En quelques mois seulement !
Il m'est arrivé cette histoire avant-hier soir lundi, au Mont-Boron...
Je me stationne au pied du Fort vers 19h, il fait déjà nuit mais avec de la Lune. Je fais le tour des lieux mais personne, alors je descends le long du Chemin du Fort vers la fontaine, au moins ça me réchauffe...
Je croise quelques personnes dans leur voiture, tourne un peu mais personne ne sort, je me demande pourquoi ces gens sont là, mais bon. Je remonte le chemin pour revenir au fort, plusieurs voitures me passent en montant au fort. Un peu avant le fort, une des voitures repart, me croise. Je me retourne pour la voir s'éloigner. Je la vois ralentir puis se ranger 50m plus bas sur une des quelques places qu'il y a sur l'accotement...
Je me dis pourquoi pas, alors je redescends le chemin...
Je vois son conducteur descendre, hésiter, regarder puis traverser la route pour s'enfoncer dans le sous-bois. J'arrive à l'endroit puis prends le même chemin dans la pénombre. J'entends tousser, je continue et aperçois sa silhouette sous un arbre grâce à la clarté de son pantalon blanc...
Je m'approche sans rien dire, nos intentions réciproques sont évidentes...
Je vois maintenant qu'il a sorti sa queue, ça tombe bien, je suis là pour bouffer des queues. Je mets alors mes 2 genoux à terre à la hauteur de sa bite et la prends pleine bouche. Elle ne tarde pas à passer de l'état de guimauve à une belle bite, dure et recourbée comme un hameçon. Son gland est bien gonflé et je le suce comme une chupa chup. Je la lèche sur sa longueur en le regardant, il apprécie si je me fie aux insultes qu'il me profère.
J'alterne sa queue avec ses couilles, l'une comme les autres sont bien propres et sentent sa peau. En relevant les yeux je distingue son embonpoint. Alors pendant que je le lèche de partout je lui caresse d'une main son ventre jusqu'à ses tétons. Ma bouche de suceuse fait des bruits de ventouse qui attisent son excitation...
Pendant que je suis en train de lui bouffer ses couilles rasées à pleine bouche, je sens qu'il me tire par les cheveux de derrière. Il me fait relâcher ses couilles et me fait le regarder. Je vois que c'est finalement un autre homme qui me tient pas les cheveux et qui se tient tout à côté...
De sa main assurée, il me fourre sa bite qui est déjà bien dure, toute droite en comparaison du premier homme. Il est plus vindicatif, autoritaire que le premier...
J'aime ça...
Il me pilonne la bouche alors que l'autre était plus doux...
J'adore ça...
De façon récurrente, il m'enfonce son gland tout au fond, lui aussi n'est pas avare d'insultes. Je saisis l'opportunité des quelques secondes de répit que sa queue m'offre pour respirer pour retourner sucer le premier. Et alterne comme ça quelques cycles.
Le second me fait bouffer ses couilles, celles-ci sont beaucoup moins propres, je dirais même crades. Je le sens à ma langue et à mon nez que sa main maintient dans son aine. Ses couilles sont poilues au contraire du premier qui les a rasées de près. Un goût acide, une odeur âcre. Pour la raison de cet état, j'hésite entre un manque d'hygiène et une journée de travail bien remplie. J'opte rationnellement pour cette dernière option, mais franchement la première n'est pas pour me déplaire non plus...
Le second me tient toujours par les cheveux et me fait lever la tête régulièrement pour m'invectiver. Il n'hésite pas maintenant à me cracher à la gueule, et plusieurs fois. Je le supplie de me faire bouffer sa queue et ses couilles. Lui dit que je veux sa jute, que je ne vis que pour ça. Il se met alors à alterner viol de ma bouche, nettoyage de ses couilles, crachat sur ma figure, à alterner tout ça, dis-je, avec une branlette sur ma joue...
Je sens qu'il arrive au sommet de son excitation...
Au moment où il commence à jouir, il m'enfourne sa queue turgescente dans ma bouche pour bien le féconder. Puis il sort sa queue pour faire gicler les derniers jets sur ma gueule et m'ordonner de nettoyer sa queue. Je gobe alors sa queue pour aspirer les derniers sursauts de son foutre...
Je parcours alors avec ma langue son gland pour me délecter de la moindre goûte. Sans rien dire si ce n'est des insultes infâmes, il me rebranche avec sa main sur la queue du premier et s'en va...
Je constate que mon premier n'en a pas lâché une miette car il a dû se branler en admirant le spectacle du viol de ma bouche. Sa queue est dure comme que l'ai quittée. Ma bouche est chaude maintenant...
Il ne tarde pas lui aussi à plâtrer le plafond de ma bouche de son sperme. J'avale tout, jet après jet que je sens libéré de ses couilles. J'apprécie le nectar de ses couilles à lui aussi. Excitation à son comble ce soir, sa queue reste dure malgré la poignée de plaisirs qu'elle a libérée. Alors je le suce, je sens que son gland est devenu hyper sensible alors j'essaie de ne lui appliquer que mes lèvres...
Ça dure plusieurs minutes...
La bite de ce cochon ne désemplit pas, alors je profite de cette superbe queue au goût délicieusement foutré. Après ces minutes,je décide de mettre fin à l'exercice, j'arrête de le sucer en lui tenant les couilles dans ma main...
Je le complimente et remercie pour ce moment...
Il me dit qu'il n'a jamais autant apprécié une pipe, l'excitation du trio certainement. Je le laisse prendre congé, moi je suis vidée à avoir bouffer des queues, des couilles et des foutres pendant presque 30 minutes. Surtout mes jambes, je mets quelques secondes à sortir de l’ankylose pour me lever. Je sens le biceps et triceps de mes bras, j'aurai certainement une courbature le lendemain, me dis-je...
Je profite d'aller à la fontaine pas loin en contrebas du chemin pour recouvrer mes esprits. En marchant, je constate que je n'ai plus froid. Au contraire, il fait bon, très bon...
Je profite de ma marche pour déguster les restes de sperme dispersés un peu partout sur mon visage. Et je me rends compte que je n'ai pas vu les hommes que j'ai sucés. Dans le noir, j'ai cru deviner des hommes typés, mais étaient-ils rouges, verts, blancs, jaunes ou noirs ? Je ne sais pas...
Finalement, je fais un brin de toilette buccale et faciale. Je prends une belle gorgée de cette eau froide et me gargarise de tout ce sperme plaqué au fond de ma gorge.
Je reprends la direction du fort, remonte dans ma voiture. Je pars...
En descendant le chemin au volant, je réalise à quel point l'habitacle sent le foutre. Je suis vraiment une belle salope. J'espère seulement que ma femme ne s'en rendra pas compte...
Et c'est là que je réalise que je suis devenue une vraie pute à jus...
En quelques mois seulement !
Je me stationne au pied du Fort vers 19h, il fait déjà nuit mais avec de la Lune. Je fais le tour des lieux mais personne, alors je descends le long du Chemin du Fort vers la fontaine, au moins ça me réchauffe...
Je croise quelques personnes dans leur voiture, tourne un peu mais personne ne sort, je me demande pourquoi ces gens sont là, mais bon. Je remonte le chemin pour revenir au fort, plusieurs voitures me passent en montant au fort. Un peu avant le fort, une des voitures repart, me croise. Je me retourne pour la voir s'éloigner. Je la vois ralentir puis se ranger 50m plus bas sur une des quelques places qu'il y a sur l'accotement...
Je me dis pourquoi pas, alors je redescends le chemin...
Je vois son conducteur descendre, hésiter, regarder puis traverser la route pour s'enfoncer dans le sous-bois. J'arrive à l'endroit puis prends le même chemin dans la pénombre. J'entends tousser, je continue et aperçois sa silhouette sous un arbre grâce à la clarté de son pantalon blanc...
Je m'approche sans rien dire, nos intentions réciproques sont évidentes...
Je vois maintenant qu'il a sorti sa queue, ça tombe bien, je suis là pour bouffer des queues. Je mets alors mes 2 genoux à terre à la hauteur de sa bite et la prends pleine bouche. Elle ne tarde pas à passer de l'état de guimauve à une belle bite, dure et recourbée comme un hameçon. Son gland est bien gonflé et je le suce comme une chupa chup. Je la lèche sur sa longueur en le regardant, il apprécie si je me fie aux insultes qu'il me profère.
J'alterne sa queue avec ses couilles, l'une comme les autres sont bien propres et sentent sa peau. En relevant les yeux je distingue son embonpoint. Alors pendant que je le lèche de partout je lui caresse d'une main son ventre jusqu'à ses tétons. Ma bouche de suceuse fait des bruits de ventouse qui attisent son excitation...
Pendant que je suis en train de lui bouffer ses couilles rasées à pleine bouche, je sens qu'il me tire par les cheveux de derrière. Il me fait relâcher ses couilles et me fait le regarder. Je vois que c'est finalement un autre homme qui me tient pas les cheveux et qui se tient tout à côté...
De sa main assurée, il me fourre sa bite qui est déjà bien dure, toute droite en comparaison du premier homme. Il est plus vindicatif, autoritaire que le premier...
J'aime ça...
Il me pilonne la bouche alors que l'autre était plus doux...
J'adore ça...
De façon récurrente, il m'enfonce son gland tout au fond, lui aussi n'est pas avare d'insultes. Je saisis l'opportunité des quelques secondes de répit que sa queue m'offre pour respirer pour retourner sucer le premier. Et alterne comme ça quelques cycles.
Le second me fait bouffer ses couilles, celles-ci sont beaucoup moins propres, je dirais même crades. Je le sens à ma langue et à mon nez que sa main maintient dans son aine. Ses couilles sont poilues au contraire du premier qui les a rasées de près. Un goût acide, une odeur âcre. Pour la raison de cet état, j'hésite entre un manque d'hygiène et une journée de travail bien remplie. J'opte rationnellement pour cette dernière option, mais franchement la première n'est pas pour me déplaire non plus...
Le second me tient toujours par les cheveux et me fait lever la tête régulièrement pour m'invectiver. Il n'hésite pas maintenant à me cracher à la gueule, et plusieurs fois. Je le supplie de me faire bouffer sa queue et ses couilles. Lui dit que je veux sa jute, que je ne vis que pour ça. Il se met alors à alterner viol de ma bouche, nettoyage de ses couilles, crachat sur ma figure, à alterner tout ça, dis-je, avec une branlette sur ma joue...
Je sens qu'il arrive au sommet de son excitation...
Au moment où il commence à jouir, il m'enfourne sa queue turgescente dans ma bouche pour bien le féconder. Puis il sort sa queue pour faire gicler les derniers jets sur ma gueule et m'ordonner de nettoyer sa queue. Je gobe alors sa queue pour aspirer les derniers sursauts de son foutre...
Je parcours alors avec ma langue son gland pour me délecter de la moindre goûte. Sans rien dire si ce n'est des insultes infâmes, il me rebranche avec sa main sur la queue du premier et s'en va...
Je constate que mon premier n'en a pas lâché une miette car il a dû se branler en admirant le spectacle du viol de ma bouche. Sa queue est dure comme que l'ai quittée. Ma bouche est chaude maintenant...
Il ne tarde pas lui aussi à plâtrer le plafond de ma bouche de son sperme. J'avale tout, jet après jet que je sens libéré de ses couilles. J'apprécie le nectar de ses couilles à lui aussi. Excitation à son comble ce soir, sa queue reste dure malgré la poignée de plaisirs qu'elle a libérée. Alors je le suce, je sens que son gland est devenu hyper sensible alors j'essaie de ne lui appliquer que mes lèvres...
Ça dure plusieurs minutes...
La bite de ce cochon ne désemplit pas, alors je profite de cette superbe queue au goût délicieusement foutré. Après ces minutes,je décide de mettre fin à l'exercice, j'arrête de le sucer en lui tenant les couilles dans ma main...
Je le complimente et remercie pour ce moment...
Il me dit qu'il n'a jamais autant apprécié une pipe, l'excitation du trio certainement. Je le laisse prendre congé, moi je suis vidée à avoir bouffer des queues, des couilles et des foutres pendant presque 30 minutes. Surtout mes jambes, je mets quelques secondes à sortir de l’ankylose pour me lever. Je sens le biceps et triceps de mes bras, j'aurai certainement une courbature le lendemain, me dis-je...
Je profite d'aller à la fontaine pas loin en contrebas du chemin pour recouvrer mes esprits. En marchant, je constate que je n'ai plus froid. Au contraire, il fait bon, très bon...
Je profite de ma marche pour déguster les restes de sperme dispersés un peu partout sur mon visage. Et je me rends compte que je n'ai pas vu les hommes que j'ai sucés. Dans le noir, j'ai cru deviner des hommes typés, mais étaient-ils rouges, verts, blancs, jaunes ou noirs ? Je ne sais pas...
Finalement, je fais un brin de toilette buccale et faciale. Je prends une belle gorgée de cette eau froide et me gargarise de tout ce sperme plaqué au fond de ma gorge.
Je reprends la direction du fort, remonte dans ma voiture. Je pars...
En descendant le chemin au volant, je réalise à quel point l'habitacle sent le foutre. Je suis vraiment une belle salope. J'espère seulement que ma femme ne s'en rendra pas compte...
Et c'est là que je réalise que je suis devenue une vraie pute à jus...
En quelques mois seulement !
3 年 前