Week-end spécial
Nous étions dans le grenier, D, P, la sœur d’une amie, dom expérimentée. et mon mec
On a décidé d’infliger à mes seins le pire des outrages : la pendaison. P me fait mettre à quatre pattes pour que mes seins pendent bien pour ainsi pouvoir les lier serrés. Je me retrouve sous le palan à chaîne, une sangle velcro autour de chaque cuisse, chacune munie d’un bracelet velcro qui me tient le bras le long du corps.
Deux sangles en cuir, de longueur réglable, munie chacune de deux pinces, m’entourent les cuisses et ouvrent largement mon sexe.
Le palan m’amène doucement sur la pointe des pieds. Inquiétant mais supportable : je vois les seins congestionnés. On m’a attaché une corde à la cheville gauche. P ordonne à mon homme de tirer. Je suis maintenant sur un pied, une jambe relevée latéralement, ouverte. P enfonce ses doigts et me caresse très durement. Elle fait tourner la chaîne et je quitte le sol. J’ai le souffle coupé. Ça dure quelques secondes, P a glissé un bloc de bois sous le pied droit. Le jeu recommence plusieurs fois (7-8) : pénétration, traction, bloc…
On a fixé une corde sur la cheville droite. D sur demande de P, tire et met la droite dans la même position que la gauche. Je suis pendue, complètement ouverte. P me glisse à l’oreille qu’elle va m’arracher les mamelles, me détruire les seins et j’en passe.
P glisse un tréteau sous moi et commence à me faire descendre. C’est lent un palan à chaîne. Quand je vais toucher, elle me pousse en arrière pour que je me pose en oblique sur la brosse à poils durs fixée sur le tréteau. C’est le clito qui prend. Mon petit trou est épargné…
Détachée, la séance a pu continuer.
Lundi, mes hommes étaient excités quand ils ont vu les dégâts du week-end...
On a décidé d’infliger à mes seins le pire des outrages : la pendaison. P me fait mettre à quatre pattes pour que mes seins pendent bien pour ainsi pouvoir les lier serrés. Je me retrouve sous le palan à chaîne, une sangle velcro autour de chaque cuisse, chacune munie d’un bracelet velcro qui me tient le bras le long du corps.
Deux sangles en cuir, de longueur réglable, munie chacune de deux pinces, m’entourent les cuisses et ouvrent largement mon sexe.
Le palan m’amène doucement sur la pointe des pieds. Inquiétant mais supportable : je vois les seins congestionnés. On m’a attaché une corde à la cheville gauche. P ordonne à mon homme de tirer. Je suis maintenant sur un pied, une jambe relevée latéralement, ouverte. P enfonce ses doigts et me caresse très durement. Elle fait tourner la chaîne et je quitte le sol. J’ai le souffle coupé. Ça dure quelques secondes, P a glissé un bloc de bois sous le pied droit. Le jeu recommence plusieurs fois (7-8) : pénétration, traction, bloc…
On a fixé une corde sur la cheville droite. D sur demande de P, tire et met la droite dans la même position que la gauche. Je suis pendue, complètement ouverte. P me glisse à l’oreille qu’elle va m’arracher les mamelles, me détruire les seins et j’en passe.
P glisse un tréteau sous moi et commence à me faire descendre. C’est lent un palan à chaîne. Quand je vais toucher, elle me pousse en arrière pour que je me pose en oblique sur la brosse à poils durs fixée sur le tréteau. C’est le clito qui prend. Mon petit trou est épargné…
Détachée, la séance a pu continuer.
Lundi, mes hommes étaient excités quand ils ont vu les dégâts du week-end...
2 年 前