Ma salope Arabe Karima Part 4
Quelques temps plus tard, un soir où je venais de rejoindre Karima chez elle, elle m’annonça qu’elle avait appelé Marco car elle avait envie de sa grosse queue noire ! Elle me dit aussi que je n’aurai pas le droit de la toucher ce soir. Qu’elle se donnait intégralement à lui. J’y voyais une façon de reprendre le contrôle après la partouze à l’hôtel. Mi amusé, mi inquiet, je lui demandais si j’aurais quand même le droit de l’embrasser et si elle comptait lui faire mettre un préservatif.
- Oui tu pourras m’embrasser mais uniquement si je te le demande et pour la capote on verra le moment venu… Mais je crois que j'ai envie de sentir son sperme en moi.
Evidemment, elle m’excitait au plus haut point. Elle reçut un texto annonçant l’arrivée imminente de son amant. Aussitôt, elle se déshabilla et ne garda que sa culotte et son soutien-gorge. Elle prit une photo d’elle comme ça et lui envoya. Elle se tenait derrière la porte, prête à lui sauter dessus… Quand il a sonné, elle lui a immédiatement ouvert et s’est jetée à son cou l’embrassant avec fougue. Puis dans la foulée, elle lui a déboutonné son jean et a sorti du slip son membre qui bandait déjà, et s’est agenouillée pour le sucer, là dans l’entrée. Il était aux anges. Il lui a saisi la nuque pour accompagner sa succion. Moi, j’en profitais pour les prendre en photo, puis les filmer.
Au bout d’un moment, elle s’est relevée, l’a embrassé à nouveau, saisi sa main pour la glisser dans la chatte et l’a entrainé dans le salon. Là, elle a fini de le déshabiller. Elle a repris sa pipe baveuse, acharnée à le faire bander au max. Ce qui avait réussi ! Elle s’est relevée, a enlevé sa culotte affriolante, et est venue s’asseoir sur ses cuisses, lui bien calé dans le canapé. Elle a frotté sa queue sur sa chatte et son cul. Puis elle a approché ses grandes lèvres pour absorber le membre sans capote.
Une fois bien en elle, bien empalée, elle s’est mise à monter et descendre à un rythme soutenu. Je l’encourageais, mais elle n’en avait pas vraiment besoin. Elle avait les yeux mi- clos, la bouche entrouverte qui lâchait un « hum, c’est bon ! » de temps en temps. Elle mouillait une fois de plus et la bite noire était enduite de sa savoureuse crème blanche…
Agenouillé derrière son sublime cul, je n’en perdais pas une miette et me branlais frénétiquement ! Les deux amants continuaient à un rythme régulier. Ses fesses claquaient sur ses cuisses quand elle descendait. Elle y mettait tout son cœur et se pencha pour l’embrasser furtivement.
Puis il la saisit pour la relever et la placer sur le dos, jambes écartées. Il ressortit brièvement et rentra au fond, ce qui fit pousser à Karima un râle, moitié plaisir, moitié douleur… Là, il la bourrait fort et au bout de 5 minutes de ce pilonnage, il annonça qu’il allait jouir. Il sortit pour cracher sa purée épaisse sur le ventre et ses seins. Mais le jet était surpuissant et certaines gouttes atteignirent le visage de ma femme.
Comme il bandait encore, une fois déchargé, il frotta son gros gland sur le clito et la repénétra. Elle ne protesta pas et il fit quelques mouvements de plus avant de se retirer. Elle m’a souri et m’a dit de venir l’embrasser. Puis elle m’a dit :
- Nettoie moi avec ta langue…
- Oui ma belle !
J’ai commencé par le ventre, sortant ma langue pour récupérer les grumeaux de foutre. J’en ai avalé un ou deux. De temps en temps je remontais vers sa bouche pour échanger un baiser baveux.
(…)
Nous nous sommes mariés peu de temps après, mais avec un pacte bien particulier : chacun était libre de baiser comme bon lui semblait à condition que l’autre soit au courant.
C’est ainsi que quelques jours à peine après notre union, une après-midi où je rentrai plus tôt que prévu à la maison, je la retrouvais jambe écartée, la bite de Marco enfoncée jusqu’à la garde, sans capote à nouveau !
Je les ai laissés forniquer tant qu’ils voulaient, profitant du spectacle en branlant ma bite vers son visage.
(…)
J’ai dit à Marco que je voulais organiser un gang bang avec une dizaine de queues ! Elle les sucerait toutes et les mâles auraient le droit de lui spermer le visage et la bouche. Je faisais confiance aux talents de dénicheur de bites de Marco pour trouver les bons.
Ce qu’il fit avec efficacité les jours suivants. Et un soir où elle finissait tard, je fis venir tous ces queutards chez Karima. Ils s’assirent tous à poil sur son grand canapé. Puis j’ai envoyé un premier message à ma chaudasse en lui disant de préparer sa chatte pour une méga surprise. Ensuite je lui ai envoyé une photo de 5 bites dressées en ajoutant qu’elle n’avait pas encore tout vu !!! Elle me répondit avec malice :
- Tout ça pour moi ?
- Oui tout ça pour toi et plus encore ma chérie…
- Hummm
- Et ils ont les couilles bien pleines !
- Miam !
- Tu es prête à recevoir en bouche ?
- Je suis prête à n’importe quoi pour toi mon amour…
- Viens vite !
Quand elle arriva à la porte, elle dut sonner car j’avais fermé le verrou. Je lui ouvris simplement vêtu d’un string d’où ma queue débordait. Je l’ai embrassée et déshabillée, ne lui laissant que son soutien-gorge et son string, puis je l’ai prise par la main pour l’emmener dans le salon. Quand elle a découvert les dix mâles, la plupart blacks, elle a affiché un grand sourire…
- Par lequel commences-tu, lui ai-je demandé ?
Elle s’est agenouillée vers le premier de la rangée et a commencé à enfourner sa grosse bite, tout en branlant celui d’à côté. Elle passait de l’une à l’autre, parfois deux en même temps ! Pendant qu’elle atteignait les deux derniers de la rangée, le premier black un peu bedonnant et totalement imberbe a commencé à lui caresser le cul et la chatte avec sa grosse bite, puis l’a pénétrée en un coup, lui arrachant un cri de douleur, suivi de râles de plaisir. Il l’a ensuite cartonnée consciencieusement. Quand il est ressorti, il était proche de la jouissance… Je lui ai donné l’ordre de jouir sur la gueule de la salope, ce qu’il a fait. Le sperme est sorti à gros jets sur ses lèvres et ses joues, et on lui a tous dit :
- Avale grosse chienne !
Elle a sorti la langue pour rabattre les paquets qu’elle pouvait récupérer. Je l’ai aidée avec mes doigts pour pousser le reste dans sa bouche. Mais déjà une autre bite se présentait pour l’éjac et elle l’enfourna direct pour la sucer. C’était fascinant de voir les deux spermes se mélanger et que plus personne n’avait de retenue par rapport à ça.
Excité comme un dingue, je suis venu à mon tour rajouter ma dose aux deux précédents foutres, créant ainsi un cocktail de jus épais et goûtu inédit ! Elle m’a pris en bouche et j’ai senti le sperme gluant de ses amants précédents recouvrir ma bite. Ce mélange m’a fait bander encore plus fort. Et j’ai déchargé à mon tour.
En même temps, un black musclé et fortement membré s’était placé derrière ma chérie et la bourrait de plus en plus fort. A voir comment la capote était couverte de blanc, il n’y avait aucun doute sur l’excitation de Karima. Quand il fut sur le point de jouir, il sortit, enleva sa capote et juta sur son trou du cul. Puis avec son gros gland toujours gonflé, étala le sperme et vint se présenter à sa bouche pour qu’elle le nettoie. Elle se mit à le pomper et elle avala les restes de son jus. Le quatrième foutre ce soir à finir dans sa bouche !
Les autres continuaient de se branler ou de se faire sucer. Et les deux suivants la pénétraient en alternance. L’un des deux lui juta sur les fesses puis lui doigta le cul enfonçant une bonne dose au passage. Elle ne réagit même pas, trop occupée à faire cracher sa sixième ou septième bite sur sa belle bouche !
Je profitai de la présence du sperme sur son fion pour l’enculer. Je voulais encore sentir du sperme étranger sur ma bite. Je ne restai pas longtemps car cela avait donné des idées à un de nos compagnons de jeu qui vint me remplacer.
Karima encaissa encore un bon nombre de décharges et avala de belles doses de sperme avant que la soirée ne se termine et qu’elle s’éclipse dans la salle de bain pour aller prendre une douche. Les mâles se rhabillèrent, certains partirent tout de suite, sans doute retrouver leur femme ou leur petite amie, après s’être bien vidé les couilles sur ma femme. Je profitais de ce moment pour prendre en aparté deux des baiseurs, qui, je l’avais vu, avaient particulièrement plu à ma chérie.
- Eh les gars, ça vous dirait de finir la nuit dans le lit de madame ?
Ils se regardèrent avec un sourire complice et acceptèrent immédiatement. Je les emmenai sur le champ dans la chambre leur demandant de se déshabiller à nouveau. Je leur ouvris le lit et ils s’assirent, la bite à la main, prêts à s’occuper d’elle !
Quand elle apparut, elle ne portait qu’une culotte rose et ses pantoufles de pute en fourrure rose.
- Regarde chérie, je t’ai gardé deux beaux mâles pour prolonger la soirée ! Cette nuit, c’est open bar les gars ! Pas de capote, éjac à volonté !
Elle vint se mettre à quatre pattes sur le lit, remuant du popotin, jouant les chattes en chaleur. Aussitôt, Nounours, la bite à la main approcha de son cul et la pénétra dans la chatte. Pendant ce temps, elle suçait George, enfonçant le chibre épais au max ! Il l’encourageait à sa manière :
- Vas-y suce moi bien salope ! Grosse chienne arabe !
- J’aime ta grosse queue, lui répondit ma femme ! Je la veux en moi ! Je veux ton sperme !
Avant de le reprendre en bouche. Elle le pompait comme une morte de faim. Evidemment il déchargea dans sa bouche et elle avala tout ce qu’elle put avec un grand sourire de satisfaction.
Quand Nounours l’eût suffisamment poutrée, il vint lui foutrer la bouche à son tour. Notre petit groupe fonctionnait à merveille et la comblait visiblement.
A un moment, je fis cette suggestion à Karima :
- Pourquoi ne pas faire de ces deux-là des membres permanents de notre maison ?
- Que veux-tu dire ?
- Et bien comme ça tu aurais ton harem : trois amants à disposition jour et nuit pour répondre à tous tes désirs !
- Ca fait envie !
- Alors faisons-le !
Dès le lendemain nous avons fait faire des doubles des clés et les deux mâles se sont installés dans la seconde chambre. Karima se faisait baiser quasiment chaque soir. On vivait tous à poil pour permettre des copulations rapides.
Un soir Georges ramena une petite femelle black, la vingtaine, et nous l’avons baisée à tour de rôle. Elle était venue en connaissance de cause. Comme j’ai bien accroché avec elle, nous avons fini la nuit ensemble. Elle m’a avoué que j’étais son premier blanc.
Nous sommes sortis que tous les deux le lendemain soir. Elle s’appelait Lydie et avait un gros appétit sexuel ! Et elle aimait les nouvelles expériences ! Alors je lui ai suggéré de se gouiner avec madame. Je savais que cette dernière avait envie de tenter l’expérience.
Mais avant de rentrer, j’ai sauté Lydie dans la voiture. Pendant que je la pénétrais, elle a reçu un appel vidéo. C’était sa copine Coralie. Elle a décroché pour lui faire profiter du spectacle ! La petite chienne suivait la scène avec intérêt et se déshabilla pour se doigter. Mais ses doigts ne lui suffisaient plus. Comme elle a vu que nous étions en voiture, elle a demandé si nous pouvions venir la chercher.
Evidemment nous avons accepté et nous nous sommes mis en route.
Quand nous sommes arrivés, Lydie a laissé la place de devant à Coralie pour qu'elle puisse me branler pendant le trajet pour revenir à la maison... Ce qu'elle a fait avec gourmandise bien sûr !
Quand nous sommes arrivés devant l'ascenseur elles étaient en feu ! Elles m'ont ressorti la queue et se sont agenouillées pour ma sucer ensemble. Heureusement qu'il était tard, personne n'était dans les parages car nous sommes montés et elles ont continué. Nous sommes rentrés dans l'appart, une odeur de baise régnait, le salon était faiblement éclairé et j'ai tout de suite compris que Karima était en train de se faire sauter.
(...)
Bientôt, une nouvelle cochonne arabe allait venir s'ajouter à notre club de baise : Samira... Une collègue arabe voilée de madame qui allait se révéler une merveilleuse suceuse.
- Oui tu pourras m’embrasser mais uniquement si je te le demande et pour la capote on verra le moment venu… Mais je crois que j'ai envie de sentir son sperme en moi.
Evidemment, elle m’excitait au plus haut point. Elle reçut un texto annonçant l’arrivée imminente de son amant. Aussitôt, elle se déshabilla et ne garda que sa culotte et son soutien-gorge. Elle prit une photo d’elle comme ça et lui envoya. Elle se tenait derrière la porte, prête à lui sauter dessus… Quand il a sonné, elle lui a immédiatement ouvert et s’est jetée à son cou l’embrassant avec fougue. Puis dans la foulée, elle lui a déboutonné son jean et a sorti du slip son membre qui bandait déjà, et s’est agenouillée pour le sucer, là dans l’entrée. Il était aux anges. Il lui a saisi la nuque pour accompagner sa succion. Moi, j’en profitais pour les prendre en photo, puis les filmer.
Au bout d’un moment, elle s’est relevée, l’a embrassé à nouveau, saisi sa main pour la glisser dans la chatte et l’a entrainé dans le salon. Là, elle a fini de le déshabiller. Elle a repris sa pipe baveuse, acharnée à le faire bander au max. Ce qui avait réussi ! Elle s’est relevée, a enlevé sa culotte affriolante, et est venue s’asseoir sur ses cuisses, lui bien calé dans le canapé. Elle a frotté sa queue sur sa chatte et son cul. Puis elle a approché ses grandes lèvres pour absorber le membre sans capote.
Une fois bien en elle, bien empalée, elle s’est mise à monter et descendre à un rythme soutenu. Je l’encourageais, mais elle n’en avait pas vraiment besoin. Elle avait les yeux mi- clos, la bouche entrouverte qui lâchait un « hum, c’est bon ! » de temps en temps. Elle mouillait une fois de plus et la bite noire était enduite de sa savoureuse crème blanche…
Agenouillé derrière son sublime cul, je n’en perdais pas une miette et me branlais frénétiquement ! Les deux amants continuaient à un rythme régulier. Ses fesses claquaient sur ses cuisses quand elle descendait. Elle y mettait tout son cœur et se pencha pour l’embrasser furtivement.
Puis il la saisit pour la relever et la placer sur le dos, jambes écartées. Il ressortit brièvement et rentra au fond, ce qui fit pousser à Karima un râle, moitié plaisir, moitié douleur… Là, il la bourrait fort et au bout de 5 minutes de ce pilonnage, il annonça qu’il allait jouir. Il sortit pour cracher sa purée épaisse sur le ventre et ses seins. Mais le jet était surpuissant et certaines gouttes atteignirent le visage de ma femme.
Comme il bandait encore, une fois déchargé, il frotta son gros gland sur le clito et la repénétra. Elle ne protesta pas et il fit quelques mouvements de plus avant de se retirer. Elle m’a souri et m’a dit de venir l’embrasser. Puis elle m’a dit :
- Nettoie moi avec ta langue…
- Oui ma belle !
J’ai commencé par le ventre, sortant ma langue pour récupérer les grumeaux de foutre. J’en ai avalé un ou deux. De temps en temps je remontais vers sa bouche pour échanger un baiser baveux.
(…)
Nous nous sommes mariés peu de temps après, mais avec un pacte bien particulier : chacun était libre de baiser comme bon lui semblait à condition que l’autre soit au courant.
C’est ainsi que quelques jours à peine après notre union, une après-midi où je rentrai plus tôt que prévu à la maison, je la retrouvais jambe écartée, la bite de Marco enfoncée jusqu’à la garde, sans capote à nouveau !
Je les ai laissés forniquer tant qu’ils voulaient, profitant du spectacle en branlant ma bite vers son visage.
(…)
J’ai dit à Marco que je voulais organiser un gang bang avec une dizaine de queues ! Elle les sucerait toutes et les mâles auraient le droit de lui spermer le visage et la bouche. Je faisais confiance aux talents de dénicheur de bites de Marco pour trouver les bons.
Ce qu’il fit avec efficacité les jours suivants. Et un soir où elle finissait tard, je fis venir tous ces queutards chez Karima. Ils s’assirent tous à poil sur son grand canapé. Puis j’ai envoyé un premier message à ma chaudasse en lui disant de préparer sa chatte pour une méga surprise. Ensuite je lui ai envoyé une photo de 5 bites dressées en ajoutant qu’elle n’avait pas encore tout vu !!! Elle me répondit avec malice :
- Tout ça pour moi ?
- Oui tout ça pour toi et plus encore ma chérie…
- Hummm
- Et ils ont les couilles bien pleines !
- Miam !
- Tu es prête à recevoir en bouche ?
- Je suis prête à n’importe quoi pour toi mon amour…
- Viens vite !
Quand elle arriva à la porte, elle dut sonner car j’avais fermé le verrou. Je lui ouvris simplement vêtu d’un string d’où ma queue débordait. Je l’ai embrassée et déshabillée, ne lui laissant que son soutien-gorge et son string, puis je l’ai prise par la main pour l’emmener dans le salon. Quand elle a découvert les dix mâles, la plupart blacks, elle a affiché un grand sourire…
- Par lequel commences-tu, lui ai-je demandé ?
Elle s’est agenouillée vers le premier de la rangée et a commencé à enfourner sa grosse bite, tout en branlant celui d’à côté. Elle passait de l’une à l’autre, parfois deux en même temps ! Pendant qu’elle atteignait les deux derniers de la rangée, le premier black un peu bedonnant et totalement imberbe a commencé à lui caresser le cul et la chatte avec sa grosse bite, puis l’a pénétrée en un coup, lui arrachant un cri de douleur, suivi de râles de plaisir. Il l’a ensuite cartonnée consciencieusement. Quand il est ressorti, il était proche de la jouissance… Je lui ai donné l’ordre de jouir sur la gueule de la salope, ce qu’il a fait. Le sperme est sorti à gros jets sur ses lèvres et ses joues, et on lui a tous dit :
- Avale grosse chienne !
Elle a sorti la langue pour rabattre les paquets qu’elle pouvait récupérer. Je l’ai aidée avec mes doigts pour pousser le reste dans sa bouche. Mais déjà une autre bite se présentait pour l’éjac et elle l’enfourna direct pour la sucer. C’était fascinant de voir les deux spermes se mélanger et que plus personne n’avait de retenue par rapport à ça.
Excité comme un dingue, je suis venu à mon tour rajouter ma dose aux deux précédents foutres, créant ainsi un cocktail de jus épais et goûtu inédit ! Elle m’a pris en bouche et j’ai senti le sperme gluant de ses amants précédents recouvrir ma bite. Ce mélange m’a fait bander encore plus fort. Et j’ai déchargé à mon tour.
En même temps, un black musclé et fortement membré s’était placé derrière ma chérie et la bourrait de plus en plus fort. A voir comment la capote était couverte de blanc, il n’y avait aucun doute sur l’excitation de Karima. Quand il fut sur le point de jouir, il sortit, enleva sa capote et juta sur son trou du cul. Puis avec son gros gland toujours gonflé, étala le sperme et vint se présenter à sa bouche pour qu’elle le nettoie. Elle se mit à le pomper et elle avala les restes de son jus. Le quatrième foutre ce soir à finir dans sa bouche !
Les autres continuaient de se branler ou de se faire sucer. Et les deux suivants la pénétraient en alternance. L’un des deux lui juta sur les fesses puis lui doigta le cul enfonçant une bonne dose au passage. Elle ne réagit même pas, trop occupée à faire cracher sa sixième ou septième bite sur sa belle bouche !
Je profitai de la présence du sperme sur son fion pour l’enculer. Je voulais encore sentir du sperme étranger sur ma bite. Je ne restai pas longtemps car cela avait donné des idées à un de nos compagnons de jeu qui vint me remplacer.
Karima encaissa encore un bon nombre de décharges et avala de belles doses de sperme avant que la soirée ne se termine et qu’elle s’éclipse dans la salle de bain pour aller prendre une douche. Les mâles se rhabillèrent, certains partirent tout de suite, sans doute retrouver leur femme ou leur petite amie, après s’être bien vidé les couilles sur ma femme. Je profitais de ce moment pour prendre en aparté deux des baiseurs, qui, je l’avais vu, avaient particulièrement plu à ma chérie.
- Eh les gars, ça vous dirait de finir la nuit dans le lit de madame ?
Ils se regardèrent avec un sourire complice et acceptèrent immédiatement. Je les emmenai sur le champ dans la chambre leur demandant de se déshabiller à nouveau. Je leur ouvris le lit et ils s’assirent, la bite à la main, prêts à s’occuper d’elle !
Quand elle apparut, elle ne portait qu’une culotte rose et ses pantoufles de pute en fourrure rose.
- Regarde chérie, je t’ai gardé deux beaux mâles pour prolonger la soirée ! Cette nuit, c’est open bar les gars ! Pas de capote, éjac à volonté !
Elle vint se mettre à quatre pattes sur le lit, remuant du popotin, jouant les chattes en chaleur. Aussitôt, Nounours, la bite à la main approcha de son cul et la pénétra dans la chatte. Pendant ce temps, elle suçait George, enfonçant le chibre épais au max ! Il l’encourageait à sa manière :
- Vas-y suce moi bien salope ! Grosse chienne arabe !
- J’aime ta grosse queue, lui répondit ma femme ! Je la veux en moi ! Je veux ton sperme !
Avant de le reprendre en bouche. Elle le pompait comme une morte de faim. Evidemment il déchargea dans sa bouche et elle avala tout ce qu’elle put avec un grand sourire de satisfaction.
Quand Nounours l’eût suffisamment poutrée, il vint lui foutrer la bouche à son tour. Notre petit groupe fonctionnait à merveille et la comblait visiblement.
A un moment, je fis cette suggestion à Karima :
- Pourquoi ne pas faire de ces deux-là des membres permanents de notre maison ?
- Que veux-tu dire ?
- Et bien comme ça tu aurais ton harem : trois amants à disposition jour et nuit pour répondre à tous tes désirs !
- Ca fait envie !
- Alors faisons-le !
Dès le lendemain nous avons fait faire des doubles des clés et les deux mâles se sont installés dans la seconde chambre. Karima se faisait baiser quasiment chaque soir. On vivait tous à poil pour permettre des copulations rapides.
Un soir Georges ramena une petite femelle black, la vingtaine, et nous l’avons baisée à tour de rôle. Elle était venue en connaissance de cause. Comme j’ai bien accroché avec elle, nous avons fini la nuit ensemble. Elle m’a avoué que j’étais son premier blanc.
Nous sommes sortis que tous les deux le lendemain soir. Elle s’appelait Lydie et avait un gros appétit sexuel ! Et elle aimait les nouvelles expériences ! Alors je lui ai suggéré de se gouiner avec madame. Je savais que cette dernière avait envie de tenter l’expérience.
Mais avant de rentrer, j’ai sauté Lydie dans la voiture. Pendant que je la pénétrais, elle a reçu un appel vidéo. C’était sa copine Coralie. Elle a décroché pour lui faire profiter du spectacle ! La petite chienne suivait la scène avec intérêt et se déshabilla pour se doigter. Mais ses doigts ne lui suffisaient plus. Comme elle a vu que nous étions en voiture, elle a demandé si nous pouvions venir la chercher.
Evidemment nous avons accepté et nous nous sommes mis en route.
Quand nous sommes arrivés, Lydie a laissé la place de devant à Coralie pour qu'elle puisse me branler pendant le trajet pour revenir à la maison... Ce qu'elle a fait avec gourmandise bien sûr !
Quand nous sommes arrivés devant l'ascenseur elles étaient en feu ! Elles m'ont ressorti la queue et se sont agenouillées pour ma sucer ensemble. Heureusement qu'il était tard, personne n'était dans les parages car nous sommes montés et elles ont continué. Nous sommes rentrés dans l'appart, une odeur de baise régnait, le salon était faiblement éclairé et j'ai tout de suite compris que Karima était en train de se faire sauter.
(...)
Bientôt, une nouvelle cochonne arabe allait venir s'ajouter à notre club de baise : Samira... Une collègue arabe voilée de madame qui allait se révéler une merveilleuse suceuse.
3 年 前