Suite déménagement- Nat et Pat, invitent leurs ami
Après ma soirée de samedi, je suis sur le cul…
Deux voisines chaudes comme la braise, et qui m’ont réservé un traitement de faveur…
Pour me remercier de les avoir aidées…
Putain qu’est-ce qu’elles m’ont mis !
Et elles ?
Je les ai explosées, profitant de ces deux culs bandants, de leurs seins magnifiques et de leur comportement très libertin…
Elles s’étaient décrites sages dès notre rencontre, dans la cour de notre immeuble dans lequel elles emménageaient ensemble pour la première fois…
En rupture avec le transporteur, elles semblaient désespérées, alors je les ai aidées…
Mais n’avaient qu’une idée en tête : baiser !
En toute sécurité, avec moi, gentil, serviable, endurant…
Elles en ont eu pour leur gâteau, dès le samedi suivant, j’en ai eu pour le champagne et le traiteur…
Nat, très sensuelle, un regard provocant, des seins opulents, un cul blanc, bien rond, une chatte douce comme de la soie, des grandes lèvres couvrantes, cachant son sillon et son puits d’amour…
Des poils pubiens blonds, épars, presque invisibles et un anus bien rond et luisant…
Elle est la femme du couple, se laissant dominer, aimant être sodomisée par sa compagne aux doigts de fée, ou avec un gode ceinture, pour atteindre le nirvana…
Pat, c’est l’homme… Dominatrice, un peu sévère (elle sont enseignantes), des seins durs, formés, 90B, et un tempérament de feu sous ses airs de bourgeoise…
Sa chatte est un océan de douceur, pubis contenu au rasoir intime, aux poils très souples et épars, une île déserte pour naufragés…
Elle aime se servir d’un gode-ceinture pour sodomiser Nat, la faire jouir, la soumettre, lui donner du plaisir…
On dirait deux madones, aux visages d’ange, mais sous leurs robes, se cachent des démons prêts à sortir leurs griffes et leurs dents et mettre le feu à tout ce qui s’approche…
Quand Nat et Pat se sont déshabillées, en me faisant un striptease, je me suis mis à bander comme un âne…
Voir ce que j’avais imaginé pendant le déménagement, était intenable…
Nat la première, s’est empalée sur mon vit, l’anus en folie, habituée sans doute avec ses sodomies lesbiennes…
Oh, elle adore ça, la chienne !…
Elle aime sentir glisser ma longue queue dans son rectum, la propulser dans les étoiles…
Fesses en l’air, écartelée, je l’ai sodomisée explosant ce cul blanc de professeure des écoles, regardant ses seins battre la chamade, s’envoler dans des danses érotiques, que sa compagne s’empressait de masser et mordiller…
Pat était aux anges de regarder sa moitié, prendre mes 20 cm, entre ses fesses, en fulminant son plaisir, l’embrassant avec passion et rage… Débitant des insanités notoires… En commentant ce qu’elle ressent…
Pat se glisse à sa place et avant que je n’explose pour la première fois, elle profite de ma verdeur, pour se tortiller sur ma bite en vociférant un premier orgasme…
Se relayant toutes les deux autour de moi, en moi, sur moi, on aurait dit deux abeilles butinant ma tige en feu, gorges profondes pour les deux, anus perforés à tour de rôle, avec orgasmes endiablés, chattes meurtries par mes coups de reins de folie et abondamment ensemencées…
Au matin, éreintées, enlacées, amoureuses, squattant mon lit de célibataire avec désinvolture, elles mirent les choses au point, il n’est pas question de vivre en trio…
Elles sont lesbiennes pour plusieurs raisons, leur amour en est au début, et le sexe de cette nuit, est un rattrapage, par rapport à leur situation de divorcées et de nouvelles lesbiennes…
Ce côté macho leur manquait, elles ont ressenti le besoin de ce contact viril, envahissant, en me voyant porter leurs meubles en Marcel et short, en dévorant leurs seins des yeux…
Nat n’a pas résisté… Excitée par leurs caresses et leurs fellations…
Les lèvres de Nat, glissant sur ma hampe, elles ont décidé de continuer, de vivre à fond ce moment de folie, elle s’est empalée sans réfléchir, me portant au paradis…
Elle s’est surprise par l’ampleur de son désir, et surtout du plaisir qu’elle prenait, en se déhanchant sur ma virilité…
Quelle douceur, dans ce cul de déesse… Elle adore la sodomie, d’où le gode…
Mais quand on pénètre son vagin, sa soie est un fourreau naturel, jouissif et on perd le nord en la pourfendant…
Pat, c’est plus diffus, plus en touches de couleurs, aimant toutes les caresses, la tendresse, les moments d’intimité sans limite, partout dans leur logis d’amour, leur nid, et le nouveau lit de 200 x 200, temple de leurs ébats…
Dans ces cas, de bourgeoises excitées, elles deviennent salopes et sensuelles, et tout est fait pour jouir, faire jouir, ressentir le plaisir intense des pénétrations digitales, douces et épuisantes, les portant à l’unisson, aux orgasmes désirés…
Amoureuses, très sensibles des seins, elles passent des heures à se caresser, s’embrasser, se mélanger, sexes emboités, délirant leurs libidos, seins contre seins, mordillés et rougis…
Voilà le constat que je fais aujourd’hui avec mes deux voisines, mes nouvelles amantes…
Mais, le travail, ma vie trépidante de célibataire, se charge de ne pas me mettre en présence de ces 2 vestales.
Deux, puis trois semaines passent comme une lettre à la poste, et à propos de lettre, je reçois une invitation, un cartel, m’invitant à une soirée souvenir, au troisième étage…
A Suivre…
Deux voisines chaudes comme la braise, et qui m’ont réservé un traitement de faveur…
Pour me remercier de les avoir aidées…
Putain qu’est-ce qu’elles m’ont mis !
Et elles ?
Je les ai explosées, profitant de ces deux culs bandants, de leurs seins magnifiques et de leur comportement très libertin…
Elles s’étaient décrites sages dès notre rencontre, dans la cour de notre immeuble dans lequel elles emménageaient ensemble pour la première fois…
En rupture avec le transporteur, elles semblaient désespérées, alors je les ai aidées…
Mais n’avaient qu’une idée en tête : baiser !
En toute sécurité, avec moi, gentil, serviable, endurant…
Elles en ont eu pour leur gâteau, dès le samedi suivant, j’en ai eu pour le champagne et le traiteur…
Nat, très sensuelle, un regard provocant, des seins opulents, un cul blanc, bien rond, une chatte douce comme de la soie, des grandes lèvres couvrantes, cachant son sillon et son puits d’amour…
Des poils pubiens blonds, épars, presque invisibles et un anus bien rond et luisant…
Elle est la femme du couple, se laissant dominer, aimant être sodomisée par sa compagne aux doigts de fée, ou avec un gode ceinture, pour atteindre le nirvana…
Pat, c’est l’homme… Dominatrice, un peu sévère (elle sont enseignantes), des seins durs, formés, 90B, et un tempérament de feu sous ses airs de bourgeoise…
Sa chatte est un océan de douceur, pubis contenu au rasoir intime, aux poils très souples et épars, une île déserte pour naufragés…
Elle aime se servir d’un gode-ceinture pour sodomiser Nat, la faire jouir, la soumettre, lui donner du plaisir…
On dirait deux madones, aux visages d’ange, mais sous leurs robes, se cachent des démons prêts à sortir leurs griffes et leurs dents et mettre le feu à tout ce qui s’approche…
Quand Nat et Pat se sont déshabillées, en me faisant un striptease, je me suis mis à bander comme un âne…
Voir ce que j’avais imaginé pendant le déménagement, était intenable…
Nat la première, s’est empalée sur mon vit, l’anus en folie, habituée sans doute avec ses sodomies lesbiennes…
Oh, elle adore ça, la chienne !…
Elle aime sentir glisser ma longue queue dans son rectum, la propulser dans les étoiles…
Fesses en l’air, écartelée, je l’ai sodomisée explosant ce cul blanc de professeure des écoles, regardant ses seins battre la chamade, s’envoler dans des danses érotiques, que sa compagne s’empressait de masser et mordiller…
Pat était aux anges de regarder sa moitié, prendre mes 20 cm, entre ses fesses, en fulminant son plaisir, l’embrassant avec passion et rage… Débitant des insanités notoires… En commentant ce qu’elle ressent…
Pat se glisse à sa place et avant que je n’explose pour la première fois, elle profite de ma verdeur, pour se tortiller sur ma bite en vociférant un premier orgasme…
Se relayant toutes les deux autour de moi, en moi, sur moi, on aurait dit deux abeilles butinant ma tige en feu, gorges profondes pour les deux, anus perforés à tour de rôle, avec orgasmes endiablés, chattes meurtries par mes coups de reins de folie et abondamment ensemencées…
Au matin, éreintées, enlacées, amoureuses, squattant mon lit de célibataire avec désinvolture, elles mirent les choses au point, il n’est pas question de vivre en trio…
Elles sont lesbiennes pour plusieurs raisons, leur amour en est au début, et le sexe de cette nuit, est un rattrapage, par rapport à leur situation de divorcées et de nouvelles lesbiennes…
Ce côté macho leur manquait, elles ont ressenti le besoin de ce contact viril, envahissant, en me voyant porter leurs meubles en Marcel et short, en dévorant leurs seins des yeux…
Nat n’a pas résisté… Excitée par leurs caresses et leurs fellations…
Les lèvres de Nat, glissant sur ma hampe, elles ont décidé de continuer, de vivre à fond ce moment de folie, elle s’est empalée sans réfléchir, me portant au paradis…
Elle s’est surprise par l’ampleur de son désir, et surtout du plaisir qu’elle prenait, en se déhanchant sur ma virilité…
Quelle douceur, dans ce cul de déesse… Elle adore la sodomie, d’où le gode…
Mais quand on pénètre son vagin, sa soie est un fourreau naturel, jouissif et on perd le nord en la pourfendant…
Pat, c’est plus diffus, plus en touches de couleurs, aimant toutes les caresses, la tendresse, les moments d’intimité sans limite, partout dans leur logis d’amour, leur nid, et le nouveau lit de 200 x 200, temple de leurs ébats…
Dans ces cas, de bourgeoises excitées, elles deviennent salopes et sensuelles, et tout est fait pour jouir, faire jouir, ressentir le plaisir intense des pénétrations digitales, douces et épuisantes, les portant à l’unisson, aux orgasmes désirés…
Amoureuses, très sensibles des seins, elles passent des heures à se caresser, s’embrasser, se mélanger, sexes emboités, délirant leurs libidos, seins contre seins, mordillés et rougis…
Voilà le constat que je fais aujourd’hui avec mes deux voisines, mes nouvelles amantes…
Mais, le travail, ma vie trépidante de célibataire, se charge de ne pas me mettre en présence de ces 2 vestales.
Deux, puis trois semaines passent comme une lettre à la poste, et à propos de lettre, je reçois une invitation, un cartel, m’invitant à une soirée souvenir, au troisième étage…
A Suivre…
1 年 前
