*16 - Algérienne en soirée

Mots-clefs : beurette, blacks.


Moi c'est Djamila, je viens d'avoir 26 ans et je suis d'origine algérienne. Physiquement, je suis plutôt bien proportionnée. La nature m'a dotée d'une poitrine généreuse et d'un derrière bien rebondi. En début d'année, j'étais mariée à un homme militaire et souvent absent. Lors d'une de ses missions, il a demandé à son grand-frère de veiller sur moi. Ce dernier a tellement été présent que nous avons fini par coucher ensemble.

J'ai fini par tout avouer à mon mari. Je ne pouvais pas vivre avec ce secret. Il n'a pas été indulgent, il ne m'a pas pardonné. Actuellement, je suis en instance de divorce. J'ai dû trouver un petit travail pour garder mon appartement. Beaucoup des amis que nous avions en commun ne me parlent plus. A leurs yeux je ne suis qu'une salope. Dans mon monde, une Arabe qui trompe son mari c'est inconcevable.

Voilà, j'ai payé pour ma faute, je suis une vraie paria. Quant à Sofiane, mon ancien beau-frère, eh bien, je n'ai plus aucune nouvelle. La seule personne qui me reste c'est ma petite Nadia, ma meilleure amie. Elle a essayé de me faire voir le bon côté des choses en me disant des choses du style "1 de perdu, 10 de retrouvés", "maintenant que tu es célib', tu vas pouvoir profiter de la vie".

Un samedi soir, elle m'a entrainée à la crémaillère d'un de ses amis, un certain Mousse. C'est un grand black avec qui elle travaille, et avec qui elle a sans doute déjà couché. Pendant la soirée, ils se sont éclipsés ensemble plusieurs minutes et à mon avis, ils ont fait des cochonneries. Ce soir-là, j'ai sympathisé avec l'un des amis de Mousse. André, 31 ans, beau et grand homme musclé à la peau d'ébène. Lui et l'hôte de la soirée s'étaient rencontrés à la salle de sport. Nous avons discuté encore et encore. Depuis la fin de mon histoire avec mon mari, c'était la première fois que je me sentais à l'aise avec un homme. Le courant passait vraiment bien entre nous.

Après cette fameuse soirée, nous avons gardé contact et nous sommes même allés au ciné ensemble. Dans l'intimité de la salle obscure, il m'a pris la main. J'en étais toute retournée. Le contact de sa peau sur la mienne m'a donné des frissons partout, partout. En me raccompagnant chez moi, il m'a embrassée. Un simple contact, lèvre sur lèvre. Il n'en demandait pas plus et j'appréciais.

Un midi, il est venu manger au restaurant où je suis serveuse et après mon service, il m'a proposé de passer l'après-midi chez lui. L'idée que l'on se retrouve tous les deux dans un espace clos me faisait un peu peur. En fait, j'avais envie que ça aille plus loin, mais j'avais peur de ne pas être à la hauteur. Malgré mes craintes je l'ai suivi. Il m'a fait faire le tour du propriétaire et puis il m'a dit qu'il avait besoin de se changer. Il a été surpris lorsque je l'ai suivi dans sa chambre. Je me suis assise sur le rebord du lit tandis qu'il fouillait son armoire. Il a enlevé son tee-shirt, me dévoilant son torse musclé. Une bouffée de chaleur m'a envahie. J'avais envie de laisser mes doigts se promener sur son corps. Je ressentais d'étranges picotements au niveau de mon entrejambe. J'avais honte d'avoir ce genre de pensée. Et puis j'ai fini par me dire merde, on ne vit qu'une fois.

Je me suis levée et je me suis rapprochée d'André. Timidement, j'ai posé mes mains sur son torse. Son regard s'est aussitôt embrasé. Ses doigts ont empoigné mes hanches et m'ont attirée vers lui. Il a avancé son visage vers le mien et nous nous sommes embrassés. J'ai entrouvert les lèvres et il a glissé sa langue dans ma bouche. La température est montée d'un cran et il m'a déshabillée. Je me suis retrouvée en sous-vêtement et j'ai rougi, ce qu'André a remarqué.

- "T'as pas a avoir honte ma puce, t'es trop canon."

Son petit compliment m'a redonné du courage et je l'ai déshabillé à son tour. En m'agenouillant, j'ai défait son pantalon, puis j'ai baissé son boxer. Je suis restée quelques instants figée en découvrant l'énorme taille de son membre.

- "Vas-y ma puce, elle est toute à toi", a-t-il soufflé.

Au début je n'ai pas compris ce qu'il attendait de moi et puis j'ai fini par saisir. J'ai commencé par donner de timides coups de langue sur son gland gonflé. Sa verge était chaude et dure. J'ai entrouvert mes lèvres et je l'ai fait glisser dans ma bouche. Elle était si grosse que je n'ai pas pu la gober entièrement. J'ai commencé des mouvements de va-et-vient. C'était excitant, j'avais l'impression de détenir le pouvoir, le pouvoir de son plaisir. Il m'a soudain interrompue et en saisissant mon menton, il m'a aidée à me redresser. Quand j'ai été debout, il m'a soulevée du sol et il m'a allongée sur le lit. Lentement, il a fait glisser ma petite culotte le long de mes jambes et il a écarté mes cuisses. Quand j'ai compris ce qu'il voulait faire je me suis tendue.

- "Je ne suis pas habituée à ça", lui ai-je expliqué.
- "T'inquiètes ma puce, ça va te faire du bien."

Et il a plongé sa langue au fond de mon intimité. J'ai tressailli de plaisir. C'était chaud, humide et doux. Tout mon corps s'est cambré. Je me suis mise à pousser de petits couinements. Il savourait mon fruit défendu sans aucune retenue et c'était si bon que je ne voulais pas que ça s'arrête.

- "Je vais te la mettre maintenant, ma puce", a déclaré André en arrêtant de me lécher.

En quelques secondes, il a enfilé un préservatif qu'il a trouvé je ne sais où. Il s'est allongé sur moi et il m'a pénétrée. Son énorme verge s'est enfoncée en moi, centimètre par centimètre. Elle était si grosse qu'elle a eu du mal à se frayer un chemin jusqu'au fond de moi. Et puis, petit à petit, je me suis ouverte et il m'a remplie complètement. Ses muscles sont entrés en action. Il a fait des va-et-vient de plus en plus rapides en moi. Et puis il m'a défoncée. Jamais on ne m'avait prise comme ça. Jamais je n'avais couché avec quelqu'un d'une manière aussi intense. Je poussais des cris de plaisirs. Tout à coup, les parois de mon vagin se sont crispées et j'ai eu un orgasme foudroyant qui a agité de spasmes chaque muscle de mon corps.

André m'a très vite rejoint dans la jouissance et a rempli son préservatif de sa semence. Il s'est retiré de moi et il m'a enlacée. Nous étions en pleine après-midi et je venais de prendre mon pied comme jamais. Je me sens enfin libre et cette fois, je ne fais du mal à personne.


Auteur : une certaine "Djamila".
发布者 rabanmaur
3 年 前
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