19 - Sans capote avec un beau black

Mots-clefs : Femme mariée, blacks.


Je suis Charlotte, trentenaire avide de beaux hommes noirs. Je suis ce que l'on peut appeler une blanche à blacks, ou plus vulgairement (ce qui n'est pas pour me déplaire, bien au contraire), une pute à blacks. Ceux qui me connaissent déjà peuvent en attester, je ne prends pas cela comme une insulte mais plutôt comme un compliment tellement je suis fière de donner du plaisir à de belles queues ébènes, et en échange, d'en recevoir encore plus.

J'adore donc faire l'amour, baiser avec des blacks. Ah oui, petite info, je suis mariée et mon mari n'est pas black (dommage pour lui), ce qui me pousse donc à le tromper assez souvent. Dès que je peux en fait.

J'ai découvert l'anal avec mon premier amant noir, il y a de ça déjà quelques années, et depuis je suis vraiment fan de ça et j'en redemande très souvent à mes partenaires qui ne sont, comme vous pouvez vous y attendre, en général pas contre du tout...

J'en viens donc à mon histoire. J'avais convenu d'un rendez-vous au calme avec un inconnu black (mais ça, inutile de le mentionner désormais, vous aurez compris que je ne couche qu'avec ce genre d'hommes). Nous nous présentons devant un verre, nous apprenons à connaitre le strict minimum de l'un et l'autre car nous savons bien pourquoi nous sommes là tous les deux, à ce moment précis. Et ce n'est pas pour faire la causette...

Nous terminons nos verres et nous ressentons mutuellement l'excitation monter en nous. Il est temps d'aller baiser. Nous allons au calme dans une chambre d'hôtel et nous commençons donc à nous toucher, nous caresser, nous embrasser. Je sens déjà sa grosse queue toute raide dans son pantalon, et parole de connaisseuse, il a l'air bien monté et très en forme le monsieur. C'était en été et je n'étais donc par conséquent pas beaucoup vêtue, une petite robe blanche et légère juste à mi-cuisses, pas de soutif et juste un petit string blanc. Nous arrivons donc aux préliminaires. Je me souviens m'être mise rapidement à genoux pour le sucer avec un énorme appétit (hmmm, rien que d'y repenser, ça me donne envie). Je me souviens également que ce jour-là, j'avais malheureusement peu de temps devant moi car en bonne femme mariée, il fallait bien rentrer au domicile conjugal.

Je le suce avec attention et plaisir (certainement un de mes amants parmi les mieux montés, plus de 20cm au bas mot). J'aspire sa bite, ses couilles aussi. Franchement, une queue délicieuse. Il est tout dur dans ma bouche, je suis aux anges, et lui aussi visiblement. Je sais que je n'aurais pas le temps de faire durer les préliminaires, et c'est bien dommage car j'adore vraiment me faire lécher, me faire doigter les orifices pendant de longs moments...

Je lui demande de venir me prendre comme une chienne. Je suis trempée de mouille mais aussi de transpiration, très excitée et je veux de la bite tout de suite. Et là, il me dit qu'il veut me baiser sans capote (ce qu'avant lui, je n'avais jamais fait), et curieusement, sans quasiment la moindre hésitation, je lui dis : "oui, mais dépêche-toi !"

Je pense que c'est la chaleur, l'excitation, le manque de temps qui m'ont fait dire oui, mais surtout sa grosse queue noire et dure. Et rien que l'idée de l'avoir en moi a fait le reste.

Je lui répète qu'on a vraiment peu de temps, alors il s'exécute sans même enlever ma culotte, la poussant sur le côté, juste avant d'enfoncer son manche dans ma chatte. Il me lime doucement au départ, puis accélère rapidement, les va-et-vient sont de plus en plus forts et sauvages. Putain que c'est bon de se faire baiser comme une chienne...

Il me demande de me mettre à quatre pattes sur le rebord du lit pour me prendre en levrette. J'obéis docilement en tant que bonne pute à blacks que je suis. Ses coups de reins sont encore plus violents et primaires, je mouille comme pas possible et j'aime ça. Il pose ses mains sur mes fesses pour avoir une meilleure prise, je sens ses couilles taper contre moi. Il me relève un peu, met une main dans mes cheveux, l'autre sur mes seins tout durs de plaisir. Je suis bien cambrée, je sens trop bien sa queue qui tape au fond de moi, c'est si bon... Nos corps sont dégoulinants de transpiration, mes cuisses sont quant à elles dégoulinantes de mouille aussi... L'extase !

Il me dit dans l'oreille qu'il a envie de jouir en moi, qu'il n'en peut plus. Je lui dis qu'il peut faire de moi ce qu'il veut. Les derniers coups de reins sont puissants, et dans un dernier effort, je le sens jouir en moi. Il me lâche et moi je pose mes bras et ma tête dans le lit, essoufflée, en transe... Putain que c'est bon ! Il est en train de se vider en moi le salaud, et moi j'aime ça. J'avais tellement envie qu'il reste en moi comme ça encore un long moment, mais encore une fois, le temps ne jouait pas en notre faveur.

Et après une bonne douche fraîche, nous nous sommes dits au revoir, ravis tous les deux de ce moment magique (enfin au moins pour moi).



Auteur : une certaine "Lolotteloveblacks2".
发布者 rabanmaur
3 年 前
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