Chap.3: La soirée chez Paul et Elena
Monsieur Durand est une mine d’informations. C’est normal, il est à la retraite depuis quelques années et il observe tout ce qui se passe chez les voisins.
C’est ainsi que j’ai appris que les deux visiteuses du soir étaient les petites-filles d’une dame âgée qui habite une vieille maison, un peu plus loin. On y accède par le petit chemin dont j’ai déjà parlé.
Les deux filles sont venues pour redonner un coup de jeune à la maison. Monsieur Durand est resté vague sur le reste, ne voulant sans doute pas dévoiler qu’il mate tout ce qui se passe chez moi mais aussi chez elles.
Mais ce qu’il m’a dit m’a grandement excité. Sont-elles sœurs ou cousines ?
Il faudra que j’élucide ce mystère.
Paul et Elena ont une très belle maison, nichée dans un écrin de verdure tout à fait charmant.
J’ai déjà parlé de Paul. Il nous accueille très amicalement et nous fait visiter le rez-de-chaussée de la maison.
Romain et lui se tutoient. Paul me demande si cela me gêne que nous fassions de même. J’ai bien envie de lui répondre que la scène à laquelle il a assisté chez nous fait que nous sommes déjà très intimes. Mais je me contente d’accepter sans faire de commentaires.
Elena nous rejoint. Elle est éblouissante dans une robe d’été multicolore. Elle doit avoir autour de quarante-cinq.ans, elle est blonde aux yeux bleus et on voit qu’elle prend soin de son corps.
D’emblée, je la trouve très sympathique et je crois qu’elle éprouve le même sentiment à mon égard.
Une jeune femme d’environ vingt-cinq.ans nous apporte des rafraichissements. Elle est charmante et je devine qu’elle est originaire des Antilles. Elle est vêtue d’une jupe longue fleurie et d’un chemisier blanc sans manches qui ressort magnifiquement sur sa peau noire.
Je souris en voyant qu’elle se penche devant Romain, faisant bailler le décolleté de son chemisier. Mon cher et tendre louche résolument dans l’entrebâillement du corsage de la belle, au risque de se démonter les vertèbres cervicales.
Mon regard croise celui d’Elena et nous échangeons un sourire complice.
Lorsque Nicole (c’est son prénom) se penche devant moi, je comprends l’émoi de Romain. Le corsage largement ouvert dévoile deux jolis seins nus tous bruns aux pointes érigées.
Elle me sourit, espiègle et je lui rends son sourire de la façon la plus charmante possible.
- Nicole et Felix sont originaires de Martinique, explique Elena. Ils sont chez nous depuis trois.ans.
Quatre regards suivent la jeune femme qui repart. Nicole marche en ondulant son joli postérieur sous sa longue jupe fleurie d’une façon à la fois naturelle et suggestive. Ses pieds nus semblent glisser sur le sol.
Je jette un œil à Romain. Il a le regard du loup de Tex Avery. Un brin d’exotisme ne lui déplairait visiblement pas.
Je remarque alors le regard insistant de Paul sur mes jambes nues. Je porte une robe courte et il semble très intéressé par mes cuisses. Je croise mes jambes de la façon la plus innocente possible et je m’assure qu’il ait la vue la plus dégagée sur le haut de mes cuisses et ma culotte rose pâle.
Le manège n’a pas échappé à Elena qui me sourit à nouveau.
Nous passons des fauteuils de la véranda à la table dressée en notre honneur. Le punch que j’ai bu commence un peu à faire effet et je sens une douce chaleur m’envahir.
- J’espère que vous aimez le poisson ? nous demande Elena.
La réponse est oui et une entrée est servie, à base de crevettes et d’avocats. C’est Nicole qui assure le service. Mais un autre personnage apparait pour servir du vin blanc. C’est Felix, évoqué par Elena un peu plus tôt. Il est jardinier, cuisinier, chauffeur, homme à tout faire dans cette propriété ou l’entretien doit être assez lourd.
C’est un beau gars, grand et sportif, d’environ vingt-cinq à trente ans. Ses muscles saillent sous la chemise blanche et, lorsqu’il retourne en cuisine, je ne peux m’empêcher de reluquer ses belles fesses musclées, moulées dans un pantalon blanc.
Les hommes parlent politique et n’ont rien vu, mais Elena hoche la tête en souriant comme pour m’indiquer qu’elle le trouve, elle aussi, très sexy.
La daurade grillée est absolument succulente. J’avoue que j’en ai rarement mangé d’aussi bonne, ce qui ravit nos hôtes.
- Félix est un excellent cuisinier ! déclare Paul.
- Il sait tout faire… ajoute Elena, d’un air ambigu.
Le dessert est une salade de fruits frais qui est, elle aussi, délicieuse. J’ai peu bu et j’ai encore toute ma tête. Mais les deux hommes ont le visage rouge et semblent un peu fatigués. Ils retournent sous la véranda pour discuter.
Je discute un peu avec Elena. Elle aime, comme moi, la musique et le théâtre et nous échangeons sur ces sujets un long moment.
- Tu veux que nous allions piquer une tête dans la piscine ? demande t’elle.
- Eh bien… je n’ai pas prévu de maillot…
- Oh, je n’en porte presque jamais ! répond-elle en riant.
Elle me précède sur la terrasse et, sans plus de façon, défait sa robe. Elle est nue dessous et je me dis qu’elle est vraiment canon. Elle n’est pas entièrement rasée et son ticket de métro me confirme qu’elle est vraiment blonde.
Je me déshabille également et nous descendons les marches de la piscine ensemble. Je me suis entièrement rasée et je le regrette un peu car j’aurais aimé qu’Elena voit que je suis, moi aussi, une vraie blonde.
Nous nageons un moment tout en discutant. Nos corps se frôlent à plusieurs reprises, jusqu’à ce que nous nous retrouvions près de l’échelle, à l’autre bout du bassin.
Nos lèvres semblent irrésistiblement attirées et nous échangeons un long baiser. Elena entremêle ses jambes aux miennes et nous restons ainsi collées l’une à l’autre.
Nous remontons sur le bord.
Félix est là, avec des peignoirs de bain. Il aide Elena à l’enfiler, puis fait de même avec moi. Je sens ses mains courir sur mon corps, plus qu’il n’est nécessaire pour me sécher. Des images se succèdent à une vitesse folle dans ma tête, celles d’un Félix qui me baise et m’encule au bord de la piscine dont je viens de sortir.
A cet instant, Elena m’incite à la rejoindre.
- Si nous allions rejoindre nos hommes ? propose t’elle.
Je m’arrête net sur le seuil de la véranda. Paul et Romain sont affalés dans leurs fauteuils, leurs pantalons aux chevilles. Nicole est à genoux devant Romain et le mouvement de sa tête ne laisse aucun doute sur ce qu’elle fait à mon mari. Ce dernier semble avoir du mal à respirer. La tête rejetée en arrière, il savoure la pipe que lui prodigue la jeune Antillaise.
Paul regarde la scène, sa bite à la main, attendant sans doute que Nicole vienne s’occuper de son membre viril.
Je regarde Elena et nous éclatons de rire. Je croise le regard de Paul et, spontanément, je décide de venir à son secours.
Je me débarrasse du peignoir et, nue, je m’agenouille devant lui. D’autorité, je m’empare de sa queue. Je le branle doucement, en caressant sa tige et ses testicules.
A côté de nous, Nicole lèche la bite de mon homme. Nos regards se croisent et je lis dans ses yeux qu’elle aime ça, que nous sommes semblables, des nymphomanes qui recherchent le maximum de plaisir.
Ma bouche s’arrondit autour du gland de Paul qui pousse un soupir d’aise. Je le gobe, l’avale, le suce. J’y mets toute mon expérience et mon enthousiasme.
Après tout, c’est le patron de Romain, non ?
- Alors ? fait Elena qui caresse les cheveux de son mari.
- Elle suce comme une déesse ! Je suis au paradis !
- Retiens-toi un peu, sinon Claire va croire que tu es éjaculateur précoce…
Nicole a entendu la remarque et, coquine, fait le maximum pour que mon homme se laisse aller et décharge dans sa jolie bouche aux lèvres ourlées. Mais je connais mon Romain. Il l’interrompt et l’invite à venir s’empaler sur sa bite.
Nicole laisse glisser sa jupe et enlève son chemisier. Elle a le minou épilé. Une fois nue, elle escalade Romain et, d’un geste souple de ses reins, sa jolie chatte foncée engloutit la bite de mon homme.
Paul regarde la scène tout en profitant de ma bouche. Je décide de changer et je place sa bite entre mes seins, que je fais bouger de haut en bas. Ma poitrine est assez grosse pour que je puisse lui donner du plaisir ainsi.
Romain apprécie régulièrement cette friandise. Je pense qu’il en sera de même pour Paul.
Je me demande soudain ou est Elena et, tournant la tête, je vois qu’elle a trouvé de l’occupation. Félix est assis sur un des fauteuils, entièrement nu. Elena est agenouillée devant lui et le suce. Le bel Antillais semble satisfait et, lui retenant les cheveux, il guide sa patronne, appuyant sur sa tête pour qu’elle avale la quasi-totalité de sa queue.
Je constate qu’il est entièrement épilé, ce qui donne l’impression que son sexe est encore plus long.
Elena du mal à faire entrer son énorme engin dans sa bouche, mais je sens que ce n’est pas la première fois qu’elle suce Félix. Sa langue glisse sur le long sexe noir, léchant la tige et les couilles avec beaucoup d’application.
De l’autre côté, Nicole sautille sur la bite Romain en couinant, le souffle court. Mon chéri lui pétrit les seins et, de temps en temps, lui mor.d un téton, ce qu’elle semble apprécier.
Il se passe alors simultanément plusieurs choses.
Nicole, la tête rejetée en arrière se met à jouir en psalmodiant des mots inconnus (probablement du créole) tout en continuant à coulisser sur la queue de mon Romain. Ce dernier, excité par la scène, se cramponne, mais ne peut que capituler. Il lâche sa semence dans la chatte de Nicole en éructant comme un fauve blessé.
A côté de moi, j’entends Félix dire à Elena qu’il va jouir. Il se dresse d’un bond et macule les seins et le visage d’Elena d’une belle quantité de semence.
Tournée vers moi, la femme de Paul étale le sperme comme si elle voulait le faire pénétrer, à la manière d’une crème.
Paul se raidit et cambre ses reins. Dans un râle, il éjacule dans ma bouche. Je déglutis et avale son sperme. Puis, je remonte à sa hauteur et je l’embrasse. Il caresse mes seins et me murmure que je suis un ange.
Je ne réponds rien car c’est surement vrai.
C’est ainsi que j’ai appris que les deux visiteuses du soir étaient les petites-filles d’une dame âgée qui habite une vieille maison, un peu plus loin. On y accède par le petit chemin dont j’ai déjà parlé.
Les deux filles sont venues pour redonner un coup de jeune à la maison. Monsieur Durand est resté vague sur le reste, ne voulant sans doute pas dévoiler qu’il mate tout ce qui se passe chez moi mais aussi chez elles.
Mais ce qu’il m’a dit m’a grandement excité. Sont-elles sœurs ou cousines ?
Il faudra que j’élucide ce mystère.
Paul et Elena ont une très belle maison, nichée dans un écrin de verdure tout à fait charmant.
J’ai déjà parlé de Paul. Il nous accueille très amicalement et nous fait visiter le rez-de-chaussée de la maison.
Romain et lui se tutoient. Paul me demande si cela me gêne que nous fassions de même. J’ai bien envie de lui répondre que la scène à laquelle il a assisté chez nous fait que nous sommes déjà très intimes. Mais je me contente d’accepter sans faire de commentaires.
Elena nous rejoint. Elle est éblouissante dans une robe d’été multicolore. Elle doit avoir autour de quarante-cinq.ans, elle est blonde aux yeux bleus et on voit qu’elle prend soin de son corps.
D’emblée, je la trouve très sympathique et je crois qu’elle éprouve le même sentiment à mon égard.
Une jeune femme d’environ vingt-cinq.ans nous apporte des rafraichissements. Elle est charmante et je devine qu’elle est originaire des Antilles. Elle est vêtue d’une jupe longue fleurie et d’un chemisier blanc sans manches qui ressort magnifiquement sur sa peau noire.
Je souris en voyant qu’elle se penche devant Romain, faisant bailler le décolleté de son chemisier. Mon cher et tendre louche résolument dans l’entrebâillement du corsage de la belle, au risque de se démonter les vertèbres cervicales.
Mon regard croise celui d’Elena et nous échangeons un sourire complice.
Lorsque Nicole (c’est son prénom) se penche devant moi, je comprends l’émoi de Romain. Le corsage largement ouvert dévoile deux jolis seins nus tous bruns aux pointes érigées.
Elle me sourit, espiègle et je lui rends son sourire de la façon la plus charmante possible.
- Nicole et Felix sont originaires de Martinique, explique Elena. Ils sont chez nous depuis trois.ans.
Quatre regards suivent la jeune femme qui repart. Nicole marche en ondulant son joli postérieur sous sa longue jupe fleurie d’une façon à la fois naturelle et suggestive. Ses pieds nus semblent glisser sur le sol.
Je jette un œil à Romain. Il a le regard du loup de Tex Avery. Un brin d’exotisme ne lui déplairait visiblement pas.
Je remarque alors le regard insistant de Paul sur mes jambes nues. Je porte une robe courte et il semble très intéressé par mes cuisses. Je croise mes jambes de la façon la plus innocente possible et je m’assure qu’il ait la vue la plus dégagée sur le haut de mes cuisses et ma culotte rose pâle.
Le manège n’a pas échappé à Elena qui me sourit à nouveau.
Nous passons des fauteuils de la véranda à la table dressée en notre honneur. Le punch que j’ai bu commence un peu à faire effet et je sens une douce chaleur m’envahir.
- J’espère que vous aimez le poisson ? nous demande Elena.
La réponse est oui et une entrée est servie, à base de crevettes et d’avocats. C’est Nicole qui assure le service. Mais un autre personnage apparait pour servir du vin blanc. C’est Felix, évoqué par Elena un peu plus tôt. Il est jardinier, cuisinier, chauffeur, homme à tout faire dans cette propriété ou l’entretien doit être assez lourd.
C’est un beau gars, grand et sportif, d’environ vingt-cinq à trente ans. Ses muscles saillent sous la chemise blanche et, lorsqu’il retourne en cuisine, je ne peux m’empêcher de reluquer ses belles fesses musclées, moulées dans un pantalon blanc.
Les hommes parlent politique et n’ont rien vu, mais Elena hoche la tête en souriant comme pour m’indiquer qu’elle le trouve, elle aussi, très sexy.
La daurade grillée est absolument succulente. J’avoue que j’en ai rarement mangé d’aussi bonne, ce qui ravit nos hôtes.
- Félix est un excellent cuisinier ! déclare Paul.
- Il sait tout faire… ajoute Elena, d’un air ambigu.
Le dessert est une salade de fruits frais qui est, elle aussi, délicieuse. J’ai peu bu et j’ai encore toute ma tête. Mais les deux hommes ont le visage rouge et semblent un peu fatigués. Ils retournent sous la véranda pour discuter.
Je discute un peu avec Elena. Elle aime, comme moi, la musique et le théâtre et nous échangeons sur ces sujets un long moment.
- Tu veux que nous allions piquer une tête dans la piscine ? demande t’elle.
- Eh bien… je n’ai pas prévu de maillot…
- Oh, je n’en porte presque jamais ! répond-elle en riant.
Elle me précède sur la terrasse et, sans plus de façon, défait sa robe. Elle est nue dessous et je me dis qu’elle est vraiment canon. Elle n’est pas entièrement rasée et son ticket de métro me confirme qu’elle est vraiment blonde.
Je me déshabille également et nous descendons les marches de la piscine ensemble. Je me suis entièrement rasée et je le regrette un peu car j’aurais aimé qu’Elena voit que je suis, moi aussi, une vraie blonde.
Nous nageons un moment tout en discutant. Nos corps se frôlent à plusieurs reprises, jusqu’à ce que nous nous retrouvions près de l’échelle, à l’autre bout du bassin.
Nos lèvres semblent irrésistiblement attirées et nous échangeons un long baiser. Elena entremêle ses jambes aux miennes et nous restons ainsi collées l’une à l’autre.
Nous remontons sur le bord.
Félix est là, avec des peignoirs de bain. Il aide Elena à l’enfiler, puis fait de même avec moi. Je sens ses mains courir sur mon corps, plus qu’il n’est nécessaire pour me sécher. Des images se succèdent à une vitesse folle dans ma tête, celles d’un Félix qui me baise et m’encule au bord de la piscine dont je viens de sortir.
A cet instant, Elena m’incite à la rejoindre.
- Si nous allions rejoindre nos hommes ? propose t’elle.
Je m’arrête net sur le seuil de la véranda. Paul et Romain sont affalés dans leurs fauteuils, leurs pantalons aux chevilles. Nicole est à genoux devant Romain et le mouvement de sa tête ne laisse aucun doute sur ce qu’elle fait à mon mari. Ce dernier semble avoir du mal à respirer. La tête rejetée en arrière, il savoure la pipe que lui prodigue la jeune Antillaise.
Paul regarde la scène, sa bite à la main, attendant sans doute que Nicole vienne s’occuper de son membre viril.
Je regarde Elena et nous éclatons de rire. Je croise le regard de Paul et, spontanément, je décide de venir à son secours.
Je me débarrasse du peignoir et, nue, je m’agenouille devant lui. D’autorité, je m’empare de sa queue. Je le branle doucement, en caressant sa tige et ses testicules.
A côté de nous, Nicole lèche la bite de mon homme. Nos regards se croisent et je lis dans ses yeux qu’elle aime ça, que nous sommes semblables, des nymphomanes qui recherchent le maximum de plaisir.
Ma bouche s’arrondit autour du gland de Paul qui pousse un soupir d’aise. Je le gobe, l’avale, le suce. J’y mets toute mon expérience et mon enthousiasme.
Après tout, c’est le patron de Romain, non ?
- Alors ? fait Elena qui caresse les cheveux de son mari.
- Elle suce comme une déesse ! Je suis au paradis !
- Retiens-toi un peu, sinon Claire va croire que tu es éjaculateur précoce…
Nicole a entendu la remarque et, coquine, fait le maximum pour que mon homme se laisse aller et décharge dans sa jolie bouche aux lèvres ourlées. Mais je connais mon Romain. Il l’interrompt et l’invite à venir s’empaler sur sa bite.
Nicole laisse glisser sa jupe et enlève son chemisier. Elle a le minou épilé. Une fois nue, elle escalade Romain et, d’un geste souple de ses reins, sa jolie chatte foncée engloutit la bite de mon homme.
Paul regarde la scène tout en profitant de ma bouche. Je décide de changer et je place sa bite entre mes seins, que je fais bouger de haut en bas. Ma poitrine est assez grosse pour que je puisse lui donner du plaisir ainsi.
Romain apprécie régulièrement cette friandise. Je pense qu’il en sera de même pour Paul.
Je me demande soudain ou est Elena et, tournant la tête, je vois qu’elle a trouvé de l’occupation. Félix est assis sur un des fauteuils, entièrement nu. Elena est agenouillée devant lui et le suce. Le bel Antillais semble satisfait et, lui retenant les cheveux, il guide sa patronne, appuyant sur sa tête pour qu’elle avale la quasi-totalité de sa queue.
Je constate qu’il est entièrement épilé, ce qui donne l’impression que son sexe est encore plus long.
Elena du mal à faire entrer son énorme engin dans sa bouche, mais je sens que ce n’est pas la première fois qu’elle suce Félix. Sa langue glisse sur le long sexe noir, léchant la tige et les couilles avec beaucoup d’application.
De l’autre côté, Nicole sautille sur la bite Romain en couinant, le souffle court. Mon chéri lui pétrit les seins et, de temps en temps, lui mor.d un téton, ce qu’elle semble apprécier.
Il se passe alors simultanément plusieurs choses.
Nicole, la tête rejetée en arrière se met à jouir en psalmodiant des mots inconnus (probablement du créole) tout en continuant à coulisser sur la queue de mon Romain. Ce dernier, excité par la scène, se cramponne, mais ne peut que capituler. Il lâche sa semence dans la chatte de Nicole en éructant comme un fauve blessé.
A côté de moi, j’entends Félix dire à Elena qu’il va jouir. Il se dresse d’un bond et macule les seins et le visage d’Elena d’une belle quantité de semence.
Tournée vers moi, la femme de Paul étale le sperme comme si elle voulait le faire pénétrer, à la manière d’une crème.
Paul se raidit et cambre ses reins. Dans un râle, il éjacule dans ma bouche. Je déglutis et avale son sperme. Puis, je remonte à sa hauteur et je l’embrasse. Il caresse mes seins et me murmure que je suis un ange.
Je ne réponds rien car c’est surement vrai.
1 年 前
J'aime également les atmosphères échangistes (je pratique, à l'occasion) et les amours de groupe (idem !).
Bonne journée !