SAbine07 30-4
Un soir, en rentrant du Lycée, Gérard me fait venir chez lui et m’informe que Louis lui a donné la date de ma première leçon de conduit Ce sera dans deux jours, le samedi matin à 10h… Chouette, je suis très contente, Gérard aussi et après un petit moment d’échange, je monte l’annoncer à ma mère.
Elle est ravie, et comme moi, elle se languie ma première leçon…
Le samedi en question arrive assez vite. Je suis un peu en avance à l’auto-école et j’attends Louis pour ma leçon. Quand il arrive, il m’interpelle comme si je ne le connaissais pas beaucoup et nous partons à la voiture. Comme je n’ai jamais conduit, il m’explique que l’on va d’abord faire un peu de manœuvres sur le parking. Oui, volontiers.
Les premiers démarrages sont laborieux, faire patiner l’embrayage n’est pas chose facile… Mais, petit à petit, je m’habitue et nous finissons par sortir du parking et rouler… Là aussi, ce n’est pas si évident au départ, mais je me concentre, encore que la méthode à Gérard me manque, et je fais de mon mieux. Nous allons vers Fons, un village à la sortie d’Aubenas, sur la route d’Alès. La route est étroite ici, je dois faire attention, surtout en croisant d’autres voitures, mais je commence à prendre confiance en moi.
Nous traversons le village et Louis me dit de me diriger vers une petite route qui traverse la forêt. Nous roulons encore un peu, puis, il me dit de prendre un chemin sur la droite et de me garer un peu plus loin. Là, il me dit que je commence à me débrouiller, que c’est bien et me demande de sortir de la voiture un moment… Je m’exécute et il me dit de venir de son côté… Quand j’y arrive, il a les jambes hors de la voiture et sa queue est sortie…
« Tu vas être une fille bien sage et venir me sucer pour me remercier » m’explique-t-il… Il n’était pas nécessaire de me dire ça, je savais très bien à quoi m’en tenir… Je m’agenouille devant lui et avale sa queue… Ma langue commence un ballet autour de son gland et très rapidement, sa queue grossit dans ma bouche… J’adore cette sensation dans ma bouche, je trouve ça excitant de la sentir grossir sous ma langue… Je coulisse sur ce membre bien raide maintenant et Louis commence à soupirer… « Ah putain, tu suces bien petite salope, continue » me dit-il en appuyant sur ma tête… Je fais de mon mieux, ma bouche monte et descend, ma langue titille le gland, Louis est très excité, il commence à respirer très fort… je crois qu’il avait drôlement envie de baiser… Encore quelques va et vient de ma tête et Louis m’enfonce sa queue loin dans ma bouche et crache son jus bien chaud en grognant… J’avale sa liqueur avec plaisir, il y en a beaucoup, c’est bon… Quand sa queue ne crache plus rien, je la garde en bouche pour bien tout récupérer… Ma langue se fait douce et je nettoie bien toute sa longueur, pour qu’elle soit bien propre… Elle ramollit un peu, puis alors que je ne m’y attends pas, elle grossit de nouveau… Wow, Louis avait une grosse envie… Je continue donc à le sucer… « Putain, salope, tu m’as fait bien jouir et tu suces tellement bien que j’ai encore envie de te baiser, mais on n’a plus le temps, reviens au volant, il faut partir » me dit-il…
Alors que je démarre, il me dit « on s’organisera autrement la prochaine fois, tu viendras pour deux heures d’affilées, comme ça on aura le temps, et tu prendras tes affaires de fille »… Wow, je vais pouvoir conduire en fille, le rêve… Je n’imaginais pas ça en venant ce matin… « Et tu mettras un de tes trucs dans ton cul, que tu sois prête à te faire baiser quand j’aurai envie » ajoute-t-il… Si ça lui fait plaisir, avec joie…
Nous revenons vers Aubenas, Louis à l’air apaisé, moi je suis contente… Quand je me gare au parking, il me dit « bon, j’ai réfléchi un peu, tu viendras deux fois par semaine, le mercredi après-midi à 14h et le samedi matin à 10h, pour deux heures à chaque fois »… Je suis ravie et je le quitte l’esprit joyeux.
De retour à la maison, j’explique à ma mère tout ce que j’ai fait, enfin sans l’arrêt dans le bois, elle est ravie. Puis, je file chez Gérard lui raconter mon aventure. Il semble aussi impatient de l’entendre que moi de la raconter… Je lui explique dans le détail tout ce qui s’est passé, mes difficultés au début avec l’embrayage, la route et l’arrêt dans le bois. La séance dans le bois lui plait beaucoup et il me dit qu’il comprend que Louis préfère que je vienne en fille… Moi aussi, j’adore l’idée… Conduire en fille avec des talons, le rêve… Toute à mes pensées, je ne remarque pas tout de suite que Gérard se lève. « Je suis invité à déjeuner, il faut que j’y aille » me dit-il. « Si tu veux, demain on va faire un tour en voiture, je te ferai conduire un peu, on emporte un pique-nique »… « Prends des affaires dans un sac, comme ça tu t’habitueras à conduire en fille, on se retrouve vers 10h » ajoute-t-il. Je suis d’accord et je le laisse partir.
De retour chez moi, je passe l’après-midi à songer à tout ce que je pourrai faire avec le permis… Et je me languie demain pour conduire encore avec Gérard, en fille en plus, ça va être génial… J’en profite pour préparer aussi mes affaires, ce sera fait…
Le lendemain matin, je suis impatiente. Ma mère s’en rend compte, je tourne en rond prête à partir. J’ai tout bien préparé, mis un plug bien lubrifié dans ma rondelle, préparé le pique-nique, je regrette juste de ne pas pouvoir partir en fille… L’heure arrive enfin et je file, ma mère me dit encore « pense à remercier Gérard, tout ce qu’il fait pour toi c’est vraiment gentil »… « Oui maman, je serai reconnaissante et je ferai tout pour le remercier » dis-je en souriant… Heureusement, elle ne se doute pas de tout ce que je fais pour ça…
J’arrive chez Gérard, il m’attendait. Il prend ses affaires et nous partons. A la voiture, il me dit « je conduis pour l’instant, pour sortir de la ville, puis je te laisserai le volant »… Super, on range nos affaires et on file. Nous partons en direction d’Alès. Après l’aérodrome, Gérard prend une petite route à gauche et se gare. J’en profite pour me changer, sous les yeux intéressés de mon amant. J’ai choisi une robe blanche courte à bretelles, des bas blancs, des mules blanches et je mets les suceurs, je sais que Gérard aime voir mes pointes se dresser… Il m’observe avec attention lorsque je les positionne, mes pointes sont instantanément aspirées et grossissent à vue d’œil… Je rajoute quelques bijoux, bagues, collier, bracelet, boucles d’oreille et un bracelet de cheville… Un peu de maquillage et voilà, je suis prête,.. Gérard me fiat tourner devant lui, il me trouve très féminine, je suis contente…
Je prends le volant, je m’installe, règle le siège, les rétros et nous partons. Bien sûr, j’ai un peu de mal avec l’embrayage au début, mais je m’y fais vite et Gérard me conseille avec douceur, ça m’aide à me décontracter… Le fait de conduire ainsi, en femme, me donne un sentiment de liberté exceptionnel. Je me crois la femme que j’aimerai être, sans contrainte ni entrave, le rêve… Comme dit ma mère, je remercierai Gérard pour cette gentille attention qui mèle mes besoins de permis et ma féminité… Nous roulons prudemment et au carrefour qui va vers les Vans, il me fait bifurquer dans cette direction. La route est belle, il y a de beaux virages et je me concentre sur ma conduite. Arrivés aux Vans, Gérard me dit que nous allons faire un pause, qu’il ne faut pas trop en faire d’un coup. C’est jour de marché ici, il y a plein de monde. Je dois faire attention car on roule au pas et difficile de trouver à se garer. Nous trouvons finalement une place mais je me gare mal et c’est Gérard qui finira la manœuvre, pas la peine que j’abime sa voiture. Il me propose d’aller boire un coup, j’accepte volontiers et au moment d’y aller, il me dit « pas si vite, viens ici, on va changer de plug »… Il sort de mes affaires le plug conique qui dépasse, le lubrifie, retire le petit et me glisse l’autre dans la rondelle… Hummm, c’est délicieux… « Voilà, tu es prête, on peut y aller » ajoute-t-il en me claquant les fesses…
Ainsi équipée, nous avançons vers le centre-ville, le plug me chauffe doucement le cul en marchant, quel délice… Il y a vraiment beaucoup de monde et nous marchons au milieu des passants, moi en fille, avec un gros plug qui dépasse dans la rondelle, mais je me sens étrangement bien… Mes suceurs me font une toute petite poitrine mais qui tend le tissus de ma robe, ça me va… Gérard marche derrière moi, et, de temps en temps, soulève un peu ma robe, le coquin… En passant devant une boutique à la vitrine très réfléchissante, j’admire ma silhouette, que je trouve très féminine… Nous faisons le tour de la place centrale en regardant les étals, puis, Gérard me montre un bar et nous allons nous y installer.
Je dois faire attention avec le plug, je dois m’asseoir sur une fesse. Nous commandons et Gérard me félicite sur ma conduite, me dit que c’est très bien pour une première, que je suis douée… « Pas que pour ça d’ailleurs » ajoute-t-il en riant… Nous restons un petit moment au bar, à regarder les passants en blaguant de tout et de rien. Je change souvent de position, d’une fesse à l’autre, sinon je fatigue… Gérard se lève et me dit « je reviens »… Je pense qu’il s’absente pour aller aux toilettes et j’attends tranquillement son retour. Il n’est pas long et quand il revient, il me dit « tu es merveilleuse comme ça, assise sur une fesse, on voit bien ton cul et un peu le plug qui dépasse » me dit-il en souriant… Je suis heureuse que ça lui plaise, moi je me sens bien ainsi… « Cela plait aussi beaucoup au monsieur qui est deux tables plus loin et qui ne mate que ton cul » ajoute-t-il en riant plus fort… Ah, oui, bien sûr,.. « J’espère que je ne le choque pas » dis-je en souriant… « Je ne crois pas du tout qu’il soit choqué » me précise Gérard… Je vois une lueur malicieuse passer dans ses yeux, qu’est-ce qu’il a en tête ?... Nous finissons nos verres et il me dit « allez, un dernier petit tour au marché et on repart ». Pas de souci, je me lève et en rangeant ma chaise, je me tourne et aperçoit l’homme dont parle Gérard, en effet, il me mate… J’en suis fière en fait…
Nous quittons le bar et nous dirigeons vers le centre-ville piéton, dans les petites ruelles entre les maisons. Là aussi, il y a beaucoup de monde et de commerçants. Gérard se rapproche de moi par derrière, m’enlace par la taille et me chuchote « le gars nous a suivi, je vais t’arranger un peu, il faut qu’il profite de la vue »… L’air de rien, il remonte légèrement ma robe et je pense qu’il s’est arrangé pour que le plug dépasse un peu, le coquin… Mais bon, si ça lui fait plaisir, je dois bien, comme l’a dit ma mère, être gentille avec lui… En plus, au milieu de cette foule compacte, il est difficile de s’attarder sur les autres… Le bruit de mes talons claque sur les pavés, je pense au plug qui doit se voir derrière moi et ça m’amuse… En marchant, je sens aussi le bord de ma robe qui frotte doucement contre mon clito, j’en déduis qu’il l’a tellement remontée que ça doit dépasser aussi devant… J’ai un peu d’hésitation, puis je me dis que si ça lui fait plaisir, je n’ai pas le droit de le refuser… Je continue donc à marcher ainsi, l’air de rien… Je fais tout de même attention au regard des gens que je croise, pour voir s’ils portent attention à ce qui dépasse devant moi… Je ne remarque rien de particulier, du coup je me laisse aller et fait comme si de rien n’était… Nous arrivons vers une placette avec un fontaine au milieu… L’air de rien, je pivote pour me tourner vers Gérard, et je m’aperçois qu’il n’est pas juste derrière moi, mais un peu décalé, ce qui permet au gars du bar, un peu plus loin, de ne rien perdre de la scène… Ok, je peux faire mieux… Approchant de la fontaine, je m’y arrête, et sans rien dire, me penche énormément en avant pour regarder à l’intérieur du bassin… Ce faisant, me robe glisse sur mes fesses, au moins à moitié, je pense, ce qui laisse une vue imprenable sur ma raie et ce qui est fiché dedans… Cela devrait enlever toutes ambiguïtés sur la nature de ce que je porte et son utilité… Tandis que je reste un petit moment penchée ainsi, Gérard me rejoint de côté et me glisse doucement « tu es une belle petite salope, j’adore »… Enhardie par son propos, je minaude en tortillant du cul… Puis, tranquille, je me relève et fais demi-tour, croise le regard du gars qui a l’air de s’être bien rincé l’œil, et file vers une ruelle montante, suivi par Gérard… Là, d’autres étals, devant les magasins, montre tout un tas d’objets et je fais celle qui est intéressée en me penchant souvent pour regarder ce qui est au sol… Gérard semble ravi, moi aussi… Nous débouchons sur le trottoir de la rue du Temple, en sens unique, qui entoure la ville… C’est mieux, les voiture sont face à moi… Là, les gens sont plus espacés et je commence à croiser des regards qui louchent vers mon entre-jambes… Je ne m’en offusque pas, je sais que ça plait à Gérard, et moi aussi… Je crois que j’ai pris goût à faire la salope en public… Je me demande, en souriant, ce que donne la vue de dos… Nous revenons vers la place centrale, je m‘observe dans les vitrines, c’est vrai que mon clito dépasse un peu tout de même… Mais ce n’est pas grave, j’assume ma différence… Enfin, tant que les gendarmes ne sont pas là… Nous continuons d’avancer, le gars est toujours derrière nous… Si certains regards sont marqués par la surprise, voire l’étonnement sympa, d’autres sont tout même assez réprobateurs, je n’y prête pas attention… Quand nous partons en direction du parking, sur la route de Villefort, le gars suit toujours… Gérard me rejoint et m’enlace à nouveau par la taille… « Puisqu’on est sorti de la ville et que le gars est toujours là, tu vas assumer petite salope » de dit-il en relevant franchement ma robe au-dessus de mon cul… Ah oui, il veut que j’assume de faire la salope ? Ok, je le regarde et relève aussi la robe devant, dévoilant complètement la taille de mon clito… J’arrête la robe juste au-dessus de mon sexe et je me tourne pour parler à Gérard… « Comme ça, ça va ? » lui dis-je avec mon air le plus salope possible… Le gars derrière nous manque de s’étrangler en me voyant… Gérard éclate de rire et je reprends mon chemin jusqu’à la voiture… J’y vais doucement, qu’il ait le temps de se rincer l’œil… Là, j’attends que Gérard l’ouvre et en me retournant, je le vois en grande discussion avec le gars… Ils me matent tous les deux, d’un peu loin… Du coup, me sachant observée, j’en rajoute et fais le tour de la voiture, fais semblant de regarder la pression des pneus en me penchant outrageusement… Puis, comme ils restent toujours là-bas à discuter, je viens vers eux… Je prends mon temps, marche lentement, tortille du cul, le clito à l’air… Le gars me regarde intensément, et pas dans les yeux… Lorsque j’arrive devant eux, le gars ne sait plus où regarder… Il doit avoir une bonne cinquantaine et un air plutôt charmant… « Voilà, je vous présente, sabine, ma salope exhib » dit Gérard… « Enchanté, vous êtes charmante dans votre troublante féminité » me dit la gars… Ah, un amateur de mon genre, c’est chouette… « J’ai pu admirer au bar votre silhouette rempli, me semblait-il » ajoute-t-il… « A partir de la fontaine, quel spectacle, bravo, j’aime beaucoup ce que vous faites sous les yeux de votre amant »… J’acquiesce d’un signe de tête tandis qu’il continue « vous promener à peine vêtue en ville un jour de marché, avec votre intimité, des deux côtés, légèrement visible par tous, quel audace, je suis content d’être venu au marché ce matin »…C’est tellement beau que pour un peu j’en rougirai… « Oui, elle aime se montre cette petite salope, et moi j’aime qu’elle le fasse » ajoute Gérard… Je suis heureuse comme jamais, entendre Gérard dire qu’il apprécie ce que je fais me comble d’aise…
C’est le gars qui me sort de ma douce torpeur « et vous allez où comme ça ? » demande-t-il… Je regarde Gérard, car moi je n’en sais rien… « Nous projetons d’aller pique-niquer quelque part, dans un coin sympa » répond Gérard… « Ah, vous tombez bien, je connais un endroit sympa à quelques kilomètres d’ici, au bord d’une rivière, je vous montre si vous voulez » propose le gars… Gérard me regarde et dit « oui, pourquoi pas, on vous suit »…
« J’ai juste un courrier à mettre à la poste et je suis à vous, ce ne sera pas long » précise le gars. En effet, la poste est juste en face de nous de l’autre côté de la route… Gérard reprend en me regardant « Sabine va y aller pour vous, elle doit bien ça comme spectacle à un admirateur »… Ah oui, et bien s’il croit que je vais me dégonfler, il se trompe… Je prends l’enveloppe du gars et me dirige vers la poste… Je dois d’abord traverser le parking, peu encombré, avant de traverser la route et de poster la lettre. Je marche d’un pas tranquille, pour qu’ils profitent bien de la vue… J’en oublie presque, au moment de traverser la route, que j’ai le clito et le cul à l’air… Dans un mouvement réflexe, je cherche à rabaisser ma robe, un coup de sifflet me fait sursauter… Je tourne la tête et je vois Gérard qui me fait un signe négatif… Ah la vache, je ne dois pas la baisser, le salaud… Un peu à contrecœur, je laisse ma robe ainsi et je m’approche du bord de la route… La pression augmente, se balader avec le clito et le plug qui dépasse légèrement, au milieu d’une foule qui ne peut pas voir loin, c’est une chose, mais traverser la route bien dégagée le cul à l’air c’en est une autre… Je ne sais plus comment faire… Mais je ne veux pas passer pour une salope qui n’assume pas… Aussi, prenant mon courage à deux mains, je me lance… J’aborde la route sans trop regarder à côté, juste à gauche pour ne pas me faire écraser… La voie est libre, je traverse… C’est à ce moment, que je vois arriver une voiture à droite, cela me perturbe mais je sais que Gérard et le gars regardent attentivement… J’ai un peu la trouille mais je traverse sans rien dire… Je remarque du coin de l’œil que la voiture ralentit… Je fais celle qui ne remarque rien, mais les occupants me regardent abasourdis… Je finis de traverser alors que les occupants de la voiture ont une vue imprenable sur mon cul et le plug qui dépasse… Enfin, déjà je ne suis plus sur la route… Je tourne vers la poste et marche le plus tranquillement possible… Heureusement, il n’y a personne… J’arrive soulagée à la boite aux lettres, y introduit le courrier et fait demi-tour… C’est en repartant, que je croise deux gars, dans la trentaine, façon baba-cool, qui me regardent éberlués… Ils n’en reviennent pas de me voir ainsi, une silhouette féminine avec un trop gros clito qui pendouille… Quand j’arrive à leur hauteur, je fais la fière mais je ne sais plus où me mettre… « Putain, regarde là celle-là, elle se promène le cul à l’air » dit l’un d’eux… « Enfin, le cul, c’est plutôt la bite en avant » reprend l’autre… « Oui, et pas vraiment une femme non plus » se marrent-ils… Ils me barrent la route et m’interpellent « alors lopette, on fait sa gonzesse en plein jour la bite à l’air, salope »… Je ne sais pas quoi répondre, j’ai le cerveau vide… je fais mine de vouloir passer quand même, mais ils me tiennent par les bras… Je réussi à dire « laissez-moi, je suis attendue »… « Ah ben ça c’est sûr, on t’attendait salope » me répond le gars de gauche… L’autre en profite pour regarder mon cul et découvre le plug « oh putain, elle a un truc dans le cul cette salope »… Le premier vérifie à son tour, et constate le fait… « Ah la vache, mais c’est vrai, alors toi t’es une belle petite pute pour oser te promener comme ça en plein jour » dit-il… Je cherche des yeux Gérard, je le vois qui me regarde avec attention… Puis, il s’élance en courant dans notre direction… Je suis terriblement soulagée et les gars comprennent à mon expression que quelque chose change… Ils suivent mon regard et voient Gérard arriver en trombe, l’air mauvais… Cela doit leur faire une drôle d’impression car ils me lâchent d’un coup et s’écartent un peu… Gérard arrive l’air très menaçant « c’est quoi votre problème » lâche-t-il haineux… « On n’en a pas, on était juste surpris de voir cette sa.., cette nana, presque à poil mais on ne veut pas d’histoire » répond celui de gauche… « Et ben il vaut mieux parce que c’est ma copine et j’aime pas qu’on l’embête » réplique sèchement Gérard… Les deux gars se barrent sans rien dire… Gérard me prend par le bras et me ramène à la voiture… Des passants, au loin, observent la scène, mais personne ne dira rien jusqu’à ce que nous soyons à la voiture…
A suivre, si vous avez aimé…
N’hésitez pas à me laisser un commentaire et un like…
Sabine 07
Elle est ravie, et comme moi, elle se languie ma première leçon…
Le samedi en question arrive assez vite. Je suis un peu en avance à l’auto-école et j’attends Louis pour ma leçon. Quand il arrive, il m’interpelle comme si je ne le connaissais pas beaucoup et nous partons à la voiture. Comme je n’ai jamais conduit, il m’explique que l’on va d’abord faire un peu de manœuvres sur le parking. Oui, volontiers.
Les premiers démarrages sont laborieux, faire patiner l’embrayage n’est pas chose facile… Mais, petit à petit, je m’habitue et nous finissons par sortir du parking et rouler… Là aussi, ce n’est pas si évident au départ, mais je me concentre, encore que la méthode à Gérard me manque, et je fais de mon mieux. Nous allons vers Fons, un village à la sortie d’Aubenas, sur la route d’Alès. La route est étroite ici, je dois faire attention, surtout en croisant d’autres voitures, mais je commence à prendre confiance en moi.
Nous traversons le village et Louis me dit de me diriger vers une petite route qui traverse la forêt. Nous roulons encore un peu, puis, il me dit de prendre un chemin sur la droite et de me garer un peu plus loin. Là, il me dit que je commence à me débrouiller, que c’est bien et me demande de sortir de la voiture un moment… Je m’exécute et il me dit de venir de son côté… Quand j’y arrive, il a les jambes hors de la voiture et sa queue est sortie…
« Tu vas être une fille bien sage et venir me sucer pour me remercier » m’explique-t-il… Il n’était pas nécessaire de me dire ça, je savais très bien à quoi m’en tenir… Je m’agenouille devant lui et avale sa queue… Ma langue commence un ballet autour de son gland et très rapidement, sa queue grossit dans ma bouche… J’adore cette sensation dans ma bouche, je trouve ça excitant de la sentir grossir sous ma langue… Je coulisse sur ce membre bien raide maintenant et Louis commence à soupirer… « Ah putain, tu suces bien petite salope, continue » me dit-il en appuyant sur ma tête… Je fais de mon mieux, ma bouche monte et descend, ma langue titille le gland, Louis est très excité, il commence à respirer très fort… je crois qu’il avait drôlement envie de baiser… Encore quelques va et vient de ma tête et Louis m’enfonce sa queue loin dans ma bouche et crache son jus bien chaud en grognant… J’avale sa liqueur avec plaisir, il y en a beaucoup, c’est bon… Quand sa queue ne crache plus rien, je la garde en bouche pour bien tout récupérer… Ma langue se fait douce et je nettoie bien toute sa longueur, pour qu’elle soit bien propre… Elle ramollit un peu, puis alors que je ne m’y attends pas, elle grossit de nouveau… Wow, Louis avait une grosse envie… Je continue donc à le sucer… « Putain, salope, tu m’as fait bien jouir et tu suces tellement bien que j’ai encore envie de te baiser, mais on n’a plus le temps, reviens au volant, il faut partir » me dit-il…
Alors que je démarre, il me dit « on s’organisera autrement la prochaine fois, tu viendras pour deux heures d’affilées, comme ça on aura le temps, et tu prendras tes affaires de fille »… Wow, je vais pouvoir conduire en fille, le rêve… Je n’imaginais pas ça en venant ce matin… « Et tu mettras un de tes trucs dans ton cul, que tu sois prête à te faire baiser quand j’aurai envie » ajoute-t-il… Si ça lui fait plaisir, avec joie…
Nous revenons vers Aubenas, Louis à l’air apaisé, moi je suis contente… Quand je me gare au parking, il me dit « bon, j’ai réfléchi un peu, tu viendras deux fois par semaine, le mercredi après-midi à 14h et le samedi matin à 10h, pour deux heures à chaque fois »… Je suis ravie et je le quitte l’esprit joyeux.
De retour à la maison, j’explique à ma mère tout ce que j’ai fait, enfin sans l’arrêt dans le bois, elle est ravie. Puis, je file chez Gérard lui raconter mon aventure. Il semble aussi impatient de l’entendre que moi de la raconter… Je lui explique dans le détail tout ce qui s’est passé, mes difficultés au début avec l’embrayage, la route et l’arrêt dans le bois. La séance dans le bois lui plait beaucoup et il me dit qu’il comprend que Louis préfère que je vienne en fille… Moi aussi, j’adore l’idée… Conduire en fille avec des talons, le rêve… Toute à mes pensées, je ne remarque pas tout de suite que Gérard se lève. « Je suis invité à déjeuner, il faut que j’y aille » me dit-il. « Si tu veux, demain on va faire un tour en voiture, je te ferai conduire un peu, on emporte un pique-nique »… « Prends des affaires dans un sac, comme ça tu t’habitueras à conduire en fille, on se retrouve vers 10h » ajoute-t-il. Je suis d’accord et je le laisse partir.
De retour chez moi, je passe l’après-midi à songer à tout ce que je pourrai faire avec le permis… Et je me languie demain pour conduire encore avec Gérard, en fille en plus, ça va être génial… J’en profite pour préparer aussi mes affaires, ce sera fait…
Le lendemain matin, je suis impatiente. Ma mère s’en rend compte, je tourne en rond prête à partir. J’ai tout bien préparé, mis un plug bien lubrifié dans ma rondelle, préparé le pique-nique, je regrette juste de ne pas pouvoir partir en fille… L’heure arrive enfin et je file, ma mère me dit encore « pense à remercier Gérard, tout ce qu’il fait pour toi c’est vraiment gentil »… « Oui maman, je serai reconnaissante et je ferai tout pour le remercier » dis-je en souriant… Heureusement, elle ne se doute pas de tout ce que je fais pour ça…
J’arrive chez Gérard, il m’attendait. Il prend ses affaires et nous partons. A la voiture, il me dit « je conduis pour l’instant, pour sortir de la ville, puis je te laisserai le volant »… Super, on range nos affaires et on file. Nous partons en direction d’Alès. Après l’aérodrome, Gérard prend une petite route à gauche et se gare. J’en profite pour me changer, sous les yeux intéressés de mon amant. J’ai choisi une robe blanche courte à bretelles, des bas blancs, des mules blanches et je mets les suceurs, je sais que Gérard aime voir mes pointes se dresser… Il m’observe avec attention lorsque je les positionne, mes pointes sont instantanément aspirées et grossissent à vue d’œil… Je rajoute quelques bijoux, bagues, collier, bracelet, boucles d’oreille et un bracelet de cheville… Un peu de maquillage et voilà, je suis prête,.. Gérard me fiat tourner devant lui, il me trouve très féminine, je suis contente…
Je prends le volant, je m’installe, règle le siège, les rétros et nous partons. Bien sûr, j’ai un peu de mal avec l’embrayage au début, mais je m’y fais vite et Gérard me conseille avec douceur, ça m’aide à me décontracter… Le fait de conduire ainsi, en femme, me donne un sentiment de liberté exceptionnel. Je me crois la femme que j’aimerai être, sans contrainte ni entrave, le rêve… Comme dit ma mère, je remercierai Gérard pour cette gentille attention qui mèle mes besoins de permis et ma féminité… Nous roulons prudemment et au carrefour qui va vers les Vans, il me fait bifurquer dans cette direction. La route est belle, il y a de beaux virages et je me concentre sur ma conduite. Arrivés aux Vans, Gérard me dit que nous allons faire un pause, qu’il ne faut pas trop en faire d’un coup. C’est jour de marché ici, il y a plein de monde. Je dois faire attention car on roule au pas et difficile de trouver à se garer. Nous trouvons finalement une place mais je me gare mal et c’est Gérard qui finira la manœuvre, pas la peine que j’abime sa voiture. Il me propose d’aller boire un coup, j’accepte volontiers et au moment d’y aller, il me dit « pas si vite, viens ici, on va changer de plug »… Il sort de mes affaires le plug conique qui dépasse, le lubrifie, retire le petit et me glisse l’autre dans la rondelle… Hummm, c’est délicieux… « Voilà, tu es prête, on peut y aller » ajoute-t-il en me claquant les fesses…
Ainsi équipée, nous avançons vers le centre-ville, le plug me chauffe doucement le cul en marchant, quel délice… Il y a vraiment beaucoup de monde et nous marchons au milieu des passants, moi en fille, avec un gros plug qui dépasse dans la rondelle, mais je me sens étrangement bien… Mes suceurs me font une toute petite poitrine mais qui tend le tissus de ma robe, ça me va… Gérard marche derrière moi, et, de temps en temps, soulève un peu ma robe, le coquin… En passant devant une boutique à la vitrine très réfléchissante, j’admire ma silhouette, que je trouve très féminine… Nous faisons le tour de la place centrale en regardant les étals, puis, Gérard me montre un bar et nous allons nous y installer.
Je dois faire attention avec le plug, je dois m’asseoir sur une fesse. Nous commandons et Gérard me félicite sur ma conduite, me dit que c’est très bien pour une première, que je suis douée… « Pas que pour ça d’ailleurs » ajoute-t-il en riant… Nous restons un petit moment au bar, à regarder les passants en blaguant de tout et de rien. Je change souvent de position, d’une fesse à l’autre, sinon je fatigue… Gérard se lève et me dit « je reviens »… Je pense qu’il s’absente pour aller aux toilettes et j’attends tranquillement son retour. Il n’est pas long et quand il revient, il me dit « tu es merveilleuse comme ça, assise sur une fesse, on voit bien ton cul et un peu le plug qui dépasse » me dit-il en souriant… Je suis heureuse que ça lui plaise, moi je me sens bien ainsi… « Cela plait aussi beaucoup au monsieur qui est deux tables plus loin et qui ne mate que ton cul » ajoute-t-il en riant plus fort… Ah, oui, bien sûr,.. « J’espère que je ne le choque pas » dis-je en souriant… « Je ne crois pas du tout qu’il soit choqué » me précise Gérard… Je vois une lueur malicieuse passer dans ses yeux, qu’est-ce qu’il a en tête ?... Nous finissons nos verres et il me dit « allez, un dernier petit tour au marché et on repart ». Pas de souci, je me lève et en rangeant ma chaise, je me tourne et aperçoit l’homme dont parle Gérard, en effet, il me mate… J’en suis fière en fait…
Nous quittons le bar et nous dirigeons vers le centre-ville piéton, dans les petites ruelles entre les maisons. Là aussi, il y a beaucoup de monde et de commerçants. Gérard se rapproche de moi par derrière, m’enlace par la taille et me chuchote « le gars nous a suivi, je vais t’arranger un peu, il faut qu’il profite de la vue »… L’air de rien, il remonte légèrement ma robe et je pense qu’il s’est arrangé pour que le plug dépasse un peu, le coquin… Mais bon, si ça lui fait plaisir, je dois bien, comme l’a dit ma mère, être gentille avec lui… En plus, au milieu de cette foule compacte, il est difficile de s’attarder sur les autres… Le bruit de mes talons claque sur les pavés, je pense au plug qui doit se voir derrière moi et ça m’amuse… En marchant, je sens aussi le bord de ma robe qui frotte doucement contre mon clito, j’en déduis qu’il l’a tellement remontée que ça doit dépasser aussi devant… J’ai un peu d’hésitation, puis je me dis que si ça lui fait plaisir, je n’ai pas le droit de le refuser… Je continue donc à marcher ainsi, l’air de rien… Je fais tout de même attention au regard des gens que je croise, pour voir s’ils portent attention à ce qui dépasse devant moi… Je ne remarque rien de particulier, du coup je me laisse aller et fait comme si de rien n’était… Nous arrivons vers une placette avec un fontaine au milieu… L’air de rien, je pivote pour me tourner vers Gérard, et je m’aperçois qu’il n’est pas juste derrière moi, mais un peu décalé, ce qui permet au gars du bar, un peu plus loin, de ne rien perdre de la scène… Ok, je peux faire mieux… Approchant de la fontaine, je m’y arrête, et sans rien dire, me penche énormément en avant pour regarder à l’intérieur du bassin… Ce faisant, me robe glisse sur mes fesses, au moins à moitié, je pense, ce qui laisse une vue imprenable sur ma raie et ce qui est fiché dedans… Cela devrait enlever toutes ambiguïtés sur la nature de ce que je porte et son utilité… Tandis que je reste un petit moment penchée ainsi, Gérard me rejoint de côté et me glisse doucement « tu es une belle petite salope, j’adore »… Enhardie par son propos, je minaude en tortillant du cul… Puis, tranquille, je me relève et fais demi-tour, croise le regard du gars qui a l’air de s’être bien rincé l’œil, et file vers une ruelle montante, suivi par Gérard… Là, d’autres étals, devant les magasins, montre tout un tas d’objets et je fais celle qui est intéressée en me penchant souvent pour regarder ce qui est au sol… Gérard semble ravi, moi aussi… Nous débouchons sur le trottoir de la rue du Temple, en sens unique, qui entoure la ville… C’est mieux, les voiture sont face à moi… Là, les gens sont plus espacés et je commence à croiser des regards qui louchent vers mon entre-jambes… Je ne m’en offusque pas, je sais que ça plait à Gérard, et moi aussi… Je crois que j’ai pris goût à faire la salope en public… Je me demande, en souriant, ce que donne la vue de dos… Nous revenons vers la place centrale, je m‘observe dans les vitrines, c’est vrai que mon clito dépasse un peu tout de même… Mais ce n’est pas grave, j’assume ma différence… Enfin, tant que les gendarmes ne sont pas là… Nous continuons d’avancer, le gars est toujours derrière nous… Si certains regards sont marqués par la surprise, voire l’étonnement sympa, d’autres sont tout même assez réprobateurs, je n’y prête pas attention… Quand nous partons en direction du parking, sur la route de Villefort, le gars suit toujours… Gérard me rejoint et m’enlace à nouveau par la taille… « Puisqu’on est sorti de la ville et que le gars est toujours là, tu vas assumer petite salope » de dit-il en relevant franchement ma robe au-dessus de mon cul… Ah oui, il veut que j’assume de faire la salope ? Ok, je le regarde et relève aussi la robe devant, dévoilant complètement la taille de mon clito… J’arrête la robe juste au-dessus de mon sexe et je me tourne pour parler à Gérard… « Comme ça, ça va ? » lui dis-je avec mon air le plus salope possible… Le gars derrière nous manque de s’étrangler en me voyant… Gérard éclate de rire et je reprends mon chemin jusqu’à la voiture… J’y vais doucement, qu’il ait le temps de se rincer l’œil… Là, j’attends que Gérard l’ouvre et en me retournant, je le vois en grande discussion avec le gars… Ils me matent tous les deux, d’un peu loin… Du coup, me sachant observée, j’en rajoute et fais le tour de la voiture, fais semblant de regarder la pression des pneus en me penchant outrageusement… Puis, comme ils restent toujours là-bas à discuter, je viens vers eux… Je prends mon temps, marche lentement, tortille du cul, le clito à l’air… Le gars me regarde intensément, et pas dans les yeux… Lorsque j’arrive devant eux, le gars ne sait plus où regarder… Il doit avoir une bonne cinquantaine et un air plutôt charmant… « Voilà, je vous présente, sabine, ma salope exhib » dit Gérard… « Enchanté, vous êtes charmante dans votre troublante féminité » me dit la gars… Ah, un amateur de mon genre, c’est chouette… « J’ai pu admirer au bar votre silhouette rempli, me semblait-il » ajoute-t-il… « A partir de la fontaine, quel spectacle, bravo, j’aime beaucoup ce que vous faites sous les yeux de votre amant »… J’acquiesce d’un signe de tête tandis qu’il continue « vous promener à peine vêtue en ville un jour de marché, avec votre intimité, des deux côtés, légèrement visible par tous, quel audace, je suis content d’être venu au marché ce matin »…C’est tellement beau que pour un peu j’en rougirai… « Oui, elle aime se montre cette petite salope, et moi j’aime qu’elle le fasse » ajoute Gérard… Je suis heureuse comme jamais, entendre Gérard dire qu’il apprécie ce que je fais me comble d’aise…
C’est le gars qui me sort de ma douce torpeur « et vous allez où comme ça ? » demande-t-il… Je regarde Gérard, car moi je n’en sais rien… « Nous projetons d’aller pique-niquer quelque part, dans un coin sympa » répond Gérard… « Ah, vous tombez bien, je connais un endroit sympa à quelques kilomètres d’ici, au bord d’une rivière, je vous montre si vous voulez » propose le gars… Gérard me regarde et dit « oui, pourquoi pas, on vous suit »…
« J’ai juste un courrier à mettre à la poste et je suis à vous, ce ne sera pas long » précise le gars. En effet, la poste est juste en face de nous de l’autre côté de la route… Gérard reprend en me regardant « Sabine va y aller pour vous, elle doit bien ça comme spectacle à un admirateur »… Ah oui, et bien s’il croit que je vais me dégonfler, il se trompe… Je prends l’enveloppe du gars et me dirige vers la poste… Je dois d’abord traverser le parking, peu encombré, avant de traverser la route et de poster la lettre. Je marche d’un pas tranquille, pour qu’ils profitent bien de la vue… J’en oublie presque, au moment de traverser la route, que j’ai le clito et le cul à l’air… Dans un mouvement réflexe, je cherche à rabaisser ma robe, un coup de sifflet me fait sursauter… Je tourne la tête et je vois Gérard qui me fait un signe négatif… Ah la vache, je ne dois pas la baisser, le salaud… Un peu à contrecœur, je laisse ma robe ainsi et je m’approche du bord de la route… La pression augmente, se balader avec le clito et le plug qui dépasse légèrement, au milieu d’une foule qui ne peut pas voir loin, c’est une chose, mais traverser la route bien dégagée le cul à l’air c’en est une autre… Je ne sais plus comment faire… Mais je ne veux pas passer pour une salope qui n’assume pas… Aussi, prenant mon courage à deux mains, je me lance… J’aborde la route sans trop regarder à côté, juste à gauche pour ne pas me faire écraser… La voie est libre, je traverse… C’est à ce moment, que je vois arriver une voiture à droite, cela me perturbe mais je sais que Gérard et le gars regardent attentivement… J’ai un peu la trouille mais je traverse sans rien dire… Je remarque du coin de l’œil que la voiture ralentit… Je fais celle qui ne remarque rien, mais les occupants me regardent abasourdis… Je finis de traverser alors que les occupants de la voiture ont une vue imprenable sur mon cul et le plug qui dépasse… Enfin, déjà je ne suis plus sur la route… Je tourne vers la poste et marche le plus tranquillement possible… Heureusement, il n’y a personne… J’arrive soulagée à la boite aux lettres, y introduit le courrier et fait demi-tour… C’est en repartant, que je croise deux gars, dans la trentaine, façon baba-cool, qui me regardent éberlués… Ils n’en reviennent pas de me voir ainsi, une silhouette féminine avec un trop gros clito qui pendouille… Quand j’arrive à leur hauteur, je fais la fière mais je ne sais plus où me mettre… « Putain, regarde là celle-là, elle se promène le cul à l’air » dit l’un d’eux… « Enfin, le cul, c’est plutôt la bite en avant » reprend l’autre… « Oui, et pas vraiment une femme non plus » se marrent-ils… Ils me barrent la route et m’interpellent « alors lopette, on fait sa gonzesse en plein jour la bite à l’air, salope »… Je ne sais pas quoi répondre, j’ai le cerveau vide… je fais mine de vouloir passer quand même, mais ils me tiennent par les bras… Je réussi à dire « laissez-moi, je suis attendue »… « Ah ben ça c’est sûr, on t’attendait salope » me répond le gars de gauche… L’autre en profite pour regarder mon cul et découvre le plug « oh putain, elle a un truc dans le cul cette salope »… Le premier vérifie à son tour, et constate le fait… « Ah la vache, mais c’est vrai, alors toi t’es une belle petite pute pour oser te promener comme ça en plein jour » dit-il… Je cherche des yeux Gérard, je le vois qui me regarde avec attention… Puis, il s’élance en courant dans notre direction… Je suis terriblement soulagée et les gars comprennent à mon expression que quelque chose change… Ils suivent mon regard et voient Gérard arriver en trombe, l’air mauvais… Cela doit leur faire une drôle d’impression car ils me lâchent d’un coup et s’écartent un peu… Gérard arrive l’air très menaçant « c’est quoi votre problème » lâche-t-il haineux… « On n’en a pas, on était juste surpris de voir cette sa.., cette nana, presque à poil mais on ne veut pas d’histoire » répond celui de gauche… « Et ben il vaut mieux parce que c’est ma copine et j’aime pas qu’on l’embête » réplique sèchement Gérard… Les deux gars se barrent sans rien dire… Gérard me prend par le bras et me ramène à la voiture… Des passants, au loin, observent la scène, mais personne ne dira rien jusqu’à ce que nous soyons à la voiture…
A suivre, si vous avez aimé…
N’hésitez pas à me laisser un commentaire et un like…
Sabine 07
3 年 前
