Sabine07 29-3
Je suis là, sur le parking de la Volane, nue, en talons et bas blancs, le cul plein de sperme et la bouche qui suce la dernière queue qui vient de me baiser, celle d’Eric… Les deux autres me regardent et je suis terriblement frustrée car je n’ai toujours pas joui, alors que j’ai le cul en feu et le clito tout raide…
Quand j’ai fini de nettoyer la queue d’Eric, elle a repris une taille normale et il la sort de ma bouche pour la rentrer dans son pantalon. « C’est quand même une bonne petite pute que tu nous as trouvé là Julien » s’écrie Eric et me donnant une claque sur les fesses lui aussi. « Oui, je vous l’avais dit, elle est bonne ma salope de Sabine » dit-il en riant. « Bon, elle a quand même un trop gros clito à mon goût ta pute, mais je reconnais qu’elle surpasse beaucoup de gonzesses que je connais question baise » lâche Kévin… Ah, un peu de reconnaissance tout de même… Julien sourit et s’approche de moi avec quelque chose à la main, un plug… Il me regarde et me tourne pour me le glisser dans le cul… Maigre consolation…
Les gars semblent apaisés, je comprends pourquoi et je me demande ce qu’ils vont faire, j’ai envie de rentrer, à défaut d’autre chose. « Allez, on y va » dit Julien. Ah, chouette, ça me va de rentrer. Comme je vais pour monter sur le scooter de Kévin, toujours nue, Eric demande « elle ne pourrait pas monter un peu avec moi notre salope ? »… « Si ça te fait plaisir » répond Kévin… Kévin et Julien démarre leur scooter et filent, Eric démarre le sien, s’approche de moi, et au moment où je vais monter, il accélère et s’en va en me regardant, l’air joyeux… Je reste bête, pourquoi fait-il cela ?… il file vers la sortie du parking et disparait de ma vue…
Je reste seule sur le parking, à poil avec mes talons, mes bas et un plug dans le cul… Le salaud, je ne m’y attendais pas… Un petit moment de panique me traverse… Comment rentrer chez moi dans cette tenue ?... Impossible, que dirait ma mère ?… Où aller alors ?... Chez Gérard, mais encore faudrait-il qu’il soit là… Ma tête est pleine de doutes et de contradictions, du coup mon désir s’échappe d’un coup et je me retrouve avec un petit clito qui pleure encore, au goute à goute, de ce qu’il n’aura pas…
Un bruit de moteur me tire de ma torpeur. Une voiture s’engage sur le parking… Je file me cacher derrière un pilier de la passerelle… La voiture passe devant moi sans ralentir, je crois qu’ils ne m’ont pas vue, ouf…J’ai froid tout à coup… Il faut dire que le parking est à côté de la rivière et que la fraicheur de l’eau se fait sentir maintenant… Je réfléchis à toute vitesse, je ne peux pas rester là, il faut que j’envisage de rentrer avant la fin de la nuit, au moins chez Julien, récupérer mes affaires… Les voiture qui vient de passer sa gare et je laisse passer les gens qui s’éloignent. Puis, profitant d’un peu d’obscurité, je file vers la montée d’escalier qui débouche sur la passerelle de la poste… Mes talons font beaucoup de bruit, je trouve, mais je n’ai pas le choix. J’y arrive sans encombre et je me lance dans la montée d’escalier… Le brut de mes pas est encore plus fort, j’ai l’impression que tout le monde m’entend marcher… Je guette tous les bruits, j’entends des voix qui viennent du bar que l’on a dépassé en scooter mais elles ne semblent pas se rapprocher, c’est une bonne chose…
Quand je débouche sur la passerelle, je fais une halte et j’écoute de mon mieux les bruits environnants… Je ne trouve rien de suspect, aussi je file sur la passerelle en direction de la poste… Je profite des voitures garées pour cacher ma silhouette dénudée tout en avançant.
La traversée se fait sans encombre, quelle chance. J’arrive à l’angle de la poste et du boulevard de Vernon. Je jette un coup d’œil et je ne vois pas de voiture ni de piétons. Il me faut redescendre le boulevard pour partir vers la maison de Julien. Après un dernier coup d’œil, je me lance…
A poil sur le trottoir, je dois faire attention, des habitations bordent le boulevard et je dois marcher lentement pour ne pas me faire remarquer avec mes talons… Pour l’instant, il y a des voitures garées, donc je suis quand même un peu protégée. Un peu lus loin, le boulevard fait une courbe et là, il n’y a plus de véhicule garé… Quand j’y suis, j’écoute attentivement les bruits, pas de moteur en vue, allez, je fonce jusqu’au prochain tournant… J’ai l’air d’une idiote à courir à poil en talons sur ce trottoir, mais que faire d’autre… Heureusement la chance est avec moi et je passe cette partie sans être vue, il reste l’autre courbe, elle aussi sans véhicule… Cependant, chose bizarre, le fait de courir à poil, en talons avec un plug dans le cul commence me chauffer… Il ne manquait plus que ça… Si une voiture passe, j’aurai du mal à cacher mon clito tendu… C’est dégueulasse mais tout ça m’excite quand même… Quelle drôle de salope suis-je devenue ?... J’ai l’esprit embrouillé avec tout ça et je continue à marcher tandis que mon clito gonfle… Tout à coup, un bruit de moteur se fait entendre… Je panique un peu mais cela renforce ma raideur, allez savoir pourquoi… Je vois un fourgon garé pas très loin, au bout de la courbe, j’espère y arriver avant la voiture… Je cours sans me soucier du bruit de mes talons et, là encore, cela m’excite, le glissement du plug quand je cours me chauffe la rondelle, je deviens folle… Par chance, j’arrive au fourgon juste avant que les phares de la voiture n’éclairent la route devant moi… Mon dieu le pot, j’aurai eu du mal à cacher ma silhouette… Je m’accroupie à l’avant du fourgon et la voiture passe sans encombre alors que j’ai une vue imprenable sur mon clito tendu qui commence à perler… J’ai peur et je suis excitée, joli programme…
Il me reste encore la ligne droite qui longe l’usine des eaux de Vals, mais des voitures sont en stationnement en face de l’usine, hélas pas du côté où je suis… Je vais jusqu’à la dernière voiture de mon côté et je tends l’oreille… Pas de bruit pour l’instant, il faut que je traverse mais la distance est grande jusqu'aux voitures de l’autre côté et rien ne m’empêchera d’être vue à poil si une voiture déboule… Tant pis, je me lance, j’essaye de courir sur la chaussée, ce qui fait beaucoup de bruit, pour tenter de réduire le temps où je suis exposée au milieu de la chaussée… Bien sûr, plus je cours, plus le plug frotte dans ma rondelle, plus j’ai de sensations et plus ça m’excite… J’essaye de ma concentrer sur le fait d’arriver à couvert derrière les prochaines voitures, en priant pour qu’une voiture de police ne passe pas à ce moment là…
Dieu merci, j’arrive de l’autre côté sans encombre et je me dissimule un peu derrière la première voiture pour reprendre mon souffle. Dans un autre contexte, cette balade à poil aurait été amusante… Il me reste encore à dépasser l’usine, puis à traverser le petit parc le long de l’avenue Paul Ribeyre et enfin de sortir du dernier groupement de maison avant les Thermes de la ville et enfin passer sous l’hôpital, en face du Parc, pour gagner l’entrée de la ville. Je reprends ma progression, les voitures en stationnement sont un peu espacées mais je peux marcher normalement, sans crainte, entre elles car même si une voiture arrivait, j’aurai le temps de me dissimuler…
Je commence à avoir mal aux pieds, les talons ça n’est pas fait pour courir… Par contre, comme j’ai couru, j’ai moins froid. J’entends une voiture, je ne sais pas par où elle va arriver, puis, je vois une lueur de phares derrière moi, et je me cache du mieux que je peux, accroupie derrière une voiture, le clito toujours raide… Le bruit se rapproche, ce n’est pas une voiture. Ce sont des motos, il y en a plusieurs, elles se rapprochent à faible allure… Je m’angoisse car si elles roulent lentement, elles risquent de permettre au conducteur de me voir… Ma cachette derrière la voiture ne vaut que si l’on passe vite en regardant la route… Elles sont toutes proches et je me rends compte que ce ne sont pas des motos mais des scooters… Ce sont mes trois compères qui passent… Je suis soulagée tout à coup… Julien est en tête et regarde de partout, je me relève et il m’aperçoit… Immédiatement, il vient vers moi et me dit « ah, tu es là, cet idiot d’Eric t’a laissé sur le parking mais nous ne nous en sommes aperçu que bien plus loin, en se rejoignant au feu à Labégude »… « Désolé, ce n’était pas notre intention, en plus ça fait un moment qu’on te cherche » ajoute-t-il encore d’un air gêné… Les autres nous rejoignent et Eric ne dit pas un mot, il a l’air penaud… Puis, les gars remarquent mon clito tendu… « Ah ben, elle était pas trop inquiète je crois, la petite pute » rigole Kévin… « Viens, monte » me dit Julien… Je m’exécute et nous filons… Bizarrement, alors que je suis toujours à poil avec un plug dans le cul, je m’en fous et même si l’on croise du monde, ce n’est pas grave, comparé au fait de devoir rentrer à pieds, nue au bord de la route… C’est ce qui m’attendait s’ils n’étaient pas revenus… Nous repartons.
Assise sur le scooter, le plug s’enfonce dans ma rondelle et cette sensation maintient la raideur de mon clito… A chaque bosse sur la route, il s’enfonce un peu plus et c’est très plaisant… Nous traversons le Pont Saint Jean et on file en direction du Casino le long du Parc. Nous croisons des voitures et je m’en moque, je ne fais rien pour me cacher… Nous descendons la rue Auguste Clément jusqu’au rond-point après le magasin de Motoculture. Là, Julien s’arrête sur la place devant le magasin et descend du scooter. Je descends à mon tour, sans comprendre pourquoi on s’arrête. Tandis que les autres nous rejoignent. Julien ouvre le top-case et me tend ma robe. Ah oui, c’est bien le moment, au point où j’en suis, rentrer à poil est le dernier de mes soucis…
Je suis furieuse et excitée, j’en veux à Eric et j’ai envie de sexe… Négligeant la robe, je regarde Eric et lui dit « tu faisais le malin tout à l’heure en me laissant sur le parking, viens me voir maintenant » lui dis-je d’un ton ferme… Eric ne sait que faire mais sous le regard insistant des autres, il obéit… Lorsqu’il est devant moi, je descends sa braguette et sort sa queue, il se laisse faire… Puis, je m’agenouille avec un air gourmand et commence à le sucer… Il est tout heureux et sa queue commence à grossir… Je me délecte de ce gland qui sent encore mon cul et je le suce avidement… Quand il est bien excité, j’arrête de le sucer, me relève, l’att**** par la queue et me dirige vers le rond point… Il est tout chamboulé et ne sait pas que dire, je le tire par la queue et il me suit… Arrivés devant le rond point, je me mets dos à la route, je m’agenouille et je recommence à le sucer… Les autres nous ont suivis, intrigués… Eric apprécie ma caresse et commence à soupirer sous ma langue… Alors que je le suce toujours, on entend un bruit de moteur, une voiture arrive… Eric cherche à sortir sa queue, mais une de mes mains att**** ses couilles et les serre si fort qu’il ne bouge plus… L’autre main descend un peu plus son pantalon et son slip, que je ramène sur ses chaussures… Il se sent gêné et lorsque la voiture éclaire mon dos, il ne sait plus où se mettre… J’attends encore quelques instants et quand je sens que la voiture n’est qu’à quelques dizaines de mètres, je le relève, et, restant de dos, je file, pour disparaitre derrière l’arbre à côté du magasin… Eric se retrouve à poil dans les phares de la voiture, la queue en l’air… Nous voilà à égalité…
« Oh putain, oh putain, la salope » dit-il en essayant de se rhabiller au plus vite et en cachant son érection… En tentant de faire demi-tour rapidement, il se prend les pieds dans son pantalon et chute sur le trottoir, devant la voiture… Je ris en le voyant le cul en l’air alors que la voiture ralentit… Eric, vexé, se relève rapidement et tente de remonter son pantalon mais il a du mal… Le conducteur baisse sa vitre et lui dit « ça va jeune homme ? »… Il ne répond rien au gars mais jure comme un charretier et partant vers nous… La voiture s’éloigne et Eric arrive à ma hauteur. Je sors de derrière l’arbre et lui dit « voilà, maintenant tu sais ce que ça fait et ce qu’on ressent quand on se retrouve à poil en ville par la faute des autres »…
Il me lance un regard furieux et Kévin lui dit « alors là, c’est bien fait pour ta gueule, qu’est-ce qu’elle t’a cassé la petite pute »… Julien en rajoute une couche en disant « t’es con Eric, tu n’aurais pas du faire ça »… Eric se calme et file sur son scooter en boudant.
Moi, j’ai toujours envie de sexe et puisque nous sommes là, qu’une voiture vient de me voir sucer un gars à poil dans la rue, je n’ai plus de tabou… Je regarde Kévin et Julien et je leur dis « les gars, le premier qui m’att**** peut me baiser comme il veut en ville et je ferai tout ce qui désire »… Sur ce, je fais demi-tour et je vais jusqu’à la statue Nimphéa qui est à l’angle du croisement. Là, je me retourne vers eux et fais la salope et me touchant les seins et le cul tout en les regardant… Puis, je m’engage dans l’avenue Chabalier, qui remonte jusqu’au Casino… J’entends les scooters démarrer, moi je marche comme une dame, le cul à l’air mais l’air distingué… L’avenue est à sens unique, donc je suis sûre de ne pas voir arriver de voiture face à moi et en fait maintenant je m’en fous… Je suis ravie de ce tour que je viens de faire à Eric, il m’avait foutu la trouille en me laissant seule à poil sur le parking… Finalement, je me sens bien à marcher nue en talons avec un plug dans le cul…
Les scooters se rapprochent et je continue à marcher tranquillement… C’est Kévin qui arrive le premier. Il pense que ça y est, il va pouvoir me baiser, mais au moment où il croit m’att****r le bras, je file en courant derrière une voiture, puis, je rejoins le trottoir d’en face en courant, Julien arrive à son tour… Il essaye lui aussi de m’att****r, sans succès… Petit à petit, tout en jouant, nous remontons l’avenue et nous arrivons vers le rond-point du casino… Là, Kévin me dépasse sans chercher à m’att****r… Julien essaye une deuxième fois et je cours en retraversant l’avenue… En plus, courir me chauffe le cul et mon clito est toujours raide… Alors que je me cache derrière un bosquet pour échapper à Julien, je ne remarque pas que Kévin à garer son scooter et vient vers moi à pieds… C’est en me tournant pour filer ailleurs que je me retrouve face à lui et qu’il m’att**** sans difficulté…
Ah, tu nous as fait courir petite pute » me dit-il d’un air goguenard… « Mais c’est moi qui t’es attrapée, alors tu vas faire ce que je veux maintenant » me dit-il en baissant son pantalon… Il sort sa queue et me lance « allez, suce salope »… Je ne suis pas vexée, c’est ce que je cherche depuis toute la soirée… Je m’accroupie et ma bouche avale sa queue qui commence à grossir… J’adore sucer des queues qui grossissent dans ma bouche… Et celle-là réagit très vite, c’est beau la jeunesse… Tandis que je le suce, une voiture approche dans l’avenue… Julien et Eric nous ont rejoints et observent la scène… La voiture passe devant nous mais nous sommes un peu cachés par le bosquet, les occupants ne doivent pas voir ce que l’on fait exactement… Quand sa queue est bien dure, Kévin sort de ma bouche, me retourne et enlève le plug qu’il tend à Julien avant de me glisser sa queue dans le cul… Quand elle franchit ma rondelle, je pousse un long cri de plaisir… « Ouiii, ouiii, baise-moi, fais-moi jouir » dis-je en criant… Il ne se fait pas prier et me besogne à grands coups de reins… Tout de suite mon cul se met à chauffer et sentir sa queue glisser en moi est un délice… « Tu vas sucer Julien pendant que je te baise, salope » me dit-il excité… Julien s’approche, sa queue est déjà raide… Ah, ben y’a pas que moi qui suis excitée… Je le prends en bouche et savoure cette queue que j’adore… Je commence à gémir et mon clito coule… Kévin accélère encore dans mon cul, j’ai la rondelle en feu… Mon dieu que c’est bon de se faire baiser après ce qu’il m’est arrivé… Julien soupire aussi et me touche les seins… Il tire sur mes pointes et ça m’excite encore… « Ouiiii, ouiiii, encore, baisez-moi » dis-je en criant alors qu’ils vont me faire jouir… Kévin me donne des claques sur les fesses qui me font mal mais ça aussi ça m’excite… Soudain, une boule de feu part de mes reins, traverse mes seins, mes fesses et vient exploser dans mon clito, qui se répand sur le trottoir par saccades… Je crie la bouche pleine ce plaisir qu’ils me donnent… Ma jouissance déclenche celle de Kévin, qui m’embroche une dernière fois avant de juter en moi, en grognant, un sperme bien chaud qui m’inonde le cul… Quel bonheur… Je suis heureuse et enfin épanouie… Julien sort de ma bouche et prend la place de Kévin qui vient se faire sucer… Sa queue dégouline de sperme, hummm quel délice… Je la suce avidement, même si je n’ai plus de force… Quand la queue de Julien me travaille le cul, je me sens femme et je veux qu’il jouisse en moi, que je lui donne du plaisir… Il doit être très excité car il me défonce le cul… Il m’empoigne les hanches et tape dans mon cul comme un damné… J’entends sa respiration s’accélérer, il va jouir… En effet, il se crispe et me crache son jus dans le cul, pour mon plus grand plaisir… « Ah, salope, tu me fais jouir petite pute » me dit-il dans un râle… La queue de Kévin a repris une taille normale et quand il sort de ma bouche il dit « puisque j’ai le droit de faire de toi ce que je veux, tu vas te faire baiser par Eric avant de partir, salope »… Eric semble ravit et tandis que Julien vient se faire sucer, Eric me glisse sa queue dans le cul… La queue de Julien est un pur plaisir à sucer, elle a le goût de leur sperme et de mon cul, une merveille… Eric me baise lentement au début… Ma rondelle suinte du jus des autres… « Putain, t’as le cul rempli de sperme salope, t’es qu’une pute à jus, bonne à se faire baiser n’importe où » me dit Eric… Oui, il a raison et je suis heureuse de l’être… La queue de Julien diminue doucement dans ma bouche et j’ai un plaisir particulier à sucer la queue dans ces conditions… Eric me besogne plus vite maintenant, je râle doucement, je suis épuisée… Une voiture arrive et je m’en fous.. Julien sort de ma bouche, j’ai du mal à tenir debout avec la queue d’Eric dans le cul et je glisse vers le sol le cul en l’air… Julien veut me ratt****r mais Kévin lui dit « non, laisse la cette salope, c’est moi qui décide comment on la baise »… Je me retrouve à genoux, la tête par terre, le cul en l’air et la queue d’Eric qui me défonce… « Tiens prend ça, sale petite pute » me crie Eric avant de se retirer de mon cul et de venir juter sur mon visage son sperme chaud… Je reçois ce précieux liquide par saccades, comme une offrande à la pute que je suis… Lorsque plus rien ne sort, il tape sa queue encore raide sur mon cul, me la rentre d’un coup dans la rondelle et fait des va et vient rapides avant de se retirer et de se rhabille… « Putain, vous avez vu ce que je lui ai mis à cette salope ? » crie-t-il tout haut…
Il faut qu’on m’aide à me relever, je suis morte de fatigue… C’est Julien qui m’aide… Il me ramène au scooter, le sperme d’Eric me coule sur la poitrine… Il me tend ma robe mais je lui dis « laisse tomber la robe, je m’en fous ramène moi chez toi »… Je monte sur le scooter, le cul dégoulinant de sperme et je m’accroche à Julien pour ne pas tomber… Il démarre et nous partons… J’ai un peu froid en passant au bord de l’Ardèche mais je suis heureuse de cette soirée spéciale, pas vraiment dégoutée de ce qui m’est arrivée et je revois le moment où je suis nue, seule, tentant de rentrer par mes propres moyens… Le pire dans tout ça, c’est qu’au fond j’ai aimé cette situation… Je suis devenue drôlement tordue au fil du temps mais j’aime ça maintenant… Il faut que j’assume d’être la petite pute soumise que je suis devenue…
Après un temps qui m’a paru assez long, nous arrivons chez Julien. Nous ne sommes que tous les deux, les autres sont rentrés chez eux. Julien m’aide à descendre du scooter, j’ai très froid. Il m’aide à prendre une douche bien chaude et me couche dans un grand lit. Je m’y endors rapidement, les sens apaisés, heureuse d’avoir été l’objet sexuel des gars toute la soirée…
A suivre, si vous avez aimé…
N’hésitez pas à me laisser un commentaire et un like…
Sabine 07
Quand j’ai fini de nettoyer la queue d’Eric, elle a repris une taille normale et il la sort de ma bouche pour la rentrer dans son pantalon. « C’est quand même une bonne petite pute que tu nous as trouvé là Julien » s’écrie Eric et me donnant une claque sur les fesses lui aussi. « Oui, je vous l’avais dit, elle est bonne ma salope de Sabine » dit-il en riant. « Bon, elle a quand même un trop gros clito à mon goût ta pute, mais je reconnais qu’elle surpasse beaucoup de gonzesses que je connais question baise » lâche Kévin… Ah, un peu de reconnaissance tout de même… Julien sourit et s’approche de moi avec quelque chose à la main, un plug… Il me regarde et me tourne pour me le glisser dans le cul… Maigre consolation…
Les gars semblent apaisés, je comprends pourquoi et je me demande ce qu’ils vont faire, j’ai envie de rentrer, à défaut d’autre chose. « Allez, on y va » dit Julien. Ah, chouette, ça me va de rentrer. Comme je vais pour monter sur le scooter de Kévin, toujours nue, Eric demande « elle ne pourrait pas monter un peu avec moi notre salope ? »… « Si ça te fait plaisir » répond Kévin… Kévin et Julien démarre leur scooter et filent, Eric démarre le sien, s’approche de moi, et au moment où je vais monter, il accélère et s’en va en me regardant, l’air joyeux… Je reste bête, pourquoi fait-il cela ?… il file vers la sortie du parking et disparait de ma vue…
Je reste seule sur le parking, à poil avec mes talons, mes bas et un plug dans le cul… Le salaud, je ne m’y attendais pas… Un petit moment de panique me traverse… Comment rentrer chez moi dans cette tenue ?... Impossible, que dirait ma mère ?… Où aller alors ?... Chez Gérard, mais encore faudrait-il qu’il soit là… Ma tête est pleine de doutes et de contradictions, du coup mon désir s’échappe d’un coup et je me retrouve avec un petit clito qui pleure encore, au goute à goute, de ce qu’il n’aura pas…
Un bruit de moteur me tire de ma torpeur. Une voiture s’engage sur le parking… Je file me cacher derrière un pilier de la passerelle… La voiture passe devant moi sans ralentir, je crois qu’ils ne m’ont pas vue, ouf…J’ai froid tout à coup… Il faut dire que le parking est à côté de la rivière et que la fraicheur de l’eau se fait sentir maintenant… Je réfléchis à toute vitesse, je ne peux pas rester là, il faut que j’envisage de rentrer avant la fin de la nuit, au moins chez Julien, récupérer mes affaires… Les voiture qui vient de passer sa gare et je laisse passer les gens qui s’éloignent. Puis, profitant d’un peu d’obscurité, je file vers la montée d’escalier qui débouche sur la passerelle de la poste… Mes talons font beaucoup de bruit, je trouve, mais je n’ai pas le choix. J’y arrive sans encombre et je me lance dans la montée d’escalier… Le brut de mes pas est encore plus fort, j’ai l’impression que tout le monde m’entend marcher… Je guette tous les bruits, j’entends des voix qui viennent du bar que l’on a dépassé en scooter mais elles ne semblent pas se rapprocher, c’est une bonne chose…
Quand je débouche sur la passerelle, je fais une halte et j’écoute de mon mieux les bruits environnants… Je ne trouve rien de suspect, aussi je file sur la passerelle en direction de la poste… Je profite des voitures garées pour cacher ma silhouette dénudée tout en avançant.
La traversée se fait sans encombre, quelle chance. J’arrive à l’angle de la poste et du boulevard de Vernon. Je jette un coup d’œil et je ne vois pas de voiture ni de piétons. Il me faut redescendre le boulevard pour partir vers la maison de Julien. Après un dernier coup d’œil, je me lance…
A poil sur le trottoir, je dois faire attention, des habitations bordent le boulevard et je dois marcher lentement pour ne pas me faire remarquer avec mes talons… Pour l’instant, il y a des voitures garées, donc je suis quand même un peu protégée. Un peu lus loin, le boulevard fait une courbe et là, il n’y a plus de véhicule garé… Quand j’y suis, j’écoute attentivement les bruits, pas de moteur en vue, allez, je fonce jusqu’au prochain tournant… J’ai l’air d’une idiote à courir à poil en talons sur ce trottoir, mais que faire d’autre… Heureusement la chance est avec moi et je passe cette partie sans être vue, il reste l’autre courbe, elle aussi sans véhicule… Cependant, chose bizarre, le fait de courir à poil, en talons avec un plug dans le cul commence me chauffer… Il ne manquait plus que ça… Si une voiture passe, j’aurai du mal à cacher mon clito tendu… C’est dégueulasse mais tout ça m’excite quand même… Quelle drôle de salope suis-je devenue ?... J’ai l’esprit embrouillé avec tout ça et je continue à marcher tandis que mon clito gonfle… Tout à coup, un bruit de moteur se fait entendre… Je panique un peu mais cela renforce ma raideur, allez savoir pourquoi… Je vois un fourgon garé pas très loin, au bout de la courbe, j’espère y arriver avant la voiture… Je cours sans me soucier du bruit de mes talons et, là encore, cela m’excite, le glissement du plug quand je cours me chauffe la rondelle, je deviens folle… Par chance, j’arrive au fourgon juste avant que les phares de la voiture n’éclairent la route devant moi… Mon dieu le pot, j’aurai eu du mal à cacher ma silhouette… Je m’accroupie à l’avant du fourgon et la voiture passe sans encombre alors que j’ai une vue imprenable sur mon clito tendu qui commence à perler… J’ai peur et je suis excitée, joli programme…
Il me reste encore la ligne droite qui longe l’usine des eaux de Vals, mais des voitures sont en stationnement en face de l’usine, hélas pas du côté où je suis… Je vais jusqu’à la dernière voiture de mon côté et je tends l’oreille… Pas de bruit pour l’instant, il faut que je traverse mais la distance est grande jusqu'aux voitures de l’autre côté et rien ne m’empêchera d’être vue à poil si une voiture déboule… Tant pis, je me lance, j’essaye de courir sur la chaussée, ce qui fait beaucoup de bruit, pour tenter de réduire le temps où je suis exposée au milieu de la chaussée… Bien sûr, plus je cours, plus le plug frotte dans ma rondelle, plus j’ai de sensations et plus ça m’excite… J’essaye de ma concentrer sur le fait d’arriver à couvert derrière les prochaines voitures, en priant pour qu’une voiture de police ne passe pas à ce moment là…
Dieu merci, j’arrive de l’autre côté sans encombre et je me dissimule un peu derrière la première voiture pour reprendre mon souffle. Dans un autre contexte, cette balade à poil aurait été amusante… Il me reste encore à dépasser l’usine, puis à traverser le petit parc le long de l’avenue Paul Ribeyre et enfin de sortir du dernier groupement de maison avant les Thermes de la ville et enfin passer sous l’hôpital, en face du Parc, pour gagner l’entrée de la ville. Je reprends ma progression, les voitures en stationnement sont un peu espacées mais je peux marcher normalement, sans crainte, entre elles car même si une voiture arrivait, j’aurai le temps de me dissimuler…
Je commence à avoir mal aux pieds, les talons ça n’est pas fait pour courir… Par contre, comme j’ai couru, j’ai moins froid. J’entends une voiture, je ne sais pas par où elle va arriver, puis, je vois une lueur de phares derrière moi, et je me cache du mieux que je peux, accroupie derrière une voiture, le clito toujours raide… Le bruit se rapproche, ce n’est pas une voiture. Ce sont des motos, il y en a plusieurs, elles se rapprochent à faible allure… Je m’angoisse car si elles roulent lentement, elles risquent de permettre au conducteur de me voir… Ma cachette derrière la voiture ne vaut que si l’on passe vite en regardant la route… Elles sont toutes proches et je me rends compte que ce ne sont pas des motos mais des scooters… Ce sont mes trois compères qui passent… Je suis soulagée tout à coup… Julien est en tête et regarde de partout, je me relève et il m’aperçoit… Immédiatement, il vient vers moi et me dit « ah, tu es là, cet idiot d’Eric t’a laissé sur le parking mais nous ne nous en sommes aperçu que bien plus loin, en se rejoignant au feu à Labégude »… « Désolé, ce n’était pas notre intention, en plus ça fait un moment qu’on te cherche » ajoute-t-il encore d’un air gêné… Les autres nous rejoignent et Eric ne dit pas un mot, il a l’air penaud… Puis, les gars remarquent mon clito tendu… « Ah ben, elle était pas trop inquiète je crois, la petite pute » rigole Kévin… « Viens, monte » me dit Julien… Je m’exécute et nous filons… Bizarrement, alors que je suis toujours à poil avec un plug dans le cul, je m’en fous et même si l’on croise du monde, ce n’est pas grave, comparé au fait de devoir rentrer à pieds, nue au bord de la route… C’est ce qui m’attendait s’ils n’étaient pas revenus… Nous repartons.
Assise sur le scooter, le plug s’enfonce dans ma rondelle et cette sensation maintient la raideur de mon clito… A chaque bosse sur la route, il s’enfonce un peu plus et c’est très plaisant… Nous traversons le Pont Saint Jean et on file en direction du Casino le long du Parc. Nous croisons des voitures et je m’en moque, je ne fais rien pour me cacher… Nous descendons la rue Auguste Clément jusqu’au rond-point après le magasin de Motoculture. Là, Julien s’arrête sur la place devant le magasin et descend du scooter. Je descends à mon tour, sans comprendre pourquoi on s’arrête. Tandis que les autres nous rejoignent. Julien ouvre le top-case et me tend ma robe. Ah oui, c’est bien le moment, au point où j’en suis, rentrer à poil est le dernier de mes soucis…
Je suis furieuse et excitée, j’en veux à Eric et j’ai envie de sexe… Négligeant la robe, je regarde Eric et lui dit « tu faisais le malin tout à l’heure en me laissant sur le parking, viens me voir maintenant » lui dis-je d’un ton ferme… Eric ne sait que faire mais sous le regard insistant des autres, il obéit… Lorsqu’il est devant moi, je descends sa braguette et sort sa queue, il se laisse faire… Puis, je m’agenouille avec un air gourmand et commence à le sucer… Il est tout heureux et sa queue commence à grossir… Je me délecte de ce gland qui sent encore mon cul et je le suce avidement… Quand il est bien excité, j’arrête de le sucer, me relève, l’att**** par la queue et me dirige vers le rond point… Il est tout chamboulé et ne sait pas que dire, je le tire par la queue et il me suit… Arrivés devant le rond point, je me mets dos à la route, je m’agenouille et je recommence à le sucer… Les autres nous ont suivis, intrigués… Eric apprécie ma caresse et commence à soupirer sous ma langue… Alors que je le suce toujours, on entend un bruit de moteur, une voiture arrive… Eric cherche à sortir sa queue, mais une de mes mains att**** ses couilles et les serre si fort qu’il ne bouge plus… L’autre main descend un peu plus son pantalon et son slip, que je ramène sur ses chaussures… Il se sent gêné et lorsque la voiture éclaire mon dos, il ne sait plus où se mettre… J’attends encore quelques instants et quand je sens que la voiture n’est qu’à quelques dizaines de mètres, je le relève, et, restant de dos, je file, pour disparaitre derrière l’arbre à côté du magasin… Eric se retrouve à poil dans les phares de la voiture, la queue en l’air… Nous voilà à égalité…
« Oh putain, oh putain, la salope » dit-il en essayant de se rhabiller au plus vite et en cachant son érection… En tentant de faire demi-tour rapidement, il se prend les pieds dans son pantalon et chute sur le trottoir, devant la voiture… Je ris en le voyant le cul en l’air alors que la voiture ralentit… Eric, vexé, se relève rapidement et tente de remonter son pantalon mais il a du mal… Le conducteur baisse sa vitre et lui dit « ça va jeune homme ? »… Il ne répond rien au gars mais jure comme un charretier et partant vers nous… La voiture s’éloigne et Eric arrive à ma hauteur. Je sors de derrière l’arbre et lui dit « voilà, maintenant tu sais ce que ça fait et ce qu’on ressent quand on se retrouve à poil en ville par la faute des autres »…
Il me lance un regard furieux et Kévin lui dit « alors là, c’est bien fait pour ta gueule, qu’est-ce qu’elle t’a cassé la petite pute »… Julien en rajoute une couche en disant « t’es con Eric, tu n’aurais pas du faire ça »… Eric se calme et file sur son scooter en boudant.
Moi, j’ai toujours envie de sexe et puisque nous sommes là, qu’une voiture vient de me voir sucer un gars à poil dans la rue, je n’ai plus de tabou… Je regarde Kévin et Julien et je leur dis « les gars, le premier qui m’att**** peut me baiser comme il veut en ville et je ferai tout ce qui désire »… Sur ce, je fais demi-tour et je vais jusqu’à la statue Nimphéa qui est à l’angle du croisement. Là, je me retourne vers eux et fais la salope et me touchant les seins et le cul tout en les regardant… Puis, je m’engage dans l’avenue Chabalier, qui remonte jusqu’au Casino… J’entends les scooters démarrer, moi je marche comme une dame, le cul à l’air mais l’air distingué… L’avenue est à sens unique, donc je suis sûre de ne pas voir arriver de voiture face à moi et en fait maintenant je m’en fous… Je suis ravie de ce tour que je viens de faire à Eric, il m’avait foutu la trouille en me laissant seule à poil sur le parking… Finalement, je me sens bien à marcher nue en talons avec un plug dans le cul…
Les scooters se rapprochent et je continue à marcher tranquillement… C’est Kévin qui arrive le premier. Il pense que ça y est, il va pouvoir me baiser, mais au moment où il croit m’att****r le bras, je file en courant derrière une voiture, puis, je rejoins le trottoir d’en face en courant, Julien arrive à son tour… Il essaye lui aussi de m’att****r, sans succès… Petit à petit, tout en jouant, nous remontons l’avenue et nous arrivons vers le rond-point du casino… Là, Kévin me dépasse sans chercher à m’att****r… Julien essaye une deuxième fois et je cours en retraversant l’avenue… En plus, courir me chauffe le cul et mon clito est toujours raide… Alors que je me cache derrière un bosquet pour échapper à Julien, je ne remarque pas que Kévin à garer son scooter et vient vers moi à pieds… C’est en me tournant pour filer ailleurs que je me retrouve face à lui et qu’il m’att**** sans difficulté…
Ah, tu nous as fait courir petite pute » me dit-il d’un air goguenard… « Mais c’est moi qui t’es attrapée, alors tu vas faire ce que je veux maintenant » me dit-il en baissant son pantalon… Il sort sa queue et me lance « allez, suce salope »… Je ne suis pas vexée, c’est ce que je cherche depuis toute la soirée… Je m’accroupie et ma bouche avale sa queue qui commence à grossir… J’adore sucer des queues qui grossissent dans ma bouche… Et celle-là réagit très vite, c’est beau la jeunesse… Tandis que je le suce, une voiture approche dans l’avenue… Julien et Eric nous ont rejoints et observent la scène… La voiture passe devant nous mais nous sommes un peu cachés par le bosquet, les occupants ne doivent pas voir ce que l’on fait exactement… Quand sa queue est bien dure, Kévin sort de ma bouche, me retourne et enlève le plug qu’il tend à Julien avant de me glisser sa queue dans le cul… Quand elle franchit ma rondelle, je pousse un long cri de plaisir… « Ouiii, ouiii, baise-moi, fais-moi jouir » dis-je en criant… Il ne se fait pas prier et me besogne à grands coups de reins… Tout de suite mon cul se met à chauffer et sentir sa queue glisser en moi est un délice… « Tu vas sucer Julien pendant que je te baise, salope » me dit-il excité… Julien s’approche, sa queue est déjà raide… Ah, ben y’a pas que moi qui suis excitée… Je le prends en bouche et savoure cette queue que j’adore… Je commence à gémir et mon clito coule… Kévin accélère encore dans mon cul, j’ai la rondelle en feu… Mon dieu que c’est bon de se faire baiser après ce qu’il m’est arrivé… Julien soupire aussi et me touche les seins… Il tire sur mes pointes et ça m’excite encore… « Ouiiii, ouiiii, encore, baisez-moi » dis-je en criant alors qu’ils vont me faire jouir… Kévin me donne des claques sur les fesses qui me font mal mais ça aussi ça m’excite… Soudain, une boule de feu part de mes reins, traverse mes seins, mes fesses et vient exploser dans mon clito, qui se répand sur le trottoir par saccades… Je crie la bouche pleine ce plaisir qu’ils me donnent… Ma jouissance déclenche celle de Kévin, qui m’embroche une dernière fois avant de juter en moi, en grognant, un sperme bien chaud qui m’inonde le cul… Quel bonheur… Je suis heureuse et enfin épanouie… Julien sort de ma bouche et prend la place de Kévin qui vient se faire sucer… Sa queue dégouline de sperme, hummm quel délice… Je la suce avidement, même si je n’ai plus de force… Quand la queue de Julien me travaille le cul, je me sens femme et je veux qu’il jouisse en moi, que je lui donne du plaisir… Il doit être très excité car il me défonce le cul… Il m’empoigne les hanches et tape dans mon cul comme un damné… J’entends sa respiration s’accélérer, il va jouir… En effet, il se crispe et me crache son jus dans le cul, pour mon plus grand plaisir… « Ah, salope, tu me fais jouir petite pute » me dit-il dans un râle… La queue de Kévin a repris une taille normale et quand il sort de ma bouche il dit « puisque j’ai le droit de faire de toi ce que je veux, tu vas te faire baiser par Eric avant de partir, salope »… Eric semble ravit et tandis que Julien vient se faire sucer, Eric me glisse sa queue dans le cul… La queue de Julien est un pur plaisir à sucer, elle a le goût de leur sperme et de mon cul, une merveille… Eric me baise lentement au début… Ma rondelle suinte du jus des autres… « Putain, t’as le cul rempli de sperme salope, t’es qu’une pute à jus, bonne à se faire baiser n’importe où » me dit Eric… Oui, il a raison et je suis heureuse de l’être… La queue de Julien diminue doucement dans ma bouche et j’ai un plaisir particulier à sucer la queue dans ces conditions… Eric me besogne plus vite maintenant, je râle doucement, je suis épuisée… Une voiture arrive et je m’en fous.. Julien sort de ma bouche, j’ai du mal à tenir debout avec la queue d’Eric dans le cul et je glisse vers le sol le cul en l’air… Julien veut me ratt****r mais Kévin lui dit « non, laisse la cette salope, c’est moi qui décide comment on la baise »… Je me retrouve à genoux, la tête par terre, le cul en l’air et la queue d’Eric qui me défonce… « Tiens prend ça, sale petite pute » me crie Eric avant de se retirer de mon cul et de venir juter sur mon visage son sperme chaud… Je reçois ce précieux liquide par saccades, comme une offrande à la pute que je suis… Lorsque plus rien ne sort, il tape sa queue encore raide sur mon cul, me la rentre d’un coup dans la rondelle et fait des va et vient rapides avant de se retirer et de se rhabille… « Putain, vous avez vu ce que je lui ai mis à cette salope ? » crie-t-il tout haut…
Il faut qu’on m’aide à me relever, je suis morte de fatigue… C’est Julien qui m’aide… Il me ramène au scooter, le sperme d’Eric me coule sur la poitrine… Il me tend ma robe mais je lui dis « laisse tomber la robe, je m’en fous ramène moi chez toi »… Je monte sur le scooter, le cul dégoulinant de sperme et je m’accroche à Julien pour ne pas tomber… Il démarre et nous partons… J’ai un peu froid en passant au bord de l’Ardèche mais je suis heureuse de cette soirée spéciale, pas vraiment dégoutée de ce qui m’est arrivée et je revois le moment où je suis nue, seule, tentant de rentrer par mes propres moyens… Le pire dans tout ça, c’est qu’au fond j’ai aimé cette situation… Je suis devenue drôlement tordue au fil du temps mais j’aime ça maintenant… Il faut que j’assume d’être la petite pute soumise que je suis devenue…
Après un temps qui m’a paru assez long, nous arrivons chez Julien. Nous ne sommes que tous les deux, les autres sont rentrés chez eux. Julien m’aide à descendre du scooter, j’ai très froid. Il m’aide à prendre une douche bien chaude et me couche dans un grand lit. Je m’y endors rapidement, les sens apaisés, heureuse d’avoir été l’objet sexuel des gars toute la soirée…
A suivre, si vous avez aimé…
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Sabine 07
3 年 前
