Marie et moi

Voilà plus de 30 ans, j’étais à Lomé au Togo à L'ambassade de France pour la réorganisation des services de sécurité de ce petit bout de France c’était ma mission. Je sortais d’une période noire de ma vie, séparation perte d’un bébé à venir, en réaction j’avais embrayé sur une vie peuplée d’alcool et de rencontres gay, boites, back room etc. Cette mission m'éloignait d’un environnement où tout me rappelait de mauvais souvenirs.
Arrivé sur place, on avait bien préparé ma venue et je dois dire sans doute le meilleur accueil que j’ai reçu dans ce genre d’action. J’étais logé dans un bungalow inclus dans le parc de l’ambassade, j’étais seul et il aurait convenu à une famille avec enfants. Encore mieux j’avais une employée de maison a mon service pour les tâches ménagères et mêle la cuisine si c’était nécessaire. Je n’en attendais pas autant. On me présenta cette femme, Marie une jolie femme aux formes généreuses et je dois dire, à mon gout. Je n’ai pas immédiatement et instantanément conçu une envie d’elle, mais j’ai apprécié le sourire et la joie de vivre de cette jolie femme, pas une gamine, une femme qui était environ de mon âge, hors je me plantais lamentablement car elle a 10 ans de plus que moi, cet écart était absolument pas discernable a cette époque, peut être un peu plus aujourd’hui mais surtout dans la perception qu’a Marie d’elle même. L'âge ne nous épargne pas et on change chez elle c’est aussi lié à son ethnie et sa gourmandise, les kilos se sont installés pour moi et beaucoup d’autres elle est totalement désirable et sensuelle, mais pour elle il n’est plus question comme par le passé de se montrer dans une partouze hormis avec quelques vieux amis qui sont presque de la famille voir carrément de la famille comme ma nièce. Revenons 30 ans en arrière.

Ma mission m'absorbait totalement, passant des heures sur le terrain, je ne croisais Marie que le soir ou le matin parfois si je trainais un peu. Petit à petit le malaise qui me pourrissait la vie s'estompe, je commençais à avoir besoin de chaleur humaine et de sexe. Oh je n’ai pas honte d’avouer que je me branlais tous les jours voir plusieurs fois par jour et c’est toujours le cas comme cela était depuis bien avant mes 15 ans. Chaque fois que je voyais cette femme qui s’occupait de mon bien être je la trouvait de plus en plus attirante, sa généreuse poitrine tendait les tshirt qu’elle portait le plus souvent, ses gros tétons déformaient le fin tissu et il semblait que la belle avait tendance a avoir ses petits bouts toujours dressés. Comme beaucoup d’africaines elle utilisait des perruques, gardant des cheveux courts. Je ne me rendrai compte de cela que plus tard. Son fessier m’attirait, son déhanché magnifique rendait le balancement de sa croupe hypnotique. J’avais encore du travail pour un bon moment, je levais un peu le pied pour faire durer la mission, je n’avais pas d’objectif borné dans le temps, juste a mettre sur pied une organisation impeccable capable d’assurer la protection de l’ambassade et également de fournir à nos compatriotes une protection et des possibilités d’extraction et rapatriement vers l’ambassade. Je commençais donc à la croiser régulièrement, je restais dans le bungalow pour faire de la paperasse quand c’était nécessaire. Je la regardais faire le ménage et me remplissais les yeux de ses formes, de son sourire également et de son rire franc et jamais forcé. Quand je restais au bureau elle mettait beaucoup de temps à épousseter, ranger, passer le balais partout dans la cagna. Elle prenait l’habitude de me parler de choses anodines, glissant parfois des petites questions innocentes comme savoir si j’avais des enfants ce qui aurait signifié que j’étais marié ou que j’avais une compagne. Je commençais à avoir l’impression qu’elle s'intéressait à moi.
Marie devenait ma principale préoccupation, je suis comme çà, j’avais maintenant envie d’aller plus loin. Petit à petit elle aussi changea d’attitude, elle ne portait plus ces jeans et t-shirts habituels, elle mettait des robes colorées au décolleté parfois avantageux. Je ne quittais pas des yeux ces seins en liberté sans soutien gorge, malgré leur taille ils se supportent facilement seuls. Plusieurs fois elle se penchait en avant, pour ramasser je ne sais quoi sur le sol et je pouvais admirer cette paire de seins fermes et ronds aux aréoles noires, aux tétons gros comme mon doigt et le plus souvent tendus sous le tissu. Elle m’avoua après qu’elle avait tout fait pour m’allumer et ça marchait. Comme la fois ou accroupie elle avait remonté sa jupe sur ces cuisses et qu’elle avait les cuisses assez écartées pour que je puisse voir la blessure rose de sa chatte perdue dans sa toison bouclée et luisante. Cette fois-là j’ai eu envie de lui sauter dessus et de la prendre sur le sol. Mais je suis peut être pervers mais bien élevé et respectueux des femmes bien que je pratique des jeux peu communs et souvent réprouvés, jamais de ma vie je n’ai forcé une femme ou un homme a faire une chose qu’elle ne désirais pas faire. Le SM est un jeu de rôle dans lequel l’esclave est en fin de compte le maître du jeu. Je peux affirmer que si l’esclave est extrême dans ses désirs elle ou il entraînera le maître dans des extrémités où lui-même ne serait pas allé. J’en atteste pour avoir été dans cette situation.

J”avais conçu pour Marie une attirance folle, j’aime les peaux noires c’est vrai, mais au delà de son physique avantageux c’était elle, son esprit, sa joie de vivre qui me faisait envie. Au fil des semaines ,nos relations avaient évolué, réservée au début et moi assez distant ce fut assez tristounet les 3 premières semaines. L'habitude, la routine presque nous dérident tous les deux. Elle tenait de façon impeccable la maison, mais elle allait plus loin, au bout de quelque temps elle me demanda si j'acceptais qu’elle s’occupe de mes affaires. Elle me trouvait parfois “trop fripé pour un bel homme comme moi” Je riais à sa remarque et je la laissais prendre en charge ces contingences. Elle alla même jusqu'à me dire que les sous-vêtements feraient partie de ses attentions. J’étais content de la tournure des événements. Je commençais à ressentir une sorte de lassitude, la solitude me pesait. Depuis des années je n’étais jamais resté seul sur une aussi longue période.Je comprenais que j’étais fait pour la vie en société, chose que je refusais avant par idéologie sans me rendre compte que j’avais toujours une compagne, une ou un ami avec qui passer du temps. Avec Marie nous prenions l’habitude de boire un apéritif en fin de journée. Elle aimait ce moment où nous nous trouvions tous les deux, bavardant de choses anodines, de famille ou de la météo presque. Parfois on avait des crises de fou rire, comme ce soir où elle entra dans la salle de bain alors que j’étais sous la douche a poil.
Ooops ! Pardon dit-elle
Mais elle restait sur le pas de la porte à me regarder. J’ai failli lui demander de se joindre à moi. Contrairement à mes habitudes je ne l’ai pas fait, pas osé j’ai sans doute senti qu’avec elle ce n’était pas ce que je cherchais. Pourtant à peine avait-elle fermé la porte , je bandais et me branlait furieusement les yeux clos sur son image. Je la rejoins pour notre rituel apéro, a peine installé elle éclate de son rire sonore et me dit
Je suis désolée pour tout à l'heure je ne savais plus quoi faire
Fermer la porte était la seule solution dis-je.. un peu plus vite la prochaine fois
Ah je ne sais pas, ce que j’ai vu était agréable quand même dit elle dans un éclat de rire.
Ah bon tant que çà ?
Elle hocha la tête avec un sourire que je qualifierais de coquin. Je savais à quoi m’en tenir, la drôlesse me trouvait à son goût. J’en étais presque sûr mais là elle ne s’en cachait pas.
- Oh oui vous savez vous êtes vraiment un bel homme
- Voilà une bonne nouvelle, et Marie arrête de me dire vous comme çà, on se tutoies.
- Si vou...tu veux, il faut s’habituer fit elle en butant sur le mot.
- C’est quand même plus agréable non? Et puis maintenant que tu m’a vu à poil tu peux. Moi j’ai pas eu cette chance là!!
- Oh la la ça devient coquin!!!
Sa respiration s’était accélérée, elle avait beaucoup de mal à me regarder droit dans les yeux. Elle était visiblement peu à l’aise. Sans doute se disait -elle que je l’avais percée à jour. Je n’étais pas mieux je redoutais d’aller trop loin, où pas assez de casser ce moment magique. Sa main était posée sur la table, je fis le geste d’att****r mon verre, mais je détournais la cible et posais mes doigts sur les siens. Marie leva les yeux, ils pétillaient brillants, intenses. Son regard sombre s’illuminait. Au lieu de retirer sa main, ses doigts s'enroulent autour des miens et les serraient comme si elle avait peur de les laisser partir. Elle poussait un petit soupir, ses lèvres entrouvertes tremblaient légèrement. Sa respiration avait encore accéléré tout comme la mienne. J’en étais pas pourtant à mon coup d’essai. Je n’aurais pas dû être aussi tendu, je n'y pouvais rien, ce moment me paraissait trop important pour le gâcher. Mon inconscient savait sans doute que ce jouait une partie importante, cruciale même de ma vie. “Ô temps suspend ton vol” écrivait Lamartine. Nous étions dans un instant comparable. Cet instant semblait s’étirer à l’infini un instant durant lequel le prochain geste serait crucial, un instant de grâce. Je suis convaincu que si j’avais fait un autre geste la magie serait retombée. Je tirais légèrement sa main, approchant Marie de moi, je me penchais en avant mon regard dans le sien. Elle se laissait aller, approchant doucement son visage du mien. Ses yeux brillaient de mille feux, ses lèvres humectées par sa langue rose, brillaient. Doucement je continuais le mouvement nous étions maintenant presque nez à nez. elle me sourit, mes mains sur ses joues je l’attire, nos lèvres se touchent, ma langue force a peine ses lèvres qui accueille l’intruse, sa langue se glisse autour de la mienne puis explore ma bouche. Le baiser devient profond, les mains de Marie glissent dans ma chemise, ses doigts caressent ma peau avec une douceur infinie. Un petit doigt effleure mon téton. Une décharge de plaisir, je suis extrêmement sensible des bouts de seins. Instantanément, l’érection que je ressentais devient impérieuse. Depuis Marie a bien compris que me toucher les tétons c’est automatiquement me faire bander. Mes mains ont glissé et caressent ses seins, je sens les tétons tendus sous le fin tissu, elle frémit. Le baiser dure, dure elle et moi on aimerait que cela reste ainsi. Mais à moins de mourir asphyxiés nous devons rompre le contact à regret. Nous nous regardons, je vois une larme qui roule le long de sa joue. Je tends la main paume contre sa joue, j’essuie la perle brillante du pouce. Marie incline sa tête dans la paume de ma main.

Qu’y a- t-il ? Marie?
Oh rien, c’est trop bien, trop bien tu est génial.
Elle se jette dans mes bras assise à califourchon sur mes genoux. Elle m’enlace, je l’enlace. Je pense que nous avons brisé la glace.

A suivre -- vraiment
发布者 vieuxmachin
3 年 前
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vieuxmachin
vieuxmachin 出版商 3 年 前
Kurieuaimesexe : En effet et çà dure encore, ce jour là je n'avais pas imaginé çà. Je ne regrette rien
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Kurieuaimesexe 3 年 前
Quelle belle rencontre .... !
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