ROUTIER
RENCONTRE AVEC UN ROUTIER PERVERS.
Cette aventure se déroule une sur une aire d’autoroute de la région Rhône Alpes, et elle est toute fraiche puisqu’elle date de la semaine passée.

Ce mardi de mai, en début de soirée, je suis tout excité…
J’ai très envie de coquiner avec un bon routier, que je souhaite bien pervers.
Pour cela j’ai mes petites habitudes.
Une préparation minutieuse s’impose…
Je revêts un corsaire noir (emprunté à ma truie) et un haut transparent en résille, puis je m’enfile mon rosebud préféré ainsi que mon cocking,
Je complète momentanément ma tenue par un survêtement afin de ne pas choqué les habitants de mon village, si je venais à en croiser.
Me voilà donc parti en direction de l’autoroute.
Tout excité a l’idée de trouver une belle queue de routier à vidanger.
Je ne sais pas l’expliquer, mais j’adore être pris en main par un routier vicieux, qui a tout loisir de m’utiliser comme bon lui semble.
Autant je suis dominateur avec ma grosse salope de femme, autant j’aime être humilié, avilit par un homme mur (chauve et bedonnant de préférence).
Il ne me faut que quelques minutes pour rejoindre la fameuse aire de repos.
Je décide d’aller me stationner à un endroit très stratégique, à savoir face à l’entrée homme du bloc sanitaire et tout proche de l’entrée du petit bois qui fait le tour de l’aire de repos.
Je constate que trois camions sont garés sur les places qui leurs sont réservées, c’est déjà un premier bon point.
Afin de faire monter un peu la température, Je me délaisse de mon survêtement.
Je deviens instantanément plus chienne et mes dernières barrières tombent irrémédiablement.
excité et ne pouvant attendre plus longuement, je quitte mon véhicule et me dirige vers un banc, pas très loin du bloc sanitaire, afin de m’en griller une, et je l’espère, me faire repérer.
Grace à ma tenue, aucun doute sur mes intentions, je suis à la recherche d’une queue et rien d’autre.
Malheureusement pour moi, ça ne mord pas…
Jusqu’au moment où entre sur l’aire de repos un énorme 38 tonnes, qui vient prendre place à coté de ses confrères.
Je prie intérieurement pour que ce soit l’élu du soir.
Le chauffeur, après avoir effectué quelques manœuvres, est maintenant stationné moteur éteint.
La porte du conducteur s’ouvre et descend alors un type d’1m80 environ, massif portant plutôt bien la cinquantaine.
Cerise sur le gâteau, le type a le crâne aussi lisse qu’un œuf.
Ma queue réagit instantanément et se dresse dans mon legging tel un chapiteau de cirque.
Je jette mon mégot de cigarette et file en direction des toilettes.
En toute logique, il devrait venir y soulager un besoin naturel.
Je m’installe donc dans la dernière cabine, a genou au pied des toilettes, mains dans le dos et bouche grande ouverte.
Je n’ai pas eu à attendre bien longtemps avant d’entendre des pas lourds se diriger vers moi.
Le type a tout d’abord marqué un temps d’arrêt en me voyant ainsi, mais dans la seconde suivante est entré dans la cabine, et a verrouillé la porte.
- « Tiens tiens, une bonne salope à dispo c’est très intéressant, moi qui ne me suis pas soulagé depuis des semaines. »
Dans ma tête, ça fait tilt, « depuis des semaines » …
Ce type doit transporter des litres de foutre, et moi qui suit accro au sperme c’est vraiment le gros lot.
Sans rien ajouter, le routier a ouvert sa braguette pour extraire un chibre qui ferais pâlir certains acteurs porno.
Une bête de 20 cm, à demi bandée se présente à moi.
Le calibre est en rapport avec la taille, un bon six de circonférence à vue d’œil.
Je me précipite dessus sans réfléchir et englouti d’un trait ce monstre dans ma gorge.
Je manque de m’étouffer tellement sa bite est large et prend encore de la consistance au fil de ma pipe baveuse.
Le type souffle comme un bœuf et pose ses grosses mains sur ma tête pour m’imposer le rythme, et le moins que l’on puisse dire c’est qu’il ne prend pas de gants pour me labourer la gorge à grand coup de queue rapide et sec.
Il ne me laisse aucunement reprendre mon souffle et s’enfonce toujours plus profondément à chaque aller-retour
- « Tiens gros tas de graisse, je vais de nourrir au foutre ma grosse. Je vais te baiser la bouche et t’éclater la rondelle toute la nuit petite pute !! J’ai fini ma tournée et je ne suis pas attendu avant demain soir sur Paris, donc j’ai tout le temps de m’occuper de toi ma salope. »
- « HUMMPFFF…. »
- « Oui je sais elle est grosse, mais elle va te faire du bien crois moi !!! »
Le type a maintenant la bite recouverte de ma salive, et continue sans relâche de me baiser la bouche comme il baiserait ma chatte.
- « Putain t’es une bonne grosse toi, bien salope, je suis sûr que tu aimes le hard toi hein ?? Répond gros lard, t’aimes te faire enfoutré, te faire pisser dessus ? »
- « Oui j’adore faire la truie et me faire humilier, j’adore la pisse et le sperme, j’adore me faire défoncer par de gros calibres comme le tien, j’suis une vraie pute à routier qui ne refuse rien ! »
- « Très bien ma salope, heureux d’entendre ça. Reprend la dans ta gorge, je vais me vider une première fois et après je t’amène dans mon camion sale pute. »
Reprenant son énorme bite dans ma bouche, je décide de passer la vitesse supérieure car j’ai vraiment hâte de gouter sa sauce, et je suis curieux de voir la quantité qu’il va me donner ce vieux pervers.
J’aspire sa queue jusqu’à sentir ses poils me chatouiller le nez…
Puis je fais tourner ma langue tout autour de son membre, je ressorts rapidement pour reprendre de plus belle et me lance alors dans une pipe effrénée, profonde et à grande vitesse.
Le type se met à m’insulter et à grogner ...
- « Tienssss gros tas, avale tout sale merdeeeee !!! »
- « HUMPFFF HUMPFF HUMPFFF »
Je manque de m’étouffer tellement son éjac est copieuse et bien épaisse.
Je me délecte de son jus en le fixant droit dans les yeux, je joue avec son sperme, fais des gargouillis avant d’avaler lentement pour en apprécier le gout et la texture…
- « Hummmm c’est trop bon, j’espère que tu en as encore pour moi ?? »
- « T’inquiète pas ma grosse, j’ai ce qu’il faut. Je vais bien te bouger ta graisse et je vais te gaver toute la nuit. T’es tombé sur un bon gros pervers qui aime les bons chubby comme toi. Vous êtes les plus salopes !! »
- « Allez ouste dehors ! On va dans ma cabine, mais avant tu te fous complètement à poil ! »
- « Quoi ??? Mais je n’oserai jamais ! »
- « Tu la ferme et tu fais ce que je te dis ! À poil et direction le camion en écartant bien ton joufflu avec tes deux mains que je puisse admirer ta rondelle de grosse truie. »
Il ne va pas être déçu en apercevant mon bijou.
- « C’est quoi ça ma grosse ? T’as un plug enfoncé dans le cul ? T’es vraiment en manque toi, je vais me faire plaisir. »
Je continue d’avancer vers son engin quand il me demande de m’arrêter là, en plein milieu du parking, à la vue de tous, et de me mettre à quatre pattes le temps qu’il aille ouvrir son camion.
Le salop veut vraiment faire de moi sa chose, et plus il est pervers plus cela me rend dingue.
- « Allez gros cul, amène-toi et grimpe là-dedans. »
Au moment où je mets le pied sur la marche me permettant de grimper, mon chauffeur att**** mon rosebud et me le retire d’un coup sec et franc.
- « Haaa !!! Tu m’as déchiré le cul ! »
- « Mais non mais non, j’ai juste allumé le feu dans ton petit œillet, crois-moi tu vas comprendre ce que c’est de se faire déchirer le cul comme tu dis ! »
A peine monter dans la cabine, mon routier m’ordonne de me mettre à genou et de le faire durcir seulement avec ma bouche, interdiction de toucher avec les mains.
Je le gobe donc jusqu’au bout et commence des va et viens en aspirants bien son gland. Pendant ce temps, lui se met à me triturer les seins, car j’ai bien des seins tombants de femme et non des pecs comme les vrais mâles.
Cela semble l’excité au plus haut point.
Cela dure une dizaine de minutes avant qu’il ne décide de se foutre complètement à poil lui aussi.
Quel bonheur, ce type est hyper poilu, pas un centimètre carré n’échappe à son épaisse toison.
ça me rend complètement marteau…
je me met a le sucer encore plus vite, avec plus de bave tout alternant avec quelques léchouilles sur son ventre et ses cuisses velues.
- « Humm !! T’as des bons nichons ma salope, aussi gros que ceux de ma femme…T’es juste parfaite pour la baise toi. »
- « Hmmoui je suis une vraie chienne je te l’ai dit, fais-moi du sale mon chéri, lâche-toi, je suis un vraie vide couille ! »
Il me saisit alors les cheveux et se met littéralement à me baiser la bouche comme une brute.
Puis il me dit de passer derrière sur la couchette, le cul bien ouvert à 2 mains, prêt à le recevoir.
Je m’exécute.
- « Prend moi vite !!! Pas besoin de capote je veux te sentir te vider bien en moi !!! »
Mon colosse positionne son monstre bien en face de mon petit trou et m’introduis d’une seule poussée
- « Putainnnnnn quel morceau non de dieu !!! Tu me transperce le fion mon salop, vas-y ramone moi comme une bonne grosse truie ! »
- « Tiens gros tas, t’as l’habitude d’en prendre toi, ton cul est bien large et bien dilaté ma salope, tiens prend ça... »
Le type se met à se déchaîner comme une brute dans mes entrailles…
J’en ai le cul qui chauffe malgré l’entrainement.
Le gars me besogne sans relâche pendant quinze minutes au moins, puis changement de position.
Il s’allonge et me demande de le chevaucher en lui présentant mon gros cul tout flasque.
Je me laisse tomber dessus pour me l’enfiler d’une traite, et l’effet est garantie, je sens que je commence à mouiller du cul et il le remarque.
Tout en continuant de me limer, il se saisit d’un gode sans que je ne m’en rende compte, et commence à me l’insérer tout en continuant de me pilonner comme un fou.
- « T’es vraiment large ma grosse je vais te fister le cul sale pute à jus et après je vais me vider dans ton gros boule comme je me viderai dans ta salope de femme ! »
Il décule puis me remet en position initiale, le cul bien tendu vers lui.
Je m’exécute…
Là je suis tellement excité, dans un autre monde que je me mets à lui hurler :
- « Vas-y mon gros chien, enfonce-moi ta main pour bien me dilater, allez dépêche !!!!!!
Et là c’est le début de mon plus gros orgasme culier jusqu’à présent.
Il me rentre d’un seul coup quatre doigts et se met à me branler le cul comme il doigterai une grosse chatte pour la faire gicler.
Le résultat ne se fait pas attendre…
Je me mets à couler de façon étonnante du cul.
Mon fion dégouline littéralement de sécrétion…
Je hurle ma jouissance comme jamais
- « Plus foooooort !!! Arrache-moi le cul, met ta deuxième main, vas-y détruit moi !!! »
le gars m’écoute et approche sa seconde main et commence à tenter l’intrusion.
J’ai le cul en feu, un volcan ne serait pas plus chaud…
j’en pleure tellement la jouissance est énorme.
Je sens que je vais éjaculer comme un porc et le préviens.
Il m’étale alors instantanément une capote sur la queue et reprend son fist en poussant de plus en plus pour insérer sa seconde main.
Je repars dans un délire fou et ma jouissance monte comme jamais.
Je hurle et perd pied sous les coups de mains de mon routier qui m’insulte sans s’arrêter.
- « gros cul de pute, j’te le défonce ton gros boule, ta femme rigolerai bien en te voyant ainsi gros porc hein ? répond ??3
- « Oui, elle se foutrait bien de moi, vas-y continue je vais jouirrrrrrrrr !!! »
L’orgasme est incroyablement puissant, j’ai l’impression de pisser un litre de sperme tellement je jouis.
Je m’écroule inerte sur sa couchette.
Le routier récupère la capote qui pend au bout de ma queue et en fais un noeud pour emprisonner tout ce bon liquide.
Il se positionne ensuite de nouveau au-dessus de ma rondelle et se remet à me pilonner comme un taré.
Cela ne dure pas plus de deux minutes avant qu’il ne se vide bien au fond de mon cratère.
Une fois sa queue sortie, il remet d’autorité mon rosebud dans le cul.
- « Voilà ma grosse, tu as eu ta première dosse de la nuit, et je te prie de croire que ce n’est que le début !!! »
Ce fut une nuit mémorable.
Cette aventure se déroule une sur une aire d’autoroute de la région Rhône Alpes, et elle est toute fraiche puisqu’elle date de la semaine passée.

Ce mardi de mai, en début de soirée, je suis tout excité…
J’ai très envie de coquiner avec un bon routier, que je souhaite bien pervers.
Pour cela j’ai mes petites habitudes.
Une préparation minutieuse s’impose…
Je revêts un corsaire noir (emprunté à ma truie) et un haut transparent en résille, puis je m’enfile mon rosebud préféré ainsi que mon cocking,
Je complète momentanément ma tenue par un survêtement afin de ne pas choqué les habitants de mon village, si je venais à en croiser.
Me voilà donc parti en direction de l’autoroute.
Tout excité a l’idée de trouver une belle queue de routier à vidanger.
Je ne sais pas l’expliquer, mais j’adore être pris en main par un routier vicieux, qui a tout loisir de m’utiliser comme bon lui semble.
Autant je suis dominateur avec ma grosse salope de femme, autant j’aime être humilié, avilit par un homme mur (chauve et bedonnant de préférence).
Il ne me faut que quelques minutes pour rejoindre la fameuse aire de repos.
Je décide d’aller me stationner à un endroit très stratégique, à savoir face à l’entrée homme du bloc sanitaire et tout proche de l’entrée du petit bois qui fait le tour de l’aire de repos.
Je constate que trois camions sont garés sur les places qui leurs sont réservées, c’est déjà un premier bon point.
Afin de faire monter un peu la température, Je me délaisse de mon survêtement.
Je deviens instantanément plus chienne et mes dernières barrières tombent irrémédiablement.
excité et ne pouvant attendre plus longuement, je quitte mon véhicule et me dirige vers un banc, pas très loin du bloc sanitaire, afin de m’en griller une, et je l’espère, me faire repérer.
Grace à ma tenue, aucun doute sur mes intentions, je suis à la recherche d’une queue et rien d’autre.
Malheureusement pour moi, ça ne mord pas…
Jusqu’au moment où entre sur l’aire de repos un énorme 38 tonnes, qui vient prendre place à coté de ses confrères.
Je prie intérieurement pour que ce soit l’élu du soir.
Le chauffeur, après avoir effectué quelques manœuvres, est maintenant stationné moteur éteint.
La porte du conducteur s’ouvre et descend alors un type d’1m80 environ, massif portant plutôt bien la cinquantaine.
Cerise sur le gâteau, le type a le crâne aussi lisse qu’un œuf.
Ma queue réagit instantanément et se dresse dans mon legging tel un chapiteau de cirque.
Je jette mon mégot de cigarette et file en direction des toilettes.
En toute logique, il devrait venir y soulager un besoin naturel.
Je m’installe donc dans la dernière cabine, a genou au pied des toilettes, mains dans le dos et bouche grande ouverte.
Je n’ai pas eu à attendre bien longtemps avant d’entendre des pas lourds se diriger vers moi.
Le type a tout d’abord marqué un temps d’arrêt en me voyant ainsi, mais dans la seconde suivante est entré dans la cabine, et a verrouillé la porte.
- « Tiens tiens, une bonne salope à dispo c’est très intéressant, moi qui ne me suis pas soulagé depuis des semaines. »
Dans ma tête, ça fait tilt, « depuis des semaines » …
Ce type doit transporter des litres de foutre, et moi qui suit accro au sperme c’est vraiment le gros lot.
Sans rien ajouter, le routier a ouvert sa braguette pour extraire un chibre qui ferais pâlir certains acteurs porno.
Une bête de 20 cm, à demi bandée se présente à moi.
Le calibre est en rapport avec la taille, un bon six de circonférence à vue d’œil.
Je me précipite dessus sans réfléchir et englouti d’un trait ce monstre dans ma gorge.
Je manque de m’étouffer tellement sa bite est large et prend encore de la consistance au fil de ma pipe baveuse.
Le type souffle comme un bœuf et pose ses grosses mains sur ma tête pour m’imposer le rythme, et le moins que l’on puisse dire c’est qu’il ne prend pas de gants pour me labourer la gorge à grand coup de queue rapide et sec.
Il ne me laisse aucunement reprendre mon souffle et s’enfonce toujours plus profondément à chaque aller-retour
- « Tiens gros tas de graisse, je vais de nourrir au foutre ma grosse. Je vais te baiser la bouche et t’éclater la rondelle toute la nuit petite pute !! J’ai fini ma tournée et je ne suis pas attendu avant demain soir sur Paris, donc j’ai tout le temps de m’occuper de toi ma salope. »
- « HUMMPFFF…. »
- « Oui je sais elle est grosse, mais elle va te faire du bien crois moi !!! »
Le type a maintenant la bite recouverte de ma salive, et continue sans relâche de me baiser la bouche comme il baiserait ma chatte.
- « Putain t’es une bonne grosse toi, bien salope, je suis sûr que tu aimes le hard toi hein ?? Répond gros lard, t’aimes te faire enfoutré, te faire pisser dessus ? »
- « Oui j’adore faire la truie et me faire humilier, j’adore la pisse et le sperme, j’adore me faire défoncer par de gros calibres comme le tien, j’suis une vraie pute à routier qui ne refuse rien ! »
- « Très bien ma salope, heureux d’entendre ça. Reprend la dans ta gorge, je vais me vider une première fois et après je t’amène dans mon camion sale pute. »
Reprenant son énorme bite dans ma bouche, je décide de passer la vitesse supérieure car j’ai vraiment hâte de gouter sa sauce, et je suis curieux de voir la quantité qu’il va me donner ce vieux pervers.
J’aspire sa queue jusqu’à sentir ses poils me chatouiller le nez…
Puis je fais tourner ma langue tout autour de son membre, je ressorts rapidement pour reprendre de plus belle et me lance alors dans une pipe effrénée, profonde et à grande vitesse.
Le type se met à m’insulter et à grogner ...
- « Tienssss gros tas, avale tout sale merdeeeee !!! »
- « HUMPFFF HUMPFF HUMPFFF »
Je manque de m’étouffer tellement son éjac est copieuse et bien épaisse.
Je me délecte de son jus en le fixant droit dans les yeux, je joue avec son sperme, fais des gargouillis avant d’avaler lentement pour en apprécier le gout et la texture…
- « Hummmm c’est trop bon, j’espère que tu en as encore pour moi ?? »
- « T’inquiète pas ma grosse, j’ai ce qu’il faut. Je vais bien te bouger ta graisse et je vais te gaver toute la nuit. T’es tombé sur un bon gros pervers qui aime les bons chubby comme toi. Vous êtes les plus salopes !! »
- « Allez ouste dehors ! On va dans ma cabine, mais avant tu te fous complètement à poil ! »
- « Quoi ??? Mais je n’oserai jamais ! »
- « Tu la ferme et tu fais ce que je te dis ! À poil et direction le camion en écartant bien ton joufflu avec tes deux mains que je puisse admirer ta rondelle de grosse truie. »
Il ne va pas être déçu en apercevant mon bijou.
- « C’est quoi ça ma grosse ? T’as un plug enfoncé dans le cul ? T’es vraiment en manque toi, je vais me faire plaisir. »
Je continue d’avancer vers son engin quand il me demande de m’arrêter là, en plein milieu du parking, à la vue de tous, et de me mettre à quatre pattes le temps qu’il aille ouvrir son camion.
Le salop veut vraiment faire de moi sa chose, et plus il est pervers plus cela me rend dingue.
- « Allez gros cul, amène-toi et grimpe là-dedans. »
Au moment où je mets le pied sur la marche me permettant de grimper, mon chauffeur att**** mon rosebud et me le retire d’un coup sec et franc.
- « Haaa !!! Tu m’as déchiré le cul ! »
- « Mais non mais non, j’ai juste allumé le feu dans ton petit œillet, crois-moi tu vas comprendre ce que c’est de se faire déchirer le cul comme tu dis ! »
A peine monter dans la cabine, mon routier m’ordonne de me mettre à genou et de le faire durcir seulement avec ma bouche, interdiction de toucher avec les mains.
Je le gobe donc jusqu’au bout et commence des va et viens en aspirants bien son gland. Pendant ce temps, lui se met à me triturer les seins, car j’ai bien des seins tombants de femme et non des pecs comme les vrais mâles.
Cela semble l’excité au plus haut point.
Cela dure une dizaine de minutes avant qu’il ne décide de se foutre complètement à poil lui aussi.
Quel bonheur, ce type est hyper poilu, pas un centimètre carré n’échappe à son épaisse toison.
ça me rend complètement marteau…
je me met a le sucer encore plus vite, avec plus de bave tout alternant avec quelques léchouilles sur son ventre et ses cuisses velues.
- « Humm !! T’as des bons nichons ma salope, aussi gros que ceux de ma femme…T’es juste parfaite pour la baise toi. »
- « Hmmoui je suis une vraie chienne je te l’ai dit, fais-moi du sale mon chéri, lâche-toi, je suis un vraie vide couille ! »
Il me saisit alors les cheveux et se met littéralement à me baiser la bouche comme une brute.
Puis il me dit de passer derrière sur la couchette, le cul bien ouvert à 2 mains, prêt à le recevoir.
Je m’exécute.
- « Prend moi vite !!! Pas besoin de capote je veux te sentir te vider bien en moi !!! »
Mon colosse positionne son monstre bien en face de mon petit trou et m’introduis d’une seule poussée
- « Putainnnnnn quel morceau non de dieu !!! Tu me transperce le fion mon salop, vas-y ramone moi comme une bonne grosse truie ! »
- « Tiens gros tas, t’as l’habitude d’en prendre toi, ton cul est bien large et bien dilaté ma salope, tiens prend ça... »
Le type se met à se déchaîner comme une brute dans mes entrailles…
J’en ai le cul qui chauffe malgré l’entrainement.
Le gars me besogne sans relâche pendant quinze minutes au moins, puis changement de position.
Il s’allonge et me demande de le chevaucher en lui présentant mon gros cul tout flasque.
Je me laisse tomber dessus pour me l’enfiler d’une traite, et l’effet est garantie, je sens que je commence à mouiller du cul et il le remarque.
Tout en continuant de me limer, il se saisit d’un gode sans que je ne m’en rende compte, et commence à me l’insérer tout en continuant de me pilonner comme un fou.
- « T’es vraiment large ma grosse je vais te fister le cul sale pute à jus et après je vais me vider dans ton gros boule comme je me viderai dans ta salope de femme ! »
Il décule puis me remet en position initiale, le cul bien tendu vers lui.
Je m’exécute…
Là je suis tellement excité, dans un autre monde que je me mets à lui hurler :
- « Vas-y mon gros chien, enfonce-moi ta main pour bien me dilater, allez dépêche !!!!!!
Et là c’est le début de mon plus gros orgasme culier jusqu’à présent.
Il me rentre d’un seul coup quatre doigts et se met à me branler le cul comme il doigterai une grosse chatte pour la faire gicler.
Le résultat ne se fait pas attendre…
Je me mets à couler de façon étonnante du cul.
Mon fion dégouline littéralement de sécrétion…
Je hurle ma jouissance comme jamais
- « Plus foooooort !!! Arrache-moi le cul, met ta deuxième main, vas-y détruit moi !!! »
le gars m’écoute et approche sa seconde main et commence à tenter l’intrusion.
J’ai le cul en feu, un volcan ne serait pas plus chaud…
j’en pleure tellement la jouissance est énorme.
Je sens que je vais éjaculer comme un porc et le préviens.
Il m’étale alors instantanément une capote sur la queue et reprend son fist en poussant de plus en plus pour insérer sa seconde main.
Je repars dans un délire fou et ma jouissance monte comme jamais.
Je hurle et perd pied sous les coups de mains de mon routier qui m’insulte sans s’arrêter.
- « gros cul de pute, j’te le défonce ton gros boule, ta femme rigolerai bien en te voyant ainsi gros porc hein ? répond ??3
- « Oui, elle se foutrait bien de moi, vas-y continue je vais jouirrrrrrrrr !!! »
L’orgasme est incroyablement puissant, j’ai l’impression de pisser un litre de sperme tellement je jouis.
Je m’écroule inerte sur sa couchette.
Le routier récupère la capote qui pend au bout de ma queue et en fais un noeud pour emprisonner tout ce bon liquide.
Il se positionne ensuite de nouveau au-dessus de ma rondelle et se remet à me pilonner comme un taré.
Cela ne dure pas plus de deux minutes avant qu’il ne se vide bien au fond de mon cratère.
Une fois sa queue sortie, il remet d’autorité mon rosebud dans le cul.
- « Voilà ma grosse, tu as eu ta première dosse de la nuit, et je te prie de croire que ce n’est que le début !!! »
Ce fut une nuit mémorable.
3 年 前