2023 - Vacances Septembre – Alice et Eric
Duchesse est adorable, femme de poigne, Directrice d’une société d’informatique…
Il faut qu’elle vive des moments intenses pour se libérer de son stress…
Éric, c’est pareil et ils font la paire dans leur VW rouge et blanc…
Tandis que notre Duchesse se livrait à son sport préféré, la baignade, son mari Eric avait flashé sur Alice, la femme de John, lors du pot de bienvenue…
Comme eux, le couple aimait les sports nautiques, proches des 40 ans, ils se délectaient de ces spots merveilleux, en participant à quelques courses séniors….
Comme Duchesse, Alice avait baissé ses prétentions, et ne faisait que des démos, des galas…
Plus libérés que le couple précédent, Alice et John échangeaient dès que possible, hors de leur ville, de leur monde, dans ces lieux magiques où tout portait à faire corps avec la nature et exprimer ses passions, dans un relâchement sexuel complet…
Alice aimait les femmes… Mais ne détestait pas se livrer quelques heures à des jeux libertins avec des athlètes attirants et biens foutus…
Elle aimait l’eau, les plaisirs du sexe, elle flasha sur Duchesse…
Pendant la soirée, elle se débrouilla pour venir près d’elle, dans le but de faire connaissance…
Elle fut fascinée par cette femme, vive, belle, livrant son corps à la nature…
Elle était prête à la séduire…
Mais elle remarqua que John, son mari, venait de l’inviter à danser…
Duchesse se libérait de ses carcans grâce à des substances euphorisantes, des joints naturels, découverts en Amérique du Sud. Elle ne s’en cachait pas…
Éric, était à son côté, lui parlait de sa femme, de leur relation libertine, de ses excès…
Elle buvait, fumait, et cela le perturbait, car Duchesse devenait instable…
Il avait besoin de parler, de trouver des amitiés, de se donner des moments de plaisir…
Elle en profita, car il était très beau, elle le séduisit…
Une heure plus tard, ils étaient seuls, allongés autour du feu, à parler de leurs vie professionnelle et conjugale…
Ils en rirent, et elle le suivit dans l’eau…
Nue et très désirable, elle n’avait aucune crainte, elle lui plaisait…
Elle avait tout fait pour en arriver là… Faire connaissance du couple, et par ce biais, elle attendrait Duchesse…
Le baiser qu’il lui vola dans l’eau, la rassura…
Elle le lui rendit et passa à l’action…
Elle s’était saisie du membre d’Éric et le caressait sous l’eau, se laissant elle-même emporter par les délices de ce qu’il lui faisait… Ils étaient à deux doigts de baiser dans les vagues…
- J’aime mon confort… Je ne désire pas passer la nuit à macérer dans l’eau salée…
- Je vais t’emporter dans un hôtel de luxe…
- Ah ? Tu crois que je vais te suivre ? Je n’ai pas dit oui, j’ai juste profité…
La tente était vaste… Un sourire vint éclairer son visage…
- Un copain et un service, surveiller sa tente… Il est parti hier au soir, et revient dans la semaine…
- Ah !... C’est magique d’être à l’abri du vent, et des regards indiscrets…
Les matelas étaient assez moelleux, ils roulèrent en s’embrassant, elle ouvrit ses cuisses sous la main qui s’activait déjà dans sa vulve…
- Oh, bien entendu que c’est oui… Caresse-moi, lèche-moi, j’ai besoin d’amour aussi… Viens ! Fais-moi oublier ma vie d’épouse délaissée…
Calée par un oreiller, indécemment offerte, sa toison éparse se mit à briller sous la langue d’Éric, et il commença un cunnilingus à la faire gémir comme une chatte en chaleur…
Elle prit la bite qui devenait imposante et la glissa entre ses lèvres…
Ils se mirent en 69 naturellement…
Le gland disparut rapidement dans sa bouche…
Les seins d’Alice glissaient sur la poitrine d’Éric, allongé sur le dos…
Elle gémissait des traitements qu’il lui procurait, indécemment écartelée…
Mais ils étaient seuls, et en sécurité, dans leur abri de tissus…
Elle lui avait parlé autour du feu, en mangeant, après deux verres de rosé, de son attirance pour les femmes, en particulier pour la sienne…
Elle avait raconté son mariage, son mari et leurs accords concernant leur vie conjugale…
Ils aimaient la nature, elle aimait les enfants, elle ne pouvait pas en avoir…
Il se détournait d’elle de plus en plus…
De ce fait, elle compensa par des amies, qu’elle voyait le soir, sans lui, ou quand il partait en compétition…
Les femmes sont douces, tendres, cela la libérait…
Elle aimait ces rencontres dans des clubs spécialisés, des hôtels de luxe, où elle trouvait des personnes à son niveau…
Elle accorda à son mari, le droit de prendre du plaisir de son côté, juste pour le sexe, et il avait aimé cet accord libertin… Il savait qu’elle rencontrait des femmes, des lesbiennes, en clubs privés…
Ils rencontrèrent quelques couples, mais, elle préférait choisir des amantes plutôt que d’échanger… Ils essayèrent des couples lesbiens… Elle fut ravie de quelques rencontres…
Mais plusieurs fois, elle se retrouva seule à se masturber dans le salon, en les entendant jouir tous les trois…
Sacré baiseur son John…
Là, dans les compétitions et les soirées surfeurs, elle pouvait choisir…
Dommage que Duchesse soit partie avec son mari…
- Pas pour moi… Tu es venue te réfugier vers moi… Et pour Duchesse, ce n’est pas mort, tu verras… Je peux faire des miracles…
- Tu aimerais que je baise avec ta femme ?
- Pourquoi pas ? Duchesse aime les sensations fortes… Tu lui plairas certainement, dès qu’elle s’apercevra que tu la désires, et qu’elle redescendra…
- On va se baigner ?
Alice était en train de réviser son jugement…
Il la suçait depuis près d’une demi-heure, en pleine nature…
Elle était trempée de désir, elle se masturba devant lui, se libérant de la pression…
- Bravo ! Si tu fais mon travail…
- Je… Sais pas… Prends-moi… J’ai envie de toi…
Allongée sur le dos, cuisses ouvertes, elle s’offrit, repliant ses genoux, sexe grand ouvert…
Le membre trouva le puits d’amour détrempé et il n’eut aucun mal à le pénétrer…
Alice n’en revenait pas de jouir autant…
Elle pensait à Duchesse, à leur conversation de tout à l’heure, mais ce qu’elle ressentait avec Éric semblait nouveau… Différent de son mari… Pourtant elle avait eu des amants, avant et depuis… La semaine passée aussi, mais rien d’aussi intense… Elle en profita…
Ils changèrent de position, elle aima découvrir certains angles très invasifs…
Elle prit l’initiative pour se faire plaisir elle-même, le savourant en amazone, se donnant la cadence, multipliant ses orgasmes…
Puis elle s’offrit en levrette…
- Prends-moi par derrière ! Je ne le fais jamais la première fois et rarement plus tard… Tu seras une exception… Viens !… Baise-moi, je suis salope ce soir ! Mets-la moi profond dans mon cul de bourgeoise en mal de sexe…
Il ne se le fait pas dire deux fois…
Il savoure en regardant ce cul magnifique, l’anus sombre et tentant, les fesses écartées par les mains d’Alice, un peu stressée, sans doute…
Il y va doucement, d’un doigt bien humide, étalant ses sécrétions de femme, et plaçant le gland sur l’anus…
Puis il pousse lentement et le gland ouvre sa voie royale, passant la rondelle sans difficulté, et plongeant délicatement dans les chairs tendres de son organe…
Quel délire de l’entendre jouir !
Lentement, accélérant, au plus profond, elle se tortille, tremble de plaisir, le veut, se donne, orgasme en vociférant…
- Oh oui, que c’est bon… Tu me baises, je suis catin, déflorée du cul !... Jamais je n’ai joui comme ça… Recommence !... Ejacule dans mon fion ! Fais de moi ta soumise…
- Tu veux que je masturbe ta chatte en même temps ?
- Oh, oui ! Fais-le-moi ! Une double pénétration !... J’avais essayé y a longtemps, catastrophe !... Vas-y glisse tes doigts… Oh, je vais jouir !...
- Viens aussi, câline-toi le clito…
Elle s’envole dans des orgasmes puissants, se triturant la chatte, poussant mes doigts en elle, et s’offrant au maximum à une sodomie princière !
Alice, un cadeau du ciel que je baise pendant plus d’une heure, par tous les trous, éjaculant trois fois, la maculant de sperme comme si c’était la première fois !...
- Tu m’as éclatée… Je n’ai jamais joui autant ! De partout, et j’ai encore envie de te sentir glisser dans mon vagin, déclencher des tsunami dans mon ventre, libérer mes papillons…
- J’ai aimé te séduire, t’embrasser, te caresser, te prendre, t’aimer, te faire l’amour, tu es divine, on s’entend super… Je veux te revoir…
- Moi aussi… Avec Duchesse, ce serait un rêve… Et John ?
- Tu crois ? Elle aimerait ?
- Sais-pas… A voir… Mais nous c’est pas fini… Le soleil n’est pas levé !
- Prends-moi dans l’eau… Fais-moi jouir entre les vagues, baise-moi debout, empalée sur ton membre que j’adore !
- Il faudra le câliner aussi pour le faire repartir…. Je suis pas superman !
L’eau est chaude, car l’air a fraichi un peu, et c’est une délice de s’embrasser, de se caresser, et pas besoin d’aide, il bande dès qu’il me touche…
Je plonge pour vérifier… Je m’étouffe, j’suis pas bonne en apnée…
Il me prend, me baise, me fourre, me tronche, me coulisse sur sa bite plantée dans mes entrailles…
Je m’accroche à son cou, je vis des instants magiques, délivrant des orgasmes intenses, que c’est bon l’amour avec des gens qu’on aime…
Oui… Je suis en train de tomber amoureuse de lui…
Il est gentil, intense, intelligent, sincère, amant merveilleux, tendre… Je craque…
Je me redonne à lui au bord de l’eau, il me sodomise, et ça c’est un record…
Je me sens libre, légère, libertine, à sa merci, aimée, désirée, il me serre fort contre lui et ses lèvres me réchauffent… Son baiser est super magique, je craque, je l’aime !
On retourne se réchauffer dans la tente… Café, jus d’orange, bière…
Séchés, enlacés sous une couette, on s’endort… Heureux, délivrés, assouvis…
J’ai vraiment baisé comme rare…
Mon mari a de belles cornes ce matin…
Oui, ce n’était plus juste du sexe, mais un mélange affectif, une attirance démente, une entente d’exception, un coup de queue, un coup de foudre !
Oui, sa queue me séduit, je la sens contre moi, reposée…
J’ai envie de lui…
Mes doigts glissent dans ma vulve, je pars lentement, je coule, je me prends, deux doigts, jusqu’au bout de mon vagin, et je jouis, seule, délivrée de ce trouble qui me taraudait le ventre… Que c’est bon de se masturber d’amour !
Je n’avais jamais connu un tel désir…
Je ne suis pas adepte de la masturbation, quelques fois, un manque, je peux jouir avec des femmes, mais manquer de ce plaisir d’être pénétrée et de jouir sous je joug d’un amant, ou d’un jouet…
Je me colle contre lui, fatiguée, sereine, heureuse…
- Bonjour ma douce !
- Oh, c’est demain ?
- Oui !... Le soleil est levé, les autres sont partis… Tiens café ou thé ?
- Café, je dois me laver…
- A gauche, sanitaires, propres, serviettes là, devant toi…
Je tombe dans ses bras, on se serre, on s’embrasse… J’ai envie de lui…
Mais non, trop tôt… ses yeux coquins me scrutent…
Il veut laver mes seins, ma chatte, sa main glisse dans ma fente…
Je mouille comme une ado !
Je me laisse tripoter, écartelée, il me caresse, tourne un doigt coquin sur mon clitoris…
Je feule, je jouis, je veux le doigt et l’homme !
Il m’emporte au nirvana, en position du Lotus, me baisant avec passion, tendresse, caressant mes seins, mettant le feu partout, je me donne à lui, ouverte, écartelée, il va au bout, me tringle, me désaccorde, me fait un enfant, puis me prend dans ses bras, et je le suce avec art, salivant les dernières gouttes…
Je le lui ai dit…
Oui, ça a fusé, quand il m’a faite jouir, j’ai murmuré un « je t’aime », discret, mais réel…
J’ai senti une onde de plaisir si intense…
- Tu me plais aussi… Je ne veux plus te quitter…
- Moi non plus !
Je descends à la plage, couverte d’une chemisette, les seins à l’air, heureux d’être honorés à ce point…
Je préfère l’eau salée… Je nage, me baigne, je pense à hier soir, à ce matin, je suis folle !
Je vais dans mon Van… Il est vide et bien rangé…
Je me change, je prends un sac, mes papiers et quelques affaires plus chaudes…
La tente est fermée avec un cadenas : 2054…
J’ouvre…
Elle est là !...
Sous le duvet, seule, dormant profondément…
Duchesse !... Enfin…
Je fais glisser ma chemise, et m’allonge contre elle…
Elle remue, se glisse contre moi, cherchant la chaleur…
Il fait un peu de lumière, je vois son visage, son nez fin, ses lèvres…
Elle a l’air calme et je m’endors aussi…
Je la sens bouger…
Ses lèvres me disent bonjour…
- Oh, oui… Duchesse…
- Alice, la femme de John ? Oui, bien sûr… Vous avez baisé ici ? Je ne suis pas jalouse, ce sont nos accords… Les tiens aussi avec Éric ? Tu as des lèvres adorables…
- Quelques minutes plus tôt, elles suçaient le sexe de ton époux, comme tu as dû le faire avec le mien…
- Exact… Des passionnées de câlins, des libertines voulant s’échapper de leur monde… Quelques instants, trouver des raisons de vivre, du plaisir, du partage, s’offrir, être désirée, baiser…
- Moi, j’étais venue pour toi… A quelques secondes près, tu t’es tournée vers John, et j’ai compris… Je me suis alors tournée vers le tien… Et voilà…
- Tu dis que tu me cherchais ? Tu voulais qu’on se connaisse ? Entre femmes ?
- Oui, j’aime la tendresse, mais je ne regrette pas cette soirée…
- Éric est merveilleux, comme ton John… Je l’ai savouré…
On se regarde, on se détaille, on se glisse l’une contre l’autre…
Ses yeux brillent dans la pénombre de la tente…
Je découvre ses trésors peu à peu, ses yeux pervenche et or, ses cheveux teintés de reflets roux, blonds, cuivres… Ses seins comme les miens, formés en poire, avec des bouts rosés, un ventre plat, des cuisses fortes de sportive, une peau halée par le soleil…
Je craque déjà en découvrant son sexe blond, à la toison naturelle, éparse, contenue sur son pubis… Un tapis d’amour…
John a du se régaler à écarter ses lèvres roses avec la langue, et savourer son sexe, véritable œuvre d’art qu’elle me dévoile sans pudeur….
J’écarte mes cuisses en parlant, frotte mes seins contre les siens, elle sourit…
- Tu nous connaissais ?
- Non, juste rencontrés deux secondes en arrivant sur le spot, pour le vin de bienvenue et j’ai eu envie de te connaitre mieux… Comme maintenant…
- Alors… Si je te disais que pendant ces deux secondes, je n’ai vu que ton sourire… Que j’ai gardé en mémoire ton prénom, et la courbe de tes seins en dinant… Puis John t’a parlé, et je n’ai plus existé… Je t’ai vu prendre des cachets, boire de l’alcool, puis tu as disparu avec lui… Éric était là, me regardait, je lui ai parlé, on s’est plus tout de suite et on s’est baignés…
- C’est là qu’il t’a…
- Oui, baisée dans les flots, puis on est remontés et on a trouvé ici, où on a passé la nuit… Et toi ?
- John m’a ensorcelée, j’ai ressenti mes papillons danser, je n’ai pas résisté plus longtemps, il me plaisait… Je me suis donnée à lui dans les dunes… je me suis donnée à la terre entière, je ressentais tout autour de moi, le vent, la mer, et ce sexe qui m’emportait dans un monde merveilleux, grâce à mes produits magiques qui me font planer…
- Tu prends du chite ?
- Un genre, c’est nouveau, c’est du chemsex… On plane mieux, plus loin, c’est le pied de baiser avec ça, ça désinhibe, on ressent tout, on jouit plus vite, plus fort, j’adore… Rien n’est interdit, c’est le pied ! Tu veux goûter ? Tu vas me dévorer !
- J’ai déjà envie de toi, alors pourquoi pas…
Je suce un cachet bleu, mes yeux dans les siens, sa main dans ma chatte…
La tente vacille, je m’allonge sur elle, j’ai envie d’elle, j’ai envie d’un sexe, de jouir…
Puis me laisse conduire… Quelques instants et je me sens légère… Je ressens ses premières caresses, ses baisers et mon sexe devient le centre du monde…
Mes seins gonflent, ma vulve s’ouvre…
J’ai envie de faire l’amour…
On se met en ciseaux et on frotte nos sexes…
Imbriquées, on devient amantes, nos vulves ouvertes et baveuses de nos nectars de femme, échangent leurs sécrétions, comme un cunnilingus de l’extrême et on jouit ensemble…
Elle me masturbe comme un homme, on se met en 69, on se découvre, je plane et je jouis en feulant…
Elle me montre ce qu’elle aime, fouillant dans mes organes, déclenchant des explosions de désir, des jeux interdits, des cris de hyènes taraudées par notre délire extrême…
J’ai envie d’elle, de son sexe, de le lécher, le boire, trouver son point G pour la faire exploser, et gicler sa fontaine…
Ses seins sont doux, ses tétons sont durs, gros, mes doigts découvrent son anus, plongent et elle se laisse sodomiser en ondulant contre moi, écartelée…
Elle grogne, jouit, pleure de plaisir, vibrant de mes doigts qui explorent ses moindres recoins saphiques…
On s’embrasse, on s’enlace, elle resuce un cachet, m’en tend un, et on fait l’amour comme deux tigresses…
Je plane en sentant mon corps s’embraser sous sa langue et ses mains, je ressens tout, c’est divin, des extases de plusieurs minutes, des orgasmes qui me font voir des étoiles, et chaque caresse est magique…
Nos corps fusionnent, nos esprits se comprennent, nos mains se cherchent, nos lèvres se conjuguent, démantelées sur ce matelas, ivres de plaisir, gémissant nos ébats, je rêve, je deviens folle d’elle, m’en repais, nos corps se serrent, s’enlacent, dans un parfait ballet des sens…
Je suis muette… On se regarde, aucun centimètre de ma peau ne lui a échappé et pareil pour elle…
- C’est dément ton truc… Il me semble être sortie de mon corps pour nous regarder jouir, et je suis comme une autre, amoureuse et comblée de tes caresses, de tes baisers, remplie d’une plénitude magique, femme libre et libertine…
- Je ne peux m’en passer, mais ce n’est pas une drogue… Quand j’ai envie de sexe, j’en prends, et qui ce soit me fera jouir comme un étalon… Je ressens tout cent fois plus intensément, plus torride, plus profond et quoi qu’on me fasse, me porte à jouir comme une nymphomane… Mais si je bois de l’alcool, c’est pire, plus risqué, plus hard, comme si ils étaient plusieurs à me violer… J’aime parfois perdre le nord et franchir les limites du réel, me laisser porter, me regarder faire l‘amour, me voir comme si on me filmait, être sodomisée, en salope, remplie de foutre, assaillie par une harde de chiens en rut…
- Ici, ils sont calmes et gentils…
- Il y a des malades, qui viennent pour faire des orgies, avec de l’alcool, baiser tout ce qui bouge, passer des heures à nous prendre, ensemble, trois ou quatre, ou en chaîne, nous arroser de foutre comme des putains… Et souvent nous avilir, nous battre, pour qu’on demande grâce, avec une ultime fellation…
- Tu exagères pour te punir de quoi ?
- D’être moi, sans amis vrais, sans but, sans enfant, sans passe-temps, n’aimer que ça, baiser, baiser et rebaiser… Sans amour ! Un travail de folle, où je suis méchante parfois… Alors il me faut compenser, même mon ami ne sait pas s’y prendre…
- Tu es si désirable, tendre, sensuelle, agréable, intelligente… On ne peut que t’aimer…
- Au début, mais après c’est pour mon cul ! Même les femmes veulent me baiser… Toi ?
- Oh, moi, j’ai eu envie de te connaitre, je sens ton désarroi, mais ne partage pas… J’aime ta richesse, tes goûts, tu as plein de tendresse en toi, il suffit d’aller la chercher… Quand tu me faisais l’amour, je pensais à un tableau, un poème, et tes doigts écrivaient les notes, les mots, sur ma peau et je ressentais ta beauté, ce que tu essayais de me donner de toi… J’en jouissais, et ça c’est nouveau, jamais ressenti !
- On ne m’a jamais dit ça… C’est vrai… Je cherche à puiser dans l’autre, mais donner en premier… Tu es adorable de penser cela… Alice… J’ai apprécié que tu partages un peu de mon crack… J’aime cette drogue douce qui nous accompagne dans l’acte sexuel, le rend unique, idéal, puissant, intense… Quand on te baise, tu ressens la bite en toi, tu ne peux que jouir encore et encore, te donner, jusqu’à ce qu’il explose en toi, et par derrière c’est un festin, de sentir le sexe violer ton intimité de femme, sans jamais faire mal, même si il te prend à sec, comme si le produit faisait glisser les bites dans tes méats… Tu le ressens alors remplir ton rectum, tu t’ouvres encore plus, gémissant, criant ta folie, appelant pour te faire inséminer…
- Tu dois avoir du mal si tu n’en prends pas… Fade ?
- Non, j’arrive à jouir s’il s’y prend bien… Éric est puissant et bon amant… Souvent c’est moi qui vais le chercher… Il craque vite, et j’aime sucer sa longue bite, la sentir vibrer sous ma langue… J’aime la fellation, je coule et je jouis violemment… Et là, il n’a plus qu’à me pénétrer à sa guise, je suis prête, pleine de désir, mes sens en émoi, on baise alors comme des fous, parfois brutaux, me burinant comme un marteau-piqueur… Là, je griffe, écorche, je suis capable de mordre pour libérer mon stress, de le vider de son sperme en le terminant… On regarde aussi des pornos pour trouver des idées… On a des jouets, des lanières, des menottes, des pinces…
- Quelquefois je prends les commandes et le dirige de A à Z…
- Il aime ?
- Oui, une fois je l’ai attaché sur le lit. Je voulais me venger… J’avais invité un homme qui m’a prise pendant des heures devant lui…
J’étais déchaînée ce jour-là ! C’était un black, un agent de sécurité auquel je faisais appel parfois, pour des opérations de surveillance.
J’en avais rêvé plusieurs fois, mais je ne mélange pas…
Il me désirait en secret… Je lui ai dit que mon mari me trompait et je voulais le punir.
Il m’a déglinguée avec son pieu de chair, comme une poupée de chiffon, m’a possédée devant lui, je griffais les draps, son dos, suçais le sexe de John, en le sentant me sodomiser comme une catin… Je criais à en perdre la voix, j’étais en transes, j’étais une autre…
Je criais sans m’en rendre compte, tant je jouissais, dans toutes le positions, me donnant en perverse, la chatte perforée, le cul grand ouvert, je braillais comme une truie, heureuse, j’avais pris mes cachets magiques, Il m’a attachée à côté John, il a terminé dans ma bouche et m’a forcé à embrasser mon mari, en avalant son sperme !
- Il était Machiavélique…
- Oui, je n’ai jamais connu un homme comme ça, sans limite, amoureux transi… Il a démissionné peu après… J’ai pris une cuite ce soir-là… Dans une chambre d’hôtel… Avec un serveur-surfeur, un ex, un bon ! John était à Londres, dans sa famille…
Maintenant, Duchesse est devenue mon amie.
On se téléphone, et on se voit, on fait des soirées fondues…
Nos maris nous partagent, nous échangent, nous regardent faire l’amour, parfois avec une troisième femme. Ils nous sortent dans des clubs libertins, l’hiver c’est là qu’il fait chaud et nous aussi, on est chaudes et sensuelles… On met le feu au club, jusqu’au petit matin, culbutées par des inconnus, d’autres femmes, des scènes d’un autre monde…
FIN de 2023 - Vacances Septembre – Éric et Alice
Marika84 – septembre 2023
Il faut qu’elle vive des moments intenses pour se libérer de son stress…
Éric, c’est pareil et ils font la paire dans leur VW rouge et blanc…
Tandis que notre Duchesse se livrait à son sport préféré, la baignade, son mari Eric avait flashé sur Alice, la femme de John, lors du pot de bienvenue…
Comme eux, le couple aimait les sports nautiques, proches des 40 ans, ils se délectaient de ces spots merveilleux, en participant à quelques courses séniors….
Comme Duchesse, Alice avait baissé ses prétentions, et ne faisait que des démos, des galas…
Plus libérés que le couple précédent, Alice et John échangeaient dès que possible, hors de leur ville, de leur monde, dans ces lieux magiques où tout portait à faire corps avec la nature et exprimer ses passions, dans un relâchement sexuel complet…
Alice aimait les femmes… Mais ne détestait pas se livrer quelques heures à des jeux libertins avec des athlètes attirants et biens foutus…
Elle aimait l’eau, les plaisirs du sexe, elle flasha sur Duchesse…
Pendant la soirée, elle se débrouilla pour venir près d’elle, dans le but de faire connaissance…
Elle fut fascinée par cette femme, vive, belle, livrant son corps à la nature…
Elle était prête à la séduire…
Mais elle remarqua que John, son mari, venait de l’inviter à danser…
Duchesse se libérait de ses carcans grâce à des substances euphorisantes, des joints naturels, découverts en Amérique du Sud. Elle ne s’en cachait pas…
Éric, était à son côté, lui parlait de sa femme, de leur relation libertine, de ses excès…
Elle buvait, fumait, et cela le perturbait, car Duchesse devenait instable…
Il avait besoin de parler, de trouver des amitiés, de se donner des moments de plaisir…
Elle en profita, car il était très beau, elle le séduisit…
Une heure plus tard, ils étaient seuls, allongés autour du feu, à parler de leurs vie professionnelle et conjugale…
Ils en rirent, et elle le suivit dans l’eau…
Nue et très désirable, elle n’avait aucune crainte, elle lui plaisait…
Elle avait tout fait pour en arriver là… Faire connaissance du couple, et par ce biais, elle attendrait Duchesse…
Le baiser qu’il lui vola dans l’eau, la rassura…
Elle le lui rendit et passa à l’action…
Elle s’était saisie du membre d’Éric et le caressait sous l’eau, se laissant elle-même emporter par les délices de ce qu’il lui faisait… Ils étaient à deux doigts de baiser dans les vagues…
- J’aime mon confort… Je ne désire pas passer la nuit à macérer dans l’eau salée…
- Je vais t’emporter dans un hôtel de luxe…
- Ah ? Tu crois que je vais te suivre ? Je n’ai pas dit oui, j’ai juste profité…
La tente était vaste… Un sourire vint éclairer son visage…
- Un copain et un service, surveiller sa tente… Il est parti hier au soir, et revient dans la semaine…
- Ah !... C’est magique d’être à l’abri du vent, et des regards indiscrets…
Les matelas étaient assez moelleux, ils roulèrent en s’embrassant, elle ouvrit ses cuisses sous la main qui s’activait déjà dans sa vulve…
- Oh, bien entendu que c’est oui… Caresse-moi, lèche-moi, j’ai besoin d’amour aussi… Viens ! Fais-moi oublier ma vie d’épouse délaissée…
Calée par un oreiller, indécemment offerte, sa toison éparse se mit à briller sous la langue d’Éric, et il commença un cunnilingus à la faire gémir comme une chatte en chaleur…
Elle prit la bite qui devenait imposante et la glissa entre ses lèvres…
Ils se mirent en 69 naturellement…
Le gland disparut rapidement dans sa bouche…
Les seins d’Alice glissaient sur la poitrine d’Éric, allongé sur le dos…
Elle gémissait des traitements qu’il lui procurait, indécemment écartelée…
Mais ils étaient seuls, et en sécurité, dans leur abri de tissus…
Elle lui avait parlé autour du feu, en mangeant, après deux verres de rosé, de son attirance pour les femmes, en particulier pour la sienne…
Elle avait raconté son mariage, son mari et leurs accords concernant leur vie conjugale…
Ils aimaient la nature, elle aimait les enfants, elle ne pouvait pas en avoir…
Il se détournait d’elle de plus en plus…
De ce fait, elle compensa par des amies, qu’elle voyait le soir, sans lui, ou quand il partait en compétition…
Les femmes sont douces, tendres, cela la libérait…
Elle aimait ces rencontres dans des clubs spécialisés, des hôtels de luxe, où elle trouvait des personnes à son niveau…
Elle accorda à son mari, le droit de prendre du plaisir de son côté, juste pour le sexe, et il avait aimé cet accord libertin… Il savait qu’elle rencontrait des femmes, des lesbiennes, en clubs privés…
Ils rencontrèrent quelques couples, mais, elle préférait choisir des amantes plutôt que d’échanger… Ils essayèrent des couples lesbiens… Elle fut ravie de quelques rencontres…
Mais plusieurs fois, elle se retrouva seule à se masturber dans le salon, en les entendant jouir tous les trois…
Sacré baiseur son John…
Là, dans les compétitions et les soirées surfeurs, elle pouvait choisir…
Dommage que Duchesse soit partie avec son mari…
- Pas pour moi… Tu es venue te réfugier vers moi… Et pour Duchesse, ce n’est pas mort, tu verras… Je peux faire des miracles…
- Tu aimerais que je baise avec ta femme ?
- Pourquoi pas ? Duchesse aime les sensations fortes… Tu lui plairas certainement, dès qu’elle s’apercevra que tu la désires, et qu’elle redescendra…
- On va se baigner ?
Alice était en train de réviser son jugement…
Il la suçait depuis près d’une demi-heure, en pleine nature…
Elle était trempée de désir, elle se masturba devant lui, se libérant de la pression…
- Bravo ! Si tu fais mon travail…
- Je… Sais pas… Prends-moi… J’ai envie de toi…
Allongée sur le dos, cuisses ouvertes, elle s’offrit, repliant ses genoux, sexe grand ouvert…
Le membre trouva le puits d’amour détrempé et il n’eut aucun mal à le pénétrer…
Alice n’en revenait pas de jouir autant…
Elle pensait à Duchesse, à leur conversation de tout à l’heure, mais ce qu’elle ressentait avec Éric semblait nouveau… Différent de son mari… Pourtant elle avait eu des amants, avant et depuis… La semaine passée aussi, mais rien d’aussi intense… Elle en profita…
Ils changèrent de position, elle aima découvrir certains angles très invasifs…
Elle prit l’initiative pour se faire plaisir elle-même, le savourant en amazone, se donnant la cadence, multipliant ses orgasmes…
Puis elle s’offrit en levrette…
- Prends-moi par derrière ! Je ne le fais jamais la première fois et rarement plus tard… Tu seras une exception… Viens !… Baise-moi, je suis salope ce soir ! Mets-la moi profond dans mon cul de bourgeoise en mal de sexe…
Il ne se le fait pas dire deux fois…
Il savoure en regardant ce cul magnifique, l’anus sombre et tentant, les fesses écartées par les mains d’Alice, un peu stressée, sans doute…
Il y va doucement, d’un doigt bien humide, étalant ses sécrétions de femme, et plaçant le gland sur l’anus…
Puis il pousse lentement et le gland ouvre sa voie royale, passant la rondelle sans difficulté, et plongeant délicatement dans les chairs tendres de son organe…
Quel délire de l’entendre jouir !
Lentement, accélérant, au plus profond, elle se tortille, tremble de plaisir, le veut, se donne, orgasme en vociférant…
- Oh oui, que c’est bon… Tu me baises, je suis catin, déflorée du cul !... Jamais je n’ai joui comme ça… Recommence !... Ejacule dans mon fion ! Fais de moi ta soumise…
- Tu veux que je masturbe ta chatte en même temps ?
- Oh, oui ! Fais-le-moi ! Une double pénétration !... J’avais essayé y a longtemps, catastrophe !... Vas-y glisse tes doigts… Oh, je vais jouir !...
- Viens aussi, câline-toi le clito…
Elle s’envole dans des orgasmes puissants, se triturant la chatte, poussant mes doigts en elle, et s’offrant au maximum à une sodomie princière !
Alice, un cadeau du ciel que je baise pendant plus d’une heure, par tous les trous, éjaculant trois fois, la maculant de sperme comme si c’était la première fois !...
- Tu m’as éclatée… Je n’ai jamais joui autant ! De partout, et j’ai encore envie de te sentir glisser dans mon vagin, déclencher des tsunami dans mon ventre, libérer mes papillons…
- J’ai aimé te séduire, t’embrasser, te caresser, te prendre, t’aimer, te faire l’amour, tu es divine, on s’entend super… Je veux te revoir…
- Moi aussi… Avec Duchesse, ce serait un rêve… Et John ?
- Tu crois ? Elle aimerait ?
- Sais-pas… A voir… Mais nous c’est pas fini… Le soleil n’est pas levé !
- Prends-moi dans l’eau… Fais-moi jouir entre les vagues, baise-moi debout, empalée sur ton membre que j’adore !
- Il faudra le câliner aussi pour le faire repartir…. Je suis pas superman !
L’eau est chaude, car l’air a fraichi un peu, et c’est une délice de s’embrasser, de se caresser, et pas besoin d’aide, il bande dès qu’il me touche…
Je plonge pour vérifier… Je m’étouffe, j’suis pas bonne en apnée…
Il me prend, me baise, me fourre, me tronche, me coulisse sur sa bite plantée dans mes entrailles…
Je m’accroche à son cou, je vis des instants magiques, délivrant des orgasmes intenses, que c’est bon l’amour avec des gens qu’on aime…
Oui… Je suis en train de tomber amoureuse de lui…
Il est gentil, intense, intelligent, sincère, amant merveilleux, tendre… Je craque…
Je me redonne à lui au bord de l’eau, il me sodomise, et ça c’est un record…
Je me sens libre, légère, libertine, à sa merci, aimée, désirée, il me serre fort contre lui et ses lèvres me réchauffent… Son baiser est super magique, je craque, je l’aime !
On retourne se réchauffer dans la tente… Café, jus d’orange, bière…
Séchés, enlacés sous une couette, on s’endort… Heureux, délivrés, assouvis…
J’ai vraiment baisé comme rare…
Mon mari a de belles cornes ce matin…
Oui, ce n’était plus juste du sexe, mais un mélange affectif, une attirance démente, une entente d’exception, un coup de queue, un coup de foudre !
Oui, sa queue me séduit, je la sens contre moi, reposée…
J’ai envie de lui…
Mes doigts glissent dans ma vulve, je pars lentement, je coule, je me prends, deux doigts, jusqu’au bout de mon vagin, et je jouis, seule, délivrée de ce trouble qui me taraudait le ventre… Que c’est bon de se masturber d’amour !
Je n’avais jamais connu un tel désir…
Je ne suis pas adepte de la masturbation, quelques fois, un manque, je peux jouir avec des femmes, mais manquer de ce plaisir d’être pénétrée et de jouir sous je joug d’un amant, ou d’un jouet…
Je me colle contre lui, fatiguée, sereine, heureuse…
- Bonjour ma douce !
- Oh, c’est demain ?
- Oui !... Le soleil est levé, les autres sont partis… Tiens café ou thé ?
- Café, je dois me laver…
- A gauche, sanitaires, propres, serviettes là, devant toi…
Je tombe dans ses bras, on se serre, on s’embrasse… J’ai envie de lui…
Mais non, trop tôt… ses yeux coquins me scrutent…
Il veut laver mes seins, ma chatte, sa main glisse dans ma fente…
Je mouille comme une ado !
Je me laisse tripoter, écartelée, il me caresse, tourne un doigt coquin sur mon clitoris…
Je feule, je jouis, je veux le doigt et l’homme !
Il m’emporte au nirvana, en position du Lotus, me baisant avec passion, tendresse, caressant mes seins, mettant le feu partout, je me donne à lui, ouverte, écartelée, il va au bout, me tringle, me désaccorde, me fait un enfant, puis me prend dans ses bras, et je le suce avec art, salivant les dernières gouttes…
Je le lui ai dit…
Oui, ça a fusé, quand il m’a faite jouir, j’ai murmuré un « je t’aime », discret, mais réel…
J’ai senti une onde de plaisir si intense…
- Tu me plais aussi… Je ne veux plus te quitter…
- Moi non plus !
Je descends à la plage, couverte d’une chemisette, les seins à l’air, heureux d’être honorés à ce point…
Je préfère l’eau salée… Je nage, me baigne, je pense à hier soir, à ce matin, je suis folle !
Je vais dans mon Van… Il est vide et bien rangé…
Je me change, je prends un sac, mes papiers et quelques affaires plus chaudes…
La tente est fermée avec un cadenas : 2054…
J’ouvre…
Elle est là !...
Sous le duvet, seule, dormant profondément…
Duchesse !... Enfin…
Je fais glisser ma chemise, et m’allonge contre elle…
Elle remue, se glisse contre moi, cherchant la chaleur…
Il fait un peu de lumière, je vois son visage, son nez fin, ses lèvres…
Elle a l’air calme et je m’endors aussi…
Je la sens bouger…
Ses lèvres me disent bonjour…
- Oh, oui… Duchesse…
- Alice, la femme de John ? Oui, bien sûr… Vous avez baisé ici ? Je ne suis pas jalouse, ce sont nos accords… Les tiens aussi avec Éric ? Tu as des lèvres adorables…
- Quelques minutes plus tôt, elles suçaient le sexe de ton époux, comme tu as dû le faire avec le mien…
- Exact… Des passionnées de câlins, des libertines voulant s’échapper de leur monde… Quelques instants, trouver des raisons de vivre, du plaisir, du partage, s’offrir, être désirée, baiser…
- Moi, j’étais venue pour toi… A quelques secondes près, tu t’es tournée vers John, et j’ai compris… Je me suis alors tournée vers le tien… Et voilà…
- Tu dis que tu me cherchais ? Tu voulais qu’on se connaisse ? Entre femmes ?
- Oui, j’aime la tendresse, mais je ne regrette pas cette soirée…
- Éric est merveilleux, comme ton John… Je l’ai savouré…
On se regarde, on se détaille, on se glisse l’une contre l’autre…
Ses yeux brillent dans la pénombre de la tente…
Je découvre ses trésors peu à peu, ses yeux pervenche et or, ses cheveux teintés de reflets roux, blonds, cuivres… Ses seins comme les miens, formés en poire, avec des bouts rosés, un ventre plat, des cuisses fortes de sportive, une peau halée par le soleil…
Je craque déjà en découvrant son sexe blond, à la toison naturelle, éparse, contenue sur son pubis… Un tapis d’amour…
John a du se régaler à écarter ses lèvres roses avec la langue, et savourer son sexe, véritable œuvre d’art qu’elle me dévoile sans pudeur….
J’écarte mes cuisses en parlant, frotte mes seins contre les siens, elle sourit…
- Tu nous connaissais ?
- Non, juste rencontrés deux secondes en arrivant sur le spot, pour le vin de bienvenue et j’ai eu envie de te connaitre mieux… Comme maintenant…
- Alors… Si je te disais que pendant ces deux secondes, je n’ai vu que ton sourire… Que j’ai gardé en mémoire ton prénom, et la courbe de tes seins en dinant… Puis John t’a parlé, et je n’ai plus existé… Je t’ai vu prendre des cachets, boire de l’alcool, puis tu as disparu avec lui… Éric était là, me regardait, je lui ai parlé, on s’est plus tout de suite et on s’est baignés…
- C’est là qu’il t’a…
- Oui, baisée dans les flots, puis on est remontés et on a trouvé ici, où on a passé la nuit… Et toi ?
- John m’a ensorcelée, j’ai ressenti mes papillons danser, je n’ai pas résisté plus longtemps, il me plaisait… Je me suis donnée à lui dans les dunes… je me suis donnée à la terre entière, je ressentais tout autour de moi, le vent, la mer, et ce sexe qui m’emportait dans un monde merveilleux, grâce à mes produits magiques qui me font planer…
- Tu prends du chite ?
- Un genre, c’est nouveau, c’est du chemsex… On plane mieux, plus loin, c’est le pied de baiser avec ça, ça désinhibe, on ressent tout, on jouit plus vite, plus fort, j’adore… Rien n’est interdit, c’est le pied ! Tu veux goûter ? Tu vas me dévorer !
- J’ai déjà envie de toi, alors pourquoi pas…
Je suce un cachet bleu, mes yeux dans les siens, sa main dans ma chatte…
La tente vacille, je m’allonge sur elle, j’ai envie d’elle, j’ai envie d’un sexe, de jouir…
Puis me laisse conduire… Quelques instants et je me sens légère… Je ressens ses premières caresses, ses baisers et mon sexe devient le centre du monde…
Mes seins gonflent, ma vulve s’ouvre…
J’ai envie de faire l’amour…
On se met en ciseaux et on frotte nos sexes…
Imbriquées, on devient amantes, nos vulves ouvertes et baveuses de nos nectars de femme, échangent leurs sécrétions, comme un cunnilingus de l’extrême et on jouit ensemble…
Elle me masturbe comme un homme, on se met en 69, on se découvre, je plane et je jouis en feulant…
Elle me montre ce qu’elle aime, fouillant dans mes organes, déclenchant des explosions de désir, des jeux interdits, des cris de hyènes taraudées par notre délire extrême…
J’ai envie d’elle, de son sexe, de le lécher, le boire, trouver son point G pour la faire exploser, et gicler sa fontaine…
Ses seins sont doux, ses tétons sont durs, gros, mes doigts découvrent son anus, plongent et elle se laisse sodomiser en ondulant contre moi, écartelée…
Elle grogne, jouit, pleure de plaisir, vibrant de mes doigts qui explorent ses moindres recoins saphiques…
On s’embrasse, on s’enlace, elle resuce un cachet, m’en tend un, et on fait l’amour comme deux tigresses…
Je plane en sentant mon corps s’embraser sous sa langue et ses mains, je ressens tout, c’est divin, des extases de plusieurs minutes, des orgasmes qui me font voir des étoiles, et chaque caresse est magique…
Nos corps fusionnent, nos esprits se comprennent, nos mains se cherchent, nos lèvres se conjuguent, démantelées sur ce matelas, ivres de plaisir, gémissant nos ébats, je rêve, je deviens folle d’elle, m’en repais, nos corps se serrent, s’enlacent, dans un parfait ballet des sens…
Je suis muette… On se regarde, aucun centimètre de ma peau ne lui a échappé et pareil pour elle…
- C’est dément ton truc… Il me semble être sortie de mon corps pour nous regarder jouir, et je suis comme une autre, amoureuse et comblée de tes caresses, de tes baisers, remplie d’une plénitude magique, femme libre et libertine…
- Je ne peux m’en passer, mais ce n’est pas une drogue… Quand j’ai envie de sexe, j’en prends, et qui ce soit me fera jouir comme un étalon… Je ressens tout cent fois plus intensément, plus torride, plus profond et quoi qu’on me fasse, me porte à jouir comme une nymphomane… Mais si je bois de l’alcool, c’est pire, plus risqué, plus hard, comme si ils étaient plusieurs à me violer… J’aime parfois perdre le nord et franchir les limites du réel, me laisser porter, me regarder faire l‘amour, me voir comme si on me filmait, être sodomisée, en salope, remplie de foutre, assaillie par une harde de chiens en rut…
- Ici, ils sont calmes et gentils…
- Il y a des malades, qui viennent pour faire des orgies, avec de l’alcool, baiser tout ce qui bouge, passer des heures à nous prendre, ensemble, trois ou quatre, ou en chaîne, nous arroser de foutre comme des putains… Et souvent nous avilir, nous battre, pour qu’on demande grâce, avec une ultime fellation…
- Tu exagères pour te punir de quoi ?
- D’être moi, sans amis vrais, sans but, sans enfant, sans passe-temps, n’aimer que ça, baiser, baiser et rebaiser… Sans amour ! Un travail de folle, où je suis méchante parfois… Alors il me faut compenser, même mon ami ne sait pas s’y prendre…
- Tu es si désirable, tendre, sensuelle, agréable, intelligente… On ne peut que t’aimer…
- Au début, mais après c’est pour mon cul ! Même les femmes veulent me baiser… Toi ?
- Oh, moi, j’ai eu envie de te connaitre, je sens ton désarroi, mais ne partage pas… J’aime ta richesse, tes goûts, tu as plein de tendresse en toi, il suffit d’aller la chercher… Quand tu me faisais l’amour, je pensais à un tableau, un poème, et tes doigts écrivaient les notes, les mots, sur ma peau et je ressentais ta beauté, ce que tu essayais de me donner de toi… J’en jouissais, et ça c’est nouveau, jamais ressenti !
- On ne m’a jamais dit ça… C’est vrai… Je cherche à puiser dans l’autre, mais donner en premier… Tu es adorable de penser cela… Alice… J’ai apprécié que tu partages un peu de mon crack… J’aime cette drogue douce qui nous accompagne dans l’acte sexuel, le rend unique, idéal, puissant, intense… Quand on te baise, tu ressens la bite en toi, tu ne peux que jouir encore et encore, te donner, jusqu’à ce qu’il explose en toi, et par derrière c’est un festin, de sentir le sexe violer ton intimité de femme, sans jamais faire mal, même si il te prend à sec, comme si le produit faisait glisser les bites dans tes méats… Tu le ressens alors remplir ton rectum, tu t’ouvres encore plus, gémissant, criant ta folie, appelant pour te faire inséminer…
- Tu dois avoir du mal si tu n’en prends pas… Fade ?
- Non, j’arrive à jouir s’il s’y prend bien… Éric est puissant et bon amant… Souvent c’est moi qui vais le chercher… Il craque vite, et j’aime sucer sa longue bite, la sentir vibrer sous ma langue… J’aime la fellation, je coule et je jouis violemment… Et là, il n’a plus qu’à me pénétrer à sa guise, je suis prête, pleine de désir, mes sens en émoi, on baise alors comme des fous, parfois brutaux, me burinant comme un marteau-piqueur… Là, je griffe, écorche, je suis capable de mordre pour libérer mon stress, de le vider de son sperme en le terminant… On regarde aussi des pornos pour trouver des idées… On a des jouets, des lanières, des menottes, des pinces…
- Quelquefois je prends les commandes et le dirige de A à Z…
- Il aime ?
- Oui, une fois je l’ai attaché sur le lit. Je voulais me venger… J’avais invité un homme qui m’a prise pendant des heures devant lui…
J’étais déchaînée ce jour-là ! C’était un black, un agent de sécurité auquel je faisais appel parfois, pour des opérations de surveillance.
J’en avais rêvé plusieurs fois, mais je ne mélange pas…
Il me désirait en secret… Je lui ai dit que mon mari me trompait et je voulais le punir.
Il m’a déglinguée avec son pieu de chair, comme une poupée de chiffon, m’a possédée devant lui, je griffais les draps, son dos, suçais le sexe de John, en le sentant me sodomiser comme une catin… Je criais à en perdre la voix, j’étais en transes, j’étais une autre…
Je criais sans m’en rendre compte, tant je jouissais, dans toutes le positions, me donnant en perverse, la chatte perforée, le cul grand ouvert, je braillais comme une truie, heureuse, j’avais pris mes cachets magiques, Il m’a attachée à côté John, il a terminé dans ma bouche et m’a forcé à embrasser mon mari, en avalant son sperme !
- Il était Machiavélique…
- Oui, je n’ai jamais connu un homme comme ça, sans limite, amoureux transi… Il a démissionné peu après… J’ai pris une cuite ce soir-là… Dans une chambre d’hôtel… Avec un serveur-surfeur, un ex, un bon ! John était à Londres, dans sa famille…
Maintenant, Duchesse est devenue mon amie.
On se téléphone, et on se voit, on fait des soirées fondues…
Nos maris nous partagent, nous échangent, nous regardent faire l’amour, parfois avec une troisième femme. Ils nous sortent dans des clubs libertins, l’hiver c’est là qu’il fait chaud et nous aussi, on est chaudes et sensuelles… On met le feu au club, jusqu’au petit matin, culbutées par des inconnus, d’autres femmes, des scènes d’un autre monde…
FIN de 2023 - Vacances Septembre – Éric et Alice
Marika84 – septembre 2023
1 年 前
