Juste bonne à se faire enculer.
Après pratiquement une semaine et demie sans avoir pu remplir mon rôle d’esclave de chiennasse pour mon Maitre (venue de mes règles et premier rhume de l’automne), il était grand tant que je reprenne du service auprès de mon Maitre, en cette deuxième semaine d'octobre.
Il avait eu la bonté suprême que seul un Maitre peut accorder à sa saloperie de clébard : me laisser tranquille pendant mes menstruations.
Me voyant malade comme pas possible au fur et à mesure que les jours avançaient, il m’avait autorisé à garder la niche le temps de ma guérison.
N’étant pas disponible du weekend, il m’avait souhaité un prompt rétablissement et signifié qu’il viendrait aux nouvelles lundi matin pour savoir si son esclave serait rétablie.
Ce qu’il ne manqua pas de faire dès 6h34 ce matin là.
Son mail ressemblait à cela :
« Bonjour grosse chiennasse,
J’espère que ton weekend d’astreinte s’est bien passé et que tu es définitivement remise de ton virus. Je l’espère sincèrement car tu vas reprendre du service en tant que sale pouffiasse de truie et de grosse pute de merde.
Si oui, je passerai chez toi après le travail, tu auras tes instructions dans la journée.
Sache que tu vas prendre cher et morfler car ton Maitre a une envie furieuse de t’humilier.
Si tu me réponds par la positive, sache que mon prochain message sera beaucoup moins gentil. »
Toute émoustillée de ces nouvelles matinales, je m’empressais de répondre à mon Maitre.
« Bonjour mon Maitre,
J’espère que votre weekend fut bon.
Je suis remise à 90% de ce vilain rhume, j’ai juste quelques quintes de toux et je me mouche encore souvent mais je vais beaucoup mieux.
Je serais plus que ravie de vous accueillir ce soir chez moi mon Maitre. »
Ce à quoi il me répondit qu’il était satisfait de l’amélioration de mon état, et qu’il espérait que j’avais bien compris à quoi m’attendre ce jour.
Il me désirait salope, plus que chiennasse. Je devais lui prouver par le regard que j’avais envie comme jamais de bite. Il faudrait aussi que j’entretienne l’humidité de ma chatte en me branlant le plus possible à chaque fois que je serai seule. Son mail se terminait en disant qu’il serait extrêmement dur et humiliant avec moi. Et en effet, vu les insultes du mail, je compris vite qu’il n’allait pas faire dans la dentelle.
Mais cela me convenait parfaitement.
Un, j’étais sa chose, sa soumise, sa pute à tout faire, et de deux, il faut bien se l’avouer, j’étais en manque de nos jeux et de ses bons traitements.
Toute ragaillardie, je me hâtais de me préparer et de prendre mon petit déjeuner.
En arrivant au travail, je regardais mon Maitre à la dérobée.
Il me fixa d’un air sombre qui annonçait une pluie d’insultes et de sévices dès qu’il le pourrait.
Je lui lançais mon plus beau regard de salope qui veut de la bite.
Les chefs lancèrent le top départ de la journée et celle-ci débuta comme par enchantement.
Par le plus grand des hasards (ou pas), nous nous retrouvâmes tout les deux, seuls dans la grande serre, pour prendre nos engins respectifs.
Mon Maitre s’approcha de moi me claqua vite fait la joue, le cul et les mamelles. Puis il m’attrapa la mâchoire et me cracha un gros mollard sur la gueule en me traitant de salope de pouffiasse de truie, de sale chienne à bite et j’en passe.
Je lui susurrais que je me sentais bien chiennasse et que je mourais d’envie de lui lécher le cul.
Il m’attrapa les cheveux et me dit d’un ton glacial que j’allais dérouiller.
Il me recracha dessus, s’installa dans son engin et partit.
Vers 9h, je me rendis aux vestiaires.
Le début de la journée m’ayant excitée et suite aux injonctions de mon Maitre, je profitais de cette première pause pour me branler.
C'est alors que j’entendis la porte s’ouvrir et se refermer. Je priais pour qu’il s’agisse de mon Maitre.
Je sortis des WC et constant que c’était bien lui, je me mis à me lécher les doigts en le fixant en mode salope. Il en profita pour bien m’insulter, me cracher dessus et me claquer bien fort les joues et les mamelles.
Mon Maitre se dirigea vers la porte et pensant qu’il allait sortir, j’entrai dans la cuisine pour me faire un café. Mais il revint brusquement et me jeta contre l’évier. Il me claqua le cul et me branla l’anus fort à travers mon pantalon.
Une descente de cyprine inonda mon entrejambe. Il m’insulta encore et me rappela de ne pas oublier mon défi, puis sortit après une dernière claque, qui me laissa pantelante.
Je repris mon poste après avoir envoyé un message à mon Maitre pour le remercier de ses bons traitements. Il me répondit en m’insultant et en me disant que ce soir ça serait beaucoup plus viril que la pauvre baffe que je venais de prendre. Vu comment ma joue était déjà rouge, je me dis que le pire était à venir.
La matinée s’égraina ainsi entre notre travail et nos échanges de messages.
A midi, je rentrais manger chez moi avec une de mes collègues, et je reçu un mail me disant :
« N’oublie pas de te branler et te faire jouir même si tu n’es pas seule, peut m’importe qu’elle t’entende. Au moins elle saura quelle sale grosse poufiasse de truie à bite est sa collègue.
Rendez vous à 13h50 aux vestiaires et tache d’y être ou tu morfleras encore plus que ce que j’ai prévu pour toi ! C’est compris sac à foutre ? »
Je m’empressais de répondre par la positive à mon Maitre et couru me soulager aux WC.
Nous repartîmes au travail et 13h50 arriva. Le temps de quitter mon poste, j’entrai à 53 dans les vestiaires. Mon Maitre me fusilla du regard. Je m’excusais en fixant mes pieds, toute honteuse.
- MMMM … Viens par là, me fit-il en m’attrapant par les cheveux et en me crachant au visage.
Il m’attrapa les mamelles et commença à me les pincer fort. Je le prévins que l’un de nos collègues était à travailler devant les vestiaires, qu’il fallait que l’on soit prudent.
De se fait, tout en me tenant toujours fort les pis dans ses grandes mains, mon Maitre me dit :
- Comme nous avons chacun beaucoup de travail, et que je ne suis pas sûr d’avoir le temps, voici mes instructions pour l’après midi.
Il est 14h, tu vas te branler avant de ressortir d’ici, tu feras de même à 15h et à 16h, je te veux trempée quand j’arriverai chez toi espèce de grosse truie de merde.
Concernant ma venue, je te veux en nuisette sans rien d’autre, ton collier au cou, la laisse sur la table ainsi que l’un de tes godes. L’autre tu te le seras mis dans le cul avant mon arrivée. C’est bien clair pour toi sale putain de chiennasse ?
- Oui mon Maitre c’est très clair, lui répondis je en baissant les yeux.
Il me releva la tête en tirant mes cheveux en arrière et me cracha une nouvelle fois dessus et partit.
Je me refugiais dans les WC pour me branler vite fait et jouir.
L’après midi passa rapidement.
16h30, fin de journée pour mon équipe, celle de mon Maitre finissant à 17h.
Je m’empressais de rentrer chez moi afin de me rafraichir avant l’arrivée de mon Maitre.
Je commençais par me faire un lavement du cul, je sais ô combien mon Maitre désire que mon cul soit propre et lavé. Puis je sautais dans la douche me savonnant vite fait de la tête aux pieds pour éliminer toutes traces de sueur et de poussières. Je m’essuyai, passai ma nuisette, mon collier, installai le gros gode et la laisse sur la table. J’attrapai mon gode moyen, l’enduisit de lubrifiant et me l’insérai dans le fion.
Mmmm, comme c'était bon!
Pour être sûre de le garder dans mon cul, je m’étais assise sur ma chaise attendant le bruit de la porte annonçant l’arrivée de mon Maitre.
Son que j’entendis juste après l’avoir pensé. Je me levais pour me mettre à 4 pattes pour l’accueillir quand mon gode décida de s’enfuir de mon cul… au moment où mon Maitre passait sa tête par la porte.
- Désolée mon Maitre mais il semblerait que mon cul ne tienne pas le gode.
- Enlève le… bonne à rien de chiennasse, m’ordonna t'il en me balançant une bonne gifle qui me secoua un peu.
Voyant ma tête mon Maitre me dit :
"Je te l’avais dis que ça claquerait fort !"
Il me tapa alors fortement les mamelles, y compris sur les piercings aux tétons.
La douleur fut puissante pour le coup, je ne pu retenir un mouvement de recul.
- Bah alors grosse truie, on ne supporte plus quelques claques ?!
Je lui signifiais que ça me faisait vraiment très mal sur les anneaux. Je me pris une nouvelle claque et des crachats pour avoir osé me plaindre.
Mon Maitre s’empara de la laisse, m’attacha et me tirant contre lui me dit :
- On va où maintenant sale sac à pisse de truie ?
- Aux WC mon Maitre ?
- Dans la douche plutôt ! Allez avance putain de bonne à rien et dépêche-toi !
Je m’empressais de le suivre dans la salle de bain et de m’installer dans ma douche, à genoux, sans demander mon reste. Je savais très bien que j’allais lui servir d’urinoir et j’en étais plus que fière.
J’aimais tellement sentir son jus tout chaud sur moi.
Mon Maitre étant en train de préparer le téléphone pour filmer, il m’ordonna de lui défaire son pantalon et de lui baisser son caleçon. Je dois avouer que le fait de le déshabiller fit monter d’un cran mon excitation ! Sa belle queue jaillit de ses vêtements à ma plus grande joie. Il s’en empara et m’ordonna d’ouvrir la bouche. Son jet doré et chaud sortit d’un coup et mon Maitre s’étant retenu tout l’après midi, il me vida sa vessie entière dans ma bouche grande ouverte.
Sa pisse ruisselait de ma bouche en cascade et me trempa les mamelles et ma nuisette. Que c’était bon de sentir tout ce chaud liquide me souiller, moi la sale chienne d’esclave, la pissotière.
Ayant finit, il m’invectiva de le nettoyer en le lapant comme un bonne chiennasse dévouée à son Maitre, m’interdisant au passage de le prendre en bouche. Ce qui m’avait traversé l’esprit je l’avoue.
- Allez STOP ! Rince toi la gueule tu pues la pisse sale clébard ! Je vais me servir une bière, rejoins moi dans la salle !
- Oui Maitre, j’arrive de suite.
Je me passais un gant à la hâte sur le visage et ma nuisette trempée du jus doré de mon Maitre collée sur mon corps, je le rejoignis dans la salle.
- Il est où ton marqueur grosse pute? Tu pues la pisse putain !
- Ici Maitre, répondis-je les yeux baissés en désignant la table.
Mon Maitre s’empara du marqueur et attrapa ma mamelle droite, et commença à écrire.
- J’ai écrit quoi ?!
- Sac à pisse, Maitre.
- Ah oui ca je te confirme un bon sac à pisse !
Il attrapa la gauche et continua ses inscriptions.
- Et là ? Lis dépêche toi putain !
- Grosse truie de merde, Maitre
- Lève moi ta nuisette là ! T’es pleine de pisse putain, c’est dégueulasse !
J’obtempérais et il inscrivit d’autres mots sur mon ventre.
- Et là ?
- Sale pouffiasse, Maitre. Je suis un sac à pisse, une grosse truie de merde et une sale pouffiasse Maitre.
- Ah ça c’est sur oui que tu es tout cela ! Tourne-toi ! Montre-moi ton cul !
Je sentis à nouveau le marqueur sur ma chair. J’esquissais un petit sourire car la pointe du marqueur me chatouillait la peau. Mais je stoppais très vite de peur que mon Maitre ne s’en aperçoive et qu’il ne prenne cela pour de l’effronterie de ma part.
- Je vais te lire ce que j’ai écrit et tu répètes c’est compris grosse pouffiasse ?
- Oui Maitre.
- Trou à bite, truie à enculer, REPETE !
- Trou à bite, truie à enculer, Maitre.
A peine ma phrase terminée, mon Maitre m’assena quelques bonne claques bien placées sur mon postérieur de truie.
J’étais tellement fière d’avoir à nouveau ses mots écrits sur moi que je pris ces claques avec délectation.
Il me fit alors me retourner vers lui. Tout en m’insultant, il me claqua très fort les mamelles ainsi que les joues. J’avais beau me mordre les lèvres et me concentrer sur ma respiration pour encaisser, à un moment je ne pus me retenir et pris une forte inspiration tout en sentant mes larmes monter.
Mon Maitre s’en aperçu et me dit :
- Bon…. C’est bien… Tu sais ce que tu vas faire maintenant ?
- Vous lécher le cul Maitre ? demandais-je d’une petite voix.
- Oui c’est ça, aller viens.
Je demandais à Mon Maitre la possibilité d’aller vite fait m’attacher les cheveux, ce qu’il m’accorda. En revenant de la salle de bain, je me jetais à ses pieds, il releva ses jambes et me présenta son cul.
Trop heureuse de pouvoir enfin lui servir de gant de toilette, je m’empressais d’écarter ses belles fesses avec mes mains et de lui lécher avec avidité sa belle rondelle.
Pendant que je m’activais sur son anus, mon Maitre se branlait tout en continuant de m’insulter par moment. Entre mon léchage et ses mots, je sentais que ma chatte coulait de cyprine.
A un moment, mon Maitre me demanda si je m’étais lavé le cul. Je lui répondis par la positive. Je savais pertinemment que je devais être propre de cette zone car mon Maitre ne supportait pas les culs sales. Il me demandait si je m’étais godé et s’il était rentré seul. J’avouai avoir mis du lubrifiant car entre mes règles et mon rhume je lui confessais ne pas avoir joué. Ce qui me valut une belle rasade de claques sur la joue. Mais il reconnu que ayant été malade, il serait « clément ».
Quelques minutes après, mon Maitre se leva et me dit de garder la tête en bas sur le canapé et d’écarter mon cul.
Il se saisit d’un de mes godes, me le mis bien profond dans le cul et commença à me branler le fion avec.
"Mmmm j’aime tellement ça quand c’est mon Maitre qui l’active, ça me procure tellement plus de plaisir que quand je joue seule."
Il me branla bien vite et fort et d’un coup s'arrêtait. Il s’empara du 2eme gode pour me le foutre dans la chatte. Cette gentille attention de mon Maitre de me faire une double pénétration me fit me mettre à couiner comme une putain de truie en rut. Mais du coup, je me fis disputer.
- CHUT ! Je ne veux pas t’entendre, je ne t’ai pas autorisée à prendre du plaisir !
Trop flippée à l’idée qu’il arrête de me goder la chatte et le cul je me tus.
Soudain, il retira le gode de mon cul, et je sentis quelque chose de doux et humide se frotter contre mon orifice.
Sachant que mon Maitre ne voulait pas m’enculer de base pour des raisons personnelles, je me dis qu’il voulait juste se frotter un peu.
Quand soudain, je sentis son gland me forcer l’entrée et sa queue entière pénétrer mes entrailles.
"Putain de merde !"
Mais quel sentiment de jouissance je ressentis !
ENFIN, ENFIN j’avais sa belle queue, sa beauté phallique dans mon pauvre cul de truie de merde.
Je me mis à gémir, le remerciant, couinant en même temps, encaissant avec délice et bonheur ses bons gros coups de butoirs.
Il me lança :
- Je te l’ai mise où là ?
- Oh putain Maitre, vous êtes dans mon cul ! hurlais-je de plaisir.
Il me mit encore quelques bon coups et soudain se retira et me dit :
- Aller viens là, viens un peu goûter ton cul !
Je me mis à le pomper goulument tellement j’étais galvanisée que mon cul de truie ait enfin eu l’honneur d’accueillir ce magnifique phallus.
Au bout de quelques minutes, il me dit stop et se releva en m’invectivant de m’écarter le cul.
Il me remit sa belle queue bien au fond de mon cul d’un coup. Mmmmm putain mais quel bonheur !
Puis de nouveau, il se retira pour que je le suce. Après quelques instants, il me demanda si je préférerais qu’il jouisse dans ma bouche ou dans mon cul pour que je le nettoie après.
"Quelle attention délicate de la part de mon maître de me laisser choisir!"
N’ayant jamais eu le cul rempli de foutre, je choisis l’option numéro 2 bien évidemment, trop heureuse un d’avoir encore la joie de sentir sa queue en moi et deux de pouvoir connaitre enfin la sensation de sentir du foutre me remplir le cul.
Ni une ni deux, mon Maitre se releva, et vint à nouveau m’empaler le cul d’un seul coup de rein.
Il s’activa bien fort quelques instants avant que je sente sa belle queue se contracter dans mon cul.
Mon Maitre laissa exprimer ses râles de plaisir à chaque giclée de foutre qui me remplissait le rectum !
Mais quelle sensation divine de sentir ce liquide chaud envahir ses entrailles !
Quelle satisfaction d’entendre et ressentir la jouissance de son Maitre !
Je ne fus vraiment pas loin de jouir du cul ce jour là !
Que ce fut bon !
Il se retira et me dit de le nettoyer doucement. Je me ventousai alors sur son gland quelques secondes avant de recevoir un stop de la part de mon Maitre. La séance était finie.
Je m’écroulais alors le nez sur ses couilles en le remerciant encore de sa bonté envers sa sale grosse salope de chiennasse.
Mon Maitre se rhabilla et finit sa bière.
Je me rendis à la salle de bain afin de virer ma nuisette pleine de jus doré et mis mon peignoir.
Je revins m’assoir à côté de mon Maitre, mon cul gardant bien au chaud son foutre.
Nous échangeâmes un peu puis il prit congé de sa grosse pouffiasse de truie.
Il faut se l’avouer, je passais la soirée sur un petit nuage après notre séance de jeux.
J'avais le sourire jusqu'aux oreilles...comblée comme jamais...prête à recommencer au plus vite.
Il avait eu la bonté suprême que seul un Maitre peut accorder à sa saloperie de clébard : me laisser tranquille pendant mes menstruations.
Me voyant malade comme pas possible au fur et à mesure que les jours avançaient, il m’avait autorisé à garder la niche le temps de ma guérison.
N’étant pas disponible du weekend, il m’avait souhaité un prompt rétablissement et signifié qu’il viendrait aux nouvelles lundi matin pour savoir si son esclave serait rétablie.
Ce qu’il ne manqua pas de faire dès 6h34 ce matin là.
Son mail ressemblait à cela :
« Bonjour grosse chiennasse,
J’espère que ton weekend d’astreinte s’est bien passé et que tu es définitivement remise de ton virus. Je l’espère sincèrement car tu vas reprendre du service en tant que sale pouffiasse de truie et de grosse pute de merde.
Si oui, je passerai chez toi après le travail, tu auras tes instructions dans la journée.
Sache que tu vas prendre cher et morfler car ton Maitre a une envie furieuse de t’humilier.
Si tu me réponds par la positive, sache que mon prochain message sera beaucoup moins gentil. »
Toute émoustillée de ces nouvelles matinales, je m’empressais de répondre à mon Maitre.
« Bonjour mon Maitre,
J’espère que votre weekend fut bon.
Je suis remise à 90% de ce vilain rhume, j’ai juste quelques quintes de toux et je me mouche encore souvent mais je vais beaucoup mieux.
Je serais plus que ravie de vous accueillir ce soir chez moi mon Maitre. »
Ce à quoi il me répondit qu’il était satisfait de l’amélioration de mon état, et qu’il espérait que j’avais bien compris à quoi m’attendre ce jour.
Il me désirait salope, plus que chiennasse. Je devais lui prouver par le regard que j’avais envie comme jamais de bite. Il faudrait aussi que j’entretienne l’humidité de ma chatte en me branlant le plus possible à chaque fois que je serai seule. Son mail se terminait en disant qu’il serait extrêmement dur et humiliant avec moi. Et en effet, vu les insultes du mail, je compris vite qu’il n’allait pas faire dans la dentelle.
Mais cela me convenait parfaitement.
Un, j’étais sa chose, sa soumise, sa pute à tout faire, et de deux, il faut bien se l’avouer, j’étais en manque de nos jeux et de ses bons traitements.
Toute ragaillardie, je me hâtais de me préparer et de prendre mon petit déjeuner.
En arrivant au travail, je regardais mon Maitre à la dérobée.
Il me fixa d’un air sombre qui annonçait une pluie d’insultes et de sévices dès qu’il le pourrait.
Je lui lançais mon plus beau regard de salope qui veut de la bite.
Les chefs lancèrent le top départ de la journée et celle-ci débuta comme par enchantement.
Par le plus grand des hasards (ou pas), nous nous retrouvâmes tout les deux, seuls dans la grande serre, pour prendre nos engins respectifs.
Mon Maitre s’approcha de moi me claqua vite fait la joue, le cul et les mamelles. Puis il m’attrapa la mâchoire et me cracha un gros mollard sur la gueule en me traitant de salope de pouffiasse de truie, de sale chienne à bite et j’en passe.
Je lui susurrais que je me sentais bien chiennasse et que je mourais d’envie de lui lécher le cul.
Il m’attrapa les cheveux et me dit d’un ton glacial que j’allais dérouiller.
Il me recracha dessus, s’installa dans son engin et partit.
Vers 9h, je me rendis aux vestiaires.
Le début de la journée m’ayant excitée et suite aux injonctions de mon Maitre, je profitais de cette première pause pour me branler.
C'est alors que j’entendis la porte s’ouvrir et se refermer. Je priais pour qu’il s’agisse de mon Maitre.
Je sortis des WC et constant que c’était bien lui, je me mis à me lécher les doigts en le fixant en mode salope. Il en profita pour bien m’insulter, me cracher dessus et me claquer bien fort les joues et les mamelles.
Mon Maitre se dirigea vers la porte et pensant qu’il allait sortir, j’entrai dans la cuisine pour me faire un café. Mais il revint brusquement et me jeta contre l’évier. Il me claqua le cul et me branla l’anus fort à travers mon pantalon.
Une descente de cyprine inonda mon entrejambe. Il m’insulta encore et me rappela de ne pas oublier mon défi, puis sortit après une dernière claque, qui me laissa pantelante.
Je repris mon poste après avoir envoyé un message à mon Maitre pour le remercier de ses bons traitements. Il me répondit en m’insultant et en me disant que ce soir ça serait beaucoup plus viril que la pauvre baffe que je venais de prendre. Vu comment ma joue était déjà rouge, je me dis que le pire était à venir.
La matinée s’égraina ainsi entre notre travail et nos échanges de messages.
A midi, je rentrais manger chez moi avec une de mes collègues, et je reçu un mail me disant :
« N’oublie pas de te branler et te faire jouir même si tu n’es pas seule, peut m’importe qu’elle t’entende. Au moins elle saura quelle sale grosse poufiasse de truie à bite est sa collègue.
Rendez vous à 13h50 aux vestiaires et tache d’y être ou tu morfleras encore plus que ce que j’ai prévu pour toi ! C’est compris sac à foutre ? »
Je m’empressais de répondre par la positive à mon Maitre et couru me soulager aux WC.
Nous repartîmes au travail et 13h50 arriva. Le temps de quitter mon poste, j’entrai à 53 dans les vestiaires. Mon Maitre me fusilla du regard. Je m’excusais en fixant mes pieds, toute honteuse.
- MMMM … Viens par là, me fit-il en m’attrapant par les cheveux et en me crachant au visage.
Il m’attrapa les mamelles et commença à me les pincer fort. Je le prévins que l’un de nos collègues était à travailler devant les vestiaires, qu’il fallait que l’on soit prudent.
De se fait, tout en me tenant toujours fort les pis dans ses grandes mains, mon Maitre me dit :
- Comme nous avons chacun beaucoup de travail, et que je ne suis pas sûr d’avoir le temps, voici mes instructions pour l’après midi.
Il est 14h, tu vas te branler avant de ressortir d’ici, tu feras de même à 15h et à 16h, je te veux trempée quand j’arriverai chez toi espèce de grosse truie de merde.
Concernant ma venue, je te veux en nuisette sans rien d’autre, ton collier au cou, la laisse sur la table ainsi que l’un de tes godes. L’autre tu te le seras mis dans le cul avant mon arrivée. C’est bien clair pour toi sale putain de chiennasse ?
- Oui mon Maitre c’est très clair, lui répondis je en baissant les yeux.
Il me releva la tête en tirant mes cheveux en arrière et me cracha une nouvelle fois dessus et partit.
Je me refugiais dans les WC pour me branler vite fait et jouir.
L’après midi passa rapidement.
16h30, fin de journée pour mon équipe, celle de mon Maitre finissant à 17h.
Je m’empressais de rentrer chez moi afin de me rafraichir avant l’arrivée de mon Maitre.
Je commençais par me faire un lavement du cul, je sais ô combien mon Maitre désire que mon cul soit propre et lavé. Puis je sautais dans la douche me savonnant vite fait de la tête aux pieds pour éliminer toutes traces de sueur et de poussières. Je m’essuyai, passai ma nuisette, mon collier, installai le gros gode et la laisse sur la table. J’attrapai mon gode moyen, l’enduisit de lubrifiant et me l’insérai dans le fion.
Mmmm, comme c'était bon!
Pour être sûre de le garder dans mon cul, je m’étais assise sur ma chaise attendant le bruit de la porte annonçant l’arrivée de mon Maitre.
Son que j’entendis juste après l’avoir pensé. Je me levais pour me mettre à 4 pattes pour l’accueillir quand mon gode décida de s’enfuir de mon cul… au moment où mon Maitre passait sa tête par la porte.
- Désolée mon Maitre mais il semblerait que mon cul ne tienne pas le gode.
- Enlève le… bonne à rien de chiennasse, m’ordonna t'il en me balançant une bonne gifle qui me secoua un peu.
Voyant ma tête mon Maitre me dit :
"Je te l’avais dis que ça claquerait fort !"
Il me tapa alors fortement les mamelles, y compris sur les piercings aux tétons.
La douleur fut puissante pour le coup, je ne pu retenir un mouvement de recul.
- Bah alors grosse truie, on ne supporte plus quelques claques ?!
Je lui signifiais que ça me faisait vraiment très mal sur les anneaux. Je me pris une nouvelle claque et des crachats pour avoir osé me plaindre.
Mon Maitre s’empara de la laisse, m’attacha et me tirant contre lui me dit :
- On va où maintenant sale sac à pisse de truie ?
- Aux WC mon Maitre ?
- Dans la douche plutôt ! Allez avance putain de bonne à rien et dépêche-toi !
Je m’empressais de le suivre dans la salle de bain et de m’installer dans ma douche, à genoux, sans demander mon reste. Je savais très bien que j’allais lui servir d’urinoir et j’en étais plus que fière.
J’aimais tellement sentir son jus tout chaud sur moi.
Mon Maitre étant en train de préparer le téléphone pour filmer, il m’ordonna de lui défaire son pantalon et de lui baisser son caleçon. Je dois avouer que le fait de le déshabiller fit monter d’un cran mon excitation ! Sa belle queue jaillit de ses vêtements à ma plus grande joie. Il s’en empara et m’ordonna d’ouvrir la bouche. Son jet doré et chaud sortit d’un coup et mon Maitre s’étant retenu tout l’après midi, il me vida sa vessie entière dans ma bouche grande ouverte.
Sa pisse ruisselait de ma bouche en cascade et me trempa les mamelles et ma nuisette. Que c’était bon de sentir tout ce chaud liquide me souiller, moi la sale chienne d’esclave, la pissotière.
Ayant finit, il m’invectiva de le nettoyer en le lapant comme un bonne chiennasse dévouée à son Maitre, m’interdisant au passage de le prendre en bouche. Ce qui m’avait traversé l’esprit je l’avoue.
- Allez STOP ! Rince toi la gueule tu pues la pisse sale clébard ! Je vais me servir une bière, rejoins moi dans la salle !
- Oui Maitre, j’arrive de suite.
Je me passais un gant à la hâte sur le visage et ma nuisette trempée du jus doré de mon Maitre collée sur mon corps, je le rejoignis dans la salle.
- Il est où ton marqueur grosse pute? Tu pues la pisse putain !
- Ici Maitre, répondis-je les yeux baissés en désignant la table.
Mon Maitre s’empara du marqueur et attrapa ma mamelle droite, et commença à écrire.
- J’ai écrit quoi ?!
- Sac à pisse, Maitre.
- Ah oui ca je te confirme un bon sac à pisse !
Il attrapa la gauche et continua ses inscriptions.
- Et là ? Lis dépêche toi putain !
- Grosse truie de merde, Maitre
- Lève moi ta nuisette là ! T’es pleine de pisse putain, c’est dégueulasse !
J’obtempérais et il inscrivit d’autres mots sur mon ventre.
- Et là ?
- Sale pouffiasse, Maitre. Je suis un sac à pisse, une grosse truie de merde et une sale pouffiasse Maitre.
- Ah ça c’est sur oui que tu es tout cela ! Tourne-toi ! Montre-moi ton cul !
Je sentis à nouveau le marqueur sur ma chair. J’esquissais un petit sourire car la pointe du marqueur me chatouillait la peau. Mais je stoppais très vite de peur que mon Maitre ne s’en aperçoive et qu’il ne prenne cela pour de l’effronterie de ma part.
- Je vais te lire ce que j’ai écrit et tu répètes c’est compris grosse pouffiasse ?
- Oui Maitre.
- Trou à bite, truie à enculer, REPETE !
- Trou à bite, truie à enculer, Maitre.
A peine ma phrase terminée, mon Maitre m’assena quelques bonne claques bien placées sur mon postérieur de truie.
J’étais tellement fière d’avoir à nouveau ses mots écrits sur moi que je pris ces claques avec délectation.
Il me fit alors me retourner vers lui. Tout en m’insultant, il me claqua très fort les mamelles ainsi que les joues. J’avais beau me mordre les lèvres et me concentrer sur ma respiration pour encaisser, à un moment je ne pus me retenir et pris une forte inspiration tout en sentant mes larmes monter.
Mon Maitre s’en aperçu et me dit :
- Bon…. C’est bien… Tu sais ce que tu vas faire maintenant ?
- Vous lécher le cul Maitre ? demandais-je d’une petite voix.
- Oui c’est ça, aller viens.
Je demandais à Mon Maitre la possibilité d’aller vite fait m’attacher les cheveux, ce qu’il m’accorda. En revenant de la salle de bain, je me jetais à ses pieds, il releva ses jambes et me présenta son cul.
Trop heureuse de pouvoir enfin lui servir de gant de toilette, je m’empressais d’écarter ses belles fesses avec mes mains et de lui lécher avec avidité sa belle rondelle.
Pendant que je m’activais sur son anus, mon Maitre se branlait tout en continuant de m’insulter par moment. Entre mon léchage et ses mots, je sentais que ma chatte coulait de cyprine.
A un moment, mon Maitre me demanda si je m’étais lavé le cul. Je lui répondis par la positive. Je savais pertinemment que je devais être propre de cette zone car mon Maitre ne supportait pas les culs sales. Il me demandait si je m’étais godé et s’il était rentré seul. J’avouai avoir mis du lubrifiant car entre mes règles et mon rhume je lui confessais ne pas avoir joué. Ce qui me valut une belle rasade de claques sur la joue. Mais il reconnu que ayant été malade, il serait « clément ».
Quelques minutes après, mon Maitre se leva et me dit de garder la tête en bas sur le canapé et d’écarter mon cul.
Il se saisit d’un de mes godes, me le mis bien profond dans le cul et commença à me branler le fion avec.
"Mmmm j’aime tellement ça quand c’est mon Maitre qui l’active, ça me procure tellement plus de plaisir que quand je joue seule."
Il me branla bien vite et fort et d’un coup s'arrêtait. Il s’empara du 2eme gode pour me le foutre dans la chatte. Cette gentille attention de mon Maitre de me faire une double pénétration me fit me mettre à couiner comme une putain de truie en rut. Mais du coup, je me fis disputer.
- CHUT ! Je ne veux pas t’entendre, je ne t’ai pas autorisée à prendre du plaisir !
Trop flippée à l’idée qu’il arrête de me goder la chatte et le cul je me tus.
Soudain, il retira le gode de mon cul, et je sentis quelque chose de doux et humide se frotter contre mon orifice.
Sachant que mon Maitre ne voulait pas m’enculer de base pour des raisons personnelles, je me dis qu’il voulait juste se frotter un peu.
Quand soudain, je sentis son gland me forcer l’entrée et sa queue entière pénétrer mes entrailles.
"Putain de merde !"
Mais quel sentiment de jouissance je ressentis !
ENFIN, ENFIN j’avais sa belle queue, sa beauté phallique dans mon pauvre cul de truie de merde.
Je me mis à gémir, le remerciant, couinant en même temps, encaissant avec délice et bonheur ses bons gros coups de butoirs.
Il me lança :
- Je te l’ai mise où là ?
- Oh putain Maitre, vous êtes dans mon cul ! hurlais-je de plaisir.
Il me mit encore quelques bon coups et soudain se retira et me dit :
- Aller viens là, viens un peu goûter ton cul !
Je me mis à le pomper goulument tellement j’étais galvanisée que mon cul de truie ait enfin eu l’honneur d’accueillir ce magnifique phallus.
Au bout de quelques minutes, il me dit stop et se releva en m’invectivant de m’écarter le cul.
Il me remit sa belle queue bien au fond de mon cul d’un coup. Mmmmm putain mais quel bonheur !
Puis de nouveau, il se retira pour que je le suce. Après quelques instants, il me demanda si je préférerais qu’il jouisse dans ma bouche ou dans mon cul pour que je le nettoie après.
"Quelle attention délicate de la part de mon maître de me laisser choisir!"
N’ayant jamais eu le cul rempli de foutre, je choisis l’option numéro 2 bien évidemment, trop heureuse un d’avoir encore la joie de sentir sa queue en moi et deux de pouvoir connaitre enfin la sensation de sentir du foutre me remplir le cul.
Ni une ni deux, mon Maitre se releva, et vint à nouveau m’empaler le cul d’un seul coup de rein.
Il s’activa bien fort quelques instants avant que je sente sa belle queue se contracter dans mon cul.
Mon Maitre laissa exprimer ses râles de plaisir à chaque giclée de foutre qui me remplissait le rectum !
Mais quelle sensation divine de sentir ce liquide chaud envahir ses entrailles !
Quelle satisfaction d’entendre et ressentir la jouissance de son Maitre !
Je ne fus vraiment pas loin de jouir du cul ce jour là !
Que ce fut bon !
Il se retira et me dit de le nettoyer doucement. Je me ventousai alors sur son gland quelques secondes avant de recevoir un stop de la part de mon Maitre. La séance était finie.
Je m’écroulais alors le nez sur ses couilles en le remerciant encore de sa bonté envers sa sale grosse salope de chiennasse.
Mon Maitre se rhabilla et finit sa bière.
Je me rendis à la salle de bain afin de virer ma nuisette pleine de jus doré et mis mon peignoir.
Je revins m’assoir à côté de mon Maitre, mon cul gardant bien au chaud son foutre.
Nous échangeâmes un peu puis il prit congé de sa grosse pouffiasse de truie.
Il faut se l’avouer, je passais la soirée sur un petit nuage après notre séance de jeux.
J'avais le sourire jusqu'aux oreilles...comblée comme jamais...prête à recommencer au plus vite.
1 年 前
Mon Maitre fait juste ce qu'il a envie de me faire. Et suite a une discussion sur le sujet, il est parfaitement satisfait de la situation car c'est ce qu'il voulait dans son schéma de domination/humiliation.
Nous ne sommes pas dans l'extreme.... Pas notre délire.