles, prenez votre pied, jouissez, mais lentement, prenez votre temps, faites-nous délirer avec vos sexes en rut…
- Et bien, quelle soirée, on va se les niquer avec plaisir, on va les troncher comme des salopes, les faire crier de plaisir, les prendre à deux, les envoyer au ciel, leur faire voir les étoiles…
Karine, écartelée, en levrette, sodomisée la première par Pierre, sauvagement baisée, puis prise en même temps par Erwan, cuisses écartées, chatte perforée, comme un marteau-piqueur, bramant cet assaut masculin, jusqu’à un puissant orgasme qui le cloue à plat ventre…
Océane en profite pour venir sucer sa chatte détrempée, elle-même défoncée par Erwan surexcité…
Pierre se glisse contre Karine et la prend en capitaine de navire, écartant les cuisses, profitant de son fourreau de soie pour l’envoyer au paradis du sexe…
Andréa se laisse prendre par Pierre, et à son tour gémit et jouit de sa longue queue…
Karine se colle à elle, lui pose sa chatte sur ses lèvres…
Folies, démoniaques, délirantes, jusqu’à ce que les hommes se vident ça et là, par petites doses, les inondant de sperme, partageant ce plaisir de femme de lécher les restes sur leurs queues apaisées…
Enchevêtrés, enlacés, embrassés, les seins meurtris à force d’être massés, les bites délicieusement nettoyées, les chattes grand-ouvertes, exposées, rougies, encore marquées par des ruts sauvages, les anus rougis et aussi ouverts par leurs amants enchaînés…
Que de sexe cette nuit, et jusqu’au matin, prenant quelques repos et recommençant à se toucher, se doigter, se sucer, tendrement enlacées et caressées pour ces dames, entre elles et avec leurs maris satisfaits…
Que c’est bon d’atteindre ce paroxysme, ce niveau de plaisir entre amis, se laisser conduire, ou prendre les devants, jouir sans arrière-pensées, nos trois jeunes femmes se sont régalées, et se retrouvent assoiffées, en réclamant des viennoiseries à foison !!!
Erwan se dévoue alors, et sort…
C’est un déchaînement sur celui qui reste !
Nos 3 femelles en délire fondent sur lui, se donnent, le partagent, le sucent, s’en repaissent, et le laissent sans force, vidé, épuisé, à moitié évanoui…
Les croissants et brioches sont déposés dans le salon, le café est prêt, elles arrivent en chantant, et se ruent sur lui pour le remercier, mélangeant les croissants, et son sexe, pétri par 6 mains expertes, et englouti par trois chattes affamées, sur le canapé ébahi…
Elles baisent en mangeant, elles mangent en s’enfonçant le membre dans leur vagin béant de salive et de cyprine, et se donnent à fond pour un ultime plaisir…
Karine, aidée par les deux autres, se laisse posséder, les fesses écartelées, l’anus dilaté, et elle brame sa jouissance sous les assauts de ses partenaires… Des doigts se glissent s’immiscent, tournoient, son clitoris devient rouge, ses seins sont triturés, elle est au supplice et jouit d’un orgasme puissant et dévastateur…
Lui aussi est vidé, asséché, débandé, et bon à jeter après cette tornade…
Elles en sourient, en parlent, en se resservant de café et de thé, puis s’embrassent et s’enlacent, dans le grand lit de la chambre parentale, trois vestales ivres de sexe, se ressourcent tendrement…
Ce tableau merveilleux, d’amitié, de sexe, de partage, se poursuit toute la nuit du réveillon…
Elles n’échappent pas à la bûche fourrée… Mais où ?
Oh, tous pensent à la même chose… Délicate pâtisserie glacée…
Qui fait se délier les langues les plus coincées… Les plus inventives, les plus assoiffées…
Pas de cotillons, en égard à l’aspirateur robot du salon…
Et les langues se délient jusqu’au dessert suivant, le champagne coule à flots, les bulles semblent jouir dans leurs nouveaux écrins…
La fête continue, les esprits vagabondent, la bouteille s’aventure, sous les rires sadiques, mais les femmes y tiennent, la première à réussir à l’avaler c’est notre nouvelle amie, pas mal de pratique pendant ses vacances a ouvert sa voie royale, et la bouteille trône, renversée, prenant ses aises dans un vagin hyper dilaté… Accouchement de mots sans suite, câlins des hommes impressionnés, baisers émus de ses deux amies, qui essaierons aussi…
Karine, grisée par ses exploits, devient un objet de partage, les deux hommes essayant de la prendre en lieu et place du récipient de verre…
C’est sans problème que leurs sexes, suivent le trajet des bulles, plongeant à leur tour, ensemble dans ce merveilleux fourreau blondissant et chaud comme la braise…
Elle jouit à en perdre la tête, en sandwich, ressentant cette fois la chaleur des deux membres bandés dans son logis…
Elle jouit jusqu’à ressentir les derniers assauts de délivrance, accompagnés de coups de reins démoniaques et orgiaques, embrassée et caressée par ses consœurs, les deux hommes éjaculent longuement, empalés dans ce vagin béant, rougi et si accueillant…
Quelle jouissance infinie…
Leurs femmes viennent nettoyer les traces de leur lutte…
Karine les remercie en léchant à son tour, nos deux amies en extase…
La nuit est vite passée à ce rythme…
Les étoiles se sont enfuient sous le soleil qui arrive…
Jamais Océane et Erwan ne connaîtrons d’aussi incroyables moments de libertinage…
Océane s’est donnée à Pierre, longuement embrochée dans le petit salon par un amant délicieux… Elle savait… Elle voulait…Quand elle l’a sucé longuement, il bandait tant qu’elle s’est jetée à terre, le suppliant de la prendre comme une chienne… Elle lui a fait l’amour dément, abandonnant ses bonnes manières, la chatte en folie, se révélant tigresse, le labourant de ses griffes, haletant sous les coups de bite….
Il explosa enfin, la délivrant comme rarement elle n’avait joui…
Andréa, avait ressenti cette attirance sexuelle qu’Erwan lui incitait… De son côté, Karine, épuisée par sa nuit, dormait dans l’autre lit…
Elle prit le sexe dans sa bouche, et de ses lèvres lui fit une fellation de princesse…
Il n’en revenait pas de voir sa bite disparaître entre les lèvres humides, guidée par une main savante et coquine qui venait tendrement exacerber ses bourses…
Ce fourreau délicieux, de salive mélangée, ce plaisir subtil d’une pipe royale, il devint un ogre, la renversant et plongeant en elle son dard impressionnant…
Sa surprise fut totale quand elle le sentit repousser ses organes, en apnée profonde dans son vagin émerveillé…
Elle criait son plaisir, emportée par ses sens, ressentant de partout cette débauche de sexe, et lui qui la plantait en cadence infernale, leurs pubis se percutant à une vitesse folle…
Elle tint jusqu’au bout, du bout…
Elle se déchaina à son tour, tant c’était insoutenable, elle le voulait, elle le prenait, elle le griffait, lui labourait les épaules, comme une tigresse en folie, dépassant tous les orgasmes qu’elle avait pu avoir…
Quand elle le sentit proche de l’insémination, elle s’ouvrit à lui, comme si elle voulait cet enfant qu’il semblait lui faire, éjaculant longuement au fond de son vagin…
Les cuisses écartelées à 180 degrés, elle criait de plaisir en position du poirier, il la prenait presque debout, plongeant son dard à la verticale…
Quel pied de les voir ainsi, baisant comme des malades, des névrosés, des amants diaboliques, atteignant le paroxysme de cette union libertine…
Océane me raconta tout ça…
Karine accepta de passer quelques jours avec eux, pour le plus grand plaisir d’Erwan.
Ils étaient repartis le lendemain matin, des larmes dans les yeux, même Karine perdait un partenaire particulier, et une amante délicate… Pierre et Andréa…
Pendant le trajet, ils commentèrent ces quelques jours, Océane était triste mais avait récupéré cette nouvelle amie et Erwan se consolait dans la tournure que prenait ce retour à 3…
Karine, dès son arrivée chez le couple, alla se baigner nue dans la piscine, revint faire l’amour, dans un trio indicible de tendresse et de liberté…
Elle se pliait à leurs plaisirs, leur volonté et même les suivis le premier soir, dans un établissement pour adultes, s’exhibant sans retenue parmi la clientèle, déclenchant une ruée d’admirateurs, qu’elle partagea avec le couple…
Océane connut ainsi un trio avec deux black en rut, deux phénomènes qui la déchirèrent, elle n’en pouvait plus de se faire prendre par ces deux dingues de sexe…
Enculée par les deux ensemble, fistée par Karine, qui subit aussi ces vagues jouissantes, se donnant à eux comme une névrosée…
Erwan, regardait, partagea d’autres délices, dont deux blondes atomiques, avec des seins prêts à exploser, qui semblaient gonflés outrageusement, et qui se donnèrent à lui dans un concert de miaulements aigus et excitants. Elles n’en revenaient pas de sa virilité, de sa ténacité, et de ses prouesses, car elles durent demander grâce, avant qu’il ne le fasse…
Les deux nouvelles amies, de retour à la villa, discutèrent d’une invitation aux prochaines vacances, avec Andréa et Pierre, un voyage tous les cinq, Karine était d’accord, Océane se sentit fondre sous le sourire coquin qui détaillait ses formes…
Erwan comprit qu’il lui faudrait se surpasser ce soir, les deux filles s’embrassaient déjà en gémissant, allongées dans le canapé du salon, sans avoir pu quitter leurs vêtements avant.
Cette vue sur leurs charmes, dévoilés ça et là, Océane est sur Karine, elle dézippe la robe, puis fait glisser les manches, enlève le haut, la robe glisse par le bas, la culote la suit…
Océane est offerte, son peignoir retroussé, le temps que Karine termine de l’enlever…
Les beaux seins apparaissent, le slip est libéré, elle tourne son amie, se mettant à genoux.
Elle bascule les cuisses, genoux repliés, sa bouche fond sur le minou offert…
La langue entre dans la danse, lèche jusqu’à entendre les premiers râles…
Les doigts arrivent en renfort, et se montrent audacieux…
Et tandis que le beau cul d’Océane suit les mouvements de son buste, sa voix s’envole dans toute la pièce, comme une stéréo, amplifiée de multiples arpèges, la bouche imprégnée du nectar de Karine, salivant à loisir, puis suçant sans réserve, de l’anus à l’extrémité intime…
Océane sent le désir l’envahir, son ventre se serrer, sa vulve s’ouvrir, quémander des caresses…
Elle regarde en arrière, croise les yeux de son mari…
Erwan, prêt à intervenir, plante son épée dans le cul de sa femme, la saisit par les seins qu’il aime à pétrir, comme une belle pâte, friandise en devenir…
Karine jouit autant d’apercevoir le couple, que de sentir les doigts l’emporter vers un orgasme divin, le regard d’Erwan, vissé dans le sien…
Elle va y passer, c’est certain, et à la place des doigts qui frétillent en elle, elle aura un beau sexe gorgé de semence, qui la prendra comme un chevalier servant et l’emportera dans une course folle, la chevauchant pendant des heures, assisté de sa palefrenière préférée, aux cuisses écartées pour elle…
Des heures de plaisir qui se profilent, une soirée idyllique, des amis, des caresses érotiques et d’autres sexuelles, un plaisir avoué, partagé, réparti, masculin et féminin, des gestes très osés, comme amoureux, si tendres, si intenses, que parfois on se demande si le deal ne prend pas une autre voie, moins libertine…
Quid des sensations sexuelles, quand le ou la partenaire se dédouble, qu’il devient plus que parfait, qu’on ressent en temps que femmes, des piques dans notre ventre, tirailler nos rêves intimes, imaginant ce partenaire idéal ressembler à Erwan, Pierre, Andréa ou Karine…
Que l’image nous suit, et que la tristesse s’installe dès que l’on est seule ?…
La sexualité libertine basée sur le sexe, aurait-elle des limites ?
Le libertinage, permettrait d’entrevoir un amour idéal ?
Une sorte de marqueterie de visages, un kaléidoscope de nos amants et amantes ?
Océane regarde le taxi de Karine tourner dans l’avenue de la Gare…
Erwan, la serre contre lui, elle pense à Pierre, à leur dernière nuit, à ce qu’elle lui a murmuré dans leur intimité, à Andréa et ses mains d’ange qui l’ont faite monter au septième ciel, comme ça, juste par des massages, des caresses secrètes, des regards merveilleux, quand l’on se parle avec les yeux…
- C’est quand qu’on les revoit ?
FIN
Marika842010
janvier 2021
Océane et Erwan acceptent de se rendre chez eux, un mois pile après leur second rendez-vous…
Coquineries et polissonneries ont jalonné ces rencontres.
Les deux couples ont pu faire amplement connaissance, s’apprécier, et maintenant ils sont presque tristes quand ils ne se voient plus.
La vie reprend ses droits, les appels se raréfient, mais au fond d’eux-mêmes, les délices qu’ils ont partagés sont encore bien vivants…
Pierre pense souvent à Océane, tandis que son épouse, Andréa, se souvient quand Erwan l’a caressée pour la première fois et qu’elle a ressenti un trouble merveilleux, quand le sexe de son amant d’un soir, l’a sodomisée dans ce réduit technique…
Pourquoi tant de complicité ? Pourquoi tant de plaisir entre les partenaires ?
Les femmes ont trompé leur mari, les maris ont trompé leur femme, et les deux sexes se sont livrés intimement…
La route se fait sombre, la pluie fait son apparition, tant pis pour la soirée dans le jardin, où il est très facile de devenir complices…
Le panneau Erquy leur rappelle leurs premiers émois, sur cette plage naturiste, où ils ont fait connaissance…
- Quelques kilomètres encore et nous serons arrivés…
Je sens la main de mon mari remonter entre mes cuisses…
- Tu veux t’arrêter un instant ?
- Comme on faisait avant de rentrer chez ta mère ?…
Un sentier, et un parking sous les pins…
La main n’a pas bougé, mais moi je suis à point !
Je me penche sur lui, je sors sa belle bite et commence une fellation de remerciement pour cette idée adorable…
Il me dézippe peu à peu de ma robe, arrive à ses fins, pelote mes seins, mais ayant la bouche pleine je ne peux m’exprimer…
Il caresse mes fesses, je mouille de plaisir, sentant sa bite se tendre sous mes mouvements langoureux… Il me désire et j’adore ça…
Le soir tombe, je la serre entre mes doigts… Elle est prête, elle est à point, bien humide…
On se contorsionne, pour passer aux places arrière…
Ma robe est devenue chiffon et trône sur le siège avant, ma nudité le fait frémir de désir…
Il s’est assis le vit en émoi, il me soutient par les hanches, j’écarte les cuisses pour me prendre au piège…
Le sexe glisse dans ma fente, je bouge, il pénètre ma vulve, et paf !
D’un coup de rein puissant il vient à la rencontre, je ne m’y attendais pas, il me plante d’un seul coup, je crie de surprise, de plaisir…
Sa main s’insinue jusqu’à ma chatte, et ses doigts attisent mon plaisir…
Il titille mon clitoris, tandis que le sexe me prend entièrement, je remonte et redescends, et c’est une chevauchée sauvage qu’il m’aide à accomplir, ses mains soutiennent mes fesses, et il m’étreint avec passion…
- Oh que c’est bon comme ça… Comme avant… On a bien fait de s’arrêter en urgence…
- Prends-toi sauvagement chérie, fais-toi jouir comme tu aimes, dévore ma bite avec ta chatte… J’adore ta douceur… Et ton fourreau est un trésor de tendresse…
- Mais j’aime aussi quand tu me baises, que tu m’encules, en levrette, mon cul relevé pour toi, je me sens toute chose, tu profites de mes deux orifices à ta guise et j’adore m’ouvrir pour te sentir plus fort, empalée par ta bite, sodomisée, et quand tu me portes à l’extase, en me chevauchant avec passion, et que tout bouge dans la maison, le lit, les chevets, l’armoire, et que je crie mon plaisir de te sentir venir en moi…
- Alors tiens ! J’aime arroser ton jardin de sperme, en t’explosant la chatte avec mes doigts…
- J’adore ça… Tu me prends par les deux trous, tu me masturbes et me sodomises…
- Tu as aimé quand Pierre m’a aidé à le faire… Un devant, un derrière…
- Oh oui, c’était divin et j’aimerais le refaire, c’était une expérience magique que de sentir vos queues déglinguer mes organes, me procurer des orgasmes fulgurants, me baiser avec fougue, à en rougir de honte… Mais que c’était génial et Pierre est aussi doux que toi… Et sa femme a eu le même traitement, tu l’as empalée la belle Andréa, elle vociférait de vos bites qui la lutinaient en cadence… Elle aussi a vu les étoiles…
Oh, oui, viens ! Je te sens, allez ! Oui ! Gicle ! Oh que c’est bon, que c’est chaud, que c’est doux… !!!
La voiture est embuée, je respire très fort, dernier orgasme, son sperme coule sur les sièges en cuir… Mais c’est de sa faute, il avait qu’à prévoir des mouchoirs…
Je retrouve ma culote, att**** ma robe, délaisse le soutien-gorge, je sors pour remettre de l’ordre dans ma tenue, soulevant largement ma robe…
Dans la voiture voisine, deux têtes me regardent me trémousser pour m’essuyer, et remettre de l’ordre de partout, en dévoilant mes charmes…
Ils viennent de terminer eux aussi…
La femme est assise, face à lui, aussi nue que moi, aussi empalée que je l’étais, elle savoure les derniers instants de leur étreinte, encore haletante de plaisir, une main quitte les épaules de son compagnon, et glisse un mouchoir entre ses cuisses…
Elle passe sa langue sur ses lèvres…
Son visage rayonne de bonheur…
Erwan n’a rien vu, le temps que je reprenne ma place, il démarre et on reprend la route…
J’ai eu le temps de détailler cette petite blonde, visage agréable, seins blancs et ronds, et lui, jeune homme brun, pas mal pour ce que j’ai pu voir…
Cet intermède m’a vivifiée et je descends guillerette pour embrasser nos amis…
Ils sont choux, ces deux-là, ils nous ont préparé des boissons, sur la terrasse, mais nous restons un long moment dans le salon, à nous dire bonjour…
Pierre m’embrasse le premier en effleurant mes lèvres, laisse traîner ses mains autour de mes seins, ce doux contact innocent me procure des sensations délicieuses…
Andréa se retrouve bouche à bouche avec mon mari, et donc, pas de raison de s’en priver…
Je me colle contre Pierre, qui sens mes seins libres sous ma frêle robe d’été…
Pas de chichis, je lui rends son baiser, je suffoque, il m’entraîne sur le canapé, ma robe n’en peut plus, mes seins sortent prendre l’air, mes cuisses s’ouvrent et il vient me sucer à genoux entre mes cuisses…
Sa langue est un délice, un apéro de folie, je gémis sans faire attention et les autres se retournent, puis Andréa se laisse empaler par Erwan, trop content de doubler la mise pour aujourd’hui…
Nous ronronnons comme deux chattes en manque de matou…
Ils nous rejoignent sur le canapé, on s’assied, on fait les folles, on s’empale sur nos amants, nos seins tressautant de plaisir, Andréa jouit la première, emportée par un orgasme, je la rejoins peu de temps après, allongée par terre, sauvagement baisée, le cul en l’air…
Belle entrée en matière, si je peux me permettre…
On a soif, peignoirs et terrasses…
Pas de voisinage, le soir est tombé, l’alcool me fait du bien, Andréa caresse mes cuisses sous la table…
- Je vous adore, j’ai envie de toi… Pour moi, seule…
- Cette nuit ? Ton mari va dormir…
- Le tien est déjà crevé, il parait que vous aviez pris de l’avance près de notre plage ?
- Oui… Une folie… En voiture, comme avant !...
- Nous, c’est dans la cave, on faisait le compte de nos bouteilles, on n’a plus de Bordeaux… Je suis montée pour voir les cartons sur la dernière étagère, il n’a pas résisté… Ses mains ont arraché ma culotte, je me tenais aux étagères, et il a tout fait, écartelée, sucée, fouillée avec ses doigts indiscrets… Quand je suis descendue, par peur de perdre l’équilibre, il m’a violée… Sur la table, en levrette… Quel pied ! Un élan soudain, le fantasme de me faire troncher par un inconnu dans un coin sombre…
- Et bien, tu as eu des péripéties…
- Ne m’en parle pas… Enfin, à la tienne, et à vous les mecs, on s’est régalées, vous nous avez bien accueillis…
C’est en préparant le dîner qu’elle a sorti du frigo, que nous nous abandonnons dans la cuisine… Peignoirs ouverts, seins caressés, puis bouts sucés, et le désir qui nous entraîne…
Cuisses ouvertes, on se masturbe, nos doigts s’enflamment, on s’ouvre, on feule, on se donne, on partage…
Me voici appuyée sur la table, elle m’étreint par derrière, un doigt s’enfonce dans mon vagin, un autre dans l’anus, je m’abandonne à sa folie…
Je jouis de ses doigts, je tremble de désir, de plaisir, et je râle en m’agrippant à la table…
Les hommes sont venus voir…
Pierre, me sodomise, Erwan la baise sur une chaise, levrette bien menée, orgasme assuré…
Je me sens soumise, une impression, étrange, mais en fait j’aime quand sa queue glisse dans mon rectum, se l’approprie, en diffusant son plaisir…
Chacune fait son chemin, on part vers la chambre, il me porte en riant, elle reste plantée par mon mari, jusque sur le lit et c’est un festival d’échangisme…
Lui et moi, elle et lui, moi et elle, lui et lui…
Ça suce, ça bande, ça jute, ça mouille, ça s’empale, ça se fait empaler, ça se fait doigter, et ça rend la monnaie…
J’ai du sperme sur le visage, elle est maculée aussi, Pierre a débordé ! Erwan l’a imité…
Nous sommes en sueur, on se retrouve sous la douche toutes les deux, à se frotter l’une à l’autre, savon, puis avec nos seins…
Coquineries, tendresses, caresses… Que du bonheur !
Ils viennent nous déloger, la queue basse…
Ils font pareil, se branlent mutuellement, et nous suçons leurs bites en fin de vie pour terminer cet apéro érotique…
On passe la nuit tous les quatre, enlacés, heureux de partager des instants si reposants…
Quelques baisers volés, des seins caressés, c’est tout jusqu’aux premières lueurs du jour…
Je sens la bonne odeur du café, et des croissants qui tiédissent, avec leurs copines les brioches, dorées à point… Confiture, beurre, miel, flocons, et des jus de fruit…
A moitié habillées, les yeux a demi fermés, nous devenons ogresses…
Il faut refaire le plein d’énergie…
J’ai envie de courir sur la plage…
Il fait gris, mais le soleil n’est pas loin, par contre le vent est frais, j’enfile un jogging…
Andréa me suit, les hommes s’interrogent…
Pierre a une nouvelle console, avec un jeu à la pointe de la technologie…
- Qu’est-ce que vous voulez faire aujourd’hui ?
- Tu pourras me masser, il parait que tu étais une pro…
- Je le pratique encore, à des clientes, des voisines… Un peu de noir… Mais c’est gratuit pour mes amies…
- Nos hommes aussi ?
- Oui, j’aime les caresser… Et puis ils bandent… ça me plait alors de les exciter, et ça termine souvent en baise… Cela dit, j’adore les sucer… et je mouille comme une malade…
- Miam… Et après ?
- On prévoit le réveillon, vous restez ?
- Bon, oui… On en a pas parlé, mais on pourrait vraiment se lâcher…
- Qu’est-ce qui te ferait plaisir ?
- Vous deux…
- Pierre a un copain qui vient souvent manger avec nous, il est sympa, et seul…
- Oui…
- Nus du début à la fin ? Un réveillon naturiste ?
- Oh, oui, juste un truc en plume, de quoi exciter ? Oh, oui ! Super idée… On va se faire démonter… Un homme de plus…
- Tu en veux d’autres ? Des couples ? Il faut leur donner de quoi se défouler…
- De la chair fraîche ? De belles chattes qui n’attendent que ça… J’en ai l’eau à la bouche…
- Fais voir !...
On décide ensemble, avec nos hommes et ils sont d’accord pour le réveillon coquin, juste un accessoire…
Pour la buche glacée, elle une idée, mais elle me laisse sur ma faim…
Le temps s’est levé, et après le repas, promenade digestive sur le chemin du littoral, dans les dunes et sur le rivage…
Bain, très coquin, nous sommes émoustillées par la pensée de se retrouver demain soir…
Nous évitons de nous donner en spectacle, car nous ne sommes plus sur la zone naturiste… Nous revenons par le sentier des dunes…
J’ai envie de faire pipi… Andréa m’aide à repérer un endroit discret…
Les hommes nous attendent, ils descendent carrément se re-baigner…
Bon, on a trouvé un coin entouré de végétation assez haute…
- Tu aurais pu aller dans l’eau…
- C’est vrai…
Une fois terminé, on continue malgré tout, bras-dessus, bras-dessous…
Une zone plus désertique sur la gauche, on bifurque du sentier…
La petite blonde de la voiture de ce matin est écartelée, chatte au soleil… Un havre de verdure dans ce coin aride…
Son ami est invisible…
- Bonjour, tu me reconnais ?
- Oui, j’ai bien flashé sur toi… Je suis Karine…
- Et moi Océane, mon amie Andréa…
- Vous habitez par ici ?
- Oh, non, on n’est pas ensemble, c’était un copain de rencontre… Je suis d’ici, oui, vers le Château Marly…
- Oh ! Beau quartier…
- Oui, un peu isolé et franchement oldy… Pas de mecs… J’angoisse parfois, alors je viens me promener, je rencontre des gens, je drague, me fais draguer, mais j’aime ça… Et le tien ?
- Avec son mari dans l’eau…
- Vous avez le temps ?
- Pour ?
- Faire connaissance, venez, il y a un coin charmant…
Nous la suivons, ses petites fesses tressautent devant moi… Ses seins juste couverts d’un châle, attirent mon regard…
Havre de nature, entouré de roseaux, de verdure… Elle se met nue, nous aussi…
On s’allonge dans le sable fin et sec… Elle vient sur moi, m’embrasse, son pubis contre le mien pour une danse folle…
Andréa la caresse, caresse ses seins, cherche sa bouche…
Nous voici toutes les trois en train de faire l’amour…
Sa chatte est large et s’ouvre sous mes doigts, je la masturbe, plantant 3 doigts au fond de son vagin dilaté… Elle se frotte contre Andréa en ondulant sous ma caresse… Elles échangent aussi des baisers, se pelotent, Andréa se met à onduler aussi, écartelée devant nous, le sexe envahi par la main de notre nouvelle copine…
3 chattes en chaleur, au soleil, qui miaulent ensemble…
On se frotte l’une contre l’autre, en ciseaux, sexe contre sexe, en feulant notre plaisir, Andréa s’est écartelée sur son visage, elles font un 69 charmant, jusqu’à un premier orgasme de la petite blonde…
- Oh, tu aimes ça…
- Oui, prends ma chatte, tu peux me doigter aussi… J’aime la sodo…
- On va aller voir nos mecs alors, ils adorent les petits culs comme le tien…
- Mais je suis vannée… Je ne sais pas si je pourrai encore…
- Fais la bête…
Quelques succions plus tard, nous voici toutes les trois devant nos hommes endormis…
- Voici Karine, une copine des sables…
- Salut, moi c’est Pierre, et lui c’est Erwan…
- Vous venez vous tremper, elle est bonne…
- Moi aussi, il parait… C’est Océane qui me l’a dit…
Ils ont vite fait de la prendre chacun par un bras, de la soulever, de l’entraîner au large, de la caresser, la bite de Pierre est la première dans sa chatte, et celle d’Erwan, vient compléter le tableau, par un superbe sandwich…
Elle a l’air d’aimer se faire prendre en duo, et elle frémit de plaisir, en se donnant à fond aux deux bites qui la travaillent avec ardeur…
Ils se régalent à la faire crier, synchronisant leurs assauts, se défoulant, l’échangeant, pour la défoncer…
Elle se laisse faire, véritable poupée de chiffons savourant les deux queues qui la baisent…
Elle embrasse Pierre devant elle, en ondulant sous la bite d’Erwan qui la prend en levrette, par derrière…
A les regarder, on se gouine toutes les deux, ivres de les voir l’enfiler comme une putain, se la prêtant volontiers, pour qu’elle les suce sous l’eau…
Puis elle s’écartèle pour se planter la bite de Pierre, avec frénésie, gémissant et tremblant sous son étreinte…
Erwan attend sagement, en la soutenant, l’embrassant, jusqu’à ce qu’elle ait joui…
Ensuite, il la baise à son tour, la serrant contre lui, l’eau à mi-torse, ses beaux seins découverts, alors qu’elle l’enserre de ses cuisses, et qu’il peut les masser à volonté, la faisant jouir…
Elle atteint encore un orgasme, il doit être au bout, elle se laisse inséminer, elle vocalise en sentant la délivrance de son amant…
- Oh oui !... Baise-moi à fond… Délivre-toi en moi ! Jouis de moi !... J’aime être possédée, je me sens femme, pleine de semence…
- Vas-y, encule-la aussi, elle est à point et elle adore ça…
Pierre la soulève et l’empale sur son dard, elle gémit, puis elle jouit jusqu’à ce qu’il éjacule aussi dans ses entrailles…
- Oh ! quels hommes… Quelles queues ! Je suis comblée… Après vos délicieuses femmes, qui m’ont tant excitée, je n’ai pas résisté à vous connaitre… Avec leur accord, bien entendu…
- Tu es si sensuelle et si rayonnante… Tu baises avec tout le monde comme ça ?
- Cela m’arrive, mais normalement je suis sage… Là, je suis en vacances et je me dévergonde… Je me lâche, et je fais le plein de souvenirs pour mes longues soirées d’hiver, solitaire et entourée de neige… J’habite en chalet, en montagne, j’ai la charge d’une petite école dans un petit village des Alpes…
- Oh, super !... Et tu t’évades ici, en profitant au maxi du sexe et de la baise !
- Oui, je fais tout ce qui se présente, j’accumule les amants… Je n’ai pas de limite, sauf pour ce qui est trop sale ou douloureux… J’aime les soirées sur la plage entre copains, les parties dans les manoirs, les villas privées, avec les gens de la haute, les médecins, avocats, les hauts gradés, les édiles, la fine fleur politique… Femmes, hommes, connus parfois, enfin tout ce qui se présente… Là, j’ai craqué sur vous 4, un ensemble bien équilibré, beaux, sensuels, corrects et performants… C’est agréable de se laisser emporter par les sens… Mais je viens d’arriver et je n’ai pas encore posé mes valises…
- Tu veux venir chez nous ? On peut t’héberger…
- Vraiment ? Ça ne vous dérange pas ? Je vais rompre votre équilibre…
- Nos amis ne sont là que ce week-end… Autant en profiter avec nous…
Arrivés, la douche est prise d’assaut, Karine, rejoint les femmes, je me laisse emporter par des mains adorables, des caresses très tendres…
- Tu as envie d’un massage ?
- Intégral ?
- C’est compté… Et toi Karine tu aimes te laisser tripoter ?
- Oui, c’est relaxant et sexuellement appréciable… Nous, on ne bande pas, on n’affiche pas notre désir comme un étendard, mais on sécrète, on mouille, pour faciliter les rapports… Je m’en aperçois à ça, aux poils détrempés, aux seins gonflés, aux cuisses qui s’ouvrent, et aux yeux langoureux de certaines, venues exprès, dans mon salon, parfaitement au courant de mes aptitudes, grâce à une amie bienveillante…
Les voilà dans la chambre d’amis, où un salon complet est installé, étant la formation et le métier de Andréa.
Je m’allonge sur la table, nue et offerte aux mains douces de mon amie… Karine se délecte de mes mimiques, car je vibre sous les caresses de plus en plus précises…
Quand je me mets à feuler, Karine se masturbe devant moi et vient quérir des caresses…
- Viens Karine, mets-toi entre ses cuisses, tu pourras la lécher, et moi, te caresser…
Le cul d’Andréa virevolte sous les mouvements, qu’elle imprime à sa patiente, surtout quand elle se penche sur elle, sur ses seins, lorsqu’elle l’entend jouir de la langue de leur nouvelle partenaire de jeux…
La petite blonde est trempée de désir, elle prend la place d’Océane et subit les assauts croisés des deux amies…
Les hommes entendent les gémissements qui proviennent de la chambre du fond…
- Elles se gouinent toutes les 3…
- Elles doivent être trempées…
- On s’enfoncerait comme dans du beurre… Ça te dit ?
- 3 chattes et trois culs…
- Et 3 bouches pour nous sucer…
- Tu bandes comme un âne…
- Echauffe-toi avec moi…
Pierre prend le sexe érigé, le masse, puis le prend dans sa bouche… Erwan se glisse sur le côté et fait pareil… Un 69 masculin, une fellation échangée, des sensations pleines de sensualité… Puis ils se dirigent vers la salle de sports…
Elles sont à terre, sur les coussines et les matelas, et se broutent à foison, échangent, jouissent, se donnent, se masturbent, s’offrent, orgasment, et deviennent folles en voyant les membres érigés des deux hommes se mêler à leurs ébats…
- Oh, oui, venez… Baisez-nous, enculez-nous, on est à point, ivres de désir masculin, on vient de jouir une heure de nos langues et de nos doigts…
- Oui, venez nous saillir, nous sodomiser, montrer que vous êtes des hommes, des mâles, baisez nos chattes en chaleur…
- Oh, oui, enfilez vos queues dans nos méats grand-ouverts, détrempés de nos mouilles, prenez votre pied, jouissez, mais lentement, prenez votre temps, faites-nous délirer avec vos sexes en rut…
- Et bien, quelle soirée, on va se les niquer avec plaisir, on va les troncher comme des salopes, les faire crier de plaisir, les prendre à deux, les envoyer au ciel, leur faire voir les étoiles…
Karine, écartelée, en levrette, sodomisée la première par Pierre, sauvagement baisée, puis prise en même temps par Erwan, cuisses écartées, chatte perforée, comme un marteau-piqueur, bramant cet assaut masculin, jusqu’à un puissant orgasme qui le cloue à plat ventre…
Océane en profite pour venir sucer sa chatte détrempée, elle-même défoncée par Erwan surexcité…
Pierre se glisse contre Karine et la prend en capitaine de navire, écartant les cuisses, profitant de son fourreau de soie pour l’envoyer au paradis du sexe…
Andréa se laisse prendre par Pierre, et à son tour gémit et jouit de sa longue queue…
Karine se colle à elle, lui pose sa chatte sur ses lèvres…
Folies, démoniaques, délirantes, jusqu’à ce que les hommes se vident ça et là, par petites doses, les inondant de sperme, partageant ce plaisir de femme de lécher les restes sur leurs queues apaisées…
Enchevêtrés, enlacés, embrassés, les seins meurtris à force d’être massés, les bites délicieusement nettoyées, les chattes grand-ouvertes, exposées, rougies, encore marquées par des ruts sauvages, les anus rougis et aussi ouverts par leurs amants enchaînés…
Que de sexe cette nuit, et jusqu’au matin, prenant quelques repos et recommençant à se toucher, se doigter, se sucer, tendrement enlacées et caressées pour ces dames, entre elles et avec leurs maris satisfaits…
Que c’est bon d’atteindre ce paroxysme, ce niveau de plaisir entre amis, se laisser conduire, ou prendre les devants, jouir sans arrière-pensées, nos trois jeunes femmes se sont régalées, et se retrouvent assoiffées, en réclamant des viennoiseries à foison !!!
Erwan se dévoue alors, et sort…
C’est un déchaînement sur celui qui reste !
Nos 3 femelles en délire fondent sur lui, se donnent, le partagent, le sucent, s’en repaissent, et le laissent sans force, vidé, épuisé, à moitié évanoui…
Les croissants et brioches sont déposés dans le salon, le café est prêt, elles arrivent en chantant, et se ruent sur lui pour le remercier, mélangeant les croissants, et son sexe, pétri par 6 mains expertes, et englouti par trois chattes affamées, sur le canapé ébahi…
Elles baisent en mangeant, elles mangent en s’enfonçant le membre dans leur vagin béant de salive et de cyprine, et se donnent à fond pour un ultime plaisir…
Karine, aidée par les deux autres, se laisse posséder, les fesses écartelées, l’anus dilaté, et elle brame sa jouissance sous les assauts de ses partenaires… Des doigts se glissent s’immiscent, tournoient, son clitoris devient rouge, ses seins sont triturés, elle est au supplice et jouit d’un orgasme puissant et dévastateur…
Lui aussi est vidé, asséché, débandé, et bon à jeter après cette tornade…
Elles en sourient, en parlent, en se resservant de café et de thé, puis s’embrassent et s’enlacent, dans le grand lit de la chambre parentale, trois vestales ivres de sexe, se ressourcent tendrement…
Ce tableau merveilleux, d’amitié, de sexe, de partage, se poursuit toute la nuit du réveillon…
Elles n’échappent pas à la bûche fourrée… Mais où ?
Oh, tous pensent à la même chose… Délicate pâtisserie glacée…
Qui fait se délier les langues les plus coincées… Les plus inventives, les plus assoiffées…
Pas de cotillons, en égard à l’aspirateur robot du salon…
Et les langues se délient jusqu’au dessert suivant, le champagne coule à flots, les bulles semblent jouir dans leurs nouveaux écrins…
La fête continue, les esprits vagabondent, la bouteille s’aventure, sous les rires sadiques, mais les femmes y tiennent, la première à réussir à l’avaler c’est notre nouvelle amie, pas mal de pratique pendant ses vacances a ouvert sa voie royale, et la bouteille trône, renversée, prenant ses aises dans un vagin hyper dilaté… Accouchement de mots sans suite, câlins des hommes impressionnés, baisers émus de ses deux amies, qui essaierons aussi…
Karine, grisée par ses exploits, devient un objet de partage, les deux hommes essayant de la prendre en lieu et place du récipient de verre…
C’est sans problème que leurs sexes, suivent le trajet des bulles, plongeant à leur tour, ensemble dans ce merveilleux fourreau blondissant et chaud comme la braise…
Elle jouit à en perdre la tête, en sandwich, ressentant cette fois la chaleur des deux membres bandés dans son logis…
Elle jouit jusqu’à ressentir les derniers assauts de délivrance, accompagnés de coups de reins démoniaques et orgiaques, embrassée et caressée par ses consœurs, les deux hommes éjaculent longuement, empalés dans ce vagin béant, rougi et si accueillant…
Quelle jouissance infinie…
Leurs femmes viennent nettoyer les traces de leur lutte…
Karine les remercie en léchant à son tour, nos deux amies en extase…
La nuit est vite passée à ce rythme…
Les étoiles se sont enfuient sous le soleil qui arrive…
Jamais Océane et Erwan ne connaîtrons d’aussi incroyables moments de libertinage…
Océane s’est donnée à Pierre, longuement embrochée dans le petit salon par un amant délicieux… Elle savait… Elle voulait…Quand elle l’a sucé longuement, il bandait tant qu’elle s’est jetée à terre, le suppliant de la prendre comme une chienne… Elle lui a fait l’amour dément, abandonnant ses bonnes manières, la chatte en folie, se révélant tigresse, le labourant de ses griffes, haletant sous les coups de bite….
Il explosa enfin, la délivrant comme rarement elle n’avait joui…
Andréa, avait ressenti cette attirance sexuelle qu’Erwan lui incitait… De son côté, Karine, épuisée par sa nuit, dormait dans l’autre lit…
Elle prit le sexe dans sa bouche, et de ses lèvres lui fit une fellation de princesse…
Il n’en revenait pas de voir sa bite disparaître entre les lèvres humides, guidée par une main savante et coquine qui venait tendrement exacerber ses bourses…
Ce fourreau délicieux, de salive mélangée, ce plaisir subtil d’une pipe royale, il devint un ogre, la renversant et plongeant en elle son dard impressionnant…
Sa surprise fut totale quand elle le sentit repousser ses organes, en apnée profonde dans son vagin émerveillé…
Elle criait son plaisir, emportée par ses sens, ressentant de partout cette débauche de sexe, et lui qui la plantait en cadence infernale, leurs pubis se percutant à une vitesse folle…
Elle tint jusqu’au bout, du bout…
Elle se déchaina à son tour, tant c’était insoutenable, elle le voulait, elle le prenait, elle le griffait, lui labourait les épaules, comme une tigresse en folie, dépassant tous les orgasmes qu’elle avait pu avoir…
Quand elle le sentit proche de l’insémination, elle s’ouvrit à lui, comme si elle voulait cet enfant qu’il semblait lui faire, éjaculant longuement au fond de son vagin…
Les cuisses écartelées à 180 degrés, elle criait de plaisir en position du poirier, il la prenait presque debout, plongeant son dard à la verticale…
Quel pied de les voir ainsi, baisant comme des malades, des névrosés, des amants diaboliques, atteignant le paroxysme de cette union libertine…
Océane me raconta tout ça…
Karine accepta de passer quelques jours avec eux, pour le plus grand plaisir d’Erwan.
Ils étaient repartis le lendemain matin, des larmes dans les yeux, même Karine perdait un partenaire particulier, et une amante délicate… Pierre et Andréa…
Pendant le trajet, ils commentèrent ces quelques jours, Océane était triste mais avait récupéré cette nouvelle amie et Erwan se consolait dans la tournure que prenait ce retour à 3…
Karine, dès son arrivée chez le couple, alla se baigner nue dans la piscine, revint faire l’amour, dans un trio indicible de tendresse et de liberté…
Elle se pliait à leurs plaisirs, leur volonté et même les suivis le premier soir, dans un établissement pour adultes, s’exhibant sans retenue parmi la clientèle, déclenchant une ruée d’admirateurs, qu’elle partagea avec le couple…
Océane connut ainsi un trio avec deux black en rut, deux phénomènes qui la déchirèrent, elle n’en pouvait plus de se faire prendre par ces deux dingues de sexe…
Enculée par les deux ensemble, fistée par Karine, qui subit aussi ces vagues jouissantes, se donnant à eux comme une névrosée…
Erwan, regardait, partagea d’autres délices, dont deux blondes atomiques, avec des seins prêts à exploser, qui semblaient gonflés outrageusement, et qui se donnèrent à lui dans un concert de miaulements aigus et excitants. Elles n’en revenaient pas de sa virilité, de sa ténacité, et de ses prouesses, car elles durent demander grâce, avant qu’il ne le fasse…
Les deux nouvelles amies, de retour à la villa, discutèrent d’une invitation aux prochaines vacances, avec Andréa et Pierre, un voyage tous les cinq, Karine était d’accord, Océane se sentit fondre sous le sourire coquin qui détaillait ses formes…
Erwan comprit qu’il lui faudrait se surpasser ce soir, les deux filles s’embrassaient déjà en gémissant, allongées dans le canapé du salon, sans avoir pu quitter leurs vêtements avant.
Cette vue sur leurs charmes, dévoilés ça et là, Océane est sur Karine, elle dézippe la robe, puis fait glisser les manches, enlève le haut, la robe glisse par le bas, la culote la suit…
Océane est offerte, son peignoir retroussé, le temps que Karine termine de l’enlever…
Les beaux seins apparaissent, le slip est libéré, elle tourne son amie, se mettant à genoux.
Elle bascule les cuisses, genoux repliés, sa bouche fond sur le minou offert…
La langue entre dans la danse, lèche jusqu’à entendre les premiers râles…
Les doigts arrivent en renfort, et se montrent audacieux…
Et tandis que le beau cul d’Océane suit les mouvements de son buste, sa voix s’envole dans toute la pièce, comme une stéréo, amplifiée de multiples arpèges, la bouche imprégnée du nectar de Karine, salivant à loisir, puis suçant sans réserve, de l’anus à l’extrémité intime…
Océane sent le désir l’envahir, son ventre se serrer, sa vulve s’ouvrir, quémander des caresses…
Elle regarde en arrière, croise les yeux de son mari…
Erwan, prêt à intervenir, plante son épée dans le cul de sa femme, la saisit par les seins qu’il aime à pétrir, comme une belle pâte, friandise en devenir…
Karine jouit autant d’apercevoir le couple, que de sentir les doigts l’emporter vers un orgasme divin, le regard d’Erwan, vissé dans le sien…
Elle va y passer, c’est certain, et à la place des doigts qui frétillent en elle, elle aura un beau sexe gorgé de semence, qui la prendra comme un chevalier servant et l’emportera dans une course folle, la chevauchant pendant des heures, assisté de sa palefrenière préférée, aux cuisses écartées pour elle…
Des heures de plaisir qui se profilent, une soirée idyllique, des amis, des caresses érotiques et d’autres sexuelles, un plaisir avoué, partagé, réparti, masculin et féminin, des gestes très osés, comme amoureux, si tendres, si intenses, que parfois on se demande si le deal ne prend pas une autre voie, moins libertine…
Quid des sensations sexuelles, quand le ou la partenaire se dédouble, qu’il devient plus que parfait, qu’on ressent en temps que femmes, des piques dans notre ventre, tirailler nos rêves intimes, imaginant ce partenaire idéal ressembler à Erwan, Pierre, Andréa ou Karine…
Que l’image nous suit, et que la tristesse s’installe dès que l’on est seule ?…
La sexualité libertine basée sur le sexe, aurait-elle des limites ?
Le libertinage, permettrait d’entrevoir un amour idéal ?
Une sorte de marqueterie de visages, un kaléidoscope de nos amants et amantes ?
Océane regarde le taxi de Karine tourner dans l’avenue de la Gare…
Erwan, la serre contre lui, elle pense à Pierre, à leur dernière nuit, à ce qu’elle lui a murmuré dans leur intimité, à Andréa et ses mains d’ange qui l’ont faite monter au septième ciel, comme ça, juste par des massages, des caresses secrètes, des regards merveilleux, quand l’on se parle avec les yeux…
- C’est quand qu’on les revoit ?
FIN
Marika842010
janvier 2021
4 年 前