Je te pisse dessus
Lors de nos balades dans la campagne, nous avions retenu cette cabane de forestiers.
Pour accéder à la cabane du bois pentu, nous avions notre propre chemin. Après un méandre de la rivière, on trouve un chemin qui monte en lacets vers le sommet. Le nôtre commençait un peu plus loin. Il était un peu plus minéral, un peu plus dégagé aussi mais nettement plus raide. Il n'était pas tracé. Il menait pas loin du sommet, à la cabane des forestiers.
Nous avions découvert cette cabane par hasard lors d'une recherche de morilles et par une belle journée de printemps. Elle nous avait plu, tout de suite. En pierres sèches, un toit herbacé, une petite fenêtre, une porte assez basse. Simple et de belles proportions. Très saine. L'intérieur, très sombre, contenait une lourde table de bois brut et deux bancs; une lampe à pétrole pendait au plafond; un morceau de miroir incongru était accroché à la petite fenêtre sous laquelle on trouvait un vaste évier assez profond en granit rose. La cheminée contenait encore des restes de flambée. Aucun lit.
Autant la cabane que le chemin vers la cabane nous plaisaient. Ces lieux sont chargés de rituels pour nous. Si bien que lorsque tu m'emmènes dans ces parages, je sais ce qui nous attend. Et ces retrouvailles m'excitent.
Un jour de balade où j'étais triste, tu as inventé une friandise pour me distraire.
Notre chemin comporte juste avant d'atteindre la cabane, un passage assez long et difficile où il est préférable de grimper à quatre pattes. Ce jour-là, au pied de ce passage, tu me dis d'attendre. Tu montes seule. De deux mètres. Et tu ôtes ta jupe. Ah ? Tu te retournes, tu ôtes ta culotte. Oh ? Ton superbe cul poilu apparaît, oh! beauté divine! Tu me jettes ta culotte. Je l'attr ape, je la retourne. Le fond est taché, blanchâtre, jaunâtre. Encore crémeux ou déjà sec. Je le sens. Oh, salope, tu as bien fait de ne pas te laver pendant trois jours. Je le lèche, c'est salé.
Mais tu es à quatre pattes et tu commences à monter. J'en fait autant deux mètres derrière toi. Je contemple ton cul qui se dandine en avançant pas à pas. Un net jet d'urine jaillit. J'ai failli le rater. Tu fais un autre pas, un jet jaillit. Tu avances encore en pissant. Ça jaillit, ça arrose tes pieds, ça coule le long de tes cuisses, de tes jambes alors que tu avances. C'est devenu le premier rituel de l'endroit.
Ça marche. Je ne pense plus qu'à te suivre à la trace. Mes idées noires se sont envolées. Je sens l'urine sur les pierres.
Tu atteins la cabane. Attends-moi. Je te rejoins, je suis à tes pieds. Je lèche. Je remonte le long de tes jambes, de tes cuisses. Ton buisson touffu est parsemé de rosée. J'y plonge, je lèche, je bois. Merci merveilleuse salope pour tes inventions subtiles.
Mais tu n'en a pas fini. Maintenant ton rituel. Tu m'entraînes à l'intérieur. Nos yeux s'habituent à la pénombre. Tu finis de te déshabiller. Tu es nue. Tes seins pendent langoureusement. Tu me dis de me déshabiller aussi. Tu mates bien, hein, quand je fais ça. Et tu me sollicites, tu as besoin d'aide pour monter dans l'évier. Tu t'y asseois. Tu me demandes de monter sur la paillasse. Je n'y tient pas debout, je reste courbé. Et j'entends « Pisse! » « Sais-tu que ça me plaît ce que tu demandes ? » « Ta gueule. Pisse. » Je m'exécute d'autant plus volontiers que j'ai envie. Le premier jet c'est pour ta tronche. Tu as eu à peine le temps de fermer les yeux. Ouvre ta chatte. Je dirige les jet vers ta chatte. Une lèvre faseille sous la puissance du jet. Soulève tes seins — mieux que ça. Et je les arrose. Ouvre la bouche. Avale. Je pisse, je dirige le jet partout sur toi. Tu réclames, tu ouvres la bouche. Je m'approche de toi. Je glisse mon sexe dans ta bouche qui se referme dessus et je pisse. Doucement. Tes joues se gonflent lentement. Ta bouche explose. Tu halètes. Après avoir essuyé ton visage avec tes mains, tu me regardes, tu es rayonnante.
Je crois que je t'ai fait plaisir et qu'on recommencera.
Pour accéder à la cabane du bois pentu, nous avions notre propre chemin. Après un méandre de la rivière, on trouve un chemin qui monte en lacets vers le sommet. Le nôtre commençait un peu plus loin. Il était un peu plus minéral, un peu plus dégagé aussi mais nettement plus raide. Il n'était pas tracé. Il menait pas loin du sommet, à la cabane des forestiers.
Nous avions découvert cette cabane par hasard lors d'une recherche de morilles et par une belle journée de printemps. Elle nous avait plu, tout de suite. En pierres sèches, un toit herbacé, une petite fenêtre, une porte assez basse. Simple et de belles proportions. Très saine. L'intérieur, très sombre, contenait une lourde table de bois brut et deux bancs; une lampe à pétrole pendait au plafond; un morceau de miroir incongru était accroché à la petite fenêtre sous laquelle on trouvait un vaste évier assez profond en granit rose. La cheminée contenait encore des restes de flambée. Aucun lit.
Autant la cabane que le chemin vers la cabane nous plaisaient. Ces lieux sont chargés de rituels pour nous. Si bien que lorsque tu m'emmènes dans ces parages, je sais ce qui nous attend. Et ces retrouvailles m'excitent.
Un jour de balade où j'étais triste, tu as inventé une friandise pour me distraire.
Notre chemin comporte juste avant d'atteindre la cabane, un passage assez long et difficile où il est préférable de grimper à quatre pattes. Ce jour-là, au pied de ce passage, tu me dis d'attendre. Tu montes seule. De deux mètres. Et tu ôtes ta jupe. Ah ? Tu te retournes, tu ôtes ta culotte. Oh ? Ton superbe cul poilu apparaît, oh! beauté divine! Tu me jettes ta culotte. Je l'attr ape, je la retourne. Le fond est taché, blanchâtre, jaunâtre. Encore crémeux ou déjà sec. Je le sens. Oh, salope, tu as bien fait de ne pas te laver pendant trois jours. Je le lèche, c'est salé.
Mais tu es à quatre pattes et tu commences à monter. J'en fait autant deux mètres derrière toi. Je contemple ton cul qui se dandine en avançant pas à pas. Un net jet d'urine jaillit. J'ai failli le rater. Tu fais un autre pas, un jet jaillit. Tu avances encore en pissant. Ça jaillit, ça arrose tes pieds, ça coule le long de tes cuisses, de tes jambes alors que tu avances. C'est devenu le premier rituel de l'endroit.
Ça marche. Je ne pense plus qu'à te suivre à la trace. Mes idées noires se sont envolées. Je sens l'urine sur les pierres.
Tu atteins la cabane. Attends-moi. Je te rejoins, je suis à tes pieds. Je lèche. Je remonte le long de tes jambes, de tes cuisses. Ton buisson touffu est parsemé de rosée. J'y plonge, je lèche, je bois. Merci merveilleuse salope pour tes inventions subtiles.
Mais tu n'en a pas fini. Maintenant ton rituel. Tu m'entraînes à l'intérieur. Nos yeux s'habituent à la pénombre. Tu finis de te déshabiller. Tu es nue. Tes seins pendent langoureusement. Tu me dis de me déshabiller aussi. Tu mates bien, hein, quand je fais ça. Et tu me sollicites, tu as besoin d'aide pour monter dans l'évier. Tu t'y asseois. Tu me demandes de monter sur la paillasse. Je n'y tient pas debout, je reste courbé. Et j'entends « Pisse! » « Sais-tu que ça me plaît ce que tu demandes ? » « Ta gueule. Pisse. » Je m'exécute d'autant plus volontiers que j'ai envie. Le premier jet c'est pour ta tronche. Tu as eu à peine le temps de fermer les yeux. Ouvre ta chatte. Je dirige les jet vers ta chatte. Une lèvre faseille sous la puissance du jet. Soulève tes seins — mieux que ça. Et je les arrose. Ouvre la bouche. Avale. Je pisse, je dirige le jet partout sur toi. Tu réclames, tu ouvres la bouche. Je m'approche de toi. Je glisse mon sexe dans ta bouche qui se referme dessus et je pisse. Doucement. Tes joues se gonflent lentement. Ta bouche explose. Tu halètes. Après avoir essuyé ton visage avec tes mains, tu me regardes, tu es rayonnante.
Je crois que je t'ai fait plaisir et qu'on recommencera.
2 年 前