Sabine07 31-10
Louis et Julien sortent de moi, ma rondelle est béante… Du sperme s’en échappe et Gérard vient me glisser le plug conique qui dépasse pour arrêter l’hémorragie… Une fois en place il flotte beaucoup…
Julien me soulève et me pose à côté de lui sur la marche. Alors que je veux me relever, Louis m’interpelle « tss, tss, tss, où tu vas salope, nettoie ça d’abord » me dit–il en me tendant sa bite pleine de sperme… Ah oui, c’est vrai, j’oubliais le nettoyage…
En plus, elle est délicieusement bonne cette queue remplie de sperme et elle a le bon goût de leur deux spermes et de mon cul… Quand j’ai fini, c’est celle de Julien que je nettoie et j’avoue que je le fais presque amoureusement…
Les opérations de nettoyage terminées, Julien m’aide à me relever et je cherche à reprendre ma robe. Mais Louis ne semble pas décidé à me la rendre… Bon, ce n’est pas très grave, nous sommes garés juste devant l’entrée du Calvaire, j’irai jusqu’à la voiture ainsi… Il faut m’aider pour descendre du talus car c’est assez en pente et herbeux… Julien se fait un plaisir de me donner la main et j’apprécie d’être accompagnée ainsi… Une fois devant l’entrée, le sol est bétonné et c’est plus facile de se déplacer avec des talons…
Nous traversons la rue et arrivés devant la voiture j’attends ma robe. Mais là encore, Louis se montre réticent… « On devrait aller faire un tour au parc » dit Louis… « Oui, très bonne idée, ça fait un moment qu’on y est pas allé » répond Gérard… « Et notre salope n’a qu’à y aller comme ça » reprend Louis… Ben voyons… C’est Gérard qui trouve une solution, en me tendant une sorte de veste grise légère, un peu courte et qui ne ferme pas… Bon, c’est nouveau ça, mais c’est mieux que rien… Je l’enfile et en effet, il faut que je la tienne croisée devant moi pour cacher mon clito, cependant, elle est assez courte et ça ne cache pas le plug qui dépasse derrière…
Ainsi équipée, je dois redescendre du Calvaire jusqu’à la rue principale. Tandis que je commence à descendre, Gérard fait demi-tour avec la voiture et me rejoint. Les gars sont tous dans la voiture et je suis la seule à marcher… La bonne nouvelle, c’est que marcher ainsi avec le plug dans la rondelle me chauffe doucement… C’est très agréable le frottement du plug dans mon ventre, ça et le bruit des talons, je suis bien…
Ils roulent à faible allure à côté de moi et j’entends leurs commentaires… « De dos c’est très bien cette veste, on voit un peu son cul mais surtout le truc qui dépasse dedans » s’exclame Louis… « Cela fait chaudasse qui cherche du cul » rigole Gérard… Les autres se marrent…
La dernière partie de la pente est assez raide, je dois faire attention avec les talons. Finalement, je débouche sur la rue Jean Jaures et je bifurque à droite en direction de la pharmacie du pont. Heureusement, il n’y a personne, sinon, avec ma silhouette j’aurai du mal à cacher ma particularité… Bizarrement, à marcher là sur le trottoir, avec mes talons et le plug, je me sens parfaitement bien… Une envie pressante m’oblige à faire une halte devant le parking de la petite place du Générale de Gaulle, sur une partie gazonnée. Pour le coup, avec cette veste qui ne ferme pas, c’est facile de satisfaire ses besoins. Je lâche la veste qui s’ouvre toute seule et je m’accroupie pour faire mon petit pipi tranquille.
Une fois soulagée, je me redresse et je reprends le chemin du parc. A la fin du parking, je traverse la route en face de la pharmacie, en ayant pris soin de m’assurer que des voitures n’arrivent pas. Ce qui est bien la nuit, c’est qu’entre les phares et le bruit des moteurs qu’on entend de loin, on peut anticiper la venue des véhicules. Je marche sur le trottoir, descendant la rue tandis que mes compères roulent au pas de l’autre côté de la chaussée. Le bruit de mes talons résonne dans la nuit et je me sens toujours bien. Le plug me procure une sensation très agréable qui me chauffe un peu…
J’arrive à l’entrée du Parc de Vals les Bains et Gérard se gare juste un peu plus loin, devant l’hôtel St Jacques. Je les rejoins et alors que je pense que je vais monter en voiture, ils m’entrainent dans le parc… Après la descente des marches qui mènent dans le parc, ils me font traverser en direction du mini-golf, mais je ne dois pas tenir ma veste, elle doit rester ouverte… Bon, ce n’est pas difficile, vu l’heure tardive il n’y a personne dans le parc… Cependant, nous passons face à l’entrée nord du Casino de Vals, et là, il y a quelques joueurs qui discutent sur le perron… Je ne sais pas ce qu’ils voient d’où ils sont mais ça ne doit pas les inquiéter car aucun ne réagit… Nous sommes devant le mini-golf et Gérard me fait monter les quelques marches qui donnent accès à la passerelle qui traverse la Volane… Juste avant la passerelle, il y a une esplanade et Gérard me dit « tu vas me sucer ici salope, enlève ta veste »…
Je ne m’y attendais pas mais c’est vrai que c’est le seul à qui je n’ai rien fait ce soir, il faut réparer cette injustice… Je m’exécute, tend ma veste à Julien et je prends sa queue dans ma bouche… Accroupie ainsi, le plug ressort énormément de mon cul, ça doit être un beau spectacle… Ma langue s’active et la queue de Gérard devient vite toute dure…. Tandis que je suce, Louis vient faire bouger le plug avec son pied, cela me procure des sensations excitantes… Il décrit des cercles avec son pied et le plug tourne dans ma rondelle, me faisant mouiller… Humm, c’est bon de sucer tout en se faisant exciter la rondelle… Je commence à gémir la bouche pleine et j’entends Louis dire « écoutez là cette petite pute comme elle couine du cul, elle n’en a jamais assez celle-là »… Ouiiii, c’est vrai et je suis de plus en plus excitée de ce qu’ils me font… Louis enlève son pied, s’accroupit derrière moi et att**** le plug avec sa main… Il commence à le faire entrer et sortir de ma rondelle, quel délice…Du sperme suinte de mon trou et lubrifie l’extérieur de ma rondelle… Je gémis plus fort et c’est encore pire quand il fait presque sortir le plug avant de me l’enfiler d’un coup, mon dieu que c’est bon… « Putain, cette salope aime ça en plus » dit Louis… Mon clito s’allonge, c’est divin… Gérard aussi semble excité de m’entendre gémir sous cette caresse… Soudain, il se retire de ma bouche et m’entraine vers la passerelle… Il m’y penche sur la rambarde, fait bouger le plug avant de le retirer et m’empale sur sa queue tendue… Elle rentre toute seule d’un coup, je suis bien lubrifiée au sperme… Je pousse un long gémissement de bonheur, mon dieu que c’est bon… Appuyée à la rambarde, je subis les assauts délicieux de Gérard qui me bourre le cul sans ménagement… Je gémis immédiatement, baisée comme la pute que je suis devenue… « T’aime ça, hein, salope ? » me dit Gérard en me rentrant sa queue de toute sa longueur… Je ne peux répondre qu’un long « ouiiiiiii » en forme de plainte gémissante… Mon cul est bien chaud déjà et mon clito tout raide coule doucement… Alors que la queue de Gérard me baise bien, je regarde devant moi et je vois l’autre passerelle, un peu plus loin, sur laquelle des personnes sont arrêtées… En fait elles nous regardent… Je ne m’y attendais pas mais au fond je m’en fous, je suis fière de me faire baiser par Gérard sur la passerelle… Bien sûr, d’où ils sont, ils ne peuvent pas savoir qui je suis vraiment, cette ambiguïté m’excite… Je voudrai que Gérard me fasse jouir sous leurs yeux… Lui aussi a vu les gens en face et il me dit « regarde salope, tu attires les regards, on va pimenter la scène »… Je ne vois pas bien comment il va pimenter la scène… En fait, il appelle Louis et lui dit « Prends lui les mains et tire là, on va lui faire traverser la passerelle avec ma queue dans le cul »… Louis ne se fait pas prier et me prend les mains pour m’entrainer sur la passerelle… Je reconnais que c’est excitant, surtout de marcher avec la queue de Gérard qui, continue de me baiser… Je ne peux pas m’empêcher de tourner la tête vers les gens sur l’autre passerelle et je constate qu’ils observent toujours… Gérard se fait un plaisir d’en rajouter et me donne des coups de reins monstrueux qui me font mouiller de plus belle… A me savoir observée ainsi, j’ai déjà envie de jouir… Je gémis le plus fort possible pour que les gens entendent mon plaisir…
Louis dit alors « putain quelle chienne celle-là, tout l’excite »… J’en suis flattée… Nous arrivons à la fin de la passerelle et nous disparaissons du regard des autres… Julien, resté en retrait, nous annonce qu’ils sont partis en direction du Casino…
Nous sommes là tous les trois, moi en bas noirs, talons et le cul bien rempli, Louis qui me tient les mains avec un regard lubrique qui en dit long sur ce qu’il aimerait me faire et Gérard qui continue de me baiser mais plus lentement…
Je gémis toujours car sa queue est bonne et même je voudrais jouir… Mais je pense que ce n’est pas ce qu’ils veulent… En effet, Gérard sort de moi, me laissant la rondelle béante… Heureusement, il me remet le plug qui dépasse, je me sens moins vide… Louis, qui me tient toujours les mains, m’entraine vers les marches qui montent vers les Bains. Que veut-il faire ?...
Arrivés en haut, nous sommes sur le bord de la route face à l’entrée des Bains… Moi toujours à poil sur mes talons avec le plug dans la rondelle et le clito baveux en étendard… Louis sort sa queue, déjà un peu raide et me dit « allez, suces salope »… Nous sommes très exposés ici, j’ai un peu de retenue… Une grande claque sur mes fesses me rappelle à l’ordre… « Allez, dépêches-toi salope, tu n’as pas entendu, suces Louis » me dit Gérard… Vaincue, je me penche et gobe la queue de Louis… Tandis que ma langue s’active, Gérard se met à me faire bouger le plug… Mon dieu que c’est bon, ils vont me rendre folle… D’un geste lent au début, Gérard fait maintenant des gestes rapides et ma rondelle s’ouvre et se ferme au rythme des va et vient… J’ai le cul en feu et je recommence à gémir la bouche pleine… « Ce qu’il y a de bien avec ta petite pute, c’est qu’on peut la faire crier n’importe où » rigole Louis… Le pire c’est qu’il a raison… Pour un peu je voudrai qu’ils me fassent jouir comme ça, je suis excitée par la situation et mon clito coule à nouveau… Je tends mon cul en arrière pour que Gérard puisse bien me goder la rondelle avec le plug, c’est trop bon… Julien s’approche et lui aussi sort sa queue et me la tend… Je suce maintenant les deux queues en alternance, ça m’excite… Gérard dit alors « ah ouais les gars, vous elle vous suce et moi je la gode, c’est pas bon ça »… Aussitôt, il retire le plug, à mon grand regret, mais m’att**** les hanches et m’enfile sa queue encore raide dans le cul… Hummm, mon dieu que c’est bon, quand elle franchit ma rondelle et plonge en moi je mouille encore plus… Très vite, elle devient toute raide et me laboure lentement… Il fait presque sortir sa queue de mon trou et y plonge lentement jusqu’à toucher ses couilles entre mes cuisses, un délice… Je râle la bouche pleine… « Cette salope n’en a jamais assez » dit Louis… Oui, c’est vrai que je n’ai pas envie que ça s’arrête…
Nous passons un moment comme ça, moi la bouche bien occupée par les deux queues de Louis et Julien, et Gérard occupé à me limer la rondelle, pour mon plus grand bonheur… Puis, alors que je suis excitée comme jamais, un bruit de moteur retentit… Une voiture vient dans notre direction, elle est encore au bas du parc mais ses phares éclairent la route devant elle, elle ne semble pas aller très vite… Je veux me retirer mais une main vient me plaquer la bouche sur me sexe de Julien, c’est celle de Louis… « Continue de sucer salope, on t’a pas dit d ’arrêter » me dit-il… Ils se marrent mais moi je suis inquiète… Les salauds, à tous les coups ils vont vouloir continuer de me baiser même quand la voiture va passer… Bon, j’essaye de me rassurer en me disant qu’ils sont là tous les trois, à part de passer pour une pute, il ne peut pas m’arriver grand-chose… Je fais donc contre mauvaise fortune, bon cœur… Tandis que je suce et que la queue de Gérard me ravie, je constate que la voiture avance vraiment très lentement… Soudain, j’entends Gérard dire « oh, putain, c’est les flics »… A peine a-t-il prononcer ces mots, qu’il se retire de mon cul et me remet le plug… Les deux autres rentrent leur queue et moi je me retrouve à poil dans la rue avec le cul bien remplit… J’ai le cerveau vide et je ne sais plus que faire, la voiture n’est plus très loin, mais il y a un virage avant d’arriver devant nous et les phares n’éclairent pas encore dans ma direction… Ne sachant que faire, je regarde Gérard, qui me fait signe de partir dans la ruelle qui est à ma gauche et qui contourne les Bains… J’y fonce, en talons, et j’arrive au trottoir d’en face avant que les phares de la voiture de police n’éclairent dans notre direction… Je remonte la ruelle et en regardant derrière moi, je constate que la voiture s’est arrêtée, la lumières des phares ne bouge plus… Ouf, j’ai un petit répit… J’arrive en haut de la ruelle et peut disparaitre de la vue de quelqu’un qui regarderait d’en bas… Cependant il n’y a rien où se cacher si jamais la police venait par ici… Je continue donc d’avancer pour trouver un abri… J’entends alors le bruit du moteur de la voiture qui se met à ronfler et la lumière des phares arrive dans mon dos… J’ai un mouvement de panique, ne sachant où aller, quand finalement, je vois un bosquet sur ma gauche devant une bâtisse… J’y fonce et m’accroupie derrière, le cœur battant… C’est bien la voiture de police qui monte doucement la ruelle… J’aimerai être une petite souris, hélas je suis juste une grosse salope à poil et en talons, avec un truc dans le cul…
Je prie pour que la patrouille ne me trouve pas et qu’elle ne m’amène pas au poste dans cette tenue, pour y être récupérée par ma mère… Je ferme les yeux, espérant secrètement que cela m’aidera à passer inaperçue… On peut être une salope exhibitionniste et être un peu cucu parfois…
Heureusement pour moi, la voiture passe et ne s’arrête pas… Je suis tellement soulagée, j’en pleurerai… Je laisse le temps à la police de disparaitre au loin avant de sortir de ma cachette… Ah la vache, j’ai eu peur cette fois-ci, j’ai bien cru que c’était foutu…
Je me dis que le mieux est de redescendre vers les Bains pour retrouver mes compères qui ont ma robe… Aussi, prudemment, je file dans leur direction… Je constate que mon clito a repris des dimensions plus normales, bien qu’il suinte toujours… Je fais très attention dans la descente de la ruelle avec mes talons, et quand j’arrive vers les Bains, je ne les vois pas… J’ai encore un coup au cœur, où sont-ils passés ?... Je cherche un moment vers où ils auraient pu aller sans les trouver… Je ne sais plus quoi faire, j’ai envie de pleurer…
Je me dis soudain, que la voiture de Gérard est de l’autre côté du parc et que si j’arrive à y aller, je les retrouverais… C’est risqué, car il faut traverser le parc à poil, mais je ne vois pas quoi faire d’autre… Tant pis, j’y vais, je ne vais pas rester là toute la nuit…
Je traverse la route et descend vers le parc. Au début c’est facile, je suis en partie cachée par la végétation et je progresse facilement… Ensuite, je traverse la passerelle et me voilà au-dessus du mini-golf… Là, je ne suis plus très loin de la voiture, quelques centaines de mètres tout au plus, mais il y a le parc à traverser à découvert… Je prends le temps de bien observer les bâtiments du Casino devant moi et heureusement, car au moment où j’allais y aller, je repère un groupe de personnes qui parlent en fumant devant l’entrée… Mince, je ne peux pas traverser sous leurs yeux… Combien de temps vont-ils rester là à discuter ?... Je ne sais plus que faire…
Finalement, je choisis de ne pas attendre plus mais de changer de chemin. Derrière moi, il y a un passage qui contourne le mini-golf et qui ressort plus loin dans le parc, dans une zone moins éclairée. Je me déplace doucement car c’est sombre ici, mais le sol est bien plat et j’arrive sans encombre de l’autre côté du parc, en haut du mini-golf. Il n’y a personne de ce côté, tant mieux. Je contourne des bâtiments bas, les WC et la buvette du parc et j’arrive dans l’axe de l’entrée du Casino, où discutent toujours les personnes de tout à l’heure. Mais là où je suis elles ne peuvent pas bien distinguer ma silhouette car je suis dans une partie peu éclairée du parc.
Je décide donc de traverser cette dernière partie avant de pouvoir remonter sur la route et retrouver la voiture de Gérard. Un dernier coup d’œil aux alentours et je me lance… J’essaye de marcher vite mais pas trop pour ne pas attirer l’attention… La partie délicate et rapidement parcourue et j’arrive aux escaliers, je n’ai vu personne et il me semble que les personnes du Casino ne m’ont pas vue… En montant les marches je me sens étrangement bien, alors que je suis à poil dans le parc, sur mes talons avec un truc dans le cul… Je suis folle…
En débouchant sur le trottoir au niveau de la route, je ne vois personne et je file vers l’endroit où était garé Gérard. J’y arrive en deux minutes mais sa voiture n’est plus là… Encore une fois, je suis abattue et je ne sais vraiment plus quoi faire… Mais où sont-ils passés ?
Alors que je réfléchis à ce que je peux faire, un bruit de moteur se fait entendre… Une voiture vient vers moi, descendant du centre-ville… Là où je suis, à part deux voitures en stationnement, il n’y a rien pour se cacher… Je ne vois qu’une solution, m’accroupir derrière les voitures et tourner autour en même temps que la voiture passe… En risquant un œil pour voir où en est la voiture, j’aperçois un gyrophare, ah la vache c’est encore la police… Et bien sûr, ils roulent doucement… Le temps me parait interminable tandis que le véhicule se rapproche, accroupie, je me déplace doucement moi aussi autour des voitures en stationnement, pour échapper à leur vue…
Finalement, pour la deuxième fois, la voiture passe sans s’arrêter… Je suis très soulagée… Mais bon, maintenant, il me faut envisager la suite… Si je suis seule ici et à poil, il me faut trouver un moyen de rentrer. C’est Julien qui habite le moins loin d’ici. La route qui va chez lui est peu fréquentée la nuit, je dois essayer d’y aller comme je peux. J’ai cependant deux problèmes. Le premier, il me faut traverser encore une partie du bas de la ville pour arriver à la route qui va chez Julien, en passant devant l’entrée sud du Casino... Le deuxième, une fois sur la route, elle est étroite et il n’y a pas d’endroit où se cacher si une voiture arrive…
Bon, en même temps, je n’ai pas vraiment le choix. Je prends le chemin du carrefour plus bas dans la rue. Le bruit de mes talons me parait énorme et la situation grotesque… Arrivée au carrefour, je bifurque à gauche en direction de l’entrée du Casino. Dans cette partie, il y a plus de voitures en stationnement et des arbres, au moins je pourrai m’abriter en cas de danger… Pour l’instant, aucun bruit de voiture et personne à l’horizon, tant mieux…
A suivre, si vous avez aimé…
N’hésitez pas à me laisser un commentaire et un like…
Sabine 07
Julien me soulève et me pose à côté de lui sur la marche. Alors que je veux me relever, Louis m’interpelle « tss, tss, tss, où tu vas salope, nettoie ça d’abord » me dit–il en me tendant sa bite pleine de sperme… Ah oui, c’est vrai, j’oubliais le nettoyage…
En plus, elle est délicieusement bonne cette queue remplie de sperme et elle a le bon goût de leur deux spermes et de mon cul… Quand j’ai fini, c’est celle de Julien que je nettoie et j’avoue que je le fais presque amoureusement…
Les opérations de nettoyage terminées, Julien m’aide à me relever et je cherche à reprendre ma robe. Mais Louis ne semble pas décidé à me la rendre… Bon, ce n’est pas très grave, nous sommes garés juste devant l’entrée du Calvaire, j’irai jusqu’à la voiture ainsi… Il faut m’aider pour descendre du talus car c’est assez en pente et herbeux… Julien se fait un plaisir de me donner la main et j’apprécie d’être accompagnée ainsi… Une fois devant l’entrée, le sol est bétonné et c’est plus facile de se déplacer avec des talons…
Nous traversons la rue et arrivés devant la voiture j’attends ma robe. Mais là encore, Louis se montre réticent… « On devrait aller faire un tour au parc » dit Louis… « Oui, très bonne idée, ça fait un moment qu’on y est pas allé » répond Gérard… « Et notre salope n’a qu’à y aller comme ça » reprend Louis… Ben voyons… C’est Gérard qui trouve une solution, en me tendant une sorte de veste grise légère, un peu courte et qui ne ferme pas… Bon, c’est nouveau ça, mais c’est mieux que rien… Je l’enfile et en effet, il faut que je la tienne croisée devant moi pour cacher mon clito, cependant, elle est assez courte et ça ne cache pas le plug qui dépasse derrière…
Ainsi équipée, je dois redescendre du Calvaire jusqu’à la rue principale. Tandis que je commence à descendre, Gérard fait demi-tour avec la voiture et me rejoint. Les gars sont tous dans la voiture et je suis la seule à marcher… La bonne nouvelle, c’est que marcher ainsi avec le plug dans la rondelle me chauffe doucement… C’est très agréable le frottement du plug dans mon ventre, ça et le bruit des talons, je suis bien…
Ils roulent à faible allure à côté de moi et j’entends leurs commentaires… « De dos c’est très bien cette veste, on voit un peu son cul mais surtout le truc qui dépasse dedans » s’exclame Louis… « Cela fait chaudasse qui cherche du cul » rigole Gérard… Les autres se marrent…
La dernière partie de la pente est assez raide, je dois faire attention avec les talons. Finalement, je débouche sur la rue Jean Jaures et je bifurque à droite en direction de la pharmacie du pont. Heureusement, il n’y a personne, sinon, avec ma silhouette j’aurai du mal à cacher ma particularité… Bizarrement, à marcher là sur le trottoir, avec mes talons et le plug, je me sens parfaitement bien… Une envie pressante m’oblige à faire une halte devant le parking de la petite place du Générale de Gaulle, sur une partie gazonnée. Pour le coup, avec cette veste qui ne ferme pas, c’est facile de satisfaire ses besoins. Je lâche la veste qui s’ouvre toute seule et je m’accroupie pour faire mon petit pipi tranquille.
Une fois soulagée, je me redresse et je reprends le chemin du parc. A la fin du parking, je traverse la route en face de la pharmacie, en ayant pris soin de m’assurer que des voitures n’arrivent pas. Ce qui est bien la nuit, c’est qu’entre les phares et le bruit des moteurs qu’on entend de loin, on peut anticiper la venue des véhicules. Je marche sur le trottoir, descendant la rue tandis que mes compères roulent au pas de l’autre côté de la chaussée. Le bruit de mes talons résonne dans la nuit et je me sens toujours bien. Le plug me procure une sensation très agréable qui me chauffe un peu…
J’arrive à l’entrée du Parc de Vals les Bains et Gérard se gare juste un peu plus loin, devant l’hôtel St Jacques. Je les rejoins et alors que je pense que je vais monter en voiture, ils m’entrainent dans le parc… Après la descente des marches qui mènent dans le parc, ils me font traverser en direction du mini-golf, mais je ne dois pas tenir ma veste, elle doit rester ouverte… Bon, ce n’est pas difficile, vu l’heure tardive il n’y a personne dans le parc… Cependant, nous passons face à l’entrée nord du Casino de Vals, et là, il y a quelques joueurs qui discutent sur le perron… Je ne sais pas ce qu’ils voient d’où ils sont mais ça ne doit pas les inquiéter car aucun ne réagit… Nous sommes devant le mini-golf et Gérard me fait monter les quelques marches qui donnent accès à la passerelle qui traverse la Volane… Juste avant la passerelle, il y a une esplanade et Gérard me dit « tu vas me sucer ici salope, enlève ta veste »…
Je ne m’y attendais pas mais c’est vrai que c’est le seul à qui je n’ai rien fait ce soir, il faut réparer cette injustice… Je m’exécute, tend ma veste à Julien et je prends sa queue dans ma bouche… Accroupie ainsi, le plug ressort énormément de mon cul, ça doit être un beau spectacle… Ma langue s’active et la queue de Gérard devient vite toute dure…. Tandis que je suce, Louis vient faire bouger le plug avec son pied, cela me procure des sensations excitantes… Il décrit des cercles avec son pied et le plug tourne dans ma rondelle, me faisant mouiller… Humm, c’est bon de sucer tout en se faisant exciter la rondelle… Je commence à gémir la bouche pleine et j’entends Louis dire « écoutez là cette petite pute comme elle couine du cul, elle n’en a jamais assez celle-là »… Ouiiii, c’est vrai et je suis de plus en plus excitée de ce qu’ils me font… Louis enlève son pied, s’accroupit derrière moi et att**** le plug avec sa main… Il commence à le faire entrer et sortir de ma rondelle, quel délice…Du sperme suinte de mon trou et lubrifie l’extérieur de ma rondelle… Je gémis plus fort et c’est encore pire quand il fait presque sortir le plug avant de me l’enfiler d’un coup, mon dieu que c’est bon… « Putain, cette salope aime ça en plus » dit Louis… Mon clito s’allonge, c’est divin… Gérard aussi semble excité de m’entendre gémir sous cette caresse… Soudain, il se retire de ma bouche et m’entraine vers la passerelle… Il m’y penche sur la rambarde, fait bouger le plug avant de le retirer et m’empale sur sa queue tendue… Elle rentre toute seule d’un coup, je suis bien lubrifiée au sperme… Je pousse un long gémissement de bonheur, mon dieu que c’est bon… Appuyée à la rambarde, je subis les assauts délicieux de Gérard qui me bourre le cul sans ménagement… Je gémis immédiatement, baisée comme la pute que je suis devenue… « T’aime ça, hein, salope ? » me dit Gérard en me rentrant sa queue de toute sa longueur… Je ne peux répondre qu’un long « ouiiiiiii » en forme de plainte gémissante… Mon cul est bien chaud déjà et mon clito tout raide coule doucement… Alors que la queue de Gérard me baise bien, je regarde devant moi et je vois l’autre passerelle, un peu plus loin, sur laquelle des personnes sont arrêtées… En fait elles nous regardent… Je ne m’y attendais pas mais au fond je m’en fous, je suis fière de me faire baiser par Gérard sur la passerelle… Bien sûr, d’où ils sont, ils ne peuvent pas savoir qui je suis vraiment, cette ambiguïté m’excite… Je voudrai que Gérard me fasse jouir sous leurs yeux… Lui aussi a vu les gens en face et il me dit « regarde salope, tu attires les regards, on va pimenter la scène »… Je ne vois pas bien comment il va pimenter la scène… En fait, il appelle Louis et lui dit « Prends lui les mains et tire là, on va lui faire traverser la passerelle avec ma queue dans le cul »… Louis ne se fait pas prier et me prend les mains pour m’entrainer sur la passerelle… Je reconnais que c’est excitant, surtout de marcher avec la queue de Gérard qui, continue de me baiser… Je ne peux pas m’empêcher de tourner la tête vers les gens sur l’autre passerelle et je constate qu’ils observent toujours… Gérard se fait un plaisir d’en rajouter et me donne des coups de reins monstrueux qui me font mouiller de plus belle… A me savoir observée ainsi, j’ai déjà envie de jouir… Je gémis le plus fort possible pour que les gens entendent mon plaisir…
Louis dit alors « putain quelle chienne celle-là, tout l’excite »… J’en suis flattée… Nous arrivons à la fin de la passerelle et nous disparaissons du regard des autres… Julien, resté en retrait, nous annonce qu’ils sont partis en direction du Casino…
Nous sommes là tous les trois, moi en bas noirs, talons et le cul bien rempli, Louis qui me tient les mains avec un regard lubrique qui en dit long sur ce qu’il aimerait me faire et Gérard qui continue de me baiser mais plus lentement…
Je gémis toujours car sa queue est bonne et même je voudrais jouir… Mais je pense que ce n’est pas ce qu’ils veulent… En effet, Gérard sort de moi, me laissant la rondelle béante… Heureusement, il me remet le plug qui dépasse, je me sens moins vide… Louis, qui me tient toujours les mains, m’entraine vers les marches qui montent vers les Bains. Que veut-il faire ?...
Arrivés en haut, nous sommes sur le bord de la route face à l’entrée des Bains… Moi toujours à poil sur mes talons avec le plug dans la rondelle et le clito baveux en étendard… Louis sort sa queue, déjà un peu raide et me dit « allez, suces salope »… Nous sommes très exposés ici, j’ai un peu de retenue… Une grande claque sur mes fesses me rappelle à l’ordre… « Allez, dépêches-toi salope, tu n’as pas entendu, suces Louis » me dit Gérard… Vaincue, je me penche et gobe la queue de Louis… Tandis que ma langue s’active, Gérard se met à me faire bouger le plug… Mon dieu que c’est bon, ils vont me rendre folle… D’un geste lent au début, Gérard fait maintenant des gestes rapides et ma rondelle s’ouvre et se ferme au rythme des va et vient… J’ai le cul en feu et je recommence à gémir la bouche pleine… « Ce qu’il y a de bien avec ta petite pute, c’est qu’on peut la faire crier n’importe où » rigole Louis… Le pire c’est qu’il a raison… Pour un peu je voudrai qu’ils me fassent jouir comme ça, je suis excitée par la situation et mon clito coule à nouveau… Je tends mon cul en arrière pour que Gérard puisse bien me goder la rondelle avec le plug, c’est trop bon… Julien s’approche et lui aussi sort sa queue et me la tend… Je suce maintenant les deux queues en alternance, ça m’excite… Gérard dit alors « ah ouais les gars, vous elle vous suce et moi je la gode, c’est pas bon ça »… Aussitôt, il retire le plug, à mon grand regret, mais m’att**** les hanches et m’enfile sa queue encore raide dans le cul… Hummm, mon dieu que c’est bon, quand elle franchit ma rondelle et plonge en moi je mouille encore plus… Très vite, elle devient toute raide et me laboure lentement… Il fait presque sortir sa queue de mon trou et y plonge lentement jusqu’à toucher ses couilles entre mes cuisses, un délice… Je râle la bouche pleine… « Cette salope n’en a jamais assez » dit Louis… Oui, c’est vrai que je n’ai pas envie que ça s’arrête…
Nous passons un moment comme ça, moi la bouche bien occupée par les deux queues de Louis et Julien, et Gérard occupé à me limer la rondelle, pour mon plus grand bonheur… Puis, alors que je suis excitée comme jamais, un bruit de moteur retentit… Une voiture vient dans notre direction, elle est encore au bas du parc mais ses phares éclairent la route devant elle, elle ne semble pas aller très vite… Je veux me retirer mais une main vient me plaquer la bouche sur me sexe de Julien, c’est celle de Louis… « Continue de sucer salope, on t’a pas dit d ’arrêter » me dit-il… Ils se marrent mais moi je suis inquiète… Les salauds, à tous les coups ils vont vouloir continuer de me baiser même quand la voiture va passer… Bon, j’essaye de me rassurer en me disant qu’ils sont là tous les trois, à part de passer pour une pute, il ne peut pas m’arriver grand-chose… Je fais donc contre mauvaise fortune, bon cœur… Tandis que je suce et que la queue de Gérard me ravie, je constate que la voiture avance vraiment très lentement… Soudain, j’entends Gérard dire « oh, putain, c’est les flics »… A peine a-t-il prononcer ces mots, qu’il se retire de mon cul et me remet le plug… Les deux autres rentrent leur queue et moi je me retrouve à poil dans la rue avec le cul bien remplit… J’ai le cerveau vide et je ne sais plus que faire, la voiture n’est plus très loin, mais il y a un virage avant d’arriver devant nous et les phares n’éclairent pas encore dans ma direction… Ne sachant que faire, je regarde Gérard, qui me fait signe de partir dans la ruelle qui est à ma gauche et qui contourne les Bains… J’y fonce, en talons, et j’arrive au trottoir d’en face avant que les phares de la voiture de police n’éclairent dans notre direction… Je remonte la ruelle et en regardant derrière moi, je constate que la voiture s’est arrêtée, la lumières des phares ne bouge plus… Ouf, j’ai un petit répit… J’arrive en haut de la ruelle et peut disparaitre de la vue de quelqu’un qui regarderait d’en bas… Cependant il n’y a rien où se cacher si jamais la police venait par ici… Je continue donc d’avancer pour trouver un abri… J’entends alors le bruit du moteur de la voiture qui se met à ronfler et la lumière des phares arrive dans mon dos… J’ai un mouvement de panique, ne sachant où aller, quand finalement, je vois un bosquet sur ma gauche devant une bâtisse… J’y fonce et m’accroupie derrière, le cœur battant… C’est bien la voiture de police qui monte doucement la ruelle… J’aimerai être une petite souris, hélas je suis juste une grosse salope à poil et en talons, avec un truc dans le cul…
Je prie pour que la patrouille ne me trouve pas et qu’elle ne m’amène pas au poste dans cette tenue, pour y être récupérée par ma mère… Je ferme les yeux, espérant secrètement que cela m’aidera à passer inaperçue… On peut être une salope exhibitionniste et être un peu cucu parfois…
Heureusement pour moi, la voiture passe et ne s’arrête pas… Je suis tellement soulagée, j’en pleurerai… Je laisse le temps à la police de disparaitre au loin avant de sortir de ma cachette… Ah la vache, j’ai eu peur cette fois-ci, j’ai bien cru que c’était foutu…
Je me dis que le mieux est de redescendre vers les Bains pour retrouver mes compères qui ont ma robe… Aussi, prudemment, je file dans leur direction… Je constate que mon clito a repris des dimensions plus normales, bien qu’il suinte toujours… Je fais très attention dans la descente de la ruelle avec mes talons, et quand j’arrive vers les Bains, je ne les vois pas… J’ai encore un coup au cœur, où sont-ils passés ?... Je cherche un moment vers où ils auraient pu aller sans les trouver… Je ne sais plus quoi faire, j’ai envie de pleurer…
Je me dis soudain, que la voiture de Gérard est de l’autre côté du parc et que si j’arrive à y aller, je les retrouverais… C’est risqué, car il faut traverser le parc à poil, mais je ne vois pas quoi faire d’autre… Tant pis, j’y vais, je ne vais pas rester là toute la nuit…
Je traverse la route et descend vers le parc. Au début c’est facile, je suis en partie cachée par la végétation et je progresse facilement… Ensuite, je traverse la passerelle et me voilà au-dessus du mini-golf… Là, je ne suis plus très loin de la voiture, quelques centaines de mètres tout au plus, mais il y a le parc à traverser à découvert… Je prends le temps de bien observer les bâtiments du Casino devant moi et heureusement, car au moment où j’allais y aller, je repère un groupe de personnes qui parlent en fumant devant l’entrée… Mince, je ne peux pas traverser sous leurs yeux… Combien de temps vont-ils rester là à discuter ?... Je ne sais plus que faire…
Finalement, je choisis de ne pas attendre plus mais de changer de chemin. Derrière moi, il y a un passage qui contourne le mini-golf et qui ressort plus loin dans le parc, dans une zone moins éclairée. Je me déplace doucement car c’est sombre ici, mais le sol est bien plat et j’arrive sans encombre de l’autre côté du parc, en haut du mini-golf. Il n’y a personne de ce côté, tant mieux. Je contourne des bâtiments bas, les WC et la buvette du parc et j’arrive dans l’axe de l’entrée du Casino, où discutent toujours les personnes de tout à l’heure. Mais là où je suis elles ne peuvent pas bien distinguer ma silhouette car je suis dans une partie peu éclairée du parc.
Je décide donc de traverser cette dernière partie avant de pouvoir remonter sur la route et retrouver la voiture de Gérard. Un dernier coup d’œil aux alentours et je me lance… J’essaye de marcher vite mais pas trop pour ne pas attirer l’attention… La partie délicate et rapidement parcourue et j’arrive aux escaliers, je n’ai vu personne et il me semble que les personnes du Casino ne m’ont pas vue… En montant les marches je me sens étrangement bien, alors que je suis à poil dans le parc, sur mes talons avec un truc dans le cul… Je suis folle…
En débouchant sur le trottoir au niveau de la route, je ne vois personne et je file vers l’endroit où était garé Gérard. J’y arrive en deux minutes mais sa voiture n’est plus là… Encore une fois, je suis abattue et je ne sais vraiment plus quoi faire… Mais où sont-ils passés ?
Alors que je réfléchis à ce que je peux faire, un bruit de moteur se fait entendre… Une voiture vient vers moi, descendant du centre-ville… Là où je suis, à part deux voitures en stationnement, il n’y a rien pour se cacher… Je ne vois qu’une solution, m’accroupir derrière les voitures et tourner autour en même temps que la voiture passe… En risquant un œil pour voir où en est la voiture, j’aperçois un gyrophare, ah la vache c’est encore la police… Et bien sûr, ils roulent doucement… Le temps me parait interminable tandis que le véhicule se rapproche, accroupie, je me déplace doucement moi aussi autour des voitures en stationnement, pour échapper à leur vue…
Finalement, pour la deuxième fois, la voiture passe sans s’arrêter… Je suis très soulagée… Mais bon, maintenant, il me faut envisager la suite… Si je suis seule ici et à poil, il me faut trouver un moyen de rentrer. C’est Julien qui habite le moins loin d’ici. La route qui va chez lui est peu fréquentée la nuit, je dois essayer d’y aller comme je peux. J’ai cependant deux problèmes. Le premier, il me faut traverser encore une partie du bas de la ville pour arriver à la route qui va chez Julien, en passant devant l’entrée sud du Casino... Le deuxième, une fois sur la route, elle est étroite et il n’y a pas d’endroit où se cacher si une voiture arrive…
Bon, en même temps, je n’ai pas vraiment le choix. Je prends le chemin du carrefour plus bas dans la rue. Le bruit de mes talons me parait énorme et la situation grotesque… Arrivée au carrefour, je bifurque à gauche en direction de l’entrée du Casino. Dans cette partie, il y a plus de voitures en stationnement et des arbres, au moins je pourrai m’abriter en cas de danger… Pour l’instant, aucun bruit de voiture et personne à l’horizon, tant mieux…
A suivre, si vous avez aimé…
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Sabine 07
2 年 前