Hélène

Hélène c’est une femme de presque 50 ans petite, blonde aux yeux bleus et très distante avec les hommes de la société. Il a fallu attendre le départ en retraite de Jean-Paul pour que les choses changent du moins avec moi…Jean-Paul avait organisé un pot le vendredi soir dans une salle associative…j’avais papillonné de groupe en groupe sans trop abuser du punch car je devais ramener ma voiture…Hélène n’avait visiblement pas fait le même calcul si bien qu’au moment de partir les verres ingurgités commençaient à se faire sentir…sa réputation de « farouche » fit qu’aucun des derniers fêtards ne lui proposa de la raccompagner…je la vis essayant vainement d’ouvrir sa voiture. Je saisis d’autorité ses clés et lui dit que je la raccompagnais chez elle et que demain elle devrait prendre un bus pour venir chercher son auto…elle monta donc dans ma voiture et me donna son adresse. Le GPS trouva la route et nous partîmes…
-tu viendras boire un dernier verre chez moi ?
L’alcool aidant j’osais une remarque grivoise :
- Tu sais ce que ça sous-entend ?
- Je ne suis pas une oie blanche, et puis toi tu me plais bien, tu es galant et tout…
Ce disant elle me caressait doucement la joue…
- Attention Hélène, je joue à des jeux que tu n’imagines peut être même pas…
- Du genre ?
- Tu es capable d’enlever ta culotte, là, maintenant et de me la donner ?
- Ou…i bien sûr !
Elle souleva ses fesse du siège et en se tortillant fit glisser un string jusqu’à ses pieds. Elle le prit et me le tendit. Je portais le string à mon nez
- Il sent drôlement bon, comme si tu avais mouillé…tu caches bien ton jeu : un string…
- Tu crois que seule cette vipère de Clémence à la compta porte un string, eh bien tu te trompes…tu me le rends s’il te plait…
- Non il est trempé tu risques d’att****r un rhume de chatte
J’ouvris la fenêtre et jetais le sous-vêtement
-t’es un grand malade…je t’adore…regardes ce que je fais du soutif !
En 2 mouvements elle l’avait dégrafé, ôté et jeté aussi par la fenêtre…
-ça te plait de me savoir nue sous ma robe
- drôlement ! le problème c’est que nous avons encore de la route…comment allons-nous passer le temps ?
- j’ai bien une idée…
Elle se mit à genoux sur son siège et ouvrit ma braguette. Je l’aidai en avançant le bassin. Elle dégrafa mon pantalon et le fit glisser sur mes cuisses…
- Ne t’inquiètes pas, pas une goutte ne salira ton siège…
Ça promettait…elle me massa doucement les couilles puis sa bouche plongea sur mon sexe fièrement dressé…je devais garder toute mon attention sur la route, heureusement le périphérique était quasi désert vu l’heure tardive.
Pour celle qui passait pour une vierge effarouchée, elle se débrouillait super bien, jouant avec sa langue ou coulissant mon membre jusqu’aux prémices de sa gorge. Elle se démena si bien que je sentis grandir le plaisir et bientôt un flot de sperme gicla dans sa bouche. Elle hoqueta deux ou trois fois mais s’appliqua à tout avaler…la coquine s’évertua même à bien me nettoyer après. Elle remonta mon caleçon ainsi que le pantalon puis déposa sur mes lèvres un doux baiser au gout un peu salé…
-ça t’a plu ?
- il faut croire…et toi ?
- oh moi ça faisait longtemps que je n’avais pas fait ça, mais j’ai bien aimé…
Nous arrivions devant chez elle….
- Le « dernier verre » ?
- C’est pour ça que je suis là ?
- Tu sais certains se contente de se faire sucer puis te largue sans un mot devant chez toi.
- Que crois-tu ma belle ? la nuit ne fait que commencer…

Dans les escaliers qui menaient à son appartement, je profitai qu’elle soit devant moi pour glisser une main sous sa robe et lui caresser les fesses…

Elle s’immobilisa, souleva sa robe et écarta les jambes…d’un seul coup elle me semblait moins saoule que ce qu’elle paraissait auparavant…

- Vas au bout des choses…

Je glissai mes doigts le long de ses lèvres…elle était intégralement épilée ce qui confirmait mes soupçons : la coquine avait prémédité son coup…je jouais doucement avec mes doigts sur ses lèvres, puis titillais son bouton…elle ronronnait doucement…l’introduction d’un doigt dans sa chatte la fit se plier en avant une main cramponnée à la balustrade, l’autre jouant à présent avec son clitoris…la minuterie de la lumière s’était coupée seule la faible lumière du panneau d’évacuation nous éclairait.

Je distinguai ses fesses et allait y jeter une langue inquisitrice…elle sursauta d’abord puis se cambra un peu plus, permettant à ma langue l’exploration de son anatomie…la bougresse aimait cela et le faisait savoir en ondulant du bassin…je cru bon d’ajouter deux doigts à celui investiguant déjà sa chatte…elle ne put réprimer un petit cri de jouissance …elle inonda les marches de son plaisir, puis s’arrachant à mes doigts elle se retourna et m’embrassa à pleine bouche…

- Je savais que tu étais doué toi…allez on y va…

La précision avec laquelle elle introduisit la clé dans la serrure me renforça dans mes convictions : la coquine avait simulé l’ivresse pour me ramener chez elle…futée…

Nous arrivâmes dans la chambre après une longue étreinte…nos langues avaient joué à l’unisson, au tour de nos corps…les vêtements volèrent…je la plaquai sur le dos…je me glissais entre ses cuisses et lui prodiguais un cunnilingus…elle se tortillai comme pour échapper à mes caresses mais se rapprochai dès que ma langue était hors de portée…l’orgasme la ravagea bientôt…

- Stop j’en peux plus…

- Tu veux rire, j’espère. Ça ne fait que commencer, je t’avais prévenu…

J’avisai un ceinturon de peignoir et lui attachai une main à sa tête de lit…mon ceinturon fit le même office sur son autre main…

Je m’installai tête bêche au-dessus d’elle lui présentant ma rondelle à lécher…mes doigts reprirent leur exploration de sa chatte…elle essayait d’onduler mais mes 75kgs placés sur sa tête l’empêchaient presque de respirer et rapidement elle cessa toute résistance…je soulevai alors mon bassin et elle se consacra à m’administrer une feuille de rose qu’elle prodigua à merveille. De temps à autres sa langue dérapait jusque sur mes couilles glabres qu’elle jouait à lécher ou à avaler…pendant ce temps, ce n’étaient plus trois mais quatre doigts que j’avais glissés en elle et que je remuais…elle mouillait beaucoup, mais je n’étais pas sûr de pouvoir glisser la main entière…Mes doigts en elle firent leur effet et un nouvel orgasme la ravagea…elle était inerte, comme vidée de toute énergie.

Je la détachai alors, puis la fit se mette à 4 pattes sans qu’elle n’oppose la moindre résistance. Je lui plaquai les épaules contre le drap puis lui attachai les mains avec ses chevilles au moyen de sa ceinture de peignoir, le cul relevé…

- Maintenant je vais t’enculer

- Fais ce que tu veux…je suis ta chienne soumise.

Je crachai un peu de salive sur sa rondelle et approchai ma queue…

- Vas-y doucement quand même, je n’ai pas l’habitude

Je positionnai mon gland sur sa rondelle et commençai à pousser…son inquiétude n’était pas justifiée, l’entrée se fit facilement et rapidement mes couilles tapèrent sur ses fesses. Elle ne disait rien, semblant juste encaisser la sodomie…j’accélérai alors…elle commença doucement à gémir, puis ses gémissements firent place à des cris de plaisir…

- Putain vas-y défonces moi

- Tu aimes ça hein, salope ?

Je l’attrapai par les cheveux et lui tirai la tête en arrière…

- Tu aimes ça ?

- Oui, vas-y fort…

Je me retirai alors…

-oh non s’il te plait encules moi enc…

Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase que ma queue envahissait sa bouche

- Il a bon gout ton cul ?

Je m’enfonçai loin dans sa gorge et mon sexe se retrouva rapidement couvert de salive.

Je retournai derrière elle. Son anus était encore ouvert à la suite de mon passage. Je lui limai encore un peu le cul, provocant de nouveau des cris de plaisir. J’avisai mon ceinturon en cuir. Je le pliai en 3 …le coup la fit hurler de douleur et de surprise…elle voulut basculer sur le côté pressentant le deuxième coup, mais j’étais bien planté en elle et l’en empêchai…la deuxième fesse fut touchée rapidement, là aussi elle cria, mais moins fort, comme si elle savait que c’était inéluctable…les coups se succédèrent , elle ne disait plus rien, reniflant de temps à autre…la série terminée, je me mis de nouveau à lui pilonner le cul…un nouvel orgasme la secoua…je sentais que je n’allais pas tarder à jouir à mon tour, mais je n’avais pas encore honoré son vagin…elle était tellement mouillée que ma bite semblait flotter dans sa chatte , mes va et vient faisant un bruit de clapotis…j’éjaculais au fond de sa chatte, puis présentai ma queue à sa bouche…elle semblait heureuse de me sucer et s’appliqua à bien me nettoyer…

-ça ta plu ?

- oui, carrément, même si la cravache, je ne m’y attendais pas trop…c’est une première pour moi…putain, j’ai mal au cul…

-tu sembles pourtant aimer te faire enculer…

- oui, mais jamais je ne l’ai été aussi longtemps…

- ben si tu veux on recommence, mes mains iraient bien visiter tes intimités…

- ça ne passera pas, mais j’aimerai que tu essaies…j’ai bien fait de m’arranger pour que tu me raccompagnes…

- tu avais donc prémédité ton coup ?

- oui, j’avais trop envie…ça fait une éternité que personne ne m’a baisé et en plus ça n’avait pas été terrible…Bruno de la logistique…putain, deux allez et retour et il balance la purée…

- moi c’est mieux ?

-carrément, oui... Tu as de l’imagination en plus…tu me détaches ?

- suces moi d’abord, j’ai encore envie…

-putain, tu es insatiable, toi !

Pendant qu’elle s’appliquait à prodiguer une douce fellation sur mon sexe ramolli, je la détachai…

- Mets-toi sur le dos et suces moi les couilles…

J’avais à présent vue sur sa chatte et son bouton turgescent…le ceinturon claqua sur son bouton…elle se cambra sous le coup en criant et en resserrant les genoux…

- Ouvre-toi !

Elle obtempéra bien que sachant ce qui l’attendait…

Je décidai de lui pincer un sein…elle gémit …je passai alors à la torsion…j’avais avancé le bassin et à présent elle me léchait la raie, je ne soulevai les fesses que suffisamment pour qu’elle puisse respirer en pratiquant cette douceur…de toute façon je bandais déjà à mort…

Je lui vrillai le téton tout en le pinçant de toute mes forces…elle gémissait en ondulant du bassin, ses cuisses bien écartées à présent…je me penchai en avant, mon autre main vint tapoter doucement son clitoris excité…les tapes s’accentuèrent…jamais je n’avais eu sous les mains une femme aussi rapidement soumise…elle essayait d’insérer sa langue dans mon anus ce qui n’était pas pour me déplaire... rien ne semblait la rebuter. Ses mains s’étaient saisies de mes fesses qu’elle écartait ostensiblement pour faciliter sa manœuvre…tout à son action elle semblait indifférente aux tapes que je portai à son clito…je revins m’occuper de ses seins …ils étaient d’une taille suffisante pour que je puisse les torturer un peu…je me reculai un peu afin qu’elle me gobe la bite. Je lui pistonnai un peu la bouche puis la laissai se débrouiller avec…j’avais autre chose en tête…la ceinture peignoir fit l’affaire. Je commençais à l’entourer autour de son sein droit, chaque tour plus serré que le précédent…je la sentais gigoter sous moi mais ma queue dans sa bouche la forçait au silence. Son sein était cramoisi à présent et gonflé à bloc…je passais au second…je m’arrêtais pour observer mon œuvre.

Je me soulevai.

- Tu aimes ?

- Ça fait un peu mal quand même…

- Mets-toi à genoux

Tel un zombie elle obéit.

- Suce-moi !

Elle glissa ses mains derrière me fesses et me goba. Je m’enfonçai aussi loin que possible en elle en lui maintenant la tête, je lui baisai littéralement la bouche, la faisant suffoquer parfois…enfin je jouis dans sa gorge…elle n’eut pas de difficulté à tout avaler, cela faisait la troisième fois de la soirée…

- Maintenant, il faut dormir…

Je la tenais par le bras pour l’accompagner, le cul douloureux la faisant marcher bizarrement…

- Tu veux que j’enlève la ceinture autour de tes seins…

- Oui tu me la remettras demain…

Elle envisageait donc que l’on recommence nos séances le lendemain…la nuit allait être bonne…

Quand je m’éveillais, une bonne odeur de café flottait dans l’appartement. Hélène était dans l’embrasure de la porte, un plateau dans les mains…

- Petit déjeuner ?

- Oui, un café

Elle posa le plateau sur le lit près de moi. Elle était nue sous un tablier de cuisine.

- Ma tenue te plait ?

- Amusant

- Tu aimes me voir en soubrette ?

- Comme ça, oui…

- Alors je veux être ta soubrette

- Ne dis pas des choses que tu ne penses pas…

- Je le pense…je n’ai jamais passé une nuit comme celle-là…tu sais, j’ai connu pas mal de mecs dans ma vie…des mieux « équipés » que toi si tu vois ce que je veux dire, mais toi tu m’as fait jouir comme jamais…bien sûr parfois ce que tu m’as fait était douloureux, mais à chaque fois l’orgasme était plus fort, plus présent que dans mes meilleures expériences précédentes, alors, oui, je veux être ta soubrette soumise, je veux que mon plaisir passe par ta perversion et que tu fasses ce que tu veux de moi…j’ai compris que mon plaisir dépendait de ma soumission et de ma douleur. Maintenant tu as les cartes en main, je ne reviendrais pas sur ma décision.

- Ta proposition est …intéressante, tu as les qualités requises pour être une bonne soumise, mais toutes les conditions ne sont pas remplies…ici, c’est un peu exposé pour nos activités futures, les voisins ont dû t’entendre cette nuit et moi je suis en location dans un petit meublé …

- J’ai hérité de ma grand-mère d’une petite maison un peu isolée …elle est en vente, mais personne ne semble intéressé.

- Il faudrait y aller voir…tu as bien dit tous mes caprices ? tu feras ce que je te demande sans rechigner ?

- Oui…

- Oui Maitre !

- Oui, Maître…tout…mieux, je devancerai vos désirs…par exemple, là je sais que vous avez envie que je vous suce…

C’était facile le drap était tendu…elle se pencha et goba mon sexe…sa langue agile jouait sut le bout…j’avisai ses fesses à découvert…la claque la surprit…un cri lui échappa, mais elle replongea aussitôt sur mon sexe érigé…quand je crachai mon foutre au fond de sa gorge, ses fesses étaient bien rouges…je me levai.

- Attends-moi là, je vais te donner tes vêtements

Je prenais une douche rapide puis scrutai son armoire.

Je trouvai une jupe assez courte un chemisier blanc en dentelle. Une paire de bottes en cuir complèteraient la panoplie.

- Enfile ça…

Elle avait ramassé un soutien-gorge et un slip qui trainait sur un fauteuil.

- Non, ça, et QUE ça…

- Oui maître…

Je reprenais mes affaires de la veille.

Une fois habillée, je la tournai vers le grand miroir de son armoire :

- Dis-moi ce que tu vois

- Un joli couple, Maitre…

- Un Maitre et sa Soumise…

- Oui Maitre

Ostensiblement, elle déboutonna le haut de son chemisier, ses seins se devinaient aisément à présent…elle se tourna en rougissant devant moi, déboutonna le reste, sorti les pans de son chemisier, et les noua le plus bas possible…à présent n’importe quel badaud dans la rue aurait une vue sur sa poitrine…

- Je pense que c’est mieux ainsi Maitre…j’espère que vous serez fier de m’exhiber ainsi dans la rue…

- Je le suis…cet après-midi, j’irai acheter quelques éléments pour toi, j’aimerai que tu fasses quelques achats …

- Des achats ?

- Pour que nous puissions diversifier nos plaisirs... Allons voir la maison maintenant…

Il était encore tôt et nous n’avons pas croisés beaucoup de gens avant de monter en voiture, mais les quelques hommes la suivirent du regard…

- Alors, quelle impression ça te fait d’être l’objet de ces regards ?

- C’est un peu déroutant et excitant en même temps…je crois que je suis un peu mouillée…

- Fais voir…

Elle glissa sa main sous sa jupe, puis me présenta ses doigts…ils brillaient un peu…

- Je suis content que la situation t’excite…

- Moi aussi…

Elle avait le sourire…

Nous avons récupéré sa voiture sur le parking. Le barman qui sortait les poubelles à ce moment-là, la regarda médusé… je la suivis. La maison de sa grand-mère était vraiment isolée. L’endroit idéal pour ce que j’y prévoyais…elle ouvrit la porte grinçante. La maison comportait un immense sous-sol ainsi qu’un grenier. L’idéal.

- Après vous Maître…

- Va retirer le panneau « à vendre »…nous allons venir vivre ici

Elle me sauta au cou en me couvrant de baisers…Cette maison était vraiment idéale :

Entourée d’une épaisse haie de conifères, donnant sur une rue peu passagère. Les voisins devaient tous être octogénaires et la moitié des maisons de la rue étaient à vendre…nous serions tranquilles.

Nous reprîmes chacun notre voiture. Une pause déjeuner dans une cafétéria d’un supermarché. Hélène était rouge pivoine au début du repas, tous les regards posés sur elle…puis elle se détendit progressivement au point de se caresser discrètement un sein sous son chemisier en se caressant les lèvres de sa langue…une sacrée coquine, je la reconnaissais à peine sous cet air effronté. A la fin du repas chacun reprit sa voiture, nous devions nous rejoindre à l’heure du diner à la maison de sa grand-mère. Elle m’indiqua savoir ce qu’elle allait acheter et que je serai surpris et fier d’elle.

Je me rendis dans une grande surface de bricolage et achetai pas mal de matériel. Puis repassai chez moi emplir une valise de vêtements.

J’arrivai avant elle à la maison, heureusement elle m’avait donné un double des clés.

Trois bonnes heures après je sirotai une bière (il faut toujours en avoir dans le coffre de la voiture…) en contemplant mon œuvre : une crois de saint André côtoyait un pilori dans la cave. J’avais entièrement nettoyé le sous-sol et le rez de chaussée.

Elle arriva vers 19h30, tout sourire. elle m’embrassa à pleine bouche en collant son corps contre le mien..

- J’ai fait plein d’achat…dis-moi si tu aimes.

Elle sortit d’un sac un lot de string ficelle à faire pâlir une stripteaseuse, puis des soutien-gorge seins nus, des porte-jarretelles, des corsets, quelque mini-jupes…

- C’est bien ?

- Magnifique

- Attends…

Elle alla à sa voiture et revint avec un autre carton

- Ça c’est plus…osé …

Ça venait d’un sex-shop, visiblement…il y avait des godes, des plugs, et tout un tas d’autres accessoires : un fouet, une cravache, des pinces-seins…

- La ceinture, ça fait amateur, je voudrais que tu utilises ça maintenant…

- Mais bien volontiers…

- Merci d’avoir tout rangé, c’est gentil…j’ai pris quelques trucs pour ce soir et demain…à moins que tu ne veuilles sortir…ah , j’ai aussi un truc à te montrer…

Elle rayonnait de joie à l’idée de sa surprise…elle défit le nœud de son chemisier. Ses seins semblèrent jaillir…85 C …de quoi affoler l’imagination…un anneau ornait à présent chaque tétons…

- et puis ça…

Elle fit glisser sa jupe. Là aussi un piercing trônait sur chaque lèvre.

- Il faudra y aller mollo au début, le gars m’a dit que ça serait très sensible quelques temps…il y a aussi tout un tas de soins à leur apporter pendant quelques jours…après tu pourras jouer avec comme bon te semblera…

Vraiment elle était douée pour me surprendre…nous allions avoir du bon temps ensemble…

Le dîner fut un régal. En plus d’être une bonne soumise, c’était un vrai cordon-bleu.

Bien sûr à la fin du repas elle se glissa sous la table pour me gratifier d’une superbe fellation.

- Mon dessert…

Elle exhiba d’un sac quelques DVD. Visiblement ce n’était pas des Disney….

- J’ai pris ça aussi…des trucs que tu aimerais peut-être essayer…

- Que tu aimeras que je te fasse plutôt…dis donc pour une soumise tu prends pas mal d’initiatives…

- Tu m’as dit que je devais devancer tes désirs….

Je regardai les jaquettes des DVD, puis en choisit un…

- Je te préviens, ça n’est pas pour les mauviettes…

- Je te rappelle que c’est moi qui ait choisi, alors si ça fait mal, je n’aurai qu’à m’en prendre à moi-même...de toute façon, j'ai choisi de subir ta loi...

- Vas te mettre à quatre pattes sur le lit après t’être fait un bon lavement…comme tu dis pendant quelques temps le choix du terrain de jeux va être restreint…

Elle partit en riant vers la salle de bain…j’en profitai pour récupérer quelques « jouets » et du gel lubrifiant dans le sac rapporté du sex-shop. Une grande serviette vint compléter la panoplie…elle m’attendais sagement installée…le coup de cravache atterrit sur sa fesse droite…elle cria de surprise et plongea en avant…un réflexe malheureux…j’attendis qu’elle reprenne sa position initiale. Cette fois elle ne cria pas ni ne broncha quand le coup claqua sur l’autre fesse…

- Une mise en bouche…

- Merci Maître…

- Il faut attendrir la chair…

J’enduisais son anus de gel…

- Prête ?

- Oui Maître

Je glissai le DVD dans le lecteur. Un film de fisting allemand orienté anal…un bon choix de sa part…

- Toujours partante ?

- Bien sûr, Maître…

je commençais par lui glisser un gode aux dimensions « raisonnables » dans le fondement

Elle commença par gémir au moment de l’intromission puis, visiblement son corps s’adapta à la présence du jouet.

Je m’amusais alors à faire coulisser le gode en elle, de plus en plus vite et de plus en plus loin…ses gémissements étaient à présent ceux du plaisir éprouvé…il était temps de passer aux choses sérieuses…le diamètre et la longueur du deuxième étaient plus imposants. Une bonne dose de gel plus tard je présentais le gode à son anus. Mes craintes étaient infondées : Hélène poussa sur ses sphincters et ceux-ci laissèrent l’objet entrer comme par enchantement. Elle apprenait vite…tout en maintenant la pression d’une main je lui lâchai un petit baiser sur chaque fesse

- Merci Maître…

je me glissai sous elle en 69…

Elle savait ce qu’elle devait faire…sa langue vint titiller mon sexe, coulissant le long de la hampe ou s’attardant sur le gland, puis sa bouche avalant goulument ma bite en la couvrant de salive. Profitant qu’elle était « occupée » j’enfonçais inexorablement le godes dans son orifice. C’était un de ces godes à « anneaux » allant s’élargissant. A chaque « cran » elle poussait un petit cri puis reprenait sa pipe. Au 3ème passé je commençais de nouveaux va et vient…sa réaction ne se fit pas trop attendre : les spasmes annonciateurs de son orgasme secouèrent tout son corps et son vagin lâcha un énorme flot de cyprine…son cri de jouissance résonna dans toute la maison, nullement amorti par le peu de meuble présent.

J’étais ravi pour elle. Et pour moi : avec Hélène j’allais parvenir à l’accomplissement de nombre de mes fantasmes.

Je retirai délicatement le gode de son cul. Cela lui attira néanmoins un petit cri de jouissance.

- Que veux tu maintenant Soumise ?

- Votre main Maître, pardon vos mains…

J’accédai à sa requète…les quatre doigts rentrèrent sans que j’aie à forcer, mais le pouce ne passait pas…elle écartait pourtant autant qu’elle le pouvait les jolis lobes de ses fesses de sas deux mains. La sueur perlait à son front…ses dents étaient serrées par le rictus de l’effort. Je décidais de ne pas insister.

- Arrêtons là…

- Mais Maître je voulais tant vous donner ce plaisir !

- Mon plaisir ce n’est pas de te blesser…nous essayerons de nouveau dans quelques temps quand ton anus se sera habitué à de tels assauts….

Des larmes noyaient ses yeux

- Ce n’est pas un échec, ce que tu as encaissé ce soir est déjà énorme…pour te récompenser je vais te prendre par ce joli petit trou et bien jouir en toi…ça te plait ?

- Oui Maître, bourrez-moi bien ce trou qui refuse votre main, défoncez-moi !

Je ne me fis pas prier. Son anus était encore bien dilaté, mais au fil de mes va et vient il se resserra sur ma bite …elle commença à donner des signes de plaisir. Je lui claquai régulièrement les fesses, ce geste devenant presque machinal. Quand je sentis l’orgasme monter dans ma queue je l’agrippai plus fort par les hanches et jouis sans retenue dans son fondement…putain ce que c’était bon de sentir mon flot se déverser dans ses entrailles. Quand elle sentit que j’avais fini, elle se dégagea et amoureusement vint me lécher la queue. Elle la nettoya avec application puis la couvrit de baisers…puis elle vint se lover dans mes bras son corps tout chaud contre le mien et le sommeil nous surprit.

Le soleil était déjà haut quand je m’éveillais.

- Bien dormi ?

Elle était là, devant moi, toute fraiche, un immense sourire illuminant son visage.

- Oui, bien, et toi ?

- J’ai encore un peu mal au cul et mes piercings me gênent un peu, mais c’était une bonne soirée…dommage que ta main ne passe pas …

- Ne t’inquiète pas pour ça, ce n’est que partie remise. Je vais devoir passer chez moi chercher d’autres affaires.

- Alors je vais te préparer une surprise pour ton retour….



J’étais arrivé chez moi…pendant que je m’affairais à rassembler mes affaires, je cogitai à sa phrase…qu’allait elle pouvoir me préparer comme surprise ? pour une soumise elle prenait vraiment beaucoup d’initiatives …cela n’était pas pour me déplaire…mais là, elle m’étonnait vraiment. Je passais rapidement au supermarché heureusement ouvert le dimanche et achetai de quoi nous concocter le repas du midi ainsi que celui du soir…j’achetais également quelques « babioles »: cordelettes, ruban adhésif, épingles de couturières….

En rentrant à la maison, nul son ne me parvint…soudain je les vis sur le sol : Hélène, tel un Petit Poucet avait semé des confettis en forme de cœur. Il ne me restait qu’à suivre la piste…elle menait au sous-sol, au garage plus précisément. Je la trouvais là, perchée sur un petit escabeau 2 marches. Une corde faisait le tour de son torse puis comprimant ses seins sur plusieurs tours, remontait vers un treuil électrique…

- Ce treuil m’inspirait…je crois qu’il va t’inspirer aussi…mon grand-père s’en servait quand il faisait de la mécanique pour sortir des moteurs de voiture…je crois qu’il pourra soulever mon poids…

- Oui, mais tu ne crains pas pour tes seins ?

- Tu oserais dire que je suis lourde ?

Le ton n’était pas celui du reproche, plutôt de l’amusement…

- Non, bien sûr, tu es toute menue, mais tu crois que tes seins vont…

- Essaies !

Je m’avançais et pris la commande. Doucement j’appuyais sur le bouton « levée » …la corde se tendit. Je maintenais une pression délicate, la corde se resserra encore un peu autour de ses seins puis elle commença à soulever Hélène. Elle était à présent sur la pointe des pieds.

- Ça va ?

- Oui, ça fait mal, mais ça va…

Une dernière impulsion et ses pieds ne touchait plus l’escabeau. Je le retirai. Je la descendis un peu, ses pieds touchant presque le sol.

- Ça te plait ?

- Oui, ta situation est excitante : tu ne peux pas t’échapper…

- Alors profites en !

- Tout ce que je veux

- Oui, sauf sur mes lèvres et les tétons, c’est hyper sensible…

- D’accord

La cravache claqua sur sa fesse droite, puis sur la gauche…je recommençai lentement…elle gémissait mais ne criait pas. J’insinuais délicatement mes doigts entre ses lèvres, elle était trempée….

- Tu mouilles petite salope

- Oui Maitre, je sais que vous allez bien vous occuper de moi…

- Tu crois ça ?

- Je le sais…

J’allais chercher un peu de gel et le gode à anneaux

- Nous allons continuer l’expérience d’hier

- Volontiers Maitre

S’était-elle entrainée en mon absence ? le gode coulissa dans son anus sans problème, un anneau, le deuxième, le troisième…je poussai un peu et elle poussa un petit cri quand le quatrième força sa barrière

- C’est bien Maître ?

- Oui je crois que nous allons pouvoir nos amuser

- Votre poing pourra entrer ?

- Oui, sans problème…tu t’es entrainé ?

- Oui Maître (elle rougit un peu) une grosse courgette …ça n’a pas été facile, mais j’avais réussi avec un concombre puis une aubergine…

J’ôtais délicatement le gode. Mon poing n’eut aucune difficulté à entrer. Elle avait remonté les genoux et je commençais à la pistonner de mon poing fermé. Son plaisir ne se fit pas attendre. Les spasmes la secouèrent tellement que j’arrêtais tout mouvement de peur que la traction ne soit trop forte pour ses seins. De ma main libre j’actionnais le palan pour la faire descendre. Quand elle fut au sol, elle respirait fortement encore sous l’effet de son orgasme. Je retirai délicatement mon poing de son fondement. Cela provoqua un nouvel orgasme, sa cyprine jaillissant pour inonder le sol.

Il faut bien le dire cela m’agaçait : elle avait toujours anticipé tous mes désirs. Je décidai de lui concocter une sacrée surprise. Je profitai qu’elle soit dans son bain à se remettre de ses émotions pour aller surfer un peu sur le net.

Mon plan se mettait en place. Il me faudrait être un peu patient mais la surprise promettait d’être agréable…pour tous les 2…

Le dimanche s’acheva doucement. Je la pris doucement en levrette, son cul m’accueillit comme il avait accueilli ma main dans l’après-midi. Bizarrement je ne pus réfréner quelques bonnes claques bien appuyées sur ses fesses. A chaque coup son corps se relâchait puis ses fesses se resserraient encore plus sur mon membre, il me fallut un sacré self-control pour ne pas jouir avant elle…après mes spasmes libérateurs elle vint doucement me nettoyer puis se colla nue entre mes bras où elle finit par s’assoupir. Je la portai jusqu’au lit et la glissai entre les draps. Elle me murmura un faible

- Merci mon Amour

Avant de replonger dans les bras de Morphée.

Le lendemain, elle trouva son petit déjeuner prêt ainsi que ses vêtements pour la journée. S’il n’y avait toujours ni culotte ni soutien-gorge, les habits que je lui avais choisis cachaient sa nudité et lui permettraient de passer plus « inaperçue ». Je ne voulais pas qu’elle ait d’ennui au boulot. Après un long baiser, nous nous séparâmes. Nous avions décidé que dans un 1er temps nous n’étalerions pas notre relation.

La journée s’acheva enfin. Elle serait à la maison avant moi, qu’allait elle m’avoir concocté comme surprise ? pour ma part, les nouvelles étaient bonnes, les pièces du puzzle se mettaient doucement en place pour la surprise qui l’attendait samedi…

Un truc mijotait sur le feu, je l’entendis chantonner au sous-sol…c’est tout sourire qu’elle m’attendant emprisonnée dans le pilori que j’avais confectionné…

- C’est trop marrant ce truc…c’est quoi ?

- Un pilori…ça servait au Moyen-Age à torturer les sorcières…je me demande si tu n’en es pas une, tu m’as envouté…

Par le biais de chevilles de bois je bloquais la partie supérieure de l’appareil, la Belle Sorcière, ne pouvait plus se libérer à présent. Puis je lui écartais les jambes avant de les lier à deux piquets de bois. Une planche glissée sous son ventre et maintenue par deux cordes suspendues au plafond l’empêchait maintenant de tomber à genoux… elle ne chantait ni ne riait plus, peut-être un peu anxieuse de la suite. Je vins glisser dans sa bouche une gag-ball que je fixai à l’arrière de son crâne, enfin un sac de velours noir glissé sur sa tête et noué autour de son cou compléta le tableau…. Ses fesses rebondies m’inspiraient. La cravache claqua une fois sur chacune d’entre elle comme pour marquer le départ. J’enduisis son anus d’une bonne dose de gel et commençai à la « travailler ». Ma main se lova rapidement dans son anus, après quelques aller-retours qui la firent énormément mouiller, je décidai d’attaquer de la même façon sa chatte…sa respiration se fit plus intense quand elle comprit…doucement j’introduisit 3 puis 4 doigts…c’est toujours le pouce qui pose problème… plusieurs fois je jouais à retirer presque entièrement la main qui avait investi son rectum puis la renfonçais …profitant d’un moment de retrait , je positionnais le pouce dans l’axe et poussais…je la sentis se crisper puis se détendre d’un coup, ma main était logée dans sa chatte…je poussais alors sur l’autre main qui regagna sa position initiale…nous y étions !

Je fis alors quelques mouvements de coulisse, enfonçant puis retirant alternativement chacune des mains…les spasmes de son plaisir ne tardèrent pas et elle inonda le plancher de son liquide du plaisir…je me retirai délicatement de ses puits d’amour et la détachai. Elle était amorphe, comme vidée…je dus la porter jusqu’au lit…une odeur de brulé me parvint de la cuisine…Je glissai la casserole sous l’eau du robinet de l’évier…ce soir ce serait pizza…

Quand le livreur sonna, elle sembla sortir de sa torpeur et me dit :

- Laisse j’y vais

Elle se saisit de son sac et se dirigea vers l’entrée.

Le livreur la regarda bouche bée et bégaya le prix les yeux exorbités.

Elle se pencha sur une petite commode dans l’entrée pour rédiger le chèque. Le pauvre livreur la suivait du regard tout en me jetant de temps un autre un coup d’œil se demandant s’il n’était pas tombé dans un traquenard. Il bafouilla un pauvre merci quand elle lui remit le chèque puis tourna rapidement les talons…

- Il est bizarre ce livreur…

- C’est peut-être dû au fait que tu es à poil et tes trous encore dilatés…

- Oh putain, et …tu ne m’as pas empêché ?

- Je n’en ai pas eu le temps…et puis tu es si belle ainsi, je ne veux pas passer pour un égoïste…il va avoir la trique pendant un bon bout de temps…bon, on mange avant que ce ne soit froid ?

Les soirs qui suivirent elle ne prépara pas à manger avant que je n’arrive. Elle s’installait au pilori après être passée dans la salle de bain puis m’attendait sagement. Pour ma part, je lui forçait ma queue dans la bouche jusqu’à jouir avant de commencer à la fister. Les deux coups de cravache sur ses fesses sonnaient l’heure des « hostilités »… Le week-end approchant, je l’avais préparé à son insu…je lui bandais les yeux, puis la « forçai » à me sucer avant de la sodomiser ou la baiser, fonction de mon humeur…je lui enfonçais également des plugs dans la chatte quand je l’enculais…la coquine en redemandait…

Le samedi arriva enfin.

Je la fis venir dans le sous-sol. Elle avait l’air interrogateur de celle qui sent le traquenard.

J’inspectai sa pilosité : sa chatte et son anus n’étant pas irréprochables, elle fut priée de remédier à cela.

Quand elle revint, je lui attachai un collier autour du cou.

- Marche à 4 pattes !

Elle obtempéra …je la tenais au bout d’une laisse et la guidai en donnant de petits coups de cravache sur son postérieur.

- Un coup sur la fesse droite, tu tournes à droite, sur la fesse gauche, à gauche…

- Oui Maître…

- Bien, assis !

Elle s’assit sur ses talons, les mains au niveau de ses genoux…

- Bien tu es une bonne chienne…couché !

Elle se plia en tendant les bras en avant. Son obéissance était un peu enivrante…

- Lève le cul !

Là encore elle obéit. Je sortis alors mon plug « canin », un plug orné d’une magnifique touffe de longs poils…l’introduction fut facile : je lui glissai d’abord dans la chatte, elle mouillait tellement que le plug fut enduit suffisamment pour que je puisse le glisser dans son cul.

- Tu es une bonne chienne docile, tu as mérité de ronger mon os…

Elle sortit mon sexe du pantalon et entreprit de le lécher sur toute la longueur jusqu’à obtenir une belle érection. Après elle l’engloutit en gorge profonde. Elle devenait douée pour cet exercice. Elle joua avec sa langue autour de mon gland puis sentant que j’allais venir elle joua à aspirer mon sexe tout en le faisant coulisser. Ne tenant plus je me répandis dans sa gorge, lui maintenant la tête pour la forcer à avaler ma semence…mais la forçais-je ?

Quand elle eut fini, je lui mis un bandeau sur les yeux.

- Nous sortons, tu es « propre » ?

- Oui, maître j’ai profité que je m’épilais pour faire un lavement « intensif » …je me doutais que vous voudriez jouer…

- Le plug tiendra ?

- Maître je me fais un devoir qu’il tienne !

- Allez viens ! debout !

Je tirai sans trop la ménager sur la laisse…je lui mit une longue cape sur les épaules…et l’installai dans la voiture. Il faisait noir et il y avait peu de chances que nous croisions quelqu’un qui s’étonne de voir une femme les yeux bandés dans une voiture.

J’avais choisi un club libertin à une cinquantaine de kilomètres de chez nous, en rase campagne. Un endroit tranquille dont je connaissais le propriétaire. Je m’étais arrangé avec lui, tout devrait bien se passer.

Arrivé sur place j’envoyai un SMS à Éric (le propriétaire…)

Je fis descendre Hélène de voiture. Elle frissonnait un peu et ce n’était pas dû au froid.

Il arriva peu de temps après et en silence nous le suivîmes. Mes légers coups de cravache guidaient Hélène qui marchait devant moi.

Nous sommes entrés dans une pièce un peu sombre. J’ai enlevé la cape d’Hélène…

- A quatre pattes !

Elle obéit sans dire un mot …à petits coups de cravache je la fis avancer ainsi au centre de la pièce.

Je lui retire le plug…l’anus reste bien ouvert…je posai un petit baiser sur ses lèvres

- Je t’aime…si quelque chose ne va pas tu cries « ROUGE », mais je suis sûr que tu vas bien t’en sortir…

- Oui, Maître…

Sa voix un peu tremblante trahissait la belle assurance affichée…un coup de cravache sur chaque fesse lui indiqua le début des « hostilités » …

Dix hommes sont entrés dans la salle en silence. Ils étaient nus et se masturbaient doucement pour entretenir leur érection. Ils avaient été briefés par Éric : capotes obligatoires, pas de coup, pas de prise de force, pas d’éjaculation dans la bouche, par contre chatte, anus et bouche à disposition…Éric les connaissait et leur faisait confiance. Ils commencèrent doucement à la caresser. Là elle comprit ce qui l’attendait et elle parut se détendre. Elle s’agenouilla et commença à sucer les bites qui se présentaient devant son visage. Ils la guidaient doucement et de son côté elle s’appliquait à bien tous les sucer. Ses mains se saisissaient un peu à l’aveuglette d’autres bites qu’elle branlait doucement. Celui qui semble le meneur du groupe enfile une capote et s’allonge sur le sol. Les autres se saisissent d’Hélène et délicatement l’assoie sur la bite du chef. Elle ondule pour loger convenablement l’homme en elle puis recommence à sucer les hommes. Le chef l’attire tout contre lui en soulevant le bassin. De ses mains il écarte ses globes fessiers. Son anus bien exposé trouve vite un occupant. Hélène vient d’avoir son baptême de la double pénétration ! ils se relayent dans ses orifices, alternant son cul, sa chatte, sa bouche et ses mains. La scène est magique, bien que mal éclairée, sans doute pour préserver l’anonymat de certains participants. Hélène se donne corps et âme pour satisfaire « ses invités ». Elle n’a guère l’occasion de montrer son plaisir mais celui-ci coule de son vagin à grand flot.

Combien de temps cela a-t-il duré, je ne saurai dire…ils se sont levés comme un seul homme, l’ont mise à quatre pattes, se sont masturbés et ont tous éjaculé sur son dos. Puis ils ont tous défilés devant sa bouche afin qu’elle pose un léger baiser sur leur membre viril. J’arrive, elle est là, semblant encore attendre quelque chose…

- Debout !

- Oui Maître…

Je la guide vers un coin où se trouve une douche. J’ouvre l’eau à fond…elle est froide. Je la pousse sous le jet. Elle est saisie par le froid mais ne dit rien…quand je la juge « propre », je la tire par le bras et lui enlève son bandeau…

- Satisfaite

- Oh oui ! merci Maître, c’était une expérience extraordinaire !

- Ça t’a vraiment plu ?

- Oui, mais la prochaine fois, j’aimerai voir ce qu’il se passe…

La prochaine fois ? la coquine en redemandait…elle se révélait vraiment, à présent…

- Tu crois qu’il y aura une prochaine fois ?

- Si tel est votre bon plaisir, Maître…

- Oui et surtout le tien…ils t’ont bien fait jouir ?

- Oui, même si pour l’instant j’ai un peu mal au cul…combien étaient-ils ?

- Dix…

- A oui, quand même…je ne vous ai pas déçu, Maître ?

- Si je t’ai amené là, c’est que je savais que tu ne me décevrais pas…

- Et vous Maître, je n’ai pas l’impression que vous ayez profité de moi…

- Je profite de toi tous les jours…

- Oui mais aujourd’hui n’est pas un jour ordinaire…j’ai eu droit à une double pénétration pour la première fois de ma vie, et je dois dire que j’ai beaucoup aimé…

- Pourquoi ?

- Je ne sais pas…un sentiment d’être comblée, et le fait que je ne pouvais pas « offrir » plus…une bite dans chaque trou…merci, merci…

Ce disant elle s’était approchée de moi et me couvrait le visage de baisers…

- Rentrons maintenant, je vais profiter de toi à la maison, et tu as intérêt de bien te comporter…

Les semaines s’écoulaient paisiblement…j’emmenais Hélène tous les samedis et parfois aussi le vendredi au club d’Éric. Je lui avais acheté un lou ainsi elle pouvait voir ses partenaires sans être reconnue…là elle se donnait à fond, branlant, suçant et se laissant baiser et enculer par toutes les queues qui se présentaient. Depuis quelques temps Marc, le leader du groupe la fistait même, profitant de sa chatte bien dilatée. J’avais également augmenté le diamètre de ses anneaux mammaires et labiaux. Ses lèvres intimes pendaient bien à présent et en semaine je lui posais régulièrement des poids de plus en plus lourds. Elle disait apprécier ce traitement, mais je pense que le fait de m’être complètement soumise l’excitait plus que tout. Un vendredi en rentrant je fus surpris de la voir au salon, habillée, flanquée d’une jeune femme.

Celle-ci était une jolie brune aux cheveux bouclés, assez grande quoiqu’un peu maigre si ce n’étaient les seins qu’elle avait volumineux.

- Maître, je vous présente Marie…

Marie avait alors penché la tête et murmuré :

- Bonjour Maître…

- Bonjour Marie…que fais-tu là ?

- Je viens pour vous implorer de faire de moi une vraie femme, douce et docile…

- C’est Hélène qui t’as conseillé de venir ?

Hélène crut bon d’intervenir

- Maître, elle…

- Silence Hélène ! j’attends la réponse de Marie !

Mon intervention ainsi que le ton de ma voix les avaient fait sursauter…Marie bafouilla…

- Oui, Maître, elle estime que seul votre enseignement peut m’être utile…

- Pourquoi ?

- Mon petit ami m’a quitté la semaine passée, en me disant que j’étais nulle au lit…c’est le quatrième qui me quitte au bout de quelques mois…

Elle pleurnichait…

- Mon enseignement comme tu dis, n’est pas anodin, c’est même pour la plupart des gens extrêmes…tu es sûre de vouloir cela ? il exige beaucoup de renoncements et de sacrifices, sans garantie de retour…Hélène t’as expliqué ce qu’elle vivait ?

- Oui, depuis quelques temps déjà, je trouve qu’elle a bien de la chance d’avoir un homme comme vous qui s’occupe ainsi d’elle…

- Ce n’est pas un contrat banal. Il faudra faire tout ce que je te dirai, et suivre aussi les conseils voire les ordres d’Hélène…

- Oui, Maître, elle m’a déjà expliqué cela…

- Bien, déshabilles toi !

- Là ? maintenant ?

- Tu commences bien mal, Soumise ! désormais, tout ce que je dis, tu dois le faire…ou alors tu renonces immédiatement !

- Pardon, oui Maître, je vais faire ce que vous me dites…

Elle fit passer son pull par-dessus ses épaules, sembla hésiter un court instant, puis dégrafa son soutien-gorge. Ses seins étaient vraiment beaux et fermes. Elle marqua un temps d’arrêt et toute rouge de honte, elle fit glisser sa jupe au sol.

- Ta culotte maintenant !

Elle obéit, faisant glisser un tanga le long de ses longues jambes. Comme je le craignais, elle n’était pas épilée…

- Hélène, va chercher une pince à épiler et rends cette pauvre femme présentable !

Elle était écarlate et serrait les mains compulsivement Je me dévêtais à mon tour.

- Vois-tu un poil sur mon sexe où même autour ?

- Non, Maître, pardon, je suis vraiment navrée, je ne savais pas, Hélène ne…

- Cesses de geindre et de reporter la faute sur les autres…tu t’es négligé, tu en paies les conséquences. Maintenant, je vais m’allonger et tu vas me sucer …pendant ce temps Hélène va t’épiler intégralement…toujours partante ?

- Oui, mais il faudra me guider Maître, je ne suis pas une experte en fellation.

- Tu apprendras…

Je m’allongeai sur le sol du salon. Maladroitement elle vint se positionner pour me prendre en bouche. Je la guidai afin qu’elle se retrouve perpendiculaire à moi. J’en profitais pour soupeser ses seins dans ma main.

- Ils sont beaux, c’est pour l’instant ton seul atout…

- Merci Maitre…je …je vous suce à présent ?

- Bien sûr ! qu’attends-tu ?

Hélène était revenue avec la pince.

- Lève le cul !

Elle lui administra une claque sur une fesse. La soumise se prenait pour une Maitresse, cela augurait de bons moments… Marie souleva donc l’arrière-train tout en glissant sa bouche autour de ma bite qui commençait à bander tant l’instant était excitant. Elle était vraiment maladroite, aussi lui claquai-je le sein.

- Aie !

- Pardon ?

- Désolée, Maître…

Je lui claquai encore plus fort le sein. Hélène arracha simultanément un poil pubien…je vis Marie rougir, une larme coula, mais elle tint bon, et reprit sa fellation. Tout en lui pétrissant fortement un sein, je lui agrippai les cheveux pour lui imposer un rythme et la forcer un peu en gorge profonde. Au moment où elle suffoquait je la relevai pour qu’elle respire puis l’enfonçai à nouveau sur ma queue…Hélène manœuvrai rapidement : l’anus fut vite imberbe…je la vis attaquer les lèvres…je jouais avec ses tétons…une torsion vraiment forte la fit se soulever, échappant à mon emprise

- Tu veux arrêter ?

- Non, pardon Maître un mauvais réflexe…c’était douloureux vous savez…

- Je sais…il faut que tu connaisses la vraie souffrance pour pouvoir apprécier les moments de douceur que tu connaitras quand tu auras rencontré l’Homme de ta vie…

- Oui Maitre, pardon, je vais me contrôler à présent…

- Reprends la fellation…tu n’es pas douée…Hélène te montrera…tiens, mieux que ça, Hélène viens me sucer ! Toi, épiles toi seule…et observes Hélène…quand elle aura fini, je ne veux plus voir un poil sur ta chatte et je veux que tu fasses aussi bien qu’Hélène quand tu me suceras…

Hélène lui tendit la pince…par chance pour Marie, le plus « gros » était épilé, si bien qu’elle pouvait observer Hélène me sucer tout en s’épilant « à tâtons » …Je voyais qu’Hélène prenait son temps pour me sucer afin sans doute d’éviter une punition sévère à sa protégée…solidarité féminine…voyant cela je jouai avec les seins d’Hélène. Je pouvais à présent glisser un doigt dans le trou laissé libre par le piercing de ses seins. Je ne me privai pas et tirai exagérément dessus, provoquant une vive douleur qu’elle étouffait comme elle pouvait…

- Ça vous convient Maître ?

- Qui t’as donné la parole ? viens remplacer Hélène, pendant qu’elle t’inspecte…tu n’as pas intérêt à ce qu’elle trouve un poil, et encore moins moi…mets-toi sur moi en soixante-neuf, je vais t’inspecter direct…

- En quoi ?

- Ça ne m’étonne pas qu’ils t’aient largués tous…au fait, tu es clean ?

- Oui Maitre, Hélène a tous mes certificats médicaux…

Hélène la guida. Marie reprit possession de ma bite. Les coups de langue étaient mieux assurés et elle alternait savamment les jeux autour du gland et les gorges profondes…Elle apprenait vite. Pour ce qui était de sa pilosité, elle semblait irréprochable…elle avait assuré…du coup, je me mis à lécher ses lèvres et son clitoris. Au début je la sentis se raidir, sans doute une nouvelle expérience pour elle…puis elle se détendit et je sentis qu’elle éprouvait du plaisir…sa chatte commença à suinter légèrement…

Sentant que j’allais jouir, j’accentuai mon jeu de langue. Je vis qu’Hélène jouait avec les seins de son amie…les spasmes annonciateurs de son plaisir lui parcoururent le corps et elle se répandit sur moi…je ne pus à ce moment retarder mon plaisir et j’éjaculai dans sa bouche…Hélas, par réflexe sans doute, elle recracha avec une moue de dégout ma semence…

- Il reste un poil là !

Hélène, triomphante exhibait un poil au bout de sa pince à épiler…elle tira dessus arrachant un petit cri à Marie…

- Tu n’es pas parfaitement lisse et tu as recraché la semence du Maître, tu vas dérouiller…

Je me demandais quel jeu jouait Hélène, tantôt amie, tantôt bourreau, d’autant que le poil arraché se trouvait au niveau de l’anus, zone qu’elle avait elle-même épilé…je décidais de reprendre les choses en mains :

- Hélène, tu bois ma semence, Marie, tu lui bouffe la chatte pendant que je te baise…et pas un mot de l’une ou de l’autre !

- Oui Maître.

Hélène se délecta donc de mon foutre répandu sur mon ventre puis s’allongea sur le dos, écartant ostensiblement les cuisses…Marie eut un peu de mal pour se positionner entre les cuisses de sa partenaire, mais je la guidais jusqu’à ce qu’elle se trouve en position de levrette…la soirée promettait d’être longue…Je regardais Marie s’occuper du minou d’Hélène…elle était visiblement mal à l’aise avec cette pratique et semblait méconnaitre le corps féminin et les moyens d’arriver au plaisir…néanmoins je la laissais se débrouiller…à force de tâtonner avec sa langue elle parvint à tirer quelques gémissements de sa partenaire. Cela sembla l’orienter et elle insista…quand Hélène commença à onduler du bassin, Marie lui saisit fermement les cuisses, la maintenant ainsi et continua ses caresses…Hélène explosa de plaisir, sa cyprine aspergeant le visage de son amie qui ne sachant trop quoi faire sans doute plaqua sa bouche sur la source, continuant à jouer de sa langue sur le clitoris d’Hélène….celle-ci se dégagea de l’étreinte imposée par Marie et roula sur le côté, le corps encore secoué par le plaisir…je la saisi par les cheveux , la forçant à se relever.

- Viens par là…

Ma poigne était ferme et le ton ne souffrait pas de refus…elle me suivit, tirée par les cheveux. Je la forçais à s’allonger sur le dos près de notre lit. Je la menottais aux barreaux en métal.

- Marie ! viens là !

- Oui Maitre

- Veux-tu que je te baise ?

- Oui, bien sûr Maître tout ce que vous voudrez…

- Tout ? es-tu bien sûre ? il est encore temps de te rétracter…

Elle devint écarlate, baissa la tête avant de lancer :

- Maître, je n’ai jamais eu autant de plaisir en 7 ou 8 ans de vie sexuelle que depuis que je vous ai rencontré, alors oui, tout ce que vous voudrez, et même si ça ne me plait pas ou si ça me fait mal, je l’accepte parce que je sais que ça va faire de moi une vraie femme…

- Alors viens mets-toi en levrette…comme tout à l’heure si tu préfères, la tête sur le drap et le cul relevé…

Elle obtempéra…je me plaçais derrière elle et plaçais ma verge devant sa chatte…je poussais doucement. Elle était en fait tellement excitée que la pénétration fut très facile…je glissais en elle jusqu’à ce que mes couilles viennent taper contre ses fesses. Elle ne disait rien et je la sentais concentrée sur ses sensations. J’empoignais alors ses hanches et commençais à la pilonner vigoureusement. Des bruits de clapotis venant de son intimité m’indiquèrent rapidement le plaisir qu’elle prenait. Elle poussa un petit cri d’étonnement ou de déception quand je me retirais de son vagin inondé.

- Maintenant aux choses sérieuses…tiens tes fesses écartées avec tes mains…

Elle avait deviné ce qui l’attendait et écarta les cuisses comme je le lui avais ordonné. Je pris un peu de gel lubrifiant dans le tiroir de la table de nuit et lui enduisit l’anus avec…Là encore elle se contentait de se concentrer sur ce que je lui faisais. Je présentais mon sexe devant son orifice et poussais…elle émit un petit gémissement quand mon gland franchit ses sphincters, ses mains semblèrent écarter un peu plus ses fesses. Je glissais doucement en elle, revenant légèrement en arrière avant de continuer mon inexorable pénétration. Arrivé « en butée », je commençais de courts va et vient avant d’accélérer la cadence. Hélas ce que je craignais se passa : retirant un peu plus mon membre de son fondement je m’aperçus que Marie n’était pas « propre » …ç’eut le don de m’exaspérer. Je me retirai violemment provoquant un cri de douleur chez Marie. J’agrippais Hélène par les cheveux et la forçais à regarder mon membre souillé.

- Pourquoi n’est-elle pas propre ?

- Pardon Maître, je euh j’ai… Oublié…

- Tu m’imposes sa présence, tu veux que je l’éduque et toi tu oublies de lui faire un lavement, tu oublies qu’elle doit être épilée !!!tu imagines quoi ? laves moi le sexe avec ta langue !!!

- Mais Maitre…

Le coup de cravache zébra son entrecuisse.

- Aïe !!!!

Un deuxième coup claqua …

- Marie, viens et cravaches là pendant qu’elle me nettoie…

Marie se saisit hésitante de la cravache puis leva le bras et le coup partit

- Plus fort ! penses à la façon dont elle t’a traité...

Le coup fut plus fort et plus précis…Hélène avait sursauté…

- Sur le clitoris Maître ?

- Sur les seins, la chatte, défoules toi ! Hélène qu’attends tu ?

Hélène se pencha avec un dégout non feint sur ma verge souillée. Je lui agrippais de nouveau les cheveux et la forçais à m’emboucher…je ne vis pas atterrir le 3ème coup de cravache mais il arracha un cri de douleur à Hélène. Je resserrais encore mon emprise et les larmes aux yeux elle s’appliqua à me nettoyer. J’entendais la cravache fendre l’air avant de claquer sur Hélène. Marie n’était pas tendre mais Hélène l’avait bien mérité. La salive d’Hélène maculait le sol, elle était à présent complètement passive et de mes mains j’imprimais un mouvement de balancier régulier à sa tête, je sentais le désir monter mais je ne voulais pas finir ainsi…je lui relevais la tête. La pauvre croyais son calvaire finit…je me positionnais face à l’anus encore bien ouvert de Marie et m’enfonçais en elle…je n’eus pas à la limer bien longtemps …le plaisir que ma queue lui procurait fit se resserrer son anneau et je jouis au plus profond de ses entrailles…en me retirant je lui dis :

- Mets ton cul au-dessus de la bouche d’Hélène…Hélène je ne veux pas voir une goutte perdue…

Marie se positionna habilement au-dessus du visage de son amie…son cul faisait des bruits incongrus. Hélène avait ouvert la bouche en grand et fermé les yeux. Des larmes coulaient jusqu’au sol mais je demeurais inflexible…Il fallait qu’elle comprenne…Marie poussait sur ses sphincters et enfin le sperme s’écoula jusqu’à la bouche d’Hélène. Celle-ci frissonna de dégout mais maintint la bouche ouverte. Par chance pour elle ce n’était pas ma première éjaculation de la soirée et le foutre n’était pas très abondant…

- Tu sais ce qu’il te reste à faire…

Elle avala dans un haut le cœur…Marie s’était relevé, souriante, comme amusée de la douce vengeance infligée à son amie

Je me positionnai au-dessus d’Hélène…comme elle avait gardé les yeux fermés elle ne vit pas arrivé le jet d’urine qui arriva précisément dans la bouche. Surprise elle releva le buste…

- Ne bouges surtout pas ! rinces toi la bouche avec !

Vaincue, sa tête reposait de nouveau sur le sol, ses cheveux baignant dans la mare dorée.

- Marie, à ton tour de te soulager….

Elle s’accroupit, la chatte à quelques centimètres du visage d’Hélène…elle semblait s’amuser de la situation.

- Ouvre la bouche et avales…tu as voulu jouer, tu as perdu, maintenant tu en paies les conséquences…gare à toi si tu en laisse couler !

Un sanglot dans la voix, elle murmura :

- Oui, Maître…je…je ne recommencerai plus…

Elle eut à peine le temps de finir sa phrase que le jet investit sa bouche…elle fit ce qu’elle put je crois pour ne pas en recracher néanmoins une mare s’étala autour de sa tête…

- Tu nettoieras demain... je vais m’occuper de Marie à présent, toi, essaies de dormir, si nos ébats ne t’en empêchent pas…

En fait nos ébats ne durèrent pas très longtemps, la tension de la rencontre avait fatigué Marie si bien qu’après l’avoir fait jouir une nouvelle fois, je la laissais se reposer…J’entendis Hélène sangloter encore un peu avant de m’endormir à mon tour.

Je m’éveillais le premier…le coup de cravache reçu sur la chatte fit hurler de surprise Hélène.

- Silence ! tu vas réveiller ton invitée…

Je défis ses menottes…Elle me regardait comme une enfant craintive qui ne sait pas trop ce qui l’attend. J’agitais la cravache au bout de mon bras, la menace était claire…

- Suis moi au sous-sol !

- Vous ne voulez pas que je me…

- Non !

Je savais qu’en la maintenant dans sa crasse elle serait plus « malléable » …arrivés au sous-sol je l’installais au pilori.

- Maître il faudrait que j’aille aux…

- Silence ! dorénavant, je te dis ce que tu fais, où, quand et comme je veux ! je ne veux plus que tu prennes la moindre initiative sans m’en avoir parlé au préalable, compris ?

- Oui Maître…

- Tu vas passer une drôle de journée, crois moi…tu ne risques pas de me trahir de nouveau…

- Maître, je ne vous ai pas trahi…

- Faire venir Marie sans me prévenir, c’est une trahison…maintenant, je t’envoie Marie…elle va te préparer…taches d’être digne de mon invité…c’est un ami de longue date…ne me déçois pas…

- Oui Maître…

Je remontais au rez-de-chaussée et donnais un coup de fil…Je réveillais Marie en la secouant…elle avait du mal à émerger…

- Tu sais ce qu’un homme aime à son réveil ?

- Ah oui, pardon Maître, tout de suite…

Je m’allongeais sur le dos et elle vint près de moi. Elle mit ses mains derrière son dos et entreprit de me lécher doucement le sexe…elle s’y prenait bien, jouant avec sa langue, me léchant les couilles, remontant lentement le long du membre puis jouant avec mon prépuce avant d’engloutir furtivement mon sexe, le noyant de salive, puis remontant en aspirant bruyamment…arrivée en haut elle faisait tourner sa langue autour de mon gland avant de redescendre lentement le long de la hampe jusqu’à mes bourses…le supplice était divin, hélas mon ami arrivait bientôt et je dus la forcer à accélérer le mouvement. Elle avait toujours les mains dans le dos comme si je les lui avais attachées… je lui dis de venir sur moi…je lui écartais doucement les cuisses et elle s’empala sur mon sexe. Elle joua alors de son corps faisant habilement coulisser mon sexe en elle. Son plaisir suintait le long de ma verge, je saisis son sein droit et imprimai un fort mouvement de torsion à son mamelon. Elle se crispa un peu puis reprit ses mouvements …je vrillai littéralement son téton, sa respiration se saccadait au fil de la torsion, mais aucun son ne sortit de sa bouche... Au contraire, je sentis les prémices de son orgasme arriver. Ses fesses se contractèrent serrant fortement ma verge et dans un cri de jouissance, nous avons jouis simultanément…elle s’effondra sur moi puis ses lèvres vinrent rejoindre les miennes et elle m’embrassa goulument…

- Merci Maître, c’est si bon ce que vous faîtes pour moi…enfin je vis !

- Tu mérites ce bonheur je crois…

- S’il vous plait soyez indulgent avec Hélène, ce qu’elle a fait c’était pour moi…

- Tais-toi ! elle a dérogé à un principe essentiel et elle doit en subir les conséquences…elle en est consciente, la preuve c’est qu’elle ne se plaint pas…tu vois elle aurait dû me demander la permission d’amener quelqu’un et de plus elle aurait dû te préparer convenablement…tu comprends pourquoi ?

- Oui Maître, jamais je ne vous ferai cela…

- C’est bien…maintenant, va la préparer soigneusement…j’ai un invité un peu spécial…tu la laisse attachée…

- Cela va de soi Maître…

Grace au système vidéo que j’avais installé je pus la voir œuvrer. Elle n’échangea pas un mot avec Hélène, se contentant de lui passer une éponge humide imprégnée de savon sur le corps. Après quoi elle la rinça avec la douchette que j’avais installé à proximité…Hélène ne disait rien se contentant de subir…Elle avait compris que Marie avait embrassé ma cause et que la seule issue était d’avoir un comportement digne d’une soumise au risque sinon de se voir exclue par sa rivale…je jubilais à l’idée de cette compétition…Marie s’appliqua à bien faire le lavement de son « amie », insistant longuement, sans doute plus que nécessaire. Mais je ne voulus pas intervenir…Marie asséna une claque appuyée sur le fessier d’Hélène.

- Là tu es propre…

Elle se tourna vers l’une des caméras et ajouta :

- Digne des espoirs que le Maître place en toi…

Elle n’avait pas dit « ton » Maitre, mais « le », s’associant donc un peu plus à l’aventure…

- Oui Marie, tu as raison, je n’ai pas été digne de sa confiance, ni de la tienne d’ailleurs…c’est comme je te l’ai dit un bon Maître, il te guidera dans ta voie…je sais quant à moi que je vais passer de difficiles moments mais je vais ainsi regagner sa confiance et son estime et toutes les deux, nous veillerons à bien le satisfaire, car il le mérite…Il a su donner un sens à ma vie, et toi je vois que tu t’épanouis à son contact…

La sonnette de l’entrée retentit, c’était Marc, mon invité « spécial » …J’allais lui ouvrir, puis m’entretins avec lui devant un café…Je vis Marie passer furtivement en direction de la salle de bain. Quand je fus sûr qu’il avait bien compris ma « démarche », je le fis descendre au sous-sol et l’amenais devant Hélène toujours prisonnière du pilori.

- Eh bien je vous laisse…Hélène, je ne voudrais pas que tes cris dérangent les voisins…

Tout son corps frissonna.

- Non Maître je vais me montrer digne de vous…

- Alors je rejoins Marie, j’ai encore quelque « trucs » à lui montrer …

Arrivés à l’étage, je m’installais sur le canapé en face de la télévision branchée sur le circuit vidéo du sous-sol. La semaine précédente, dans l’idée de filmer nos séances j’avais installé tout un système vidéo, ainsi qu’une sono. Les quatre caméras étaient réparties sur l’écran, mais je pouvais n’en sélectionner qu’une ou deux, en fonction de l’intérêt des angles…Marie vint se blottir contre moi, me caressant le torse, mais les yeux rivés sur l’écran…

- Marie, tu ne dois pas te laisser distraire par ce qui se passe en bas…tu as fait un lavement ?

- Oui Maître, juste avant de vous rejoindre…pardon pour la télé, mais je voudrais…

- Voir ? ce qui t’attends si tu fais comme elle, alors, soit, regardes…je vais te préparer pour une sodomie digne de ce nom, hier, à cause d’Hélène ce n’était pas « top » …mets-toi sur le tapis en levrette et…regardes la…

Une fois qu’elle fut en position, j’enduisis son anus de gel et me positionnais derrière elle.

Marc avait sorti son martinet et les fesses d’Hélène étaient déjà bien zébrées…aucun son ne sortait de sa bouche hormis un soupir parfois quand les lanières cinglaient sa peau… les yeux rivés sur l’écran, Marie ne disait mot. Je poussais mon sexe sur sa rondelle et la forçais doucement… Inexorablement je forçais en la maintenant par les hanches. Elle était détendue et je passais sa « barrière » facilement. Je commençais de doux va et vient dans son fondement. Sur l’écran, Marc avait détaché Hélène qui gisait à présent sur le dos, inerte, les jambes bien écartées laissant accès à ses lèvres. Marc est un surdoué du piercing et du tatouage…il entreprit de piercer les lèvres d’Hélène, ajoutant 6 anneaux à ceux déjà présents. Malgré l’anesthésiant local, je voyais Hélène se contracter à chaque fois que l’aiguille traversait sa chair. Quant à Marie, je crois que j’aurai pu lui enfoncer une batte de base-ball dans l’anus tellement elle était accaparée par l’écran…j’accélérais les mouvements et enfin je la sentis frémir sous mes coups. Elle écrasa les épaules sur le tapis et tendant les mains, s’écartela les fesses comme pour que je l’encule encore plus profondément. Nos jouissances furent simultanées et je lâchais de grands flots de sperme dans son rectum.

- Va offrir son petit déjeuner à Hélène et n’en perd pas trop en route…

La scène était cocasse, Marie essayait de boucher tant bien que mal son anus largement dilaté avec sa main tout en se dandinant dans le couloir puis les escaliers avant de venir se positionner au-dessus du visage d’Hélène…celle-ci comprit immédiatement et fermant les yeux, elle ouvrit la bouche tout en tirant la langue…le sperme jaillit des tréfonds de Marie, aussitôt avalé par Hélène…je me saisis du micro et ma voix résonna dans les enceintes installées au sous-sol :

- Je crois que ton amie a encore faim, suces notre invité et donne à ton amie sa liqueur…

Marie interloquée regarda vers l’une des caméras, puis se ressaisissant, entreprit de défaire le pantalon de Marc…sa queue était à l’étroit à l’intérieur et elle sortit tel un diable de sa boite…sans plus réfléchir, Marie, s’assit littéralement sur le visage d’Hélène avant de plonger la bouche sur le sexe dressé de Marc. Hélène dans un éclair de génie entreprit une douce feuille de rose sur l’anus de Marie, profitant des dernières gouttes de sperme qui suintaient encore de l’anus ouvert…Marie poussa un petit soupir de contentement avant de reprendre une fellation magistrale. Sa langue virevoltait sur le gland avant de redescendre lécher la hampe puis les couilles de Marc. Celui-ci était visiblement ravi ; Marie salivait à fond comme pour le préparer à la sodomiser et en même temps une de ses mains lui massait doucement les couilles ou le branlait. Elle recula le bassin :

- Bouffe-moi le clito

Loin de se contenter d’obéir, Hélène dont les mains étaient libres écarta les lèvres intimes de son amie avant de glisser sa langue au plus profond de l’intimité de Marie. Elle joua, aspira, lécha tant et si bien que Marie jouit dans un râle, aspergeant son amie de sa cyprine.

- Ne bouges plus !

Marc reprenait les rênes et c’était bien ainsi. Il se posta face au cul de Marie et d’un coup plongea en elle. Marie poussa un cri étouffé. Mais Marc l’enculait déjà jusqu’à la garde. Il se retira tout aussi vite et plongea sa bite dans la bouche d’Hélène…

- Puisque tu sembles aimer quand ça sort d’un p’tit cul…baves bien parce que j’y retourne, faudrait pas que ma queue soit trop sèche pour le cul de ta copine...

Il se posta de nouveau devant l’orifice à présent béant de Marie. La pénétration fut une simple formalité…il recommença ses aller et retour entre le cul de Marie et la bouche d’Hélène plusieurs fois. Les deux complices semblaient y prendre un certain plaisir. Soudain il se planta au creux de Marie et dans un cri de jouissance éjacula…il resta immobile quelques instants avant de ressortir sa queue et de la présenter devant la bouche d’Hélène. Celle-ci la goba et entreprit de la nettoyer minutieusement. Elle semblait là aussi y prendre goût…Puis des profondeurs du cul de Marie le torrent de sperme déferla. Marc se retira à temps et la bouche accueillante fut inondée de sperme. Hélène dût s’y reprendre à plusieurs fois pour tout avaler.

- Marie, remontes tout de suite, Hélène a encore bien des tourments à subir…

De nouveau un frisson parcourut le corps d’Hélène.

Marie vint s’asseoir près de moi sur le canapé.

- Tu veux voir le spectacle ?

- Euh oui Maître si vous le permettez…

- Alors regardes et médites sur les vertus nécessaires pour devenir une bonne soumise…là bien sûr c’est un châtiment car Hélène a fauté…

- Maître…est ce que je pourrai moi aussi avoir des piercings comme Hélène ?

- Sur les lèvres ?

- Oui et les seins aussi…c’est tellement esthétique de plus je trouve que ce sont les attributs indispensables d’une soumise…

- On va laisser passer le weekend et si tu veux continuer sur cette voie, alors Marc pourra te piercer

- Merci …

Marc avait posé les seins d’Hélène entre deux planches de bois et à présent au moyen de boulons, il serrait les deux planches, comprimant inexorablement les seins…Hélène était en sueur. Il la fît se lever et lui intima d’écarter les jambes. Une barre vint maintenir cet écart tandis qu’il lui attachait les mains dans le dos. Un collier de cuir relié au plafond par une chaine l’empêcherait de tomber si elle perdait l’équilibre. Le coup de fouet claqua sur son pubis lui arrachant un cri de douleur.

- Silence !

Le deuxième coup claqua …les larmes inondèrent le visage d’Hélène. Marie s’était collé à moi, le corp recroquevillé…je lui caressai la hanche…sur l’écran Marc était allé donner un tour de vis supplémentaire aux planches opprimant Hélène. A présent sa main caressait les fesses de sa prisonnière…les doigts s’insinuèrent dans le sillon séparant les globes zébrés par le martinet. L’angle de la caméra ne permettait pas de bien discerner, mais il semblait que les doigts de Marc fouillaient à présent la chatte d’Hélène. La respiration de celle-ci s’était accélérée. Marie comme par mimétisme avait également ouvert les cuisses et je lui caressais doucement la vulve. Hélène fermait les yeux maintenant…Marie avait changé de position et me suçotait le gland avec sa langue tandis que mes doigts inquisiteurs s’aventuraient de plus en plus loin en elle.

- Quelle salope, même là, elle mouille !

Ça lui était sortit comme ça spontanément. Il est vrai qu’à l’écran on voyait bien qu’Hélène malgré les tortures subies, prenait du plaisir…

- Marie ! encore une réflexion comme ça et tu la remplaces !

- Oui Maître, pardon…mais avouez tout de même que c’est étrange…

- D’avoir du plaisir dans de telles circonstances ?

- Oui…

- Tout à l’heure je t’ai pincé très fort un sein et cela ne t’a pas empêché de jouir…pire, je ne sais pas si ce n’est pas ça qui t’a donné ton plaisir…tu voudrai remplacer Hélène quelques instants pour savoir ?

- Je…je ne sais pas…si vous le voulez, oui bien sûr, mais comme ça, spontanément je préfèrerai que non…

- Tu y viendra, je ne m’inquiète pas…

Sur l’écran, la main de Marc avait investi la chatte d’Hélène…d’autres doigts s’immisçaient à présent dans son anus le distendant inexorablement.

- Il va lui mettre la main entière ?

- Oui, sans doute…elle ne l’a jamais fait mais ça devrait passer

- Elle va souffrir ?

- Un peu…

- Ma main est moins grosse que celle de votre ami.

- Oui et ?

- Ça serait plus facile si c’était moi qui...

- Lui fistait le cul ?

- Oui comme vous dites, fister ? c’est ça ?

- Alors rejoins les et dis à Marc que c’est moi qui t’envoie.

Elle dévala les escaliers, visiblement pressée d’aller « sauver » son amie…elle parla un peu à Marc et celui-ci lui céda la place. Penchée en avant, sa main se glissa sans trop de mal dans le fondement d’Hélène.

- Marc, laisse-la-lui fister la chatte

Marie se pencha un peu plus en avant et introduit aisément la main dans la chatte béante d’Hélène

- Marc, ôtes les planches d’Hélène et poses les sur les seins de Marie.

Marie tourna vers la caméra un regard affolé…

- Marie je te l’ai dit : c’est moi qui décide des initiatives…tu as voulu aider Hélène, c’est à tes dépends…tu comprends ?

- Oui Maître…dites-lui de serrer très fort alors…

Elle jouait les braves mais sa voix trahissait sa peur…

- Il connait son affaire…maintenant, joues de tes mains et fais jouir Hélène !

Le carcan de bois enserra rapidement les seins de Marie. La sueur perlait à son front. Le cliquetis lugubre du cliquet résonnait dans la pièce en même temps que les planches se rapprochaient. Les seins d’Hélène, libérés étaient encore bleus. Marie sans doute pour échapper à la douleur se concentra sur le fisting d’Hélène et rapidement celle-ci ondula du bassin signe que son plaisir était proche…

- Marie cesse de fister Hélène …Marc libère Hélène

Les mains de Marie quittèrent à regret semble t il les orifices à présent béants d’Hélène. Une fois cela fait :

- Hélène, il y a un martinet sur la petite table…fais comprendre à Marie qu’elle n’a pas à intervenir lors d’une punition…

- Combien Maître ?

- Autant que tu le jugeras nécessaire…il faut que ce soit suffisant à mon gout…attaches-la au collier suspendu et entraves lui aussi les jambes …

Les lanières du martinet fouettèrent l’air, atterrissant sur la peau tendre de Marie. Les larmes coulaient sur son visage mais aucun son ne sortait de sa bouche. Marc serrait de temps en temps les planches arrachant alors un petit cri étouffé à Marie. Un sourire radieux éclairait le visage d’Hélène. Sa propre douleur semblait s’être effacée maintenant qu’elle était passée du « bon » coté. Le rythme du martinet ne faiblissait pas et les fesses de Marie étaient bien zébrées maintenant…ses seins comprimés à mort étaient presque noirs…Marc jouait avec les mamelons en les pinçant avec ses dents, arrachant une grimace de douleur à Marie.

Les laissant à leurs « occupations » je donnais quelques coups de téléphones.

- Marc tu libères Marie et tu prépares Hélène…

Si Hélène avait pu croire sa punition finie, il n’en était rien et un frisson parcourut de nouveau son échine…Il libéra donc Marie de son carcan et entreprit de poser un long cadenas sur les anneaux posés sur les lèvres d’Hélène. Une fois fermé, la chatte n’était plus accessible.

- Marie procède à un nouveau lavement sur ton amie, puis rejoins moi…

Une fois fait Marie remonta tandis que Marc lavait Hélène avec une éponge.

- Tu comprends maintenant ?

- Oui Maître…

- Elle va vivre encore une belle expérience…tu vas l’aider…

- Oui Maître…

Hélène de nouveau attachée par une chaîne au plafond, nous primes une légère collation…

L’heure était venue de partir. Marie fit grimper Hélène dans le coffre de ma voiture et lui mit un bandeau sur les yeux après l’avoir solidement ligotée…je prenais le matériel nécessaire à cette épreuve…

Une demi-heure de route plus tard nous sommes arrivés sur un grand parking. Conformément à mes consignes une trentaine de camions étaient rangés en cercle. Je me garai au milieu et deux camions manœuvrèrent pour fermer le cercle.

J’intimais l’ordre à Marie de faire descendre Hélène du coffre et de l’amener à quatre pattes jusque sur une couverture que je disposai à même le sol. Je donnai mes consignes en russe à Virgil qui était le chef de tous ces chauffeurs. Il les traduisit en plusieurs langues. Bulgare, Roumain Polonais…une quarantaine de chauffeurs étaient massés à présent autour d’Hélène qui ne pouvait qu’entendre leurs murmures. Marc distribua les préservatifs puis enduisit l’anus d’Hélène de gel.

- Marie tu suces ces messieurs afin qu’ils puissent tous bien enculer ton amie…ils ont tous payé cinq euros pour cela, il faut que cela les vaille…par contre, ils ne peuvent que l’enculer…

Les premiers s’avançaient déjà, nus hormis leurs t-shirts et pour certains leurs chaussures. Marie entreprit de sucer le premier mais eut rapidement un haut le cœur…l’hygiène n’est pas toujours facile quand on est confiné à deux dans une cabine de camion et que l’on roule pendant des mois sans rentrer au pays…mais du coup l’érection était rapide, des semaines sans baiser, cela motive quand on voit un joli cul se profiler. Malgré sa répulsion, Marie se remit à la tâche et le premier chauffeur ayant une érection suffisante put se présenter devant l’anus d’Hélène. Marc veillait au grain, s’assurant qu’ils mettent tous une capote avant d’enculer Hélène. Le chauffeur ne fut pas tendre, s’enfonçant d’un trait jusqu’à la garde. Hélène poussa un cri, ce à quoi le cosaque répliqua par une claque sur la fesse avant de cramponner sa proie par les hanches en lui imprimant des mouvements de va et vient rapides. Ses copains l’encourageaient de la voix comme s’il grimpait le Tourmalet à vélo…j’aurai pensé qu’il ne résisterait pas longtemps avant d’éjaculer, mais bien au contraire je vis qu’il s’accrochait…Hélène du coup commençait à mouiller sérieusement et comme pour mieux signifier l’emprise du mâle, elle plongea en avant, ses épaules touchant le sol et s’écartant les fesses des deux mains…Le russe ne résista pas longtemps à cela, il se retira du cul béant, arracha sa capote et gicla de longs flots de foutre au creux des reins de sa femelle…Immédiatement un autre se glissa à la place restée libre et entreprit de faire subir le même traitement à Hélène, laquelle ne pût retenir ses cris de plaisirs. Marie, glissant son bassin sous le visage d’Hélène, la força à lui lécher la chatte, les chauffeurs, se relayant à genoux auprès d’elle pour se faire sucer…Marie de ses mains branlaient les chauffeurs en attente de se faire sucer tandis qu’Hélène se faisait pilonner le cul sans ménagement. Je filmais tout cela avec mon téléphone portable…la quarantaine de chauffeurs se relaya dans la bouche de Marie puis dans le cul d’Hélène…la nuit était tombée, les phares des camions illuminaient la scène…je croyais que la séance était finie, mais soudain les chauffeurs se mirent à scander :

- Igor, Igor, Igor…

Un colosse fendit alors le cercle qui s’était formé autour des deux femmes. Le gars qui enculait Hélène, se retira précipitamment, ôta sa capote et se branla frénétiquement au-dessus du dos d’Hélène. Quand il eut éjaculé le colosse tomba son pantalon. Bien qu’il n’eût qu’une demie érection son membre était impressionnant. Pas tant par la longueur, il devait faire une petite vingtaine de centimètre que par le diamètre…il était plus près du saucisson à l’ail, voire du salami que du « bâton de berger » …Marie ouvrit grand les yeux en voyant le morceau et bien qu’elle ouvrit grand la mâchoire, le vit du Russe eut du mal à se frayer un chemin dans sa bouche. Elle hoqueta quand il poussa un peu son membre qui sous l’effet de l’art de Marie sembla gonfler encore. L’assistance s’était tue. Hélène n’entendant plus rien se mit à trembler un peu. Son anus, dilaté était le deuxième centre d’intérêt de l’assistance. Igor au mieux de sa forme se retira de la bouche et posa son engin devant l’orifice béant de la femelle à ses pieds. Personne ne disait mot. Marie s’était relevée, désireuse sans doute d’assister au « spectacle ». Puis elle attrapa un tube de vaseline et entreprit d’en enduire l’anus d’Hélène et de sexe d’Igor Soudain un murmure :

- Igor, Igor…

Le son monta, reprit par tous les chauffeurs…Igor cracha sur sa queue à plusieurs reprises, enfila avec difficulté un préservatif XXL puis saisissant Hélène par les hanches il poussa son gigantesque membre dans le cul d’Hélène. Celle-ci eut beau crier de douleur, l’homme ayant enfin une proie à sa merci, le membre d’Igor s’enfonça inexorablement. Tout au long de l’introduction Hélène cria et pleura, ce qui n’émut pas pour autant le colosse, qui au contraire lâchait de temps en temps une hanche pour lui asséner une claque magistrale sur une fesse. Sous nos yeux ébahis, la bite d’Igor s’engouffra en entier dans le rectum martyrisé, puis comme tous ses prédécesseurs, Igor commença un mouvement de va et vient sous les cris d’Hélène. Les chauffeurs encourageaient l’homme de la voix, scandant son nom…Cependant au fur et à mesure qu’il accélérait, les cris d’Hélène diminuèrent avant de cesser. Sa respiration se fit plus intense, ses mains revinrent écarter les lobes de ses fesses comme pour faciliter le passage du pieu qui la labourait et enfin signe que le plaisir était là, quelques gouttes de cyprine perlèrent à l’orée de sa vulve. Igor plaça ses pieds au niveau des genoux d’Hélène, la forçant à se mettre à quatre pattes et empoignant ses cheveux, lui faisant ainsi relever la tête. Sous ses coups de boutoirs les seins d’Hélène ballotaient doucement offrant à tous un spectacle surréaliste. Après un long moment, le colosse ressortit d’un trait du cul d’Hélène, lui arrachant un cri de douleur et enlevant la capote, il répandit son foutre sur le dos de sa chienne. Hélène s’effondra sur le sol, se recroquevillant sur elle-même. Igor ne l’entendait pas ainsi, la tirant par les cheveux il la força à se mettre à genoux et à le sucer. La bouche d’Hélène eut bien du mal à accueillir le membre qui pourtant faiblissait quelque peu aussi entreprit elle à tâtons de jouer de sa langue sur le pieu d’Igor. Mal lui en prit car le colosse reprit de la vigueur tant et si bien qu’il la fit se mettre debout, enfila une capote et sans ménagement lui fourra le cul. Son bras gauche la maintenait fermement tandis que sa main droite lui malaxait douloureusement les seins déjà endoloris par les soins de Marc Les pieds de la pauvre femme ne touchaient plus le sol si bien qu’il la pénétrait de toute la longueur de sa bite démesurée. Enfin il s’allongeât sur le sol, la forçant à s’empaler elle-même sur son pieu. L’une de ses mains énormes s’était mise à caresser ses seins tandis que l’autre commençait à jouer avec les anneaux bloquant la chatte. Ils étaient frais posés et du coup la caresse semblait relativement douloureuse. Cela se voyait au visage crispé d’Hélène qui ne prenait aucun plaisir, jusqu’au moment où Igor entreprit de jouer avec son clitoris. Un instant elle se figea, montrant ainsi à son partenaire qu’il avait touché un point sensible puis plus doucement elle reprit ses mouvements de coulisse sur le sexe de son partenaire…au fil du jeu d’Igor elle accéléra jusqu’à inonder son amant de sa cyprine dans un grand cri de jouissance. De nouveau elle s’était effondrée sur le côté. Igor se retirant, il arracha le préservatif puis la tirant par les cheveux, il la fit se mettre à genoux. La giclée de sperme atteignant son visage la fit sursauter, mais vite elle ouvrit la bouche et goba le sexe du Russe. Nous la voyions distinctement avaler les dernières gouttes de foutre, puis entreprendre de nettoyer le sexe qui lui avait donné tant de plaisir. Une fois son œuvre accompli, elle couvrit le sexe ramolli de petits baisers tendres.

Les chauffeurs s’étaient rassemblés autour d’eux. Le jet d’urine de l’un d’eux l’atteignit sur le coté du visage. Igor de sa poigne d’acier orienta le visage d’Hélène qui comprit alors son rôle. Elle ouvrit grand la bouche. Les uns après les autres ils urinèrent qui dans sa bouche qui sur son corps…quand tous se furent soulagé, Igor vint vers moi, tenant Hélène par les cheveux. La pauvre marchait sur la pointe des pieds.

- Elle bonne femelle…bon cul bien large…bien pour Igor.. Igor première fois enculer une femme, souvent juste branlé ou sucé. Pas souvent Igor pouvoir baiser.. ;…moi marre juste branlé à cause filles avoir peur de gros engin moi… comme ça on dit ?

- Oui…Igor, à chaque fois que tu passes par ici, fais-moi signe et je mettrai Hélène à ta disposition…n’est-ce pas Hélène ?

- Oui Maître ce sera avec plaisir…

Le ton n’était pas convaincant mais je fis comme si de rien n’était.

- Marie aide Hélène à monter dans le coffre.

Tout le long du retour, Marie ne dit mot, sa tête posée sur mon épaule, sa main caressant distraitement mon torse sous ma chemise. Marc était rentré chez lui s’occuper d’un couple de soumis qu’il hébergeait à demeure.

Marie tira doucement sur la laisse d’Hélène pour la faire descendre du coffre

- Arrête-toi là et va chercher de quoi laver notre amie…

Pour ma part je tournai autour d’Hélène, toujours à quatre pattes

- Ça ta plu ?

- Si cela vous a plu, alors oui…

- Souhaiteras-tu le refaire ?

- Pour être franche, dans l’immédiat, non, j’ai trop mal au cul…le Russe était vraiment énorme

- Mais encore…

- J’aimerais être plus active si cela devait se refaire…si bien sûr cela est votre vœux…

- Plus active ?

- Oui, voir ces gars, les sucer, les branler…qu’ils me baisent aussi, pas seulement qu’ils m’enculent…je suis sûre que ça leur plairait et à vous et moi aussi…

- Tu as joui, cependant

- Oui et je vous en remercie…en début de journée j’ai bien failli vous demander d’arrêter le jeu, mais j’ai voulu voir mes limites…

- Et ?

- Mentalement je crois pouvoir bien supporter, après j’ai mes limites physiques…ce Russe, je crois que c’est le maximum que je puisse introduire…

- Je crois que tu voudras rapidement faire mieux…

- Oui, sans doute…vous m’aiderez ?

- Marie et moi t’aideront, et toi tu aideras Marie

- Oui, bien sûr…pour en finir, c’était une bonne initiative ?

- Oui, évidemment, mais il ne faut pas le dire à Marie…je voudrai qu’elle ait toujours quelques tourments d’avoir été la cause de ta punition qui soit dit en passant n’en est pas vraiment une…

- Vous avez raison Maître. ; j’ai hâte de me voir dans un miroir avec ces nouveaux anneaux…

- Je reviens

Je rapportai en même temps qu’un miroir un gros plug anal…son anus était encore bien ouvert et elle prit plaisir à m’aider à lui enfiler…Un string ficelle maintenait le plug en place. Marie avait rapporté un seau d’eau tiède et la lava avec soin…

Hélène ne se lassait pas d’admirer ses anneaux labiaux. J’enlevai le cadenas qui les reliait et empêchait l’accès à sa chatte. Ecartant le mince tissu du string, elle se mit à jouer avec ses piercings, les tirant délicatement ou les secouant énergiquement. Je sentis à son regard Marie un peu jalouse…

- Tu voudrais les mêmes ?

- Si le Maître le désire, j’aimerai bien…

- Tu sais comment Hélène se les est offerts ?

- L’argent des routiers ?

- Marc est un ami, mais tout travail mérite salaire…

- Si mon Maître le veut, j’irai gagner ainsi l’argent nécessaire…

- soit, nous verrons cela plus tard…pour l’heure je crois qu’il nous faut dormir…

A mon réveil, j’admirai les corps des deux femmes auprès de moi. Une de chaque côté, nues hormis un string pour Hélène…je me dis que le bonheur était sans doute là…

A son réveil Hélène était fourbue, les seins endoloris et elle pouvait à peine s’asseoir. J’ordonnais à Marie de lui faire prendre un bain bien chaud et de la masser avec un baume à base d’arnica. Elle s’empressa d’obéir et rapidement de les entendis rire et chuchoter. Pendant ce temps je bricolais quelques accessoires dans le sous-sol.

Quand je remontais je n’entendis plus rien…Hélène s’était assoupie sur le canapé, le plug toujours maintenu par son string tandis que Marie surfait sur un site porno orienté BDSM

- Tu as trouvé ta voie à ce que je vois…

- Oui, mais je trouve que ce n’est pas assez…

- Pas assez ?

- Là par exemple, je devrais être entravée, nue à vous sucer, ou bien vous occuper à me sodomiser ou me suspendre par les seins ou que sais-je d’autre…

- Tu voudrais vraiment cela ?

- Oui, bien sûr…je prends vraiment du plaisir à nos jeux, comme jamais je n’en ai eu…je ne crois pas que je cherche encore l’homme de ma vie comme on dit…pour l’instant je veux juste être comme un objet sexuel, jouir de ma soumission, ne rien décider, juste obéir et subir…c’est agréable vous savez, juste se laisser guider…quand le Maître est doué, le soumis prend autant de plaisir que le Dominant, du moins je le suppose…

- Tes aventures « classiques » ne t’apportaient pas cela du tout, alors ?

- Pff, non, les mecs sans imagination qui vous baisent en missionnaire ou qui préfère un match de foot…avec vous je me sens vivre, même si bien sûr je me pose plein de questions…et si aussi parfois je m’inquiète…mais Hélène m’a si bien expliqué votre relation, ce respect et cet amour qui vous lie, que je n’ai pas hésité à vous rejoindre. Bien sûr hier matin je m’inquiétais pour elle jusqu’à ce que je comprenne que cela n’était qu’un jeu et qu’il lui suffisait d’un mot, d’un signe pour tout arrêter. J’ai vu la fierté dans son regard quand nous sommes rentrés, cela disait : « J’y suis arrivée, j’ai été digne de mon Maître, ce n’était pas une punition mais une récompense… »

- Si samedi prochain, on fait la tournée des chauffeurs tu aimerais être à la place d’Hélène ?

- Ce serait un honneur de pouvoir vous rendre ce service…mais il va falloir m’entrainer pour cela, je ne voudrai pas vous décevoir…

- On commence avec un plug ?

- oui, le plus gros possible ! j’envie tellement Hélène…soyons clairs, je ne veux pas sa place…elle vous aime d’un amour véritable et je crois que c’est réciproque...je ne veux pas m’immiscer entre vous, juste…je ne sais pas comment dire…m’ajouter, afin que j’apprenne à être comme Hélène…

- je crois que tu as toutes les qualités requises…donc on commence par te choisir un plug, puis si tu veux séance suspension par les seins…tu aimes le programme ?

- J’ai hâte, Maître

C’était amusant de la voir fouiller dans la grande malle qui contenait tous les « jouets » …on aurait dit un enfant découvrant ses cadeaux un matin de Noël…elle entreprit de tous les essayer..

Je la laissai à ses expériences et retournai voir Hélène. Elle s’était réveillée et un petit sourire illumina son visage quand elle me vit.

- Bonjour ma chérie

- bonjour Maître

- comment te sens tu ?

- j’ai le cul complètement ravagé je crois mais je me sens si bien…

- je suis très fier de toi, tu m’as fait honneur…la prochaine fois j’augmente ton tarif et crois moi ils ne rechigneront pas à cracher au bassinet pour pouvoir te baiser

- j’admets que 5 euros pour m’enculer, c’est brader la marchandise

- je voulais marquer le coup devant Marie

- je comprends…alors pour en finir j’ai bien fait de l’amener ?

- Oui, très bien fait…j’espère juste qu’on va rapidement pouvoir la présenter à un Maître, car je risque de fatiguer…

- toi, fatigué ? tu es increvable…

- Et le respect que tu dois à ton Maître ?

- oh pardon fit elle sur un ton complètement hypocrite…je dois me faire pardonner cet affront…puisque c’est ma bouche qui a failli, je vais vous sucer…cela vous convient ?

- ça passera pour cette fois…
发布者 josyldo
3 年 前
评论
12
账户以发表评论
ccandau
ccandau 4 月 前
la recette parfaite de la soumission d'une femelle en manque superbe
回答
KatyTravice 1 年 前
un vrai roman érotique ! Belle plume et excitante perversité
回答
babettevar 1 年 前
Vraiment top j'en ai mouillé fortement félicitations pour ce récit 
回答
josyldo
josyldo 出版商 2 年 前
nudemum : merci! c'est un compliment pour moi...
回答 原始评论
nudemum 2 年 前
plus je lis,plus je bande
回答
josyldo
josyldo 出版商 2 年 前
j'attends de lire vos récits avant de commenter...impatient....
回答
josyldo
josyldo 出版商 2 年 前
Mr_Pierre_de_Lune : Merci, ça fait plaisir
回答 原始评论
Mr_Pierre_de_Lune
PS: en lisant les commentaires, je m’aperçois que c’était une série. Je comprends mieux mes impressions. Bon à savoir si les autres récits sont ainsi.
回答
Mr_Pierre_de_Lune
Le récit commençait très bien mais se perd avec sa temporalité dans les illusions et les fantasmes. A vouloir trop en mettre, j’y ai perdu à un moment le goût de la lecture. C’est dommage. Les mots sont toutefois remarquablement maniés et c’est agréable à lire… peut-être pas d’une traite…
回答
micheldu13
micheldu13 3 年 前
bravo tres erotique et pervers j'aime
回答
nudemum 3 年 前
bien écrit,on se laisse emporter par le flot
回答
josyldo
josyldo 出版商 3 年 前
j'ai choisi de publier "d'un trait" suite à la suppression de mes précédents récits...merci d'aimer :smile:
回答
Cookie能够帮助我们更好地提供服务。使用本网站即表示您同意我们使用Cookie。 了解详情