Josy: le voyage continue
Quand j'ai rouvert les yeux, je n'étais plus attachée, mais j'avais encore les bracelets aux poignets et aux chevilles. La robe en jean collait à mes fesses et à mon dos. Tout le foutre que j'avais reçu avait séché avec la robe. Je tirais dessus pour la décoller.
"-Tu as récupéré? Au moins tu auras bien dormi. Faut dire que 14 gars à la chaine, sûr ça fatigue.
- Quelle heure il est? On dirait que le jour commence à baisser
- 18h30.
-Comment je fais pour me laver, je vais pas rester comme ça, avec ce foutre séché sur moi.
- Dans une petite heure on arrivera à une aire de repos, où tu pourras te doucher sans souci. Surtout qu'à cette saison , il n'y a pas grand monde qui l'utilise.
- Je peux enlever les bracelets, maintenant ?
- Si tu veux, mais ça serait bien que tu les gardes jusqu'à ce qu'on s'arrête.
- Si ça peut te faire plaisir
- Tiens, si tu as faim, il y a des salades, des fruits, et un sandwich dans le sac en papier. Je n'ai pas voulu te réveiller quand j'ai fait ma pause repas."
Effectivement, à peine 1 h plus tard j'ai vu le panneau annonçant l'aire de repos à 5 Km. C'est à ce moment là que Josy a lancé un appel surprenant à la CiBi:
"- Je viens de passer aire de repos sur la N145, sens Montluçon-Gueret. j'ai cru voir une femme attachée à un arbre. Si quelqu'un passe, qu'il vérifie et prévienne les flics. Je ne peux pas faire demi-tour, et je veux pas les alerter pour rien."
On arrivait juste à l'entrée de l'aire de repos quand un appel à répondu.
"- OK, noté, je serai sur place dans 10 mn environ"
"- Parfait, ça nous laisse le temps nécéssaire.
- Merci Josy, j'ai compris: la femme attachée à l'arbre, c'est moi. Mais pourquoi? Et ma douche?
- Chaque chose en son temps ma chérie. D'abord, une nouvelle découverte de la nature humaine, ensuite ta douche."
Un peu en retrait du parking, il y a un petit bosquet. Josy a choisi un arbre avec des taillis devant, si bien que de la route on ne voyait que ma tête. Elle m'a mis le dos à l'arbre, a passé des cordelettes par les anneaux des bracelets qu'elle a fermées par des noeuds simples à défaire. Ensuite elle a déboutonné ma robe, assez largement, mes seins étaient presque complètement sortis, puis elle a pris un tube de rouge à lèvres et elle a écris quelque chose sur mon front et sur ma poitrine, en arc de cercle, la première lettre sur le sein droit, la dernière sur le gauche.
"- T'as écrit quoi? Je peux savoir?
- Sur ton front : PUNIE, et sur ta poitrine: OFFERTE
- T'es complètement perverse
- Tu l'es aussi ma chérie. Tu as tout aimé jusque là, alors imagine le beau routier qui va te délivrer. Je vais garer le camion derrière le batiment des toilettes, avec douche pour toi après, qu'il ne soit pas visible, et je vais me cacher pas loin, voir comment tu vas le remercier"
Elle allait s'éloigner, mais s'est retournée.
"- j'allais oublier... Faut que je te baillonne."
Elle a sortit un collier avec une boule, qu'elle a mis dans ma bouche et qu'elle a attaché derrière ma nuque.
Moins de 5 mn après, un camion se garait
Le beau routier espéré qui s'approchait avait une bonne cinquantaine, pas très grand, plutôt rondouillard, rougeaud, avec des mains poilues .
Il s'est arrêté à moins d'1 mètre de moi, pour lire ce qui était écrit, et il est resté comme ça, sans avancer, comme si c'était un roman et qu'il voulait aller jusqu'à la fin de la page.
Sans ce satané baillon, je lui aurait dit
"- Détachez-moi, je vous fais une petite pipe en remerciement et après, enfin, je vais me doucher"
C'est comme s'il avait lu dans mes pensées. Il a eu l'air de se réveiller. Il a secoué la tête et s'est rapproché.
Mais au lieu de me détacher, et d'enlever le baillon, il s'est mis caresser mes seins, l'un après l'autre, à les soupeser, et à me pincer les tétons. puis il a complètement déboutonné ma robe, a passé ses mains sur tout mon corps, des épaules aux hanches, assez délicatement, j'avoue, pour arriver à ma toison qu'il a frottée du dos de la main. Il a repris mes seins et a commencé à les téter, à les aspirer goulument, puis à mordiller mes tétons. Il y a longtemps qu'il n'avait pas dû le faire à sa femme, ou à une autre, car il mordait plus qu'il mordillait. Il me faisait mal.
D'un coup il s'est reculé, s'est déboutonné, à sorti son sexe déjà en érection, et m'a pénétrée d'un coup. Il s'agitait vite, avec des "Han, Han," comme un travailleur de force en action.
Occupé comme il était, il n'a pas entendu arriver la voiture qui s'est garée à coté de son camion. Une dame en est descendu, plutôt élégante, la quarantaine. Elle est venu directement vers nous, elle a tapé sur l'épaule du type toujours en train de me besogner.
"- Dites donc vous, ça va pas non? Vous avez vu comment vous traitez cette pauvre fille? Elle doit avoir le dos tout rapé par l'écorce de l'arbre. Vous auriez pu la détacher."
Surpris le chauffeur s'est retiré d'un coup, son érection toujours vaillante.
"- Détachez-lui les mains"
il commençait à se baisser pour détacher les chevilles.
"- J'ai dit les mains!, pas tout. et enlevez-lui son baillon aussi
'- Pourquoi pas les chevilles?
- Vous ne savez pas lire? Il y a écrit "Punie". Si ça se trouve celui qui l'a punie regarde, et on n'a pas de raison pour s'en mêler"
Le baillon oté, je n'ai pas eu le temps de dire un mot. Elle m'a giflée et m'a prévenue.
"- Si tu l'ouvres on remet le baillon"
,Elle a posé sa main bien ferme sur ma tête, m'a fait me baisser, a retoussé sa jupe, déjà assez courte.
"- allez lèche. Et fais ça bien.
Et toi, tu vas rester à regarder? elle est assez penchée, non? Alors finis-toi, mais pas de sodomie, c'est clair!"
Il m'a pénétrée à nouveau pendant que je la léchais. Elle avait un anneau à chaque lèvre, et un au capuchon. Je jouais un peu avec, en les aspirant. Ca faisait entrer une lèvre après l'autre dans ma bouche et je les tétais, puis les relachais, puis j'essayais de passer la pointe de ma langue dans le troisième, pour aller exciter son clitoris. Elle gémissait un peu et caressait mes cheveux, tout en maintenant ma tête.
Le routier derrière ralait de plus en plus fort. Il me limait consciencieusement, sans grand talent, mais correctement, jusqu'au moment d'un soubresaut. Il s'est littéralement arraché de moi, et s'est vidé sur mes fesses Je sais pas combien il y avait déjà de couches de sperme séché, mais ça commençait à être pas mal.
je continuais à lécher, et j'ai aperçu du coin de l'oeil le routier s'éloigner, puis le bruit du camion partir.
Sûr qu'il n'allait pas appeler les flics.
A ce moment la femme m'a redressée, m'a recollé le dos au tronc d'arbre, m'a rattaché les mains, m'a embrassée, et est partie.
J'étais encore un peu étourdie, et dans ma tête revenait la phrase de Josy:
" Une nouvelle découverte de la nature humaine".
J'ai ouvert les yeux en entendant des bruits de pas. Mais au lieu de Josy venant me délivrer, c'est la femme qui revenait, mais "équipée".
Elle avait quitté sa jupe et tenait fièrement la bite en caoutchouc du gode ceinture qu'elle avait passé.
"' tu as compris pourquoi j'ai dit à ce plouc "pas de sodomie"? parce que je voulais pas la place trop ouverte. Je me réservais ce plaisir. "
Elle m'a à nouveau détaché les mains, et m'a fait me pencher.
Elle a commencé à caresser mes fesses, puis fait le tour de mon anus avec un doigt qui appuyait un peu plus à chaque tour, pour qu'il se dilate et s'entr'ouvre petit à petit. Puis elle s'est agenouillée et sa langue a remplacé son doigt, qui lui, s'est mis à jouer avec ma fente. Là, oui, j'ai commencé à frémir. Je n'étais plus la punie offerte qui acceptait sans réaction l'humiliation d'une situation et les châtiments qu'on lui faisait subir, pour le plaisir, pour moi de Josy, et non celui de sa soumise. Je comprenais, en même temps que mon plasir montait que j'étais complètement soumise à Josy, et que je me sentais bien ainsi.
Quand le gode m'a pénétrée, j'étais déjà au bord du spasme. Je me suis entendue crier "JOSY" et des larmes de bonheur me sont venues aux yeux, tandis que le gode fouissait dans mes intestins, se rapprochant, à la limite de sortir, de mon anus, que je contractais pour le garder encore en moi. et il rentrait, d'un coup, jusqu'au plus loin, et il m'arrachait un cri. Ou tout doucement, centimètre par centimètre, et mes soupir amplifiaient avec sa progression..
De temps en temps, une de ses mains quittait mes hanches pour caresser ma chatte trempée, et elle présentait ses doigts gluants de ma cyprine devant ma bouche. Je les léchais avec délectation. je n'avais jamais gouté ma mouille aussi épaisse, légèrement salée et qui se diluait si bien avec ma salive.
Mes genoux tremblaient, mes jambes étaient molles, mes cuisses, elles au contraire, me semblaient dures, comme bloquées. Elle, elle accélérait les mouvements, de plus en plus vite. Puis elle s'arrêtait, et ça repartait, en lents mouvements profonds.
Je me suis écroulée par terre, gémissante, avec des mots que je n'arrivais plus à articuler au milieu de mes soupirs. elle avait suivi ma chute et était allongée sur moi, son sexe infatigable continuait son jeu.
Mon corps n'était plus qu'un arc en ciel de plaisir. Plus rien ne commandait rien. Mon cerveau semblait vide. mes doigts se tendaient ou se serraient, les soupirs se mêlaient aux gémissements, mon ventre était pris de spasmes, devenait dur, mon sang cognait à mes tempes, mes fesses se relevaient et se contractaient quand ce sexe magique ressortait et se ramollissaient et s'épanouissaient, lorsqu'il pénétrait à nouveau.
Cette sorte de hululement qui a jailli dans le bosquet, ce n'est pas moi qui l'ai poussé.
L'objet de tant de plaisir est ressorti, complétement.
je n'avais pas la force de parler, ni de bouger.
Je savais qu'elle était partie et que cette fois c'est Josy qui venait.
Elle s'est assise à coté de moi, m'a caressé les cheveux, la nuque, les épaules.
"- Tu ne pourras pas me dire que tu n'as pas aimer
- Josy, le prend pas mal, je ne sais pas qui c'était, mais c'est une artiste du plaisir. Je crois que personne ne sait utiliser le gode ceinture comme elle.
- Ah? Même pas moi?
- Toi Josy, toi, toi tu sais que tu es à part. Je ne pourrais jamais comparer quelqu'un à toi."
Elle a pris ma tête dans ses mains, l'a redressée un peu, m'a embrassée sur la joue. C'était la première fois, un baiser d'amoureuse. Puis elle a appuyé sa joue contre ma joue:
"- Il te reste un peu de force pour aller à la douche?"
Quand on est arrivées près du camion, il y avait une bâche en plastique posée par terre le long de la remorque. Au lieu de nous diriger vers le batiment des douches, josy, qui avait un bras autour de mes épaules m'a amenée vers la bâche.
"- les douches sont fermées, en réparation, semble-t'il. Mais tu peux pas rester comme ça. Allonge-toi sur la bache, je vais te doucher, moi."
J'ai oté la robe et je me suis allongée sur le dos.
A ce moment, Josy a mis une jambe de chaque coté de mes hanche et en me regardant intensement a relevé sa jupe, plié légèrement les genoux et s'est mise à m'uriner dessus. J'ai eu un petit cri de surprise. Elle a fait "chut" avec son doigt sur la bouche, et elle a continué, allant de mes cuisses à mes seins, sans s'arrêter.
"- Tourne-toi, ton dos et tes fesses en ont aussi besoin."
Le jet de pisse ne discontinuait pas. je ne sais pas comment elle pouvait avoir tant d'urine, combien de litres d'eau elle avait du boire.
Mais peut-être la chaleur de sa pisse, l'odeur qui se mélangeait à celle du sperme qui se décollait et ramollissait sous le jet, mon corps et mon cerveau pleins encore de ma jouissance, je ne voulais pas qu'elle arrête. J'ai écarté les jambes que je sente son jet sur ma fente qui redevenait moite. je me suis retournée à nouveau, spontanément, pour offrir mon visage, yeux et bouche fermés à son jet lavant.
Quand elle s'est arrêtée, mes cheveux, tout mon corps ruisselait de sa pisse. Et je me sentais plus heureuse qu'humiliée. J'ai mis la sortie de bain qu'elle me tendait et nous sommes remontées dans le camion.
"- Cette fois, on va là où tu pourras prendre une vraie douche, où on va diner, et dormir.
- Mais j'ai plus envie de prendre une autre douche là. Je me sens bien maintenant
- Non ma chérie, tu pues déjà et tu vas puer de plus en plus. je passe des heures dans mon camion, faut pas que ça sente la porcherie"
Quelque temps plus tard, je n'avais plus la notion de l'heure, nous nous sommes garées devant un genre de restau-route.
"- Attends moi, je vais allé voir si les douches sont encore ouvertes et si on peut manger. Si c'est OK, je t'appelle. Comme tu vas pas venir en sortie de bain, t'auras qu'à passer ça."
C'était une salopette de travail.
Devant ma mine surprise et sans doute un peu déconfite, elle a précisé, sur un ton qui n'autorisait aucune réplique:
"- C'est vite mis, vite enlevé et ça va cacher les odeur. Et on vient pas là pour faire les belles, mais te doucher et manger"
De toute façon, elle était déjà descendue de la cabine avant que je puisse dire un mot.
2 ou 3 mn après mon téléphone sonnait:
"- Habille-toi et viens.
- Les serviettes tu les mets où?
- T'occupe pas, je viendrai les chercher pendant que tu te doucheras. Mets la salopette et viens, Ils ont des heures de fermeture."
C'était le lieu quasi habituel maintenant: à droite en entrant le mini market et la caisse, et à gauche le coin resto, quelques tables, la partie self avec quelques entrées et desserts et le grill, avec le "cuisinier".
Josy était installée à une table quasiment à l'entrée du resto. Il y avait 3 autres tables occupées. une par 4 copains visiblement, 1 par 2 autres gars, et une par une femme d'une soixantaine d'années. A en croire le charriot à roulettes, avec son bac à eau et ses balais, ce devait être la femme de ménage.
A peine je me dirigeais vers Josy, le silence s'est fait., et du coin de l'oeil, j'ai aperçu le serveur regardant Josy en se pinçant les narines.
Je n'ai pas eu le temps d'arriver près de la table. Josy s'est levée d'un bond, s'est dressée devant moi, et à voix forte, en se tournant à moitié vers le reste de la salle
"- Voyez! c'est ma nièce. ca veut être journaliste, ça veut partager la vie de ceux qui travaillent vraiment, mais depuis 3 jours, toujours pas foutue de se laver au cul d'une remorque. Et ça s'étonne du puer!
- Gégé, elle peut utiliser les douches?
- Ha, oui, plutôt 2 fois qu'une. je te lance les clés, Josy, moi j'approche pas."
Les clés des douches en main, Josy s'est retournée vers moi, elle a descendu d'un coup la fermeture éclair de la salopette, tellement trop grande pour moi qu'elle a glissé à mes pieds. Et je me suis retrouvée nue à l'entrée du resto, tous les regards braqués sur moi.
"- Traverse la salle. tu vois la porte, ouvre, les douches sont au fond et les toilettes à coté.
- Et frotte, tu pues la hyène"
J'ai traversé toute la salle, nue, puante. Mais même si tous se bouchaient le nez à mon approche, je connaissais assez le regards des hommes pour savoir qu'ils étaient à rien de l'érection. Alors j'ai avancé doucement, très doucement, en les regardant, plus bas que les yeux, avec ce petit fléchissement de la lèvre, qui sans être un sourire, dévoile la salope.
Je savais déjà, en sortant de la douche que Josy ne serait pas là avec des vêtements, et que je devrais traverser à nouveau la salle, nue toujours, mais avec une bonne odeur de savon.
J'ai ressenti les mêmes frissons que lorsque, plus jeune, j'allais au sexshop.
La surprise, quand j'ai ouvert la porte, c'est que les clients, femme de ménage et Josy incluses, faisaient comme une haie de chaque coté de la porte. Je suis passée tête haute, goutant à ma juste valeur les attouchements dont chacun, femme de ménage et josy incluses, m'a gratifié.
Arrivée à la table, avant de m'assoir, j'ai demandé à Josy:
"- je dine nue, ou tu as prévu quelque chose que je puisse porter?"
Et là, Josy, MA Josy, l'Unique, l'Irremplaçable Josy a oté son tee-shirt et me l'a donné. Elle ne portait évidemment rien dessous.
J'ai passé son tee-shirt, on s'est assises, et là elle m'a dit
"- Tu vois, avec ton cul et mes seins nus, ils sont contents. juste contents. Toi et moi on est heureuses. Eux ils sont concentrés sur leur érection, et nous?
Nous on est LIBRE"
-
"-Tu as récupéré? Au moins tu auras bien dormi. Faut dire que 14 gars à la chaine, sûr ça fatigue.
- Quelle heure il est? On dirait que le jour commence à baisser
- 18h30.
-Comment je fais pour me laver, je vais pas rester comme ça, avec ce foutre séché sur moi.
- Dans une petite heure on arrivera à une aire de repos, où tu pourras te doucher sans souci. Surtout qu'à cette saison , il n'y a pas grand monde qui l'utilise.
- Je peux enlever les bracelets, maintenant ?
- Si tu veux, mais ça serait bien que tu les gardes jusqu'à ce qu'on s'arrête.
- Si ça peut te faire plaisir
- Tiens, si tu as faim, il y a des salades, des fruits, et un sandwich dans le sac en papier. Je n'ai pas voulu te réveiller quand j'ai fait ma pause repas."
Effectivement, à peine 1 h plus tard j'ai vu le panneau annonçant l'aire de repos à 5 Km. C'est à ce moment là que Josy a lancé un appel surprenant à la CiBi:
"- Je viens de passer aire de repos sur la N145, sens Montluçon-Gueret. j'ai cru voir une femme attachée à un arbre. Si quelqu'un passe, qu'il vérifie et prévienne les flics. Je ne peux pas faire demi-tour, et je veux pas les alerter pour rien."
On arrivait juste à l'entrée de l'aire de repos quand un appel à répondu.
"- OK, noté, je serai sur place dans 10 mn environ"
"- Parfait, ça nous laisse le temps nécéssaire.
- Merci Josy, j'ai compris: la femme attachée à l'arbre, c'est moi. Mais pourquoi? Et ma douche?
- Chaque chose en son temps ma chérie. D'abord, une nouvelle découverte de la nature humaine, ensuite ta douche."
Un peu en retrait du parking, il y a un petit bosquet. Josy a choisi un arbre avec des taillis devant, si bien que de la route on ne voyait que ma tête. Elle m'a mis le dos à l'arbre, a passé des cordelettes par les anneaux des bracelets qu'elle a fermées par des noeuds simples à défaire. Ensuite elle a déboutonné ma robe, assez largement, mes seins étaient presque complètement sortis, puis elle a pris un tube de rouge à lèvres et elle a écris quelque chose sur mon front et sur ma poitrine, en arc de cercle, la première lettre sur le sein droit, la dernière sur le gauche.
"- T'as écrit quoi? Je peux savoir?
- Sur ton front : PUNIE, et sur ta poitrine: OFFERTE
- T'es complètement perverse
- Tu l'es aussi ma chérie. Tu as tout aimé jusque là, alors imagine le beau routier qui va te délivrer. Je vais garer le camion derrière le batiment des toilettes, avec douche pour toi après, qu'il ne soit pas visible, et je vais me cacher pas loin, voir comment tu vas le remercier"
Elle allait s'éloigner, mais s'est retournée.
"- j'allais oublier... Faut que je te baillonne."
Elle a sortit un collier avec une boule, qu'elle a mis dans ma bouche et qu'elle a attaché derrière ma nuque.
Moins de 5 mn après, un camion se garait
Le beau routier espéré qui s'approchait avait une bonne cinquantaine, pas très grand, plutôt rondouillard, rougeaud, avec des mains poilues .
Il s'est arrêté à moins d'1 mètre de moi, pour lire ce qui était écrit, et il est resté comme ça, sans avancer, comme si c'était un roman et qu'il voulait aller jusqu'à la fin de la page.
Sans ce satané baillon, je lui aurait dit
"- Détachez-moi, je vous fais une petite pipe en remerciement et après, enfin, je vais me doucher"
C'est comme s'il avait lu dans mes pensées. Il a eu l'air de se réveiller. Il a secoué la tête et s'est rapproché.
Mais au lieu de me détacher, et d'enlever le baillon, il s'est mis caresser mes seins, l'un après l'autre, à les soupeser, et à me pincer les tétons. puis il a complètement déboutonné ma robe, a passé ses mains sur tout mon corps, des épaules aux hanches, assez délicatement, j'avoue, pour arriver à ma toison qu'il a frottée du dos de la main. Il a repris mes seins et a commencé à les téter, à les aspirer goulument, puis à mordiller mes tétons. Il y a longtemps qu'il n'avait pas dû le faire à sa femme, ou à une autre, car il mordait plus qu'il mordillait. Il me faisait mal.
D'un coup il s'est reculé, s'est déboutonné, à sorti son sexe déjà en érection, et m'a pénétrée d'un coup. Il s'agitait vite, avec des "Han, Han," comme un travailleur de force en action.
Occupé comme il était, il n'a pas entendu arriver la voiture qui s'est garée à coté de son camion. Une dame en est descendu, plutôt élégante, la quarantaine. Elle est venu directement vers nous, elle a tapé sur l'épaule du type toujours en train de me besogner.
"- Dites donc vous, ça va pas non? Vous avez vu comment vous traitez cette pauvre fille? Elle doit avoir le dos tout rapé par l'écorce de l'arbre. Vous auriez pu la détacher."
Surpris le chauffeur s'est retiré d'un coup, son érection toujours vaillante.
"- Détachez-lui les mains"
il commençait à se baisser pour détacher les chevilles.
"- J'ai dit les mains!, pas tout. et enlevez-lui son baillon aussi
'- Pourquoi pas les chevilles?
- Vous ne savez pas lire? Il y a écrit "Punie". Si ça se trouve celui qui l'a punie regarde, et on n'a pas de raison pour s'en mêler"
Le baillon oté, je n'ai pas eu le temps de dire un mot. Elle m'a giflée et m'a prévenue.
"- Si tu l'ouvres on remet le baillon"
,Elle a posé sa main bien ferme sur ma tête, m'a fait me baisser, a retoussé sa jupe, déjà assez courte.
"- allez lèche. Et fais ça bien.
Et toi, tu vas rester à regarder? elle est assez penchée, non? Alors finis-toi, mais pas de sodomie, c'est clair!"
Il m'a pénétrée à nouveau pendant que je la léchais. Elle avait un anneau à chaque lèvre, et un au capuchon. Je jouais un peu avec, en les aspirant. Ca faisait entrer une lèvre après l'autre dans ma bouche et je les tétais, puis les relachais, puis j'essayais de passer la pointe de ma langue dans le troisième, pour aller exciter son clitoris. Elle gémissait un peu et caressait mes cheveux, tout en maintenant ma tête.
Le routier derrière ralait de plus en plus fort. Il me limait consciencieusement, sans grand talent, mais correctement, jusqu'au moment d'un soubresaut. Il s'est littéralement arraché de moi, et s'est vidé sur mes fesses Je sais pas combien il y avait déjà de couches de sperme séché, mais ça commençait à être pas mal.
je continuais à lécher, et j'ai aperçu du coin de l'oeil le routier s'éloigner, puis le bruit du camion partir.
Sûr qu'il n'allait pas appeler les flics.
A ce moment la femme m'a redressée, m'a recollé le dos au tronc d'arbre, m'a rattaché les mains, m'a embrassée, et est partie.
J'étais encore un peu étourdie, et dans ma tête revenait la phrase de Josy:
" Une nouvelle découverte de la nature humaine".
J'ai ouvert les yeux en entendant des bruits de pas. Mais au lieu de Josy venant me délivrer, c'est la femme qui revenait, mais "équipée".
Elle avait quitté sa jupe et tenait fièrement la bite en caoutchouc du gode ceinture qu'elle avait passé.
"' tu as compris pourquoi j'ai dit à ce plouc "pas de sodomie"? parce que je voulais pas la place trop ouverte. Je me réservais ce plaisir. "
Elle m'a à nouveau détaché les mains, et m'a fait me pencher.
Elle a commencé à caresser mes fesses, puis fait le tour de mon anus avec un doigt qui appuyait un peu plus à chaque tour, pour qu'il se dilate et s'entr'ouvre petit à petit. Puis elle s'est agenouillée et sa langue a remplacé son doigt, qui lui, s'est mis à jouer avec ma fente. Là, oui, j'ai commencé à frémir. Je n'étais plus la punie offerte qui acceptait sans réaction l'humiliation d'une situation et les châtiments qu'on lui faisait subir, pour le plaisir, pour moi de Josy, et non celui de sa soumise. Je comprenais, en même temps que mon plasir montait que j'étais complètement soumise à Josy, et que je me sentais bien ainsi.
Quand le gode m'a pénétrée, j'étais déjà au bord du spasme. Je me suis entendue crier "JOSY" et des larmes de bonheur me sont venues aux yeux, tandis que le gode fouissait dans mes intestins, se rapprochant, à la limite de sortir, de mon anus, que je contractais pour le garder encore en moi. et il rentrait, d'un coup, jusqu'au plus loin, et il m'arrachait un cri. Ou tout doucement, centimètre par centimètre, et mes soupir amplifiaient avec sa progression..
De temps en temps, une de ses mains quittait mes hanches pour caresser ma chatte trempée, et elle présentait ses doigts gluants de ma cyprine devant ma bouche. Je les léchais avec délectation. je n'avais jamais gouté ma mouille aussi épaisse, légèrement salée et qui se diluait si bien avec ma salive.
Mes genoux tremblaient, mes jambes étaient molles, mes cuisses, elles au contraire, me semblaient dures, comme bloquées. Elle, elle accélérait les mouvements, de plus en plus vite. Puis elle s'arrêtait, et ça repartait, en lents mouvements profonds.
Je me suis écroulée par terre, gémissante, avec des mots que je n'arrivais plus à articuler au milieu de mes soupirs. elle avait suivi ma chute et était allongée sur moi, son sexe infatigable continuait son jeu.
Mon corps n'était plus qu'un arc en ciel de plaisir. Plus rien ne commandait rien. Mon cerveau semblait vide. mes doigts se tendaient ou se serraient, les soupirs se mêlaient aux gémissements, mon ventre était pris de spasmes, devenait dur, mon sang cognait à mes tempes, mes fesses se relevaient et se contractaient quand ce sexe magique ressortait et se ramollissaient et s'épanouissaient, lorsqu'il pénétrait à nouveau.
Cette sorte de hululement qui a jailli dans le bosquet, ce n'est pas moi qui l'ai poussé.
L'objet de tant de plaisir est ressorti, complétement.
je n'avais pas la force de parler, ni de bouger.
Je savais qu'elle était partie et que cette fois c'est Josy qui venait.
Elle s'est assise à coté de moi, m'a caressé les cheveux, la nuque, les épaules.
"- Tu ne pourras pas me dire que tu n'as pas aimer
- Josy, le prend pas mal, je ne sais pas qui c'était, mais c'est une artiste du plaisir. Je crois que personne ne sait utiliser le gode ceinture comme elle.
- Ah? Même pas moi?
- Toi Josy, toi, toi tu sais que tu es à part. Je ne pourrais jamais comparer quelqu'un à toi."
Elle a pris ma tête dans ses mains, l'a redressée un peu, m'a embrassée sur la joue. C'était la première fois, un baiser d'amoureuse. Puis elle a appuyé sa joue contre ma joue:
"- Il te reste un peu de force pour aller à la douche?"
Quand on est arrivées près du camion, il y avait une bâche en plastique posée par terre le long de la remorque. Au lieu de nous diriger vers le batiment des douches, josy, qui avait un bras autour de mes épaules m'a amenée vers la bâche.
"- les douches sont fermées, en réparation, semble-t'il. Mais tu peux pas rester comme ça. Allonge-toi sur la bache, je vais te doucher, moi."
J'ai oté la robe et je me suis allongée sur le dos.
A ce moment, Josy a mis une jambe de chaque coté de mes hanche et en me regardant intensement a relevé sa jupe, plié légèrement les genoux et s'est mise à m'uriner dessus. J'ai eu un petit cri de surprise. Elle a fait "chut" avec son doigt sur la bouche, et elle a continué, allant de mes cuisses à mes seins, sans s'arrêter.
"- Tourne-toi, ton dos et tes fesses en ont aussi besoin."
Le jet de pisse ne discontinuait pas. je ne sais pas comment elle pouvait avoir tant d'urine, combien de litres d'eau elle avait du boire.
Mais peut-être la chaleur de sa pisse, l'odeur qui se mélangeait à celle du sperme qui se décollait et ramollissait sous le jet, mon corps et mon cerveau pleins encore de ma jouissance, je ne voulais pas qu'elle arrête. J'ai écarté les jambes que je sente son jet sur ma fente qui redevenait moite. je me suis retournée à nouveau, spontanément, pour offrir mon visage, yeux et bouche fermés à son jet lavant.
Quand elle s'est arrêtée, mes cheveux, tout mon corps ruisselait de sa pisse. Et je me sentais plus heureuse qu'humiliée. J'ai mis la sortie de bain qu'elle me tendait et nous sommes remontées dans le camion.
"- Cette fois, on va là où tu pourras prendre une vraie douche, où on va diner, et dormir.
- Mais j'ai plus envie de prendre une autre douche là. Je me sens bien maintenant
- Non ma chérie, tu pues déjà et tu vas puer de plus en plus. je passe des heures dans mon camion, faut pas que ça sente la porcherie"
Quelque temps plus tard, je n'avais plus la notion de l'heure, nous nous sommes garées devant un genre de restau-route.
"- Attends moi, je vais allé voir si les douches sont encore ouvertes et si on peut manger. Si c'est OK, je t'appelle. Comme tu vas pas venir en sortie de bain, t'auras qu'à passer ça."
C'était une salopette de travail.
Devant ma mine surprise et sans doute un peu déconfite, elle a précisé, sur un ton qui n'autorisait aucune réplique:
"- C'est vite mis, vite enlevé et ça va cacher les odeur. Et on vient pas là pour faire les belles, mais te doucher et manger"
De toute façon, elle était déjà descendue de la cabine avant que je puisse dire un mot.
2 ou 3 mn après mon téléphone sonnait:
"- Habille-toi et viens.
- Les serviettes tu les mets où?
- T'occupe pas, je viendrai les chercher pendant que tu te doucheras. Mets la salopette et viens, Ils ont des heures de fermeture."
C'était le lieu quasi habituel maintenant: à droite en entrant le mini market et la caisse, et à gauche le coin resto, quelques tables, la partie self avec quelques entrées et desserts et le grill, avec le "cuisinier".
Josy était installée à une table quasiment à l'entrée du resto. Il y avait 3 autres tables occupées. une par 4 copains visiblement, 1 par 2 autres gars, et une par une femme d'une soixantaine d'années. A en croire le charriot à roulettes, avec son bac à eau et ses balais, ce devait être la femme de ménage.
A peine je me dirigeais vers Josy, le silence s'est fait., et du coin de l'oeil, j'ai aperçu le serveur regardant Josy en se pinçant les narines.
Je n'ai pas eu le temps d'arriver près de la table. Josy s'est levée d'un bond, s'est dressée devant moi, et à voix forte, en se tournant à moitié vers le reste de la salle
"- Voyez! c'est ma nièce. ca veut être journaliste, ça veut partager la vie de ceux qui travaillent vraiment, mais depuis 3 jours, toujours pas foutue de se laver au cul d'une remorque. Et ça s'étonne du puer!
- Gégé, elle peut utiliser les douches?
- Ha, oui, plutôt 2 fois qu'une. je te lance les clés, Josy, moi j'approche pas."
Les clés des douches en main, Josy s'est retournée vers moi, elle a descendu d'un coup la fermeture éclair de la salopette, tellement trop grande pour moi qu'elle a glissé à mes pieds. Et je me suis retrouvée nue à l'entrée du resto, tous les regards braqués sur moi.
"- Traverse la salle. tu vois la porte, ouvre, les douches sont au fond et les toilettes à coté.
- Et frotte, tu pues la hyène"
J'ai traversé toute la salle, nue, puante. Mais même si tous se bouchaient le nez à mon approche, je connaissais assez le regards des hommes pour savoir qu'ils étaient à rien de l'érection. Alors j'ai avancé doucement, très doucement, en les regardant, plus bas que les yeux, avec ce petit fléchissement de la lèvre, qui sans être un sourire, dévoile la salope.
Je savais déjà, en sortant de la douche que Josy ne serait pas là avec des vêtements, et que je devrais traverser à nouveau la salle, nue toujours, mais avec une bonne odeur de savon.
J'ai ressenti les mêmes frissons que lorsque, plus jeune, j'allais au sexshop.
La surprise, quand j'ai ouvert la porte, c'est que les clients, femme de ménage et Josy incluses, faisaient comme une haie de chaque coté de la porte. Je suis passée tête haute, goutant à ma juste valeur les attouchements dont chacun, femme de ménage et josy incluses, m'a gratifié.
Arrivée à la table, avant de m'assoir, j'ai demandé à Josy:
"- je dine nue, ou tu as prévu quelque chose que je puisse porter?"
Et là, Josy, MA Josy, l'Unique, l'Irremplaçable Josy a oté son tee-shirt et me l'a donné. Elle ne portait évidemment rien dessous.
J'ai passé son tee-shirt, on s'est assises, et là elle m'a dit
"- Tu vois, avec ton cul et mes seins nus, ils sont contents. juste contents. Toi et moi on est heureuses. Eux ils sont concentrés sur leur érection, et nous?
Nous on est LIBRE"
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3 年 前