BRANLEUR
Branleur assumé… et fier de l’être.
Je n’ai jamais considéré la masturbation comme une activité honteuse ou maladive, encore moins comme une perversion.
Adolescent, je me montrais en train de me branler.
Jeune adulte, je rééditais l’expérience.
Ces deux épisodes de ma vie ont fait de moi une personne totalement dénuée de pudeur.
Je n’ai aucun problème à être entièrement nu devant d’autres personnes, dès lors qu’elles sont averties et n’en sont pas choquées.
Peu importe que je connaisse ces personnes, qu’elles soient habillées ou nues.
Il en va de même pour la branle.
Peu m’importe qu’on me voie ou me regarde, je prends plaisir à me branler pour qui apprécie le spectacle.
Et quand une discussion dérive sur le sexe, c’est tout tranquillement que je déclare être solo sexuel, et que je me branle sans retenue chaque jour des heures durant.
Depuis longtemps, je suis accro à la branle.
Je ne peux pas passer une journée sans me branler au minimum une heure, le plus souvent deux ou trois.
Alors, à chaque fois que j’avais une nouvelle copine, je lui déclarais mon addiction.
Mais même en expliquant que la masturbation est une activité différente de la baise, pas concurrente, mais complémentaire, beaucoup m’ont quitté.
Tant pis !
Mentir, me branler en cachette ?
Jamais !!!
Malgré tout, j’ai eu des partenaires, dont une, qui devint ma femme.
La masturbation fait aussi partie de sa vie sexuelle et comme moi, elle aime se montrer pendant qu’elle se masturbe.
Elle aime tout autant voir son mec se masturber, et comble de chance, adore branler une bite.
Mais pour autant je n’ai arrêté mon activité favorite.
Je me branle énormément…
Je l’assume, n’éprouve aucune gêne ou honte à le dire.
J’en suis même plutôt fier.
Et je me sens totalement épanoui sexuellement !
Je n’ai jamais considéré la masturbation comme une activité honteuse ou maladive, encore moins comme une perversion.
Adolescent, je me montrais en train de me branler.
Jeune adulte, je rééditais l’expérience.
Ces deux épisodes de ma vie ont fait de moi une personne totalement dénuée de pudeur.
Je n’ai aucun problème à être entièrement nu devant d’autres personnes, dès lors qu’elles sont averties et n’en sont pas choquées.
Peu importe que je connaisse ces personnes, qu’elles soient habillées ou nues.
Il en va de même pour la branle.
Peu m’importe qu’on me voie ou me regarde, je prends plaisir à me branler pour qui apprécie le spectacle.
Et quand une discussion dérive sur le sexe, c’est tout tranquillement que je déclare être solo sexuel, et que je me branle sans retenue chaque jour des heures durant.
Depuis longtemps, je suis accro à la branle.
Je ne peux pas passer une journée sans me branler au minimum une heure, le plus souvent deux ou trois.
Alors, à chaque fois que j’avais une nouvelle copine, je lui déclarais mon addiction.
Mais même en expliquant que la masturbation est une activité différente de la baise, pas concurrente, mais complémentaire, beaucoup m’ont quitté.
Tant pis !
Mentir, me branler en cachette ?
Jamais !!!
Malgré tout, j’ai eu des partenaires, dont une, qui devint ma femme.
La masturbation fait aussi partie de sa vie sexuelle et comme moi, elle aime se montrer pendant qu’elle se masturbe.
Elle aime tout autant voir son mec se masturber, et comble de chance, adore branler une bite.
Mais pour autant je n’ai arrêté mon activité favorite.
Je me branle énormément…
Je l’assume, n’éprouve aucune gêne ou honte à le dire.
J’en suis même plutôt fier.
Et je me sens totalement épanoui sexuellement !
3 年 前