Chap.2: Au bord de la piscine - suite

Romain est au bord de lapiscine, il pianote sur son portable. Il est seul.

- Paul est parti ?
- Oui, répond-il. Il avait un rendez-vous important. Mais il aurait bien aimé rester. Ton numéro de tout à l’heure aurait fait bander un mort !
- A quel moment êtes vous arrivés ?
- Tu étais empalée sur un des mecs et l’autre essayait de t’enculer… Paul a été très impressionné. Pourtant, il en a vu…
- Ah bon ?
- Sa femme et lui ont une vie sexuelle trépidante. Ils fréquentent les clubs échangistes et autres endroits chauds !
- Mmm… Intéressant ! Elle est comment sa femme ?
- Une belle rousse incendiaire de 45 ans environ… elle suce divinement bien !
- Salaud ! Tu ne t’en es pas vanté de celle-là !

Il rit et se lève. Il baisse son pantalon et son caleçon. Il bande déjà à demi. Il s’installe dans un fauteuil en rotin, juste à proximité de la cabane mitoyenne de Monsieur Durand.

- Viens me sucer pour que je puisse comparer !

Il m’attire à lui et m’embrasse. Je sens sa bite contre ma cuisse. Je me mets à genoux. Il faut que je lève un peu la tête pour que ma langue puisse lécher son gland. Je le gobe. Il gémit. Je le mords doucement.

- Hé ho ! Doucement !
- C’est pour t’être fait sucer sans me l’avoir dit !
- Mais tu sais bien que tu es la meilleure suceuse de la planète… fait-il d’un ton enjôleur.

Je ne réponds pas car j’ai repris son membre dans ma bouche. Et, comme je suis une fille bien élevée, je ne parle jamais la bouche pleine.
Ca m’excite de penser qu’une autre femme (ou devrais-je dire d’autres femmes) ont arrondi leurs lèvres autour de la bite de Romain.

Il gémit et m’encourage. Il cherche à s’enfoncer plus profondément, mais je recule. C’est moi qui commande et lui qui subit.

Je le branle doucement et lui lèche les couilles et le scrotum en même temps. Je sais qu’il aime ça.
Puis, je suce son gland, je place mes lèvres autour de la partie supérieure de sa bite, et je fais le vide d'air en y apposant ma langue et en aspirant.

Romain a fait une couette avec mes cheveux et il me tient par là. Il halète et souffle pour tenter de reculer le plus possible l’inévitable. Et moi, je l’aspire et le suce afin qu’il ne puisse plus tenir davantage.

Il craque et, dans une espèce de râle, il se lâche et jouit dans ma bouche. Je sens le sperme de Romain envahir ma bouche. Je déglutis et j’avale la semence tiède et gluante. Le trop-plein s’échappe par les commissures de mes lèvres.

Je continue à le sucer pour qu’il profite à fond de son orgasme. Il reprend son souffle et je sens sa queue mollir dans ma bouche.

- Je crois que je suis mort ! fait-il en riant.
- J’ai inventé le crime parfait ! Le jour ou je voudrais me débarrasser de toi, je te sucerai jusqu’à la mort !

Il rit et ferme les yeux. Une journée de boulot et une turlutte et il n’y a plus d’homme. Voilà le monde d’aujourd’hui.

- Au fait, fait-il. Nous sommes invités à diner samedi soir chez Paul et Elena.
- Très bien, je m’occupe des fleurs et toi du vin.

Je laisse Romain au bord de la piscine et je vais préparer une salade avec des avocats pour notre diner.

Il fait nuit lorsque je me réveille. Je mets du temps à réaliser que ce qui m’a réveillé n’est autre qu’une suite de bruits étranges provenant de la piscine.

Je passe un peignoir et je vais jeter un œil par la baie vitrée qui donne sur la piscine et le jardin. Et là, il faut que je me pince pour me convaincre que je ne rêve pas.

Une fille nue est assise sur le bord de la piscine. La pleine lune donne assez de clarté pour que je vois qu’elle est jeune, belle, probablement asiatique ou, en tout cas, assez typée.

Elle a les jambes écartées et je pourrais y voir suffisamment pour vérifier si elle s’épile la chatte ou pas.
Mais j’en suis empêchée car une autre fille, immergée dans la piscine jusqu’aux épaules, lui lèche avec application cette partie de son anatomie.

L’autre fille a l’air blonde, mais je n’en suis pas vraiment sûre. Ce dont je suis sûre, c’est que la brune apprécie ce que lui fait sa copine, car j’ai fait coulisser la baie vitrée et je l’entends gémir.

Au moment ou elle se rejette en arrière, j’aperçois une silhouette familière derrière la haie. Monsieur Durand, toujours sur la brèche, ne perd pas une miette du spectacle. Il a son pantalon sur les chevilles et, comme je le soupçonnais, il se branle en matant ce qui se passe chez moi.

Je sens une main sur mes fesses. Romain m’a rejoint.

- Alors là… Tu les connais ? demande t’il.
- Non.
- Elles sont gonflées !
- Tu fais allusion à leurs tours de poitrine ?

Il ne répond pas mais je sens sa bite frôler ma cuisse. Le spectacle de ces deux jolies filles ne le laisse pas indifférent.

La fille brune pousse un petit cri, puis se retourne vivement vers la maison. La blonde rit.

- T’inquiète ! Ils dorment, les vieux ! lance la blonde à sa copine.

Je suis estomaquée par son insolence et je m’apprête à l’interpeler pour lui apprendre la politesse. ‘’Les vieux’’, non mais !

Mais Romain me murmure un ‘’chut !’’ à l’oreille. Il m’a prise par les hanches et je devine qu’il compte profiter un peu plus du spectacle de ces deux filles.

Ces deux garces se sont installées sur mon matelas. La clarté de la lune me permet de constater qu’elles sont très jeunes. Pas plus de vingt ans, probablement moins.

La blonde s’est allongée et écarte ses jolies cuisses. Sa copine a compris le message et elle s’installe pour la lécher, tout en lui pétrissant les seins.

C’est à ce moment que Romain me pénètre. Il faut dire que je suis assez mouillée pour qu’il m’enfile sans avoir à for cer.
Et il me fait l’amour tout en regardant les deux nanas se lécher et se doigter. Je ne suis pas en reste, je les mate, moi aussi et je me dis que ça fait longtemps que je n’ai pas fait un cunni à une fille.

Le plus drôle est que nous voyons aussi Monsieur Durand profiter du spectacle lesbien que nous offrent les filles. Je remarque qu’il a aménagé un petit coin, juste contre sa cabane, où il a placé un fauteuil de jardin.

Romain pétrit mes seins tout en me pilonnant. Nous avons ouvert la baie vitrée en grand pour profiter du son autant que de l’image.
C’est très excitant d’entendre les deux filles gémir et jouir tout en les voyant agir.
Je réalise que je suis aussi voyeuse qu’exhibitionniste.

Soudain, je sens le plaisir monter et, avant que j’ai pu m’en empêcher, je pousse un cri de plaisir qui retentit dans la nuit étoilée.

J’ai fermé les yeux et je savoure. Un bruit de précipitation me parvient et, quand je rouvre les yeux, il n’y a plus personne.

- Est-ce qu’on a rêvé ? dis-je.
- Non, non, répond Romain. Elles ont décampé à toute vitesse lorsque tu as crié. Je n’ai jamais vu deux nanas filer aussi vite !
- Où sont-elles allées ?
- Vers le fond, elles ont disparu dans le bois.

Il y a, en effet un petit bois derrière chez nous, séparé de notre haie par un petit chemin qui n’est pas très connu, sauf des riverains. Comme tous nos voisins, nous y avons aménagé un petit portillon pour pouvoir accéder au chemin.
Voilà par où les deux inconnues sont arrivées et sont reparties.

Je referme la baie vitrée et nous descendons jusqu’à la cuisine. Ce réveil nocturne nous a donné soif.

Le lendemain, je vais vérifier le portillon. Il n’est plus fermé à clé.