LUCILE & LUCILE/3
Il est 20h précise lorsque la sonnerie de l’interphone retentit. Je vois à l’écran l’Audi A1 rouge de Lucile, toujours ponctuelle, elle passe le portail et s’engage dans l’allée.
Je l’accueille sur le pas de la porte, elle est resplendissante dans une jupe bleu outremer, assortit à ses yeux, et un chemisier écru en soie. Ses escarpins écru sculptent ses jambes, ses hanches ondules au rythme de ses pas. Elle est tout sourire. C’est la première fois que je la vois autrement que dans ses pantalons moulants et j’avoue humblement que je la préfère les jambes nues.
- « Dites moi, vous avez une magnifique maison »
- « Oui, merci, effectivement elle est pas mal, un peu grande depuis mon divorce, mais bon, j’y suis bien, alors… »
- « Vous êtes très bien placé, et cette vue ! » dit-elle en regardant la mer
- « Oui, on ne s’en lace jamais »
Je la prends par la taille, pour l’inviter à entrée. Elle m’enlace sur le pas de la porte, m’embrasse langoureusement, puis entre. Elle me précède, j’admire son déhanché et ses mollets bien dessinés. Elle s’arrête et scrute du regard l’environnement dans lequel je vis et dit :
- « Ouah, j’adore cette villa, elle est très contemporaine, mais le parquet et la décoration réchauffe l’atmosphère plutôt glacial de ce type d’architecture. Franchement, bravo, c’est magnifique. »
- « Merci Lucile, venez vous installer dans le salon » lui dis-je en lui prenant la main.
Je l’accompagne et lui propose de s’installer confortablement dans le grand canapé, face à la baie vitrée démesurée de plus de huit mètre par quatre de haut, ensemble coulissant et à galandage libérant l’accès à la piscine et ouvrant sur un panorama de mer et d’horizon. Alors qu’elle s’installe, je passe dans la zone cuisine et reviens avec un plateau de pièces apéritives (surgelés d’une marque bien connu), une bouteille de champagne dans un seau plein de glace et deux coupes. En posant l’ensemble sur la table basse je lui dis :
- « j’ai fait simple, un peu de champagne, ou autre chose si vous voulez, et quelques petites choses pour accompagner, je n’ai pas eu le temps de me mettre en cuisine. »
- « Ce sera parfait, je ne suis pas venu pour faire un repas gastronomique, et le champagne, vous ne pouviez pas mieux tomber. »
- « très bien alors » dis-je en ouvrant la bouteille
Je remplis les coupes et lui en tends une. Nous triquons et discutons tout en grignotant les divers petits toasts. Elle me pose beaucoup de question sur moi, ma vie, mon ex femme, Patricia, mes enfants, trois filles de 13, 11 et 7ans. Je lui réponds naturellement, sans retenu. Je dis tout ce qu’elle veut savoir, notre vie libertine, puis une envie de se ranger pour Patricia, le début d’un désaccord, puis les reproches s’enchainent, s’entassent et l’idée d’une séparation arrive. Un divorce à l’amiable, sans heurt, nous restons très bons amis. Nous sommes presque voisins, elle a trouvé une maison à quelques centaines de mètres et nous l’avons acheté pour qu’elles s’y installent. Mes filles viennent dès qu’elles en ont l’envie, tout va bien, même si la solitude me pèse parfois.
Nous enchainons les coupes et la deuxième bouteille est déjà bien entamée quand Lucile ce jette sur moi. Pas violement, à la Lucile. Elle pose délicatement sa coupe vide sur la table basse, me libère de la mienne et la pose. Puis, se lève, dégrafe, fait tomber sa jupe sur le tapis et vient s’installer sur mes cuisses, face à moi pour m’embrasser. Assise à califourchon, mes mains se pose directement sur ses fesses nues. Mes doigts partent à la recherche de sa petite culotte, et c’est un string que je trouve, bien enfoncé entre ses deux fesses. Elle quitte mes lèvres et ses mains déboutonnent lentement ma chemise. J’en fais de même avec son chemisier, puis retire son soutien-gorge de dentelle blanche. Je suis torse nu, elle, revêtu d’un simple et minuscule morceau de dentelle. Ses mains glissent sur ma ceinture, mais la position n’est pas idéale et l’invite à se lever. Une fois tous les deux debout, elle m’enlace à nouveau, m’embrasse longuement, puis baise mon torse, embrasse mes abdos et s’agenouille devant moi. Je l’aide à finir de me déshabiller. Un fois totalement nu, elle commence à me caresser le sexe du bout des doigts. Ils courent sur ma tige en douceur, une main se glisse dessous en vient flatter mes couilles avec beaucoup de délicatesse. Sa bouche s’approche de mon gland, et sans y toucher, souffle un petit vent chaud des plus enivrant. Je vois ma verge gonfler sous l’influence de cette pratique, grandir et se tendre en hommage à ses douces mains. Une fois en totale érection, le bleu de ses yeux rivés dans les miens, elle ouvre la bouche, une bouche que je n’avais pas remarquée aussi grande, et s’avance pour faire disparaître mon gland. Ses lèvres se referment et viennent épouser ma verge. Je sens sa langue venir danser autour de mon gland, elle glisse, court, frotte et tourne sur mon extrémité. Elle titille mon urètre puis joue avec mon frein de la pointe de sa langue. Une caresse pleine d’attention et de délicatesse que j’encourage en lui posant une main sur la joue. Elle joue un long moment à ce petit jeu et peu à peu, je vois sa tête avancer vers moi, ses yeux toujours dans les miens, elle scrute mes réactions. Ses lèvres coulissent lentement et progresse autour de ma verge. Après une dizaine de minute, elle me suce sur environ vingt centimètres. Mon gland bute régulièrement contre le fond de sa bouche, mais Lucile ne bronche pas, pas un haut le cœur, pas une larme ne s’échappe de ses beaux yeux. Imperturbable, elle maintient un rythme lent et maitrisé. Une main accrochée délicatement à mes bourses, elle me suce merveilleusement bien.
Je lui propose de nous installer sur le canapé, elle cligne des yeux en signe d’approbation et libère centimètre par centimètre ma queue, puis se lève. Lucile m’embrasse d’un doux baiser chargé de salive et me demande de m’allonger. Une fois sur le dos, elle vient me chevaucher, en soixante neuf, s’installe confortablement, ses genoux bien callés. Elle reprend immédiatement sa fellation et fait descendre ses fesses pour venir les poser sur mon visage. Mon nez contre le morceau de dentelle étroit, au niveau de son périnée, j’hume l’odeur du tissu imbibé de cyprine. D’un doigt j’att**** et écarte la fine protection qui sépare encore ma bouche de son sexe et de son anus. Ma bouche embrasse cette vulve gonflée et appétissante. Ma langue se perd dans son intimité, tourne et virevolte dans son vagin comme s’il s’agissait de sa bouche. Sa bouche, m’enveloppe de plus en plus profondément. La sensation est délicieuse, magique, rare. Mon gland passe dans sa gorge, elle s’immobilise, puis après quelques secondes, remonte à la surface pour reprendre sa respiration et replonge. C’est une adepte des gorges profondes, la pratique semble parfaitement maitrisée. Nous gémissons tous les deux de façon très étouffée, mais nous prenons plaisir. Mon nez contre sa rondelle entrouverte, ma langue fouille son sexe et excite son bourgeon. Lucile, s’agite doucement, des petits mouvements d’avant en arrière, de son bassin, lui font frotter sa vulve sur mon visage et s’empale même sur mon nez. Mes couilles bouillonnent, la fellation va prendre le dessus sur ma résistance. Mes mains sur ses fesses, mes jambes tremblent, se replient, se serrent et emprisonnent sa tête. Deux doigts pénètrent sont anus, la langue travaille sont clitoris, mes genoux écrasent sa tête et ma verge expulse un premier jet de sperme épais et chaud qui s’écoule dans sa gorge. Les autres, moins puissants se répandent dans la bouche de Lucile, qui inonde la mienne par un orgasme simultané. Elle garde ma queue en bouche, sa langue à l’affut des dernières gouttes retardataires. Je lape et nettoie son sexe luisant du bout de la langue. Chacun de mes coups de langue la font tressauter, trembler et gémir. Elle se relève pour se libérer, et vient s’allonger et se blottir c tout contre moi. Nous nous embrassons, un baiser passionné, un SCS, cocktail de Salive, Cyprine, Sperme. Un baiser délicieux et interminable. Elle embrasse divinement bien.
Nous nous prélassons quelques longues minutes, puis je propose à Lucile de passer à la chambre. Nous nous levons et en la prenant par la main, l’emmène à l’étage. Nous entrons, elle se dirige directement vers la baie vitrée donnant sur une terrasse et la vue sur le soleil couchant. Un panorama romantique pour une Lucile qui ne l’est pas moins. Elle plaque son dos contre mon torse, mes bras s’enroulent autour de sa taille, mon visage sur son épaule, j’embrasse sa joue et son cou. Mes mains caressent doucement son ventre, puis montent lentement vers ses petits seins et ses gros tétons proéminents. Je fais glisser ses deux bourgeons de chair entre la base de mes doigts tout en empaumant sa petite poitrine. Je les presse tendrement et les sens gonfler et durcir. Sa tête bascule en arrière pour se poser dans le creux de mon épaule. Elle fait onduler ses hanches, ses fesses frottent mon sexe qui répond aussitôt à l’appel. Mon membre se dresse, gonfle entre les jambes de Lucile, qui écarte légèrement les cuisses pour le laisser passer. Après avoir fait des petits cercles avec ses fesses, elles vont et viennent maintenant d’avant en arrière et font coulisser ma queue entre ses cuisses serrées et la dentelle du string. Mes doigts relâchent les tétons bandés et mes mains glissent jusqu’à ses hanches larges et douces. Tout en me reculant, mes pouces passent sous la dentelle et font glisser le string au delà de ses cuisses. Le bout de tissu tombe sur ses chevilles, Lucile lève un pied et après l’avoir reposé à coté, de l’autre envoie le string voler à travers la pièce. Une fois totalement nue et toujours chaussée de ses hauts escarpins, elle revient dans la position initiale tout en attrapant mon sexe durement bandé entre des cuisses. Mes mains retrouvent sa petite poitrine, mes doigts pressent ses tétons et mes lèvres parcourent sont cou. Ma verge coulisse entre ses cuisses, plaquée contre sa vulve. Par les délicats mouvements de ses hanches, elle se caresse contre mon membre, frotte son clitoris contre l’ourlet de mon gland, se fait du bien, elle gémit. Je la laisse faire, reste à son écoute, subis avec délice ses vibrations et contractions de ses cuisses. Sa vulve arrose ma verge de sa lubrification abondante. Un mouvement vers l’avant, avec plus d’amplitude et un mouvement lent vers l’arrière, en se cambrant et relevant ses fesses, elle se pénètre seule, debout. Mon gland écarte ses chairs, elle s’empale de toute ma queue, en posant ses mains sur la vitre pour prendre appui. La pénétration est accompagnée d’un puissant gémissement et la conclusion d’un « wouahhhh que c’est bon ». Une fois empalée, elle se redresse contre moi. Mes mains maintiennent ses hanches et accompagnent ses lents mouvements. Je lui laisse le contrôle, la maîtrise, elle qui me paraissait passive, se découvre active, calme, mais active. Petit à petit, mes hanches viennent à la rencontre des siennes, augmentant l’amplitude et rendant les coups plus percutants. Ses gémissements se font plus sonores, mes coups de reins finissent par donner le rythme, elle s’abandonne à cadence. Les retraits sont lents et longs, les pénétrations sont rapides et puissantes. Chaque fois que mon bassin vient percuter ses fesses, elle fait un tout petit pas en avant et se trouve plaquée contre la vitre froide de la baie vitrée. Une joue, les seins et le ventre écrasés contre le verre, mes mains plaquées sur les siennes, au dessus de sa tête, les bras vers le ciel, je la maintiens. Son corps brulant contre cette grande vitre froide d’une soirée du moi de mai, la fait frissonner de froid et de plaisir. Sa respiration dessine un halot de buée sur le verre. Elle tremble, gémit, ma queue fait des « floc, floc, floc… » dans son vagin. Ses poings se ferment dans mes mains, ses fesses viennent à la rencontre de mon membre qui la ramone vigoureusement, elle jouit. Elle jouit en lâchant un cri perçant, puissant. Elle jouit en libérant encore et encore son jus de plaisir, rendant bruyant notre coït. Un bruit obscène, mais un bruit démontrant le niveau de plaisir atteint par Lucile.
Son corps devient mou, ses bras lourds tombent le long du corps, ses jambes flageolent, sa tête tombe en arrière et vient se lover dans mon cou. Je glisse mes bras entre la vitre froide et le ventre presque aussi froid de Lucile, la décolle de le baie vitrée et l’enlace pendant quelques minutes et jusqu’à ce qu’elle retrouve de la vigueur.
Lucile retrouve peu à peu ses esprits, me caresse la joue d’une main douce et me dit :
- « J’adore ta queue »
- « On se tutoie maintenant ? » répondis-je en souriant
- « Je crois que nous sommes suffisamment intime maintenant pour arrêter les vous… »
- « C’est pas faux » dis-je en riant et en embrassant son cou.
Elle passe une main entre ses cuisses, caresse son sexe et mes bourses trempées, écrasées contre l’entrée de son vagin et me dit en regardant ses doigts visqueux :
- « Regarde comme j’aime ce que tu me fais »
- « Oui, j’ai remarqué, je n’ai pas eu besoin de voir, il m’a suffit d’entendre le bruit de nos sexes et te sentir couler sur mes cuisses »
- « Oh mon Dieu, tu dois me trouver drôlement salope à jouir sans cesse ? »
- « Non, pas du tout, je te trouve très cérébrale, très libérée, très douce et très tendre. Ton corps est réceptif à la délicatesse et te fait prendre beaucoup de plaisir. J’adore. »
- « Fais moi encore l’amour, fais moi encore jouir. »
- « Avec plaisir, mais à quelle heure dois-tu rentrer ? »
- « J’ai toute la nuit. Demain c’est samedi, et David ne m’attend pas avant demain midi, il gère les enfants »
- « Génial, en plus tu es organisée » dis-je pour conclure ce dialogue et en recommençant à coulisser lentement en elle.
Lucile réagit immédiatement par de petits gémissements, pose ses mains à plat sur la vitre devant elle, se cambre et redevient passive. Je la maintiens par les hanches, mes pouces sur ses fesses s’enfoncent légèrement dans ses chairs musclées. Je regarde ma queue coulisser entre ses lèvres gonflées qui m’enveloppent parfaitement. Je me retire entièrement, créant un vide, puis réinvestie le vagin entièrement. Je la pénètre comme ça pendant plusieurs allers et retours. Son sexe restant ouvert à chacune de mes sorties, mon gland retrouve sa route et comprime l’air au fond du vagin jusqu’à ce qu’il soit expulsé dans une pétarade baveuse. Des pets un peu gênants au début pour Lucile, qui me lance un regard, valant toutes les excuses du monde, par dessus son épaule, puis qui deviennent excitant par les sensations qu’ils procurent. Elle se laisse aller à ajouter les paroles sur la musique en gémissant de nouveau. Une de ses mains quitte la vitre, passe entre ses cuisses, caresse notre union et vient passer par dessus ses fesses pour venir enduire de mouille son anus entrouvert. Elle se pénètre directement avec deux doigts, les fait coulisser et tourner, puis les retire. Comprenant son geste comme une invitation et sans changer mon rythme, je change d’orifice directement et sans plus de préparation. Son anus lâche instantanément, avale mon gland et dans la continuité toute ma verge, dans un hurlement, plus de surprise que de douleur. Dans le doute, je m’immobilise, les couilles plaquées contre l’entrée de son vagin béant. Mes doutes disparaissent immédiatement. Lucile me demande d’y aller, d’y aller lentement, mais d’y aller et de la faire jouir.
Je coulisse lentement, facilement, dilatant son rectum et m’enfonçant vers ses intestins. Ses gémissements accompagnent les entrées comme mes sorties. Elle sursaute à chacune de mes pénétrations, une fois dans ses nymphes visqueuses, une fois vers ses chaudes entrailles. Je manœuvre longuement d’un orifice à l’autre, et c’est comme ça qu’elle est prise de convulsions. Sa tête oscille entre ses bras tendus, l’équilibre sur ses hauts talons devient précaire, son corps vacille, elle jouit. Une jouissance vaginale ou anale, peut-être les deux, elle même, plus tard dans la soirée, a été incapable de définir l’origine de cet orgasme. Elle a jouit puissamment avant de s’effondrer à pas ventre sur le parquet et sans que je ne réussisse à la retenir.
Je viens très vite auprès d’elle, la retourne sur le dos et un bras sous ses épaules, l’autre sous ses genoux, je la soulève et la porte jusqu’au lit ou je la dépose délicatement, puis m’allonge à ses cotés. Je pose mes lèvres sur les siennes, elle garde les yeux clos mais sa bouche laisse entrer ma langue pour un baiser torride. Ses bras m’enlacent, ma main caresse son corps nu. Tout en l’embrassant, je me glisse entre ses cuisses, qu’elle écarte pour m’accueillir, et la pénètre lentement. Je la prends pendant quelques minutes en position du missionnaire, puis un peu avec les jambes relevées, moi à genoux sur le lit, puis les jambes repliées contre sa poitrine. Je la fais passer sur le coté pour la pénétrer une jambe tendu sous mes fesses, moi à genoux et son autre jambe repliée, puis les deux jambes repliées avant de revenir à la position du missionnaire et s’embrasser longuement. Pendant ce long baiser, ses bras enroulés autour de mon cou, je roule sur le dos et Lucile se retrouve sur moi. Elle repli ses genoux et tout en m’embrassant commence à faire monter et descendre son beau fessier sur ma verge toujours plantée en elle. Je lui laisse la liberté de s’exprimer, d’être la meneuse de revue, d’être active. Je la connais très réceptive en femme passive, je veux la connaître en action.
Elle pose ses mains sur le lit, au dessus de mes épaules, fléchit régulièrement les bras pour venir m’embrasser pendant qu’elle fait basculer son corps d’avant en arrière à vitesse raisonnable. De temps en temps, elle arrête ses mouvements de bascule, se cambre et frotte son clitoris en l’écrasant contre mon pubis, puis reprend. Pendant un de ces arrêts, elle se mais à jouir, calmement, mais à jouir. Son corps tremble, un peu de jus de plaisir s’échappe, elle s’affale sur moi, m’embrasse et reprend sa danse rapidement.
Après quelques mouvements, Lucile passe sa main entre nos sexes, maintient avec fermeté mon sexe à la verticale pendant qu’elle nous déconnecte et tout en passant de la position à genoux à la position accroupie, elle se sodomise en s’asseyant sur ma queue. Elle a la bouche grande ouverte et gémit de bonheur. Les genoux largement écartés, les mains posées sur mes abdominaux, les miennes sous ses cuisses, je l’accompagne dans ses mouvements. Sa vulve s’entrouvre à chacune de ses descentes, son anus enveloppe ma verge et semble en retard sur le reste de son corps lorsqu’elle remonte, comme des lèvres lors d’une fellation. Elle contracte ses sphincters, me presse, me trait. Je ne peux rester inerte, subir sans bouger, les réflexes pré éjaculatoire contrôle mon corps. Mes reins s’activent seuls faisant entrée ma queue dans son cul pendant qui les descentes. Mes couilles viennent frapper ses fesses, puis dans un cri d’homme des cavernes, je libère la pression pour me répandre dans le cul de Lucile. Elle explose et comme dans le principe des vases communicants, elle jouit en m’arrosant abondamment d’une quantité de cyprine au moins équivalente à la quantité de sperme que je crache dans ses intestins. Elle s’affale sur mon ventre et mon torse trempé, tremblante et épuisée par le plaisir.
Nous nous sommes glissés sous les draps, la nuit est tombée, la chambre est éclairée par le reflet de la lune sur la mer. La lumière d’un cargo passe au large, Lucile s’est endormie tout contre moi. Ma main caresse sa nuque et son épaule, et je la rejoins en tombant également dans les bras de Morphée.
A 1h30, je suis réveillé par le bruit de la chasse d’eau, Lucile revient, se glisse sous les draps et se blottie contre moi en s’excusant de m’avoir réveillé. Je la prends dans mes bras et l’embrasse. Nos mains courent sur nos corps nus, ses tétons sont durs et bandés, son sexe et humide, le mien est au garde à vous. Elle me masturbe lentement pendant que deux de mes doigts visitent son intimité. Lucile me chevauche, place mon gland entre ses lèvres intimes, puis m’embrasse. Nous nous embrassons longuement, amoureusement, son corps ondule légèrement et l’entrée de sa vulve caresse mon gland avec douceur et volupté. Lentement, son vagin progresse le long de mon sexe, il l’avale peu à peu, irrémédiablement. Mes mains parcourent son dos, de la nuque à ses fesses. Elle est allongée sur moi de tout son long, remonte lentement un genoux, puis l’autre. Son corps commence à s’animer, onduler sur ma verge. Mes mains, sur ses fesses, les caressent délicatement. Deux doigts glissent et parcourent sa raie, de ses reins vers son sexe, tournent autour de sa rosette et la pénètrent. Lucile pousse un petit gémissement d’approbation. Je l’accompagne ainsi dans ses mouvements, la tirant vers moi pour les retraits, relâchant la pression pour qu’elle redescende se planter jusqu’à la garde. Chacun de ses déplacements est ponctué de baiser et de gémissements. Il ne lui faut que deux à trois minutes pour être irradiée par un nouvel orgasme. Immobilisée, elle tremble de tout son corps, agitée par des spasmes qui ne semblent pas vouloir s’arrêter, puis s’atténuent et s’estompent pour laisser place au calme. Une fois revenue totalement à elle, Lucile soulève ses fesses, expulsant mes deux doigts toujours en elle, et vient se placer en chien de fusil à mes cotés. Je me tourne vers elle, passant un bras sous son cou, ma main empaume un sein, puis présente mon gland contre la rosette et la sodomise en cuillère. Son étroit conduit détend ses muscles et me laisse entrer sans difficulté. Mes coups de reins lents et délicats l’entrainent vers de nouvelles vocalises qu’elle accompagne de petites ondulations qui font venir ses fesses à la rencontre de mon bassin. Nous restons de longues minutes à nous mouvoir à ce rythme et dans cette position, puis je pose mon autre main sur sa taille, la fait glisser sur son ventre et vient la saisir et la maintenir fermement par la taille opposée. Une fois ma prise assurée, je bascule sur le dos, entrainant Lucile avec moi. Une fois stabilisée, elle lève les jambes et replie ses genoux dont je me saisi. Ses mains caressent ses seins, ses doigts maltraitent ses gros tétons, sa tête contre la mienne, elle gémit. Je replis mes genoux, et une fois bien calé, je recommence à m’activer dans son cul accueillant. Lentement, je ramone son conduit avec toute la longueur de la queue. Après quelques minutes, le rythme c’est accéléré, ses gémissements se sont amplifiés. Une de ses mains quitte le sein et plonge vers son sexe, deux doigts s’introduisent immédiatement entre des lèvres gonflées et s’activent à l’intérieur. J’augmente encore la vitesse de mes pénétrations, mon bassin fait claquer ses fesses, ses gémissements deviennent des cris alors que ma respiration s’accélère. Mes couilles bouillonnent, mon gland s’échappe de temps à autre, et retrouve seul la direction du bonheur. La base de ma verge lance les premiers picotements, la main de Lucile martyrise son clitoris, nous sommes tout proche de l’extase. Quelques secondes plus tard, je repeins son intérieur, m’épanchant dans son cul, Lucile cri et jouit en aspergeant son ventre, ses cuisses et les miennes de son jus de plaisir qui d’échappe entre ses doigts malgré la main plaquée contre son sexe pour essayer de contenir l’orage. L’orgasme est long, elle tremble, puis s’affale quand je relâche ses jambes. Nous basculons sur le coté, elle est transpercée par quelques derniers soubresauts et frissons. Je l’enlace et la serre contre moi, laissant ma queue perdre de son volume, au chaud, dans son fondement. Quelques minutes plus tard, sa respiration est calme, son corps est apaisé, détendu. Elle dort. Nous restons dans cette position jusqu’au petit matin. C’est la lumière du jour qui me réveille, nous sommes toujours enlacés, mais ma queue a quitté sa cachette, ou, c’est faite expulsée pendant notre sommeil.
Ce réveiller au coté de Lucile était il y a quelques heures totalement impensable, est devenu réalité. Voulant profiter de regarder son corps inerte, écouter se respiration, contempler sa nuque, son épaule, sa taille, sa hanche et sa fesse, sans la déranger, je ne bouge pas. Malheureusement pour Lucile, c’est mon érection matinale qui vient perturber son entrecuisse et donc son sommeil. Elle s’éveille, garde les yeux clos et soulève légèrement une cuisse pour laisser passer ma queue. Du bout des doigts, elle caresse mon gland et le présente à l’entrée de son puits d’amour, puis repose sa jambe. Elle en veut encore et j’en suis ravi. J’embrasse Lucile dans le cou tout en m’enfonçant dans ses nymphes moites. Son petit gémissement semble me remercier. Quelques petits coups de reins, et je suis fiché en elle jusqu’à la garde. Ma main caresse sa cuisse, sa hanche, sa taille, tandis que je m’active délicatement entre ses douces lèvres. Son vagin lubrifié, je coulisse allègrement dans son fourreau parfait. Lentement, elle bascule sur le ventre, et tout en continuant ma visite matinale, je bascule avec elle. Je m’agenouille, les fesses posées sur l’arrière de ses cuisses, je vais et je viens en écartant ses fesses à deux mains. Je contemple son sexe qui s’enveloppe et épouse mon membre dans ses déplacements. Son anus semble un peu irrité et le contact de mon doigt la fait frissonner. Il a besoin d’un peu de repo, je le laisse donc tranquille et me concentre sur son entrée principale. Mes mains quittent ses fesses et remontent caresser et masser son dos, son cou et ses épaules. Le massage et mes allers et retours en elle la font gémir. Ses mains se cramponnent au drap, ses fesses se crispent, son cul se cambre, son vagin se contracte. Elle a un orgasme, la jouissance matinale est divine, le plaisir la traverse et les bruits de l’union de nos sexes sont couverts par ses cris et dans la continuité par mon râle a****l qui accompagne le flot de sperme que je libère en elle. Je m’affale sur Lucile, je pose ma joue contre la sienne et profite des sensations du vagin qui essore ma queue jusqu’à la dernière goutte. Je bascule ensuite sur le coté, et Lucile vient me faire face, les yeux brillants de bonheur, et m’embrasse langoureusement.
Après un long moment à s’embrasser et à se câliner, Lucile quitte le lit pour les toilettes, puis la salle de bain. Lorsque j’entends la douche couler, je me lève et viens la retrouver sous l’eau chaude. Nous nous embrassons, nous caressons, et nous lavons mutuellement. Je lave son sexe de ma main, la zone est gluante, un mélange de nos jus de plaisir. Ma main s’immisce dans son intimité, et quatre doigts nettoient sa vallée des merveilles et son puits d’amour en profondeur pendant que les siennes caressent plus qu’elles ne frottent ma queue, qui sous ses douces mains retrouve de la vigueur. Je plaque Lucile contre le mur de la douche, l’embrasse et tout en la prenant fermement sous les fesses, la soulève et la pénètre vigoureusement. Elle pousse un puissant gémissement puis me demande de la prendre par derrière. Je nous déconnecte, elle me remercie et m’embrasse, puis se tourne, plaque sa joue et sa poitrine contre le mur et, se cambre en écartant largement ses fesses de ses deux mains. Je m’accroupie, passe ma langue sur sa fleur brunâtre et rougie par les pénétrations successives. J’y introduis ma langue et la fais tourner à l’intérieur, puis la retire et crache à deux reprise juste au dessus de cet anus. Je me relève et plante mon gland dans son étroit passage jusqu’à le faire disparaître. Lucile gémit, je m’enfonce lentement par de petits coups de reins dont l’amplitude augmente au fur et à mesure que je progresse en elle. Ses mains toujours sur ses fesses, les miennes accrochées à ses larges hanches, je la pilonne profondément mais lentement jusqu’à sentir mes couilles s’enflammer. Je force Lucile à tourner la tête vers moi, je l’embrasse vigoureusement, nos langues s’enfoncent dans nos bouches et virevoltent. Dans un dernier coup reins, je m’épanche dans son cul. Lucile qui me suppliait de jouir en elle, sent mon sperme chaud l’envahir et déclenche un orgasme aussi soudain que puissant. Elle hurle, tremble, m’éjecte en me poussant et s’agenouille pour me prendre en bouche et récolter le sperme qui enduit ma queue. Une fois bien nettoyé, elle se lève et me dit avec un petit sourire coquin et les yeux brillants :
- « J’en mourrai d’envie »
- « De te faire sodomiser ? »
- « Non, de te sucer juste après »
- « Alors tu as bien fait »
- « J’avais un peu d’appréhension, mais honnêtement je pensais que ce serait plus amer, plus fort. J’aime bien ». Puis elle m’embrasse longuement.
Nous terminons notre douche et sortons. Après avoir pris un petit déjeuner copieux, nous nous habillons entre deux baisers et caresses. Une fois prête, elle m’embrasse et quitte ma maison pour retourner auprès de sa famille en me donnant rendez vous, mercredi à 9h pour la prochaine réunion de chantier.
Je l’accueille sur le pas de la porte, elle est resplendissante dans une jupe bleu outremer, assortit à ses yeux, et un chemisier écru en soie. Ses escarpins écru sculptent ses jambes, ses hanches ondules au rythme de ses pas. Elle est tout sourire. C’est la première fois que je la vois autrement que dans ses pantalons moulants et j’avoue humblement que je la préfère les jambes nues.
- « Dites moi, vous avez une magnifique maison »
- « Oui, merci, effectivement elle est pas mal, un peu grande depuis mon divorce, mais bon, j’y suis bien, alors… »
- « Vous êtes très bien placé, et cette vue ! » dit-elle en regardant la mer
- « Oui, on ne s’en lace jamais »
Je la prends par la taille, pour l’inviter à entrée. Elle m’enlace sur le pas de la porte, m’embrasse langoureusement, puis entre. Elle me précède, j’admire son déhanché et ses mollets bien dessinés. Elle s’arrête et scrute du regard l’environnement dans lequel je vis et dit :
- « Ouah, j’adore cette villa, elle est très contemporaine, mais le parquet et la décoration réchauffe l’atmosphère plutôt glacial de ce type d’architecture. Franchement, bravo, c’est magnifique. »
- « Merci Lucile, venez vous installer dans le salon » lui dis-je en lui prenant la main.
Je l’accompagne et lui propose de s’installer confortablement dans le grand canapé, face à la baie vitrée démesurée de plus de huit mètre par quatre de haut, ensemble coulissant et à galandage libérant l’accès à la piscine et ouvrant sur un panorama de mer et d’horizon. Alors qu’elle s’installe, je passe dans la zone cuisine et reviens avec un plateau de pièces apéritives (surgelés d’une marque bien connu), une bouteille de champagne dans un seau plein de glace et deux coupes. En posant l’ensemble sur la table basse je lui dis :
- « j’ai fait simple, un peu de champagne, ou autre chose si vous voulez, et quelques petites choses pour accompagner, je n’ai pas eu le temps de me mettre en cuisine. »
- « Ce sera parfait, je ne suis pas venu pour faire un repas gastronomique, et le champagne, vous ne pouviez pas mieux tomber. »
- « très bien alors » dis-je en ouvrant la bouteille
Je remplis les coupes et lui en tends une. Nous triquons et discutons tout en grignotant les divers petits toasts. Elle me pose beaucoup de question sur moi, ma vie, mon ex femme, Patricia, mes enfants, trois filles de 13, 11 et 7ans. Je lui réponds naturellement, sans retenu. Je dis tout ce qu’elle veut savoir, notre vie libertine, puis une envie de se ranger pour Patricia, le début d’un désaccord, puis les reproches s’enchainent, s’entassent et l’idée d’une séparation arrive. Un divorce à l’amiable, sans heurt, nous restons très bons amis. Nous sommes presque voisins, elle a trouvé une maison à quelques centaines de mètres et nous l’avons acheté pour qu’elles s’y installent. Mes filles viennent dès qu’elles en ont l’envie, tout va bien, même si la solitude me pèse parfois.
Nous enchainons les coupes et la deuxième bouteille est déjà bien entamée quand Lucile ce jette sur moi. Pas violement, à la Lucile. Elle pose délicatement sa coupe vide sur la table basse, me libère de la mienne et la pose. Puis, se lève, dégrafe, fait tomber sa jupe sur le tapis et vient s’installer sur mes cuisses, face à moi pour m’embrasser. Assise à califourchon, mes mains se pose directement sur ses fesses nues. Mes doigts partent à la recherche de sa petite culotte, et c’est un string que je trouve, bien enfoncé entre ses deux fesses. Elle quitte mes lèvres et ses mains déboutonnent lentement ma chemise. J’en fais de même avec son chemisier, puis retire son soutien-gorge de dentelle blanche. Je suis torse nu, elle, revêtu d’un simple et minuscule morceau de dentelle. Ses mains glissent sur ma ceinture, mais la position n’est pas idéale et l’invite à se lever. Une fois tous les deux debout, elle m’enlace à nouveau, m’embrasse longuement, puis baise mon torse, embrasse mes abdos et s’agenouille devant moi. Je l’aide à finir de me déshabiller. Un fois totalement nu, elle commence à me caresser le sexe du bout des doigts. Ils courent sur ma tige en douceur, une main se glisse dessous en vient flatter mes couilles avec beaucoup de délicatesse. Sa bouche s’approche de mon gland, et sans y toucher, souffle un petit vent chaud des plus enivrant. Je vois ma verge gonfler sous l’influence de cette pratique, grandir et se tendre en hommage à ses douces mains. Une fois en totale érection, le bleu de ses yeux rivés dans les miens, elle ouvre la bouche, une bouche que je n’avais pas remarquée aussi grande, et s’avance pour faire disparaître mon gland. Ses lèvres se referment et viennent épouser ma verge. Je sens sa langue venir danser autour de mon gland, elle glisse, court, frotte et tourne sur mon extrémité. Elle titille mon urètre puis joue avec mon frein de la pointe de sa langue. Une caresse pleine d’attention et de délicatesse que j’encourage en lui posant une main sur la joue. Elle joue un long moment à ce petit jeu et peu à peu, je vois sa tête avancer vers moi, ses yeux toujours dans les miens, elle scrute mes réactions. Ses lèvres coulissent lentement et progresse autour de ma verge. Après une dizaine de minute, elle me suce sur environ vingt centimètres. Mon gland bute régulièrement contre le fond de sa bouche, mais Lucile ne bronche pas, pas un haut le cœur, pas une larme ne s’échappe de ses beaux yeux. Imperturbable, elle maintient un rythme lent et maitrisé. Une main accrochée délicatement à mes bourses, elle me suce merveilleusement bien.
Je lui propose de nous installer sur le canapé, elle cligne des yeux en signe d’approbation et libère centimètre par centimètre ma queue, puis se lève. Lucile m’embrasse d’un doux baiser chargé de salive et me demande de m’allonger. Une fois sur le dos, elle vient me chevaucher, en soixante neuf, s’installe confortablement, ses genoux bien callés. Elle reprend immédiatement sa fellation et fait descendre ses fesses pour venir les poser sur mon visage. Mon nez contre le morceau de dentelle étroit, au niveau de son périnée, j’hume l’odeur du tissu imbibé de cyprine. D’un doigt j’att**** et écarte la fine protection qui sépare encore ma bouche de son sexe et de son anus. Ma bouche embrasse cette vulve gonflée et appétissante. Ma langue se perd dans son intimité, tourne et virevolte dans son vagin comme s’il s’agissait de sa bouche. Sa bouche, m’enveloppe de plus en plus profondément. La sensation est délicieuse, magique, rare. Mon gland passe dans sa gorge, elle s’immobilise, puis après quelques secondes, remonte à la surface pour reprendre sa respiration et replonge. C’est une adepte des gorges profondes, la pratique semble parfaitement maitrisée. Nous gémissons tous les deux de façon très étouffée, mais nous prenons plaisir. Mon nez contre sa rondelle entrouverte, ma langue fouille son sexe et excite son bourgeon. Lucile, s’agite doucement, des petits mouvements d’avant en arrière, de son bassin, lui font frotter sa vulve sur mon visage et s’empale même sur mon nez. Mes couilles bouillonnent, la fellation va prendre le dessus sur ma résistance. Mes mains sur ses fesses, mes jambes tremblent, se replient, se serrent et emprisonnent sa tête. Deux doigts pénètrent sont anus, la langue travaille sont clitoris, mes genoux écrasent sa tête et ma verge expulse un premier jet de sperme épais et chaud qui s’écoule dans sa gorge. Les autres, moins puissants se répandent dans la bouche de Lucile, qui inonde la mienne par un orgasme simultané. Elle garde ma queue en bouche, sa langue à l’affut des dernières gouttes retardataires. Je lape et nettoie son sexe luisant du bout de la langue. Chacun de mes coups de langue la font tressauter, trembler et gémir. Elle se relève pour se libérer, et vient s’allonger et se blottir c tout contre moi. Nous nous embrassons, un baiser passionné, un SCS, cocktail de Salive, Cyprine, Sperme. Un baiser délicieux et interminable. Elle embrasse divinement bien.
Nous nous prélassons quelques longues minutes, puis je propose à Lucile de passer à la chambre. Nous nous levons et en la prenant par la main, l’emmène à l’étage. Nous entrons, elle se dirige directement vers la baie vitrée donnant sur une terrasse et la vue sur le soleil couchant. Un panorama romantique pour une Lucile qui ne l’est pas moins. Elle plaque son dos contre mon torse, mes bras s’enroulent autour de sa taille, mon visage sur son épaule, j’embrasse sa joue et son cou. Mes mains caressent doucement son ventre, puis montent lentement vers ses petits seins et ses gros tétons proéminents. Je fais glisser ses deux bourgeons de chair entre la base de mes doigts tout en empaumant sa petite poitrine. Je les presse tendrement et les sens gonfler et durcir. Sa tête bascule en arrière pour se poser dans le creux de mon épaule. Elle fait onduler ses hanches, ses fesses frottent mon sexe qui répond aussitôt à l’appel. Mon membre se dresse, gonfle entre les jambes de Lucile, qui écarte légèrement les cuisses pour le laisser passer. Après avoir fait des petits cercles avec ses fesses, elles vont et viennent maintenant d’avant en arrière et font coulisser ma queue entre ses cuisses serrées et la dentelle du string. Mes doigts relâchent les tétons bandés et mes mains glissent jusqu’à ses hanches larges et douces. Tout en me reculant, mes pouces passent sous la dentelle et font glisser le string au delà de ses cuisses. Le bout de tissu tombe sur ses chevilles, Lucile lève un pied et après l’avoir reposé à coté, de l’autre envoie le string voler à travers la pièce. Une fois totalement nue et toujours chaussée de ses hauts escarpins, elle revient dans la position initiale tout en attrapant mon sexe durement bandé entre des cuisses. Mes mains retrouvent sa petite poitrine, mes doigts pressent ses tétons et mes lèvres parcourent sont cou. Ma verge coulisse entre ses cuisses, plaquée contre sa vulve. Par les délicats mouvements de ses hanches, elle se caresse contre mon membre, frotte son clitoris contre l’ourlet de mon gland, se fait du bien, elle gémit. Je la laisse faire, reste à son écoute, subis avec délice ses vibrations et contractions de ses cuisses. Sa vulve arrose ma verge de sa lubrification abondante. Un mouvement vers l’avant, avec plus d’amplitude et un mouvement lent vers l’arrière, en se cambrant et relevant ses fesses, elle se pénètre seule, debout. Mon gland écarte ses chairs, elle s’empale de toute ma queue, en posant ses mains sur la vitre pour prendre appui. La pénétration est accompagnée d’un puissant gémissement et la conclusion d’un « wouahhhh que c’est bon ». Une fois empalée, elle se redresse contre moi. Mes mains maintiennent ses hanches et accompagnent ses lents mouvements. Je lui laisse le contrôle, la maîtrise, elle qui me paraissait passive, se découvre active, calme, mais active. Petit à petit, mes hanches viennent à la rencontre des siennes, augmentant l’amplitude et rendant les coups plus percutants. Ses gémissements se font plus sonores, mes coups de reins finissent par donner le rythme, elle s’abandonne à cadence. Les retraits sont lents et longs, les pénétrations sont rapides et puissantes. Chaque fois que mon bassin vient percuter ses fesses, elle fait un tout petit pas en avant et se trouve plaquée contre la vitre froide de la baie vitrée. Une joue, les seins et le ventre écrasés contre le verre, mes mains plaquées sur les siennes, au dessus de sa tête, les bras vers le ciel, je la maintiens. Son corps brulant contre cette grande vitre froide d’une soirée du moi de mai, la fait frissonner de froid et de plaisir. Sa respiration dessine un halot de buée sur le verre. Elle tremble, gémit, ma queue fait des « floc, floc, floc… » dans son vagin. Ses poings se ferment dans mes mains, ses fesses viennent à la rencontre de mon membre qui la ramone vigoureusement, elle jouit. Elle jouit en lâchant un cri perçant, puissant. Elle jouit en libérant encore et encore son jus de plaisir, rendant bruyant notre coït. Un bruit obscène, mais un bruit démontrant le niveau de plaisir atteint par Lucile.
Son corps devient mou, ses bras lourds tombent le long du corps, ses jambes flageolent, sa tête tombe en arrière et vient se lover dans mon cou. Je glisse mes bras entre la vitre froide et le ventre presque aussi froid de Lucile, la décolle de le baie vitrée et l’enlace pendant quelques minutes et jusqu’à ce qu’elle retrouve de la vigueur.
Lucile retrouve peu à peu ses esprits, me caresse la joue d’une main douce et me dit :
- « J’adore ta queue »
- « On se tutoie maintenant ? » répondis-je en souriant
- « Je crois que nous sommes suffisamment intime maintenant pour arrêter les vous… »
- « C’est pas faux » dis-je en riant et en embrassant son cou.
Elle passe une main entre ses cuisses, caresse son sexe et mes bourses trempées, écrasées contre l’entrée de son vagin et me dit en regardant ses doigts visqueux :
- « Regarde comme j’aime ce que tu me fais »
- « Oui, j’ai remarqué, je n’ai pas eu besoin de voir, il m’a suffit d’entendre le bruit de nos sexes et te sentir couler sur mes cuisses »
- « Oh mon Dieu, tu dois me trouver drôlement salope à jouir sans cesse ? »
- « Non, pas du tout, je te trouve très cérébrale, très libérée, très douce et très tendre. Ton corps est réceptif à la délicatesse et te fait prendre beaucoup de plaisir. J’adore. »
- « Fais moi encore l’amour, fais moi encore jouir. »
- « Avec plaisir, mais à quelle heure dois-tu rentrer ? »
- « J’ai toute la nuit. Demain c’est samedi, et David ne m’attend pas avant demain midi, il gère les enfants »
- « Génial, en plus tu es organisée » dis-je pour conclure ce dialogue et en recommençant à coulisser lentement en elle.
Lucile réagit immédiatement par de petits gémissements, pose ses mains à plat sur la vitre devant elle, se cambre et redevient passive. Je la maintiens par les hanches, mes pouces sur ses fesses s’enfoncent légèrement dans ses chairs musclées. Je regarde ma queue coulisser entre ses lèvres gonflées qui m’enveloppent parfaitement. Je me retire entièrement, créant un vide, puis réinvestie le vagin entièrement. Je la pénètre comme ça pendant plusieurs allers et retours. Son sexe restant ouvert à chacune de mes sorties, mon gland retrouve sa route et comprime l’air au fond du vagin jusqu’à ce qu’il soit expulsé dans une pétarade baveuse. Des pets un peu gênants au début pour Lucile, qui me lance un regard, valant toutes les excuses du monde, par dessus son épaule, puis qui deviennent excitant par les sensations qu’ils procurent. Elle se laisse aller à ajouter les paroles sur la musique en gémissant de nouveau. Une de ses mains quitte la vitre, passe entre ses cuisses, caresse notre union et vient passer par dessus ses fesses pour venir enduire de mouille son anus entrouvert. Elle se pénètre directement avec deux doigts, les fait coulisser et tourner, puis les retire. Comprenant son geste comme une invitation et sans changer mon rythme, je change d’orifice directement et sans plus de préparation. Son anus lâche instantanément, avale mon gland et dans la continuité toute ma verge, dans un hurlement, plus de surprise que de douleur. Dans le doute, je m’immobilise, les couilles plaquées contre l’entrée de son vagin béant. Mes doutes disparaissent immédiatement. Lucile me demande d’y aller, d’y aller lentement, mais d’y aller et de la faire jouir.
Je coulisse lentement, facilement, dilatant son rectum et m’enfonçant vers ses intestins. Ses gémissements accompagnent les entrées comme mes sorties. Elle sursaute à chacune de mes pénétrations, une fois dans ses nymphes visqueuses, une fois vers ses chaudes entrailles. Je manœuvre longuement d’un orifice à l’autre, et c’est comme ça qu’elle est prise de convulsions. Sa tête oscille entre ses bras tendus, l’équilibre sur ses hauts talons devient précaire, son corps vacille, elle jouit. Une jouissance vaginale ou anale, peut-être les deux, elle même, plus tard dans la soirée, a été incapable de définir l’origine de cet orgasme. Elle a jouit puissamment avant de s’effondrer à pas ventre sur le parquet et sans que je ne réussisse à la retenir.
Je viens très vite auprès d’elle, la retourne sur le dos et un bras sous ses épaules, l’autre sous ses genoux, je la soulève et la porte jusqu’au lit ou je la dépose délicatement, puis m’allonge à ses cotés. Je pose mes lèvres sur les siennes, elle garde les yeux clos mais sa bouche laisse entrer ma langue pour un baiser torride. Ses bras m’enlacent, ma main caresse son corps nu. Tout en l’embrassant, je me glisse entre ses cuisses, qu’elle écarte pour m’accueillir, et la pénètre lentement. Je la prends pendant quelques minutes en position du missionnaire, puis un peu avec les jambes relevées, moi à genoux sur le lit, puis les jambes repliées contre sa poitrine. Je la fais passer sur le coté pour la pénétrer une jambe tendu sous mes fesses, moi à genoux et son autre jambe repliée, puis les deux jambes repliées avant de revenir à la position du missionnaire et s’embrasser longuement. Pendant ce long baiser, ses bras enroulés autour de mon cou, je roule sur le dos et Lucile se retrouve sur moi. Elle repli ses genoux et tout en m’embrassant commence à faire monter et descendre son beau fessier sur ma verge toujours plantée en elle. Je lui laisse la liberté de s’exprimer, d’être la meneuse de revue, d’être active. Je la connais très réceptive en femme passive, je veux la connaître en action.
Elle pose ses mains sur le lit, au dessus de mes épaules, fléchit régulièrement les bras pour venir m’embrasser pendant qu’elle fait basculer son corps d’avant en arrière à vitesse raisonnable. De temps en temps, elle arrête ses mouvements de bascule, se cambre et frotte son clitoris en l’écrasant contre mon pubis, puis reprend. Pendant un de ces arrêts, elle se mais à jouir, calmement, mais à jouir. Son corps tremble, un peu de jus de plaisir s’échappe, elle s’affale sur moi, m’embrasse et reprend sa danse rapidement.
Après quelques mouvements, Lucile passe sa main entre nos sexes, maintient avec fermeté mon sexe à la verticale pendant qu’elle nous déconnecte et tout en passant de la position à genoux à la position accroupie, elle se sodomise en s’asseyant sur ma queue. Elle a la bouche grande ouverte et gémit de bonheur. Les genoux largement écartés, les mains posées sur mes abdominaux, les miennes sous ses cuisses, je l’accompagne dans ses mouvements. Sa vulve s’entrouvre à chacune de ses descentes, son anus enveloppe ma verge et semble en retard sur le reste de son corps lorsqu’elle remonte, comme des lèvres lors d’une fellation. Elle contracte ses sphincters, me presse, me trait. Je ne peux rester inerte, subir sans bouger, les réflexes pré éjaculatoire contrôle mon corps. Mes reins s’activent seuls faisant entrée ma queue dans son cul pendant qui les descentes. Mes couilles viennent frapper ses fesses, puis dans un cri d’homme des cavernes, je libère la pression pour me répandre dans le cul de Lucile. Elle explose et comme dans le principe des vases communicants, elle jouit en m’arrosant abondamment d’une quantité de cyprine au moins équivalente à la quantité de sperme que je crache dans ses intestins. Elle s’affale sur mon ventre et mon torse trempé, tremblante et épuisée par le plaisir.
Nous nous sommes glissés sous les draps, la nuit est tombée, la chambre est éclairée par le reflet de la lune sur la mer. La lumière d’un cargo passe au large, Lucile s’est endormie tout contre moi. Ma main caresse sa nuque et son épaule, et je la rejoins en tombant également dans les bras de Morphée.
A 1h30, je suis réveillé par le bruit de la chasse d’eau, Lucile revient, se glisse sous les draps et se blottie contre moi en s’excusant de m’avoir réveillé. Je la prends dans mes bras et l’embrasse. Nos mains courent sur nos corps nus, ses tétons sont durs et bandés, son sexe et humide, le mien est au garde à vous. Elle me masturbe lentement pendant que deux de mes doigts visitent son intimité. Lucile me chevauche, place mon gland entre ses lèvres intimes, puis m’embrasse. Nous nous embrassons longuement, amoureusement, son corps ondule légèrement et l’entrée de sa vulve caresse mon gland avec douceur et volupté. Lentement, son vagin progresse le long de mon sexe, il l’avale peu à peu, irrémédiablement. Mes mains parcourent son dos, de la nuque à ses fesses. Elle est allongée sur moi de tout son long, remonte lentement un genoux, puis l’autre. Son corps commence à s’animer, onduler sur ma verge. Mes mains, sur ses fesses, les caressent délicatement. Deux doigts glissent et parcourent sa raie, de ses reins vers son sexe, tournent autour de sa rosette et la pénètrent. Lucile pousse un petit gémissement d’approbation. Je l’accompagne ainsi dans ses mouvements, la tirant vers moi pour les retraits, relâchant la pression pour qu’elle redescende se planter jusqu’à la garde. Chacun de ses déplacements est ponctué de baiser et de gémissements. Il ne lui faut que deux à trois minutes pour être irradiée par un nouvel orgasme. Immobilisée, elle tremble de tout son corps, agitée par des spasmes qui ne semblent pas vouloir s’arrêter, puis s’atténuent et s’estompent pour laisser place au calme. Une fois revenue totalement à elle, Lucile soulève ses fesses, expulsant mes deux doigts toujours en elle, et vient se placer en chien de fusil à mes cotés. Je me tourne vers elle, passant un bras sous son cou, ma main empaume un sein, puis présente mon gland contre la rosette et la sodomise en cuillère. Son étroit conduit détend ses muscles et me laisse entrer sans difficulté. Mes coups de reins lents et délicats l’entrainent vers de nouvelles vocalises qu’elle accompagne de petites ondulations qui font venir ses fesses à la rencontre de mon bassin. Nous restons de longues minutes à nous mouvoir à ce rythme et dans cette position, puis je pose mon autre main sur sa taille, la fait glisser sur son ventre et vient la saisir et la maintenir fermement par la taille opposée. Une fois ma prise assurée, je bascule sur le dos, entrainant Lucile avec moi. Une fois stabilisée, elle lève les jambes et replie ses genoux dont je me saisi. Ses mains caressent ses seins, ses doigts maltraitent ses gros tétons, sa tête contre la mienne, elle gémit. Je replis mes genoux, et une fois bien calé, je recommence à m’activer dans son cul accueillant. Lentement, je ramone son conduit avec toute la longueur de la queue. Après quelques minutes, le rythme c’est accéléré, ses gémissements se sont amplifiés. Une de ses mains quitte le sein et plonge vers son sexe, deux doigts s’introduisent immédiatement entre des lèvres gonflées et s’activent à l’intérieur. J’augmente encore la vitesse de mes pénétrations, mon bassin fait claquer ses fesses, ses gémissements deviennent des cris alors que ma respiration s’accélère. Mes couilles bouillonnent, mon gland s’échappe de temps à autre, et retrouve seul la direction du bonheur. La base de ma verge lance les premiers picotements, la main de Lucile martyrise son clitoris, nous sommes tout proche de l’extase. Quelques secondes plus tard, je repeins son intérieur, m’épanchant dans son cul, Lucile cri et jouit en aspergeant son ventre, ses cuisses et les miennes de son jus de plaisir qui d’échappe entre ses doigts malgré la main plaquée contre son sexe pour essayer de contenir l’orage. L’orgasme est long, elle tremble, puis s’affale quand je relâche ses jambes. Nous basculons sur le coté, elle est transpercée par quelques derniers soubresauts et frissons. Je l’enlace et la serre contre moi, laissant ma queue perdre de son volume, au chaud, dans son fondement. Quelques minutes plus tard, sa respiration est calme, son corps est apaisé, détendu. Elle dort. Nous restons dans cette position jusqu’au petit matin. C’est la lumière du jour qui me réveille, nous sommes toujours enlacés, mais ma queue a quitté sa cachette, ou, c’est faite expulsée pendant notre sommeil.
Ce réveiller au coté de Lucile était il y a quelques heures totalement impensable, est devenu réalité. Voulant profiter de regarder son corps inerte, écouter se respiration, contempler sa nuque, son épaule, sa taille, sa hanche et sa fesse, sans la déranger, je ne bouge pas. Malheureusement pour Lucile, c’est mon érection matinale qui vient perturber son entrecuisse et donc son sommeil. Elle s’éveille, garde les yeux clos et soulève légèrement une cuisse pour laisser passer ma queue. Du bout des doigts, elle caresse mon gland et le présente à l’entrée de son puits d’amour, puis repose sa jambe. Elle en veut encore et j’en suis ravi. J’embrasse Lucile dans le cou tout en m’enfonçant dans ses nymphes moites. Son petit gémissement semble me remercier. Quelques petits coups de reins, et je suis fiché en elle jusqu’à la garde. Ma main caresse sa cuisse, sa hanche, sa taille, tandis que je m’active délicatement entre ses douces lèvres. Son vagin lubrifié, je coulisse allègrement dans son fourreau parfait. Lentement, elle bascule sur le ventre, et tout en continuant ma visite matinale, je bascule avec elle. Je m’agenouille, les fesses posées sur l’arrière de ses cuisses, je vais et je viens en écartant ses fesses à deux mains. Je contemple son sexe qui s’enveloppe et épouse mon membre dans ses déplacements. Son anus semble un peu irrité et le contact de mon doigt la fait frissonner. Il a besoin d’un peu de repo, je le laisse donc tranquille et me concentre sur son entrée principale. Mes mains quittent ses fesses et remontent caresser et masser son dos, son cou et ses épaules. Le massage et mes allers et retours en elle la font gémir. Ses mains se cramponnent au drap, ses fesses se crispent, son cul se cambre, son vagin se contracte. Elle a un orgasme, la jouissance matinale est divine, le plaisir la traverse et les bruits de l’union de nos sexes sont couverts par ses cris et dans la continuité par mon râle a****l qui accompagne le flot de sperme que je libère en elle. Je m’affale sur Lucile, je pose ma joue contre la sienne et profite des sensations du vagin qui essore ma queue jusqu’à la dernière goutte. Je bascule ensuite sur le coté, et Lucile vient me faire face, les yeux brillants de bonheur, et m’embrasse langoureusement.
Après un long moment à s’embrasser et à se câliner, Lucile quitte le lit pour les toilettes, puis la salle de bain. Lorsque j’entends la douche couler, je me lève et viens la retrouver sous l’eau chaude. Nous nous embrassons, nous caressons, et nous lavons mutuellement. Je lave son sexe de ma main, la zone est gluante, un mélange de nos jus de plaisir. Ma main s’immisce dans son intimité, et quatre doigts nettoient sa vallée des merveilles et son puits d’amour en profondeur pendant que les siennes caressent plus qu’elles ne frottent ma queue, qui sous ses douces mains retrouve de la vigueur. Je plaque Lucile contre le mur de la douche, l’embrasse et tout en la prenant fermement sous les fesses, la soulève et la pénètre vigoureusement. Elle pousse un puissant gémissement puis me demande de la prendre par derrière. Je nous déconnecte, elle me remercie et m’embrasse, puis se tourne, plaque sa joue et sa poitrine contre le mur et, se cambre en écartant largement ses fesses de ses deux mains. Je m’accroupie, passe ma langue sur sa fleur brunâtre et rougie par les pénétrations successives. J’y introduis ma langue et la fais tourner à l’intérieur, puis la retire et crache à deux reprise juste au dessus de cet anus. Je me relève et plante mon gland dans son étroit passage jusqu’à le faire disparaître. Lucile gémit, je m’enfonce lentement par de petits coups de reins dont l’amplitude augmente au fur et à mesure que je progresse en elle. Ses mains toujours sur ses fesses, les miennes accrochées à ses larges hanches, je la pilonne profondément mais lentement jusqu’à sentir mes couilles s’enflammer. Je force Lucile à tourner la tête vers moi, je l’embrasse vigoureusement, nos langues s’enfoncent dans nos bouches et virevoltent. Dans un dernier coup reins, je m’épanche dans son cul. Lucile qui me suppliait de jouir en elle, sent mon sperme chaud l’envahir et déclenche un orgasme aussi soudain que puissant. Elle hurle, tremble, m’éjecte en me poussant et s’agenouille pour me prendre en bouche et récolter le sperme qui enduit ma queue. Une fois bien nettoyé, elle se lève et me dit avec un petit sourire coquin et les yeux brillants :
- « J’en mourrai d’envie »
- « De te faire sodomiser ? »
- « Non, de te sucer juste après »
- « Alors tu as bien fait »
- « J’avais un peu d’appréhension, mais honnêtement je pensais que ce serait plus amer, plus fort. J’aime bien ». Puis elle m’embrasse longuement.
Nous terminons notre douche et sortons. Après avoir pris un petit déjeuner copieux, nous nous habillons entre deux baisers et caresses. Une fois prête, elle m’embrasse et quitte ma maison pour retourner auprès de sa famille en me donnant rendez vous, mercredi à 9h pour la prochaine réunion de chantier.
4 年 前