UN PEU, BEAUCOUP, PASSIONNEMENT…
UN PEU, BEAUCOUP, PASSIONNEMENT…
j’ai toujours adoré le début de l’été, le jour s’étire pour nous offrir encore un peu de lumière et inévitablement ces minutes supplémentaires sont utilisées pour prolonger les soirées entres amis, entre amoureux… les sens sont eux tout a fait réveillés et augmentent encore cette sensation de flottement, de plénitude.
Et puis les corps se montrent, à travers des petites robes, des petites jupes… des petits hauts qui laisse entrevoir de la dentelle, de la couleur…. ou juste les courbes d’une poitrine affriolante… non vraiment j’adore l’été.
Ce soir je suis assis sur ma terrasse, je profite des vacances de cette petite maison sur la plage, du bruit des vague et du couché de soleil ma bière à la main.
après deux semaines de vacances elle a eu le temps de se faire des amies, je la regarde discuté sur les dunes avec sa copine Elsa, une jolie blonde comme elle, célibataire carriériste et fier de l’être, mais un cul pas possible et j’avoue que de les voir toutes les deux comme ça si proche et si complice… faut dire deux semaines de plage de shopping, de discussion sur les hommes et les enfants ça rapproche…
Ah ! enfin Elsa lève le camp, ma femme reste encore une sec puis tourne son regard vers moi, je la fixe, elle sourit, elle se doute que je n’ai qu’une hâte c’est qu’elle me rejoigne, deux semaines que tous les soirs nous faisons l’amour chaque fois plus fort que la veille. On se découvre on s’apprivoise, et heureusement l’été est propice a ces jeux érotique…
Mais elle ne se lève pas tout de suite, elle se tourne vers moi, écarte ses cuisses rejète sa tête en arrière comme pour att****r les derniers rayons de ce soleil brulant, elle rigole. Enfin elle se redresse faisant une mous qui en dit long… elle dégrafe le haut de son maillot, retire le bas, un dernier coup d’oeil vers moi et elle s’allonge nue le corps perpendiculaire à mon regards, elle se caresse lentement tout le corps sa main droite parcours son entre jambe alors que la gauche remonte sur ses seins. D’où je suis je pourrais presque distinguer qu’il sont déjà dures et saillants…
Cette vision me procure déjà une folle excitation, mais patience, elle va bientôt venir, le soleil termine sa course, je vais bientôt pouvoir poser mes mains sur elle…
Elle est décidément très joueuse ce soir, elle intensifie sa masturbation et je la vois onduler de haut en bas avec sa hanche pendant que ses doigts s’activent rapidement sur son clitoris, elle va jouir !!!
Elle va jouir et moi déjà je bande, je passe ma main pour replacer mon sexe dans une position plus confortable. Tans pis je bouge, je déplace mon fauteuil retire mon short, je cherche une position un peu nonchalante pour qu’elle ne s’en aperçoive pas tout de suite en cachant mon énorme érection avec ma main gauche comme ci de rien n’était… mais j’attends, qu’elle jouisse, et qu’a son moment de récupération elle me regarde et découvre enfin que pour elle ce soir, les choses ne font que commencer ….
Ah la coquine elle a tout compris mais ne semble pas avoir peur, au contraire elle suce ses doigts en me fixant, je pourrais lire sur ses lèvres « imagine si c’était ta queue là que je suce hein ? », son petit jeu me rend fou je me branle maintenant ouvertement et elle n’en perd pas une miette…
La voila, elle avance vers moi, elle n’est plus qu’a 3-4 m complètement nue debout hummmm….. elle me jette ses affaires, se retourne m’ouvre sa petite chatte et son sublime petit cul, elle ondule lentement encore 30 seconde et je ne réponds plus de rien. Juste avant les deux petites marches en bois qui mènent à la terrasse elle se met à 4 pattes ses yeux plongés dans les miens elle avance et grimpe comme une lionne affamée, je suis au sommet de l’excitation je devance le contacte de sa langue avec mon sexe en fermant les yeux mais rien ne vien. RIEN NE VIENT !!! pourtant je sens son souffle, et me refuse de lui faire ce plaisir de demander, de supplier. Enfin sa langue parcours de mes boules jusqu’au gland l’ensemble de ma bite qui bat sous l’afflux du sang comme jamais, encore un coup de langue…
Je r’ouvre les yeux pour croiser son regard de prédatrice, un peu de salive sur son bout de langue qu’elle laisse tomber sur mon gland m’arrachant un soupire puis tout doucement je vois sa bouche avaler ma bite presque juste qu’au bout avant de remonter si lentement qu’il me faut toute la présence d’esprit pour ne pas jouir.
Elle entame des vas et vient me libérant un instant de cette trop forte dose de plaisir… A moi ! A moi de prendre les choses en mains ! et c’est par sa tête que je commence j’appuis pour qu’elle aille au fond de sa gorge provoquant parfois quelques suffoquements…je me redresse, claque son cul pendant qu’il est a porté, elle génie et l’ondule de gauche a droite alors je continue « suce vas y suce moi je m’occupe de tes fesses ! »
un peu de salive sur mes doigts et voila que je glisse un puis deux doigts dans ta chatte trempée ! je m’agrippe a tes fesses et commence a glisser mes doigts dans ton petite trou…. le premier fait mal, tu m’aurais presque mordu, mais quelques secondes plus tard c’est ta mains gauche qui m’aide à l’ouvrir….
Enfin tu te redresse, on s’embrasse, tu me branle activement mais je t’att**** car je n’en peux plus viens vite !!! Alors tu viens t’empaler sur moi au début on rest immobile le moindre des mouvements de ton corps mettrait fin à cette étreinte tant mon excitation est incontrôlable… je respire et commence moi a aller et venir avant que tu me baise fort tu tapes tes fesses mais ca va pas assez vite alors avec un pied de chaque coté te voila qui remonte à la limite de voir sortir mon sexe avant de redescendre tantôt vite tantôt fort tantôt au ralenti car tu vas encore jouir…
je le sais car tu me mors l’épaule tu tentes de te contenir, tu luttes… alors c’est moi qui vais te donner le salut que tu désires….
Je te repousse, t’att**** par le cou et en te retournant te place à 4 pattes sur les planches en bois « redresse ton cul, encore » je ne peux m’empêcher que de l’att****r et de plonger la tête la première afin de te lécher….
tu réchappes ??? « mais ou vas tu ??? » en fait tu att****s juste le coussin et te positionne de toi même offerte …
avant de te pénétrer j’écarte encore un peu avec mes pouces tes petites fesses toutes douces…. J’appuis mon gland à l’entré de ton cul je guète ta réaction mais je vois débarquer ta main qui att**** ma bite et vient la guider au creux de tes reins… a peine entrée que tu reprends ta masturbation frénétique sans même attendre mon premier va et vient qui déclenche un râle de plaisir que tu ne peux retenir… je montre et descend sur ton cul provoquant a chaque fois un râle qui t’oblige à mordre ce pauvre coussin et moi je sens ma fin proche je pense jouir sur tes fesses même, mais à peine retiré que tu te tourne ouvrant ta bouche « aller vas-y je sais que ca t’excite trop quand je fais ma salope » le premier jet n’est pas sorti qu’elle se rue dessus « ah ah ah je t’ai bien eu tiens…. »
je l’embrasse le sperme encore sur le coin de la bouche…
Elle file comme l’éclair sous sa douche
Moi je respire encore un peu… juste le temps de m’apercevoir qu’on avait été observé… intéressant…
E
j’ai toujours adoré le début de l’été, le jour s’étire pour nous offrir encore un peu de lumière et inévitablement ces minutes supplémentaires sont utilisées pour prolonger les soirées entres amis, entre amoureux… les sens sont eux tout a fait réveillés et augmentent encore cette sensation de flottement, de plénitude.
Et puis les corps se montrent, à travers des petites robes, des petites jupes… des petits hauts qui laisse entrevoir de la dentelle, de la couleur…. ou juste les courbes d’une poitrine affriolante… non vraiment j’adore l’été.
Ce soir je suis assis sur ma terrasse, je profite des vacances de cette petite maison sur la plage, du bruit des vague et du couché de soleil ma bière à la main.
après deux semaines de vacances elle a eu le temps de se faire des amies, je la regarde discuté sur les dunes avec sa copine Elsa, une jolie blonde comme elle, célibataire carriériste et fier de l’être, mais un cul pas possible et j’avoue que de les voir toutes les deux comme ça si proche et si complice… faut dire deux semaines de plage de shopping, de discussion sur les hommes et les enfants ça rapproche…
Ah ! enfin Elsa lève le camp, ma femme reste encore une sec puis tourne son regard vers moi, je la fixe, elle sourit, elle se doute que je n’ai qu’une hâte c’est qu’elle me rejoigne, deux semaines que tous les soirs nous faisons l’amour chaque fois plus fort que la veille. On se découvre on s’apprivoise, et heureusement l’été est propice a ces jeux érotique…
Mais elle ne se lève pas tout de suite, elle se tourne vers moi, écarte ses cuisses rejète sa tête en arrière comme pour att****r les derniers rayons de ce soleil brulant, elle rigole. Enfin elle se redresse faisant une mous qui en dit long… elle dégrafe le haut de son maillot, retire le bas, un dernier coup d’oeil vers moi et elle s’allonge nue le corps perpendiculaire à mon regards, elle se caresse lentement tout le corps sa main droite parcours son entre jambe alors que la gauche remonte sur ses seins. D’où je suis je pourrais presque distinguer qu’il sont déjà dures et saillants…
Cette vision me procure déjà une folle excitation, mais patience, elle va bientôt venir, le soleil termine sa course, je vais bientôt pouvoir poser mes mains sur elle…
Elle est décidément très joueuse ce soir, elle intensifie sa masturbation et je la vois onduler de haut en bas avec sa hanche pendant que ses doigts s’activent rapidement sur son clitoris, elle va jouir !!!
Elle va jouir et moi déjà je bande, je passe ma main pour replacer mon sexe dans une position plus confortable. Tans pis je bouge, je déplace mon fauteuil retire mon short, je cherche une position un peu nonchalante pour qu’elle ne s’en aperçoive pas tout de suite en cachant mon énorme érection avec ma main gauche comme ci de rien n’était… mais j’attends, qu’elle jouisse, et qu’a son moment de récupération elle me regarde et découvre enfin que pour elle ce soir, les choses ne font que commencer ….
Ah la coquine elle a tout compris mais ne semble pas avoir peur, au contraire elle suce ses doigts en me fixant, je pourrais lire sur ses lèvres « imagine si c’était ta queue là que je suce hein ? », son petit jeu me rend fou je me branle maintenant ouvertement et elle n’en perd pas une miette…
La voila, elle avance vers moi, elle n’est plus qu’a 3-4 m complètement nue debout hummmm….. elle me jette ses affaires, se retourne m’ouvre sa petite chatte et son sublime petit cul, elle ondule lentement encore 30 seconde et je ne réponds plus de rien. Juste avant les deux petites marches en bois qui mènent à la terrasse elle se met à 4 pattes ses yeux plongés dans les miens elle avance et grimpe comme une lionne affamée, je suis au sommet de l’excitation je devance le contacte de sa langue avec mon sexe en fermant les yeux mais rien ne vien. RIEN NE VIENT !!! pourtant je sens son souffle, et me refuse de lui faire ce plaisir de demander, de supplier. Enfin sa langue parcours de mes boules jusqu’au gland l’ensemble de ma bite qui bat sous l’afflux du sang comme jamais, encore un coup de langue…
Je r’ouvre les yeux pour croiser son regard de prédatrice, un peu de salive sur son bout de langue qu’elle laisse tomber sur mon gland m’arrachant un soupire puis tout doucement je vois sa bouche avaler ma bite presque juste qu’au bout avant de remonter si lentement qu’il me faut toute la présence d’esprit pour ne pas jouir.
Elle entame des vas et vient me libérant un instant de cette trop forte dose de plaisir… A moi ! A moi de prendre les choses en mains ! et c’est par sa tête que je commence j’appuis pour qu’elle aille au fond de sa gorge provoquant parfois quelques suffoquements…je me redresse, claque son cul pendant qu’il est a porté, elle génie et l’ondule de gauche a droite alors je continue « suce vas y suce moi je m’occupe de tes fesses ! »
un peu de salive sur mes doigts et voila que je glisse un puis deux doigts dans ta chatte trempée ! je m’agrippe a tes fesses et commence a glisser mes doigts dans ton petite trou…. le premier fait mal, tu m’aurais presque mordu, mais quelques secondes plus tard c’est ta mains gauche qui m’aide à l’ouvrir….
Enfin tu te redresse, on s’embrasse, tu me branle activement mais je t’att**** car je n’en peux plus viens vite !!! Alors tu viens t’empaler sur moi au début on rest immobile le moindre des mouvements de ton corps mettrait fin à cette étreinte tant mon excitation est incontrôlable… je respire et commence moi a aller et venir avant que tu me baise fort tu tapes tes fesses mais ca va pas assez vite alors avec un pied de chaque coté te voila qui remonte à la limite de voir sortir mon sexe avant de redescendre tantôt vite tantôt fort tantôt au ralenti car tu vas encore jouir…
je le sais car tu me mors l’épaule tu tentes de te contenir, tu luttes… alors c’est moi qui vais te donner le salut que tu désires….
Je te repousse, t’att**** par le cou et en te retournant te place à 4 pattes sur les planches en bois « redresse ton cul, encore » je ne peux m’empêcher que de l’att****r et de plonger la tête la première afin de te lécher….
tu réchappes ??? « mais ou vas tu ??? » en fait tu att****s juste le coussin et te positionne de toi même offerte …
avant de te pénétrer j’écarte encore un peu avec mes pouces tes petites fesses toutes douces…. J’appuis mon gland à l’entré de ton cul je guète ta réaction mais je vois débarquer ta main qui att**** ma bite et vient la guider au creux de tes reins… a peine entrée que tu reprends ta masturbation frénétique sans même attendre mon premier va et vient qui déclenche un râle de plaisir que tu ne peux retenir… je montre et descend sur ton cul provoquant a chaque fois un râle qui t’oblige à mordre ce pauvre coussin et moi je sens ma fin proche je pense jouir sur tes fesses même, mais à peine retiré que tu te tourne ouvrant ta bouche « aller vas-y je sais que ca t’excite trop quand je fais ma salope » le premier jet n’est pas sorti qu’elle se rue dessus « ah ah ah je t’ai bien eu tiens…. »
je l’embrasse le sperme encore sur le coin de la bouche…
Elle file comme l’éclair sous sa douche
Moi je respire encore un peu… juste le temps de m’apercevoir qu’on avait été observé… intéressant…
E
3 年 前
