JOSY: AVANT DERNIERE ETAPE (dernière partie)

"- Tu sais, ma Josy, si j'avais su que c'était un voyeur là juste par hasard, je lui aurai dis de me baiser appuyée sur le capot de sa voiture. Et j'aurai joui encore plus fort en sachant que tu nous regardais.
- Hélène ma chérie, depuis le début je sais que tu es une vraie chaudasse, que tu aimes le sexe. Mais ce que tu ne savais pas, toi, c'est à quel point tu aimes ça. Tout le monde, hommes, femmes, trans vont s'extasier sur ta chatte, tes seins, tout ton corps. Moi, ce que je sais, que j'ai compris en te regardant faire la pute pour le plaisir d'assouvir un fantasme, c'est que tu n'as pas de vagin. Non, non ma chérie. Tu n'as pas un vagin, mais une chaudière à amadou. Tu sais ce qu'est l'amadou? A peine tu le frottes, il s'enflamme. Ta chatte est pareille. A peine tu la regardes, même pas besoin de frotter des fois, ta chaudière s'emballe. Moi je ne fais que frotter l'amadou, te faire découvrir ce que tu rêvais sans l'imaginer. Et tu m'aimes. Et je t'aime.
Maintenant enlève ce châle, que je puisse voir en conduisant ta toison blonde pale encadrée par cette superbe dentelle.
- Pourquoi t'as mis une serviette sur le siège?
- Parce que tu vas me raconter ton après-midi d'essayage, tous les détails, et je sais que tu vas mouiller comme la bonne petite huitre que tu es.
- Une huitre ?
- Une huitre, oui. On l'ouvre, on jette la première eau, et à peine reposée sur l'assiette, elle en fait une autre. Et avec toi aussi on n'a qu'un désir, c'est bien la fouiller avec la langue pour trouver la perle.-
- T'aime ça, hein t'aime ça ! Me dire des trucs qui me font mouiller et après dire que je coule comme une nympho;
- Enlève ce châle avant de le salir, et raconte"
Je lui ai tout raconté dans les moindre détails. Elle avait eu raison, la serviette sous moi était quasi détrempée.
Je m'étais assise au plus près d'elle, les jambes bien écartées. Elle n'avait même pas besoin de tourner la tête pour voir mon pubis et ma fente, car elle avait réglé un rétro intérieur, qui sert à rien dans un camion, sauf celui là: me mater.
De temps en temps, elle passait sa main sur ma fente, écartait les lèvres d'un doigt qu'elle suçait ensuite. Ca m'excitait et je lui donnais d'autres détails qui me revenaient.
Je lui racontais sans la regarder.
A un moment j'ai senti le camion ralentir et faire comme une embardée. J'ai tourné la tête vers Josy, et j'ai vu qu'elle avait lâché le volant pour remonter sa jupe.
Josy en jupe !
Je n'avais même pas fait attention, tellement j'étais encore avec Marvin et le voyeur, et toute à lui raconter.
Evidemment elle n'avait pas de culotte, et sa fente à elle, si bien épilée, son pubis avec juste un trait très fin de sa pilosité d'un noir de geais, qui semblait prolonger sa fente presqu'au nombril....
"- Enlève ta main, Hélène, je conduis.!
- Mais tu mouilles autant que moi !
- Finis de raconter et reste tranquille. On va s'arrêter bientôt pour ma pause."
A peine 10 mn plus tard, on était sur une aire de repos.
"- Je peux reprendre le châle pour sortir et me dégourdir un peu les jambes. Et aller aux toilettes. Elles sont où d'ailleurs?
- Pour le châle, t'en n'a pas besoin. Regarde, on est seules, et à cette heure là, personne ne viendra. Y'a pas d'autre chauffeur qui fera une pause à 18h30. Quant aux toilettes, elles sont loin. Tu vas te mettre derrière la haie en face, et tu fais ce que tu veux."
Comme il n'y avait rien à ajouter, je suis descendue juste en porte jarretelle, mes bas, et le soutien gorge tellement serré que je commençais à peiner à le supporter.
Et je suis allée derrière la haie.
Je venais de m'accroupir quand un billet de 20 euros s'est agité devant mes yeux.
"- Une pute à cette heure là, dans un endroit désert, ça vaut pas plus.
Lèche pendant que je te regarde pisser!"
Ses fesses étaient contre mon visage, ses mains appuyées sur mes genoux, sa tête penchée entre mes cuisses.
Son odeur ! sa fente déjà gluante ! J'ai accroché mes mains en haut de ses jambes, en écartant sa fente, et j'ai léché, comme une chienne nettoie ses petits, toute la longueur de sa fente, sans essayer de faire pénétrer ma langue.
Mon nez était coincé entre ses fesses. En remontant un peu, je l'appuyais contre sa rondelle que je respirais et frottais doucement.
"- Tu pisses la pute ! je paie pas pour rien. Allez pssssiiii, psssssii. "
Les petits sifflements m'ont débloquée, et mon urine est sortie, un vrai jet, dru, puissant comme je n'en avais jamais ressenti.
A ce moment, Josy a enlevé une des mains appuyées sur mes genoux, et a caressé mon bouton. J'ai gémis d'un coup, tout en continuant d'uriner.
Là elle a mis 2 doigts dans ma chatte. Je lui pissais sur la main et je sentais un nouveau plaisir qui montait en moi.
Je la léchais plus fort, plus vite, a petites lampées, mon nez collé a son anus.
je ne pensais plus à respirer et ma chatte pleine de ses 2 doigts et je pissais, je pissais sans m'arrêter.
Jamais j'aurai cru pouvoir contenir tant d'urine.
Elle, elle était comme en transes, elle me donnait des coups de fesses en cherchant ma langue sur sa fente, pour qu'elle rentre. Mais je la laissais souple, juste à la lécher, en faisant des "oui" de la tête pour que mon nez excite bien son petit trou que je sentais essayer de s'ouvrir. Il n'y avait que des "haaaaaaaa, haaaaaaaaaa, pisse salope, tu sens mes doigts? Ca te fait du bien pisser ma bouffeuse de chatte"
On a joui en même temps, je crois. D'un coup elle a eu un sursaut vers l'arrière. Je suis tombée sur le dos, Josy assise sur mon visage, qui agitait frénétiquement ses doigts dans ma chatte tout en se caressant comme une forcenée. Je ne pouvais plus la lécher, ni respirer.
Sans m'en rendre compte, j'avais arrêté de pisser.
Josy s'est relevée, m'a regardée:
"-Bon, t'as fini de pisser? Alors on peut peut-être y aller. Je n'ai pas que ça à faire. Il nous reste de la route pour être à Limoges ce soir."
je l'ai regardée, sans savoir quoi dire. Elle parlait comme si rien ne s'était passé.
je l'ai suivie jusqu'au camion.
Sitôt sur la route, elle s'est tournée vers moi.
"- T'es vraiment une bonne pute. Y'en a aucune qui m'a fait jouir comme ça pour 20 euros.
- T'as aimé me voir uriner, et me caresser comme ça?
- Et toi chérie, la douche "maison" hier, dis-moi que ça ne t'as pas plu;"
Il y avait longtemps, mais je crois que j'ai rougis un peu.
"- J'ai joui en même temps que toi, je crois.
- je l'ai ,senti amour. En fait t'es ma pute amoureuse.
- Et c'est quoi la suite Josy?
- Tranquille. On va dans un centre routier, je connais pas bien, à l'entrée de Limoges. Mais il n'y a presque que des routiers, on mange, on a l'espace pour se garer, des douches. bref tout ce qu'il faut. et demain matin, après le petit dej, direction Nantes.
- Je vais rester comme ça?
- Bien sur que non! Tu t'habilleras avant d'arriver. Moi aussi d'ailleurs, je me changerai. Je te dis, je connais pas bien l'endroit, alors, tenue correcte de rigueur"
Quel lieu sinistre !
Des camions, peut-être 30 ou 40, un bâtiment en longueur, gris, avec des baies vitrées sales. Je commençais à comprendre pourquoi Josy ne connaissait pas bien. Pas du tout le genre d'endroit où je l'aurai imaginée.
"- Je sais ce que tu penses. Mais il n'y a rien avant des kilomètres, et malgré ta pause pipi, je dois respecter des horaires.
- MA pause pipi????
- Parce que toi tu faisais la sieste sans doute !
- Ben oui, enfin je crois. Pourquoi, il s'est passé quelque chose ?
- Josy, ma Josy, c'est toi la plus salope des deux !
- Bon, on cause, ou on va diner?"
- D'abord on s'habille"
J'avais toujours mon "top" en résille fuchsia, mon soutien gorge "remonte-seins", mon porte jarretelle en dentelle et mes bas résille blancs. blanc mais avec les marques de ma cyprine et de ma pisse, à peine sèches.
"- Tiens, Hélène, prends ça, et fini de t'habiller dehors, j'ai besoin de place pour me préparer."
Je suis descendue du camion avec un truc en boule dans la main.
Me changer?????
c'était comment dire? un mini, mini short en vinyle jaune, pas jaune paille, jaune SOLEIL, qu'on voit à 100m. Tellement mini que mon porte jarretelle dépassait en haut et en bas.
J'avais vu souvent des jeans "moule-bite". là c'était short "moule-chatte".
Nue, ma chatte aurait été mieux dissimulée.
J'attendais Josy pour lui dire que non, que c'était trop.
J'ai à peine reconnu la femme qui est venue à coté de moi.
Ses cheveux noirs, légèrement ondulés qu'elle portaient à mi épaules, tirés en arrière, resserrés en un chignon strict sur la nuque, un fond de teint blanchâtre qui lui faisait une figure de déterré, un ensemble en vinyle noir, jupe droite mi-cuisses et gilet sans manche, décolleté jusqu'à la naissance des seins, eux aussi remontés comme les miens, des ongles vernis rouge carmin, et des bottes qui s'ouvraient en corolle au niveau des genoux.
"- Josy....
- Quoi ? T'as pas faim ?"
A l'entrée du bar-restau, Josy m'a ouvert la porte et m'a laissé passer en premier, puis elle est entrée, m'a mis une main sur l'épaule, tendrement, à regardé la salle et m'a indiqué d'un mouvement du menton une table pour 2, un peu en retrait, dans un coin à priori calme.
Quelques minutes après la serveuse est venue:
"- Désolée, mais ce lieu est réservé aux routiers. Nous ne pouvons accepter d'autres clients."
Sans un mot Josy a sorti sa carte d'une poche de son gilet.
"- heu, oui, bon, pour vous madame, oui"
puis avec un signe de tête vers moi:
"- Mais elle...."
Josy, regardant la serveuse bien en face, la voix presque blanche, le regard d'une dureté que je ne lui connaissais pas:
"- Elle, c'est ma femme. C'est interdit pour les routiers de venir diner avec leur femme? Bien , alors apportez-nous la carte, c'est notre anniversaire de mariage aujourd'hui"
Dès qu'elle a tourné le dos, Josy m'a fait un grand sourire et un clin d'oeil:
"- Faut qu'elle comprenne: ici, y'a qu'une pisseuse, et c'est toi. Tu m'attends, je vais téléphoner."
Téléphoner???
Hé oui, y'avait encore une cabine, vitrée, avec un téléphone à l'ancienne. Je croyais que ça n'existait plus.
A peine Josy partie, un type est venu s'assoir à coté de moi, en posant sa main sur ma cuisse;
"- T'as le temps d'une pipe avant de manger. Tu prends combien?
- vous faites erreur, merci de me laisser.
- Hé la pute, fais pas la bégueule. 30 euros, parce que c'est mon jour de bonté".
Sa main remontait vers le haut de ma cuisse
.Josy téléphonait mais regardait dans ma direction. Elle ne montrait aucune réaction. Je ne savais plus si ça faisait partie de ses plans ou pas.
"- Ecoutez, mon homme est au téléphone. Si quand il revient vous êtes encore là, ça va mal tourner"
Tout en disant cela, j'enlevais sa main et la posait assez brutalement sur la table.
"- Ah, parce que ton homme, c'est l'autre pute dans la cabine?"
A ce moment Josy raccrochait et sortait de la cabine.
"- je vous aurai prévenu. Maintenant faites ce qu'il vous plaira."
"- Tu te fais des amis ma chérie, ou c'est un lourdaud qui veut que je lui explique?"
Elle avait dit ça très calmement, froidement, avec à nouveau ce regard acier, la tête droite.
Le type est parti.
Arrivé au bar, on a entendu la serveuse lui dire.
"- T'es con. T'as pas compris c'est des gouines"
Le repas s'est bien passé. la nourriture était plutôt bonne et vers 22h30, le café terminé, Josy m'a dit:
"- On retourne au camion. J'ai un petit cadeau pour toi. Tu essaieras et après on fera une petite promenade digestive"
On s'est levées, Josy m'a tendu la main comme pour m'aider. une fois debout, en plein restau, elle m'a attirée à elle et m'a embrassée sur la bouche. Un vrai baiser d'amoureuses, en passant sa main sur mes fesses; puis on est sorties du restau, toujours en se tenant la main. A la porte, Josy s'est retournée, avec son grand sourire lumineux.
"- Merci, c'était très bien. On reviendra assez vite. Pas vrai mon amour?"
Une fois dans la cabine:
"- T'assieds pas Hélène, quitte tout et passe ça"
Elle m'a tendu une petite boite dont j'imaginais qu'elle contenait un collier vu sa taille.
"- Ouvre et mets-le"
De collier, point.
Mais un body. Rouge.
Body, oui. En fait, un string, c'est à dire, un bandeau d'environ 5 cm, autour des hanches, une ficelle, plutôt un filament entre les fesses et devant une bandelette d'à peine un centimètre, qui c'est sur rentrerait dans la fente au premier pas. Et de la ceinture jusqu'au cou, la même bandelette, qui passait entre les seins, et finissait en un collier qui se fixait autour du cou.
"- Avec tes escarpins rouge, c'est sublime"
- tu veux qu'on fasse une promenade comme ça?
- tu vas me dire que tu n'aimes pas te montrer peut-être"
Tout en parlant elle enfilait des gants de dentelle noire montant jusqu'au coude.
"- Je descends la première".
Elle m'a tenu la main pour descendre du camion. A moins d'un mètre de Josy, il y avait un homme avec un chien à coté de lui.
Un homme?
Un monstre plutôt.
Tout bas j'ai dis à Josy.
-"C'est qui ça? Il fait au moins 2 m
- Lui, c'est Gérard, 2 m 08, 145 kg, ancien poids lourd de boxe. Et son chien c'est un dogue allemand, spécialiste de la chasse au sanglier. et comme tu vois, il n'a ni laisse, ni muselière.. Par contre toi..."
Ce disant, elle a sorti une laisse qu'elle a accrochée à un anneau qui était sur le bandeau autour de mon cou.
"- Tu marches un pas devant moi"
-Et lui?
- T'occupe pas de lui"
On a commencé à marcher entre les 2 files de camion, assez lentement car en plus des talons, je sentais le ruban s'immiscer dans ma fente.
.Il y avait 3 routiers qui discutaient entre eux. Ils se sont figés en nous voyant, moi pour ainsi dire nue, tenue en laisse par Josy. Je ne sais pas comment fonctionne radio-voyeur, mais 3 pas plus loin, il y avait quasiment un "curieux" par camion garé.
On a du faire 300m comme ça, quand Josy m'a fait faire demi-tour. On était proche de son camion quand on est repassées devant le premier groupe de 3, qui étaient 6 ou 7 maintenant, à siffler, faire des remarques en tout genre.
Josy m'a faite arrêter, bien en face d'eux, à environ 2 mètres, et a fait signe à l'un de s'avancer.. Mais tout le groupe a suivi. Arrivé à 30 cm, elle a écarté le ruban, bien montrer ma chatte et a passé ses doigts gantés l'un après l'autre sur ma fente.
Puis elle a présenté un doigt à chacun des spectateurs, pour qu'ils le lèche.
Un plus audacieux a tendu sa main vers ma chatte.
Un petit grognement du chien lui a fait comprendre que Non, et Josy, souveraine:
"- je vous laisse voir, mais c'est moi qui consomme".
Et elle m'a fait tourner les talons jusqu'au camion.
Là elle a dit.
"- Gérard, tu montes le premier, tu te prépares, je dis un mot à Hélène.
- Bon ça va Josy, j'ai compris, je suis sa récompense. Mais tu lui dis qu'il ne soit pas brutal. J'ai pas envie d'être déchirée.
- non, Hélène, je voulais te parler du chien
- Le chien !!!!! Non Josy, là c'est non. et c'est pas discutable.
-" Ecoute, tu parais nerveuse. Détends toi, tout va bien se passer. Je suis même sure que tu vas beaucoup aimer
- Dis tout, mais pas le chien
- Mais si le chien, justement. Il va rester devant la porte. Alors si tu descends seule du camion, ne sois pas surprise. mais à toi il ne fera rien. Il est là pour le cas où quelqu'un s'approcherait sans l'accord de Gérard.
- Josy, un moment, j'ai cru.
- Monte, Gérard doit être près."
Gérard était nu comme un ver dans la cabine. Dès l'entrée de Josy, il s'est presque mis au garde à vous, la tête baissée, car il touchait le plafond.
Josy n'a regardé que son sexe. C'est à ce moment que j'ai vu qu'il avait une petite sangle de cuir serrée juste au dessous du gland. Josy l'a pris, et d'un air réprobateur à levé les yeux vers Gérard.
"- Tu croyais que ça allait suffire? C'est à peine serré."
En disant cela elle a resserré la sangle. J'ai vu à la mâchoire crispée de Gérard que cette fois oui, c'était vraiment serré.
"- Mets- toi nue aussi Hélène, et approche voir ces belles couilles bien pendantes, douces, vas-y touche, soupèse-les. Et là elles sont encore vides. Mais tu vas les remplir Gérard, non? Mais pour pas qu'elles tombent on va les emballer"
Elle a pris un genre sac, un peu comme les choses qu'on utilise pour les boules de pétanque, mais d'un seul tenant. Elle a mis les boules de Gérard dans le sac, en forçant un peu, parce qu'il semblait petit et elle l'a attaché par une sangle encore, mais à la base du sexe. Là encore en serrant fort. Puis elle a resserré également les sangles du sac. Là Gérard a lâché un petit cri.
"- Maintenant, baisse toi, le dos à plat, et la tête haute."
Gérard s'est exécuté, et Josy a sorti un martinet et a commencé a le frapper sur les fesses et le dos, de plus en plus vite et plus fort.
Son dos et ses fesses étaient rouge et il y avait des marques de lanières.
"- Vas-y Hélène, à toi"
Je n'osais pas. Les premiers coups étaient plutôt des caresses.
"- Hélène, il a été gentil avec toi, alors pourquoi tu veux pas lui donner ce qu'il aime."
Ca m'a libérée, et j'ai essayé de faire comme Josy, des coups redoublés, plus vite et plus forts, et espacés à nouveau et juste des effleurement du bout des lanières.
"- Pas besoin de te demander si tu mouilles ? Alors le martinet est pour toi maintenant."
Elle a pris les lanières dans la main et le a frottées sur ma chatte, bien les enrober de mon jus, puis elle a recommencé à fouetter Gérard.
"Te voilà couvert de jus de salope, toi qui aimes pas les femmes. Mais elle, tu vas l'aimer avec ce qu'elle va te faire"
Ceci dit, elle m'a tendu un gode ceinture, mais avec 2 sexes. Un de 17/18 cm, et l'autre plus court mais plus gros, fixé à l'intérieur de la ceinture.
"- Tu vas voir ma chérie comme tu vas bien te ramoner en même temps que tu vas l'astiquer."
Elle m'a aidé à bien me positionner derrière Gérard, à mettre le sexe en position à l'entrée de son anus;
C'était la première fois que j'allais pénétrer un homme. J'étais excitée. Mais c'est Josy qui faisait tout. Elle introduisit le gland du gode, le faisait aller et venir doucement, le ressortait et l'entrait à nouveau.
On en était là quand la porte du camion s'est ouverte, coté chauffeur.
"- Te voilà enfin. C'est bien tout est près. Là, c'est Gérard, là c'est Hélène, qui va le sodomiser jusqu'à la jouissance. Et elle c'est Evelyne. Elle est pute, mais elle aime bien aussi les femmes, ça la change.
- bon Hélène, enfile le jusqu'à la garde, d'un coup, et branle-le tout le temps. Il doit déjà commencé à bander."
Elle s'est allongée à coté de Gérard, a remonté sa jupe . Evelyne a plongé entre ses cuisses pendant que j'enfonçais ma bite provisoire au fond du cul de Gérard. je commençais par lui donner des petites saccades, sans trop ressortir. Le gode qui était dans ma chatte faisait son travail. Il frottait sur ma paroi, l'élargissait;. je sentais mon clito tendu qui aurait bien voulu des caresses lui aussi.
Je me suis presque couchée sur le dos de Gérard, j'ai empoigné son sexe et en le masturbant je continuais à lui donné des petits coups, par saccade. Son sexe grossissait dans ma main., mais le gode dans ma chatte ne faisait plus beaucoup d'effets. Alors j'ai ressorti celui du tube de Gérard, tout en gardant sa queue devenue bien dure dans la main, ce qui m'a fait la tirer vers le bas, il a eu un soubresaut. J'ai senti d'un coup sa douleur et son plaisir. Alors j'ai continué plusieurs fois, à ressortir le gode, jusqu'à élargir sa rondelle, sa bite tendue vers le bas, puis à l'enfoncer d'un coup, en le branlant de plus en plus vite. Là mon gode à moi refaisait de l'effet. J'étais coulante de jus.
Je suis restée quelques temps le gode enfoncé au plus profond du cul de Gérard, sans bouger, pour calmer un peu le feu de ma chatte. Pas question de jouir avant lui. Je le branlais doucement, juste avec le pouce et l'index, de la racine de sa bite, ou je sentais la sangle., jusqu'au gland qui était froid. Ca me plaisait de sentir cette boursoufflure au dessus de la sangle, et au contraire arrivée en haut, le gland froid et plus petit que la tige. J'ai senti un suintement au bout du gland. Je l'ai étalé sur tout le pourtour. J'avais l'impression qu'il allait exploser. Je sentais dans ma main comme des secousses, la queue ou les veines qui grossissaient, mais la sangle empêchait le gland de s'épanouir. Puis j'ai recommencé mes va et viens, en lâchant son sexe pour caresser ses couilles prisonnières. Elles étaient froides aussi, mais pleines, ça se sentait. Il gémissait de plus en plus, un peu comme un bébé pendant son sommeil.
A coté, j'ai entendu geindre Josy. J'ai tourné la tête pour la regarder et partager son plaisir, tout en continuant mes longs va et vient tout le long du tube de Gérard. Elle serrait la tête d'Evelyne entre ses cuisses., elle soupirait très fort. Je connaissais bien ça. Elle était au moment de jouir..
"- Vas-y ma Josy, jouis fort, lâche tout, ça me fait couler de te voir comme ça"
D'un coup, elle a fait un bond, ses cuisses se sont ouvertes, ses jambes se sont levées puis resserrées autour de la tête d'Evelyne. Ensuite, un énorme soupir, comme si elle vidait tout l'air de ses poumons. ses jambes ont paru se ramollir, écartées, pendantes. Evelyne s'est redressée, m'a regardée.
"- T'es belle toi aussi. Je te veux"
Elle s'est mise derrière moi a écarté mes fesses et à commencé a me lécher le petit trou. sentir sa langue comme ça, avec Josy à coté, encore étourdie de son plaisir, j'ai redoublé de vigueur dans le cul de Gérard, tout en le branlant comme une forcenée.
Il bougeait de partout, comme s'il voulait s'échapper. des petits cris lui échappaient de temps en temps.
Josy s'est assise. Elle a glissé quelque chose à l'oreille d'Evelyne, qui a aussitôt cesser ses caresses. Mais peu de temps. Je n'avais pas vu ce qu'elle faisait, mais je l'ai senti. Mon trou était près. Son gode est entré sans encombre.
Le petit train. Je sodomisais Gérard et Evelyne me sodomisait;
Josy qui avait repris ses esprits à eu comme un cri.
"- T'as pas détaché Gérard. Son gland va finir par tomber comme un fruit pourri. Reste au fond , je desserre les sangles. Vas-y, rebranle-le doucement"
Cette fois, j'ai senti passer le long de ma main comme une vague. Son foutre a jailli d'un coup. Un jet puissant. Il en a eu jusque sous le menton. Et un cri !!!! Un cri de douleur et de soulagement.
Je le masturbais toujours et Evelyne était bien arrimée à moi. Le deuxième jet a été moins impressionnant.
Mais c'est à ce moment la que j'ai senti un liquide me remplir le ventre, comme si le sperme de Gérard se déversait en moi. Gérard a giclé une nouvelle fois quand Josy a libéré ses couilles et les a caressées. Evelyne continuait à me remplir. J'avais le ventre qui se tendait.
"- C'est bon, laisse-le maintenant, retire toi. toi aussi Evelyne, laisse Hélène, mais bouchonne là.
A peine son gode sorti, elle m'a enfilé un plug.
On a enlevé nos godes ceinture en même temps. J'avais le ventre rebondi.
"- Comment t'as fait, et tu m'as remplie avec quoi ?"
Elle m'a montré son gode ceinture, avec le tuyau et la pompe, ainsi que le récipient.
"- et c'est quoi?
- Du lait et de l'eau et un peu de farine, pour épaissir et nue tu le gardes un peu.
Gérard et moi nus, Josy et Evelyne habillées, mais les vêtements froissés, et souillés, on faisait vraiment rescapés d'une orgie.
"Gérard, habille-toi et sors le premier, pour rassurer ton chien"
Je l'ai regardé à ce moment là. Il avait un sourire niais, béat. Il semblait sur un nuage, détendu. En baissant les yeux, j'ai vu son gland bleu, avec des points rouge, comme des petites pustules. Quant aux couilles, elles étaient blanche comme neige, encore ratatinées, presque diminuées de moitié.
Instinctivement, j'ai pris son sexe redevenu flasque dans ma main, j'ai caressé le bout bleu et froid de mon pouce, et je me suis penchée pour le suçoter un peu. Il m'a repoussée, doucement mais fermement.
"- Non, non, faut plus la toucher Mais merci du plaisir. Josy t'a bien appris, et tu es douée. On aura peut-être d'autres occasions".
Il a ouvert la porte pour descendre.
"- A toi Hélène
- Mais je suis nue.
- Tu vas pas t'habiller avant de te vider"
Gérard était encore là, et 4 routiers aussi, qui se sont tus en me voyant nue. Josy et Evelyne sont descendues tout de suite après. J'ai cru voir, dans leurs yeux une lumière d'envie envers Gérard. Pour eux, c'était certain, il nous avait baisées toutes les 3.
On s'est un éloignés du camion.
"- Plie un peu les genoux, mais pas trop, écarte un peu les jambes, garde ton dos droit, on te tient avec Evelyne"
J'ai senti qu'on m'enlevait le plug, et là, sans rien faire ça s'est mis à couler.
Les 4 qui étaient dehors n'en perdaient pas une miette. D'abord parce qu'ils avaient ma chatte exposée, et ce liquide qui sortait par jets de mon cul.
Ils se sont approché pour mieux voir.
Un n'a pas résisté. Il a sorti son sexe, pendant que les autres se caressaient par dessus leur pantalon.
Quand j'ai fini, j'ai regardé la flaque par terre. Il n'y avait pas que de l'eau et du lait mélangés.
Josy et Evelyne étaient tout sourire.
Celui qui avait le sexe sorti à du penser que tout était permis. Il a avancé sa main vers ma chatte.
Evelyne est intervenue comme un diable qui sort de sa boite.
Elle a pris la bite du gars d'une main, l'a attiré vers elle.
"- Maintenant les gars, c'est pour moi. Allez, suivez-moi tous les 4"
Et tentant toujours le type par le sexe, elle s'est mise en marche.
Quand je suis remonté dans le camion, j'ai tourné la tête.
Les 3 autres suivaient Evelyne, devant avec toujours la bite de l'autre à la main.




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发布者 SoifdeSex2
3 年 前
评论
3
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switcherwan
switcherwan 3 年 前
Bander c'est bien , gicler c'est bien, sentir la salive monter et l'anus frissonner au rythme des accélérations cardiaques, tout ça, mais quid de la réelle et la plus puissante ses jouissances, l'orgasme de mon cerveau dû à toi. Et je dirais que ce ne sont que des préliminaires
回答
Guilliver571
Tu m'as bien fait bander et gicler mon foutre pour toi
回答
caso29
caso29 3 年 前
Si ça c'est une journée sans sexe !!! :wink: Josy est une Dominante parfaite et le coup du chien qui te fais te rebeller, j'adore. Je suis tendu et dur tout le long du récit, difficile d'arriver au bout sans jouir tellement tu m'as excitée
回答