Chap.4: La soirée chez Paul et Elena (suite)
Felix est allé chercher des rafraichissements. Ca fait drôle de voir ce grand black, la bite à l’air, qui pose un plateau sur la petite table, comme si de rien n’était.
Romain a de petits yeux. La jolie Nicole lui a pompé son énergie (en plus du reste) !
Paul semble un peu fatigué, mais ses yeux pétillent et j’ai bien l’impression qu’il apprécie cette soirée.
Nicole est sur ses genoux et il lui fait boire un mojito, comme on ferait boire un enfant. Elle rit et en renverse un peu sur elle, prétexte idéal pour que Paul lui lèche les tétons.
Je croise le regard de Felix. Ses grands yeux noirs disent clairement qu’il me trouve à son goût.
C’est réciproque.
Il me rappelle un homme d’environ 30 ans rencontré lors d’un voyage à la Guadeloupe.
J’avais 16 ans et il s’était faufilé dans ma chambre d’hôtel alors que mes parents faisaient une excursion. Un souvenir inoubliable !
Bref, est-ce la nostalgie ou simplement l’ambiance de cette soirée chez Paul et Elena, mais je me rapproche de Felix et, aussitôt, il passe son bras sous le mien, laissant sa main sur mon ventre.
Une façon de manifester ses intentions à mon égard.
Elena reste maitresse d’elle-même, en toutes circonstances, semble t’il. Elle jette un regard indulgent sur son mari et Nicole.
Elle me sourit lorsqu’elle voit Felix afficher ce geste de propriété un peu puéril. Son sourire semble me dire ‘’On va voir comment tu te débrouilles’’.
Elle s’approche de Romain et l’attrape… par sa bite !
- Cher Romain, j’espère qu’il te reste un peu d’énergie ?
- Oh oui ! répond-il.
- Tant mieux ! fait Elena, en l’entrainant sur un sofa.
Felix est derrière moi. Ses mains glissent sur mon corps, s’attardent sur mes seins. Il caresse ma chatte et, observant des traces d’humidité sur ses doigts, me les donne à lécher.
- Est-ce que tu aimes, par derrière ? me murmure t’il.
- Oui, beaucoup !
- Moi aussi. C’est la meilleure façon pour que le mâle donne le plus de plaisir à la femelle !
Il est collé à moi et m’embrasse dans le cou, sur l’épaule. Je sens son sexe se dresser contre ma fesse.
Face à moi, je vois les deux autres couples. Elena est à genoux sur le sofa et Romain l’a prise en levrette. Je souris à l’idée qu’Elena et moi avons ce plaisir en commun.
Un peu plus loin, Nicole est à quatre pattes sur le sol. Paul, lui aussi, l’a prise par derrière.
C’est le moment levrette !
Félix me penche vers l’avant, le buste couché sur la table. Il écarte mes jambes et, sans plus attendre, il me fourre sa bite dans le vagin. Je pousse un cri de surprise.
- Tu la sens bien ? me demande t’il.
Je sens un peu d’ironie dans sa voix. Il sait pertinemment qu’il a été richement doté par la nature et que je ne peux qu’avoir senti sa queue me pénétrer d’un seul coup.
- J’aime les blondes ! ajoute-t-il. Surtout lorsqu’elles sont épilées comme toi !
- C’est en ton honneur que je me suis rasée le minou.
- Menteuse ! fait-il en riant.
Il va et vient dans ma chatte, comme un énorme piston dans une machine bien huilée. Je m’écroule sur la table. J’espère qu’elle est solide, car il me pilonne sans relâche.
- C’est un vrai plaisir de te fourrer, ma belle ! murmure-t-il, presque allongé sur moi.
Le plaisir est réciproque, mais j’ai un peu le souffle coupé et je ne réponds rien. Il insiste.
- Tu aimes ?
- Oui… dis-je dans un souffle.
Le fait est que Félix sait s’y prendre. Il est à demi-couché sur moi, me caresse les seins tout en mordillant mon épaule. Puis, il se redresse et s’enfonce encore plus profondément, tout en me claquant les fesses.
Il aime visiblement dominer et je ne déteste pas être la femelle d’un grand mâle qui sait y faire.
Je gémis et je crie, ce qui déclenche son rire. Il saisit ma chevelure qu’il rassemble pour tirer ma tête en arrière. Je me cambre et je crie encore plus fort. Et plus je crie, plus il me pilonne.
Je sens mes cuisses se raidir. A ce rythme, je ne tiendrais plus très longtemps.
Ouvrant les yeux, je vois que Romain, lui aussi, pilonne la belle Elena. Elle gémit et l’encourage avec des mots très crus qui m’étonnent autant qu’ils m’excitent.
Il y a comme une connivence entre eux et je me demande soudain si c’est vraiment la première fois que mon chéri baise la femme de son patron.
- Ton mari sait s’y prendre ! murmure Félix. Elena aime ce qu’il lui fait !
Je ne réponds rien car je sens monter le plaisir dans tout mon corps. Je ne me contrôle plus et je crie à Félix de continuer à me baiser car je vais jouir.
Il redouble de vigueur. Puis il se met à éructer et se raidit. Il sort de moi et je pousse un cri de frustration. Je l’entends grogner en éjaculant sur mes reins.
Puis, d’un coup, il me pénètre à nouveau. C’est comme une décharge électrique qui parcourt mon vagin, mes reins et toute ma colonne vertébrale.
Et je jouis, allongée sur la table, en tremblant de tous mes muscles.
Je tremble encore après l’orgasme et Félix caresse doucement mon corps. Je sens son sexe fondre doucement en moi, comme un ballon qui se dégonfle.
Je reprends doucement conscience quand Elena crie à Romain de jouir en elle. J’ouvre les yeux juste au moment où, dans un grand râle, mon chéri se répand dans le vagin de la belle Elena.
Paul est allongé sur le sol. Dans un autre contexte, je dirais qu’il est inanimé. Mais là, il a juste fermé les yeux pour savourer ce que la bouche de Nicole fait à sa bite. Elle le pompe, l’aspire et le suce, jusqu’à ce que Paul, au bout de sa résistance, finisse par gicler dans sa bouche.
Romain a les doigts gluants de sa propre semence qui coule un peu du vagin d’Elena. Notre hôtesse respire lentement, ses cheveux répandus masquent son visage. Je remarque le petit tatouage discret qui orne le haut de sa fesse gauche.
Romain humecte doucement l’anus d’Elena avec sa semence. Il masse le petit muscle jusqu’à ce qu’il puisse y faire pénétrer son pouce.
- Il va l’enculer… commente Félix.
Je l’avais un peu oublié, mais il est bien là, derrière moi. Si ce que je sens contre ma cuisse est bien ce que je crois, il a déjà rechargé ses batteries.
Comme pour donner raison à Félix, mon Romain place son gland entre les fesses d’Elena. Celle-ci se raidit un peu et ondule afin d’aider Romain à la sodomiser. Elle pousse une sorte de gros soupir lorsque mon chéri s’enfonce. Il est attentif à ce qu’elle n’ait pas trop mal et il lui dit des trucs à l’oreille.
- Et toi, ma beauté, tu me veux dans ton cul ? me demande Félix.
J’ai quelque appréhension, ayant pu juger du calibre du sexe du bel Antillais. Mais voir mon Romain prendre le cul d'Elena sous mes yeux a déclenché dans mon ventre un orage qui bouillonne.
- Oui, encule-moi…
Je me mets à quatre pattes sur le tapis. Je prends la position qui me semble la plus impudique et je défie Romain du regard. Il me sourit en continuant à besogner Elena.
Félix attrape le beurre, qui était resté sur une desserte, et le ramollit entre ses doigts. Il le badigeonne largement ma rondelle de chair.
- Ooh ! Il y a déjà du monde qui est passé par là ! fait-il, peu galant.
- Oui, Romain, dis-je
- Je parierais qu’il n’est pas le seul, réplique Félix.
- Non… fais-je, un peu piquée.
Il fait entrer son doigt et, patiemment, élargit le muscle. Il est bien plus doux que ce à quoi je m’attendais. Mais lorsqu’il s’enfonce, je ne peux m’empêcher de pousser un cri qui fait se tourner tous les autres vers moi.
- Je te fais mal, ma colombe ? demande Félix.
- Je… je ne sais pas si ça va rentrer…
- Attends ! s’exclame Nicole.
La compagne de Félix nous rejoint et s’installe sous moi, son visage juste sous mon entrejambe. Je sens une bouche gourmande lécher ma vulve et mon clitoris et un torrent d’endorphines explose dans mon corps tout entier.
Félix parvient à faire entrer sa bite dans mon cul. J’ai l’impression d’être un papillon fixé sur un support par une grosse épingle. La langue de Nicole me fait du bien et contrebalance la douleur que j’éprouve.
Une main remonte mon menton. Paul est devant moi, sa bite à la main.
- Je suis abandonné, m’offririez-vous l’hospitalité ? me demande-t-il.
Je ris et ouvre ma bouche, dans laquelle il introduit sa queue. Cette soirée est décidément pleine de surprises.
Félix est moins offensif que tout à l’heure et je prends désormais du plaisir à sentir sa bite coulisser dans mon rectum.
Nicole continue à me lécher, ce qui me procure un frisson proche de l’orgasme. Si j’en crois Félix, elle en profite aussi pour lécher les couilles de son compagnon. Et Félix semble apprécier car il me semble qu’il grossit un peu en moi.
Paul n’hésite pas à pousser sa bite loin dans ma gorge, au risque de m’étouffer un peu.
Je ne sais pas ce que doit donner, esthétiquement parlant, notre étrange assemblage de quatre corps qui se combinent pour tirer d’eux-mêmes un maximum de plaisir. Je sais juste que je suis au centre de l’action.
Nicole, très altruiste, se consacre à mon plaisir mais j’avoue que d’être l’objet sexuel de deux hommes qui me possèdent et tirent de moi le maximum qu’ils peuvent me fait rapidement escalader vers le septième ciel.
Je ne suis plus qu’une boule de jouissance et je crie mon plaisir sans aucune retenue.
Mon orgasme semble avoir donné le signal à mes amants. Pour la seconde fois de la soirée, Paul jouit dans ma bouche. Puis, il se retire et il promène son gland sur mes joues, mes yeux et mon front.
Je sens Félix se raidir dans mon cul et lâcher de longues giclées dans mes entrailles. Lui aussi se retire et je vois que Nicole le prend aussitôt dans sa bouche.
Pour remercier la jolie Nicole, je déguste son abricot, qui est quasiment sous mon visage désormais.
Elle apprécie et, Félix s’étant reculé, elle me prodigue la même caresse. Nous restons comme ça, dans la classique position du 69, jusqu’à ce que le plaisir nous submerge ensemble.
Je me sens complètement épuisée et courbatue lorsque je me relève. Mais, surtout, je plane comme si j’avais fumé la moquette et il faut que deux mains secourables m’aident à marcher sans tomber.
- Eh bien ! Quelle soirée ! fait Paul juste derrière moi.
- La soirée n’est pas finie ! proteste Elena.
Romain a de petits yeux. La jolie Nicole lui a pompé son énergie (en plus du reste) !
Paul semble un peu fatigué, mais ses yeux pétillent et j’ai bien l’impression qu’il apprécie cette soirée.
Nicole est sur ses genoux et il lui fait boire un mojito, comme on ferait boire un enfant. Elle rit et en renverse un peu sur elle, prétexte idéal pour que Paul lui lèche les tétons.
Je croise le regard de Felix. Ses grands yeux noirs disent clairement qu’il me trouve à son goût.
C’est réciproque.
Il me rappelle un homme d’environ 30 ans rencontré lors d’un voyage à la Guadeloupe.
J’avais 16 ans et il s’était faufilé dans ma chambre d’hôtel alors que mes parents faisaient une excursion. Un souvenir inoubliable !
Bref, est-ce la nostalgie ou simplement l’ambiance de cette soirée chez Paul et Elena, mais je me rapproche de Felix et, aussitôt, il passe son bras sous le mien, laissant sa main sur mon ventre.
Une façon de manifester ses intentions à mon égard.
Elena reste maitresse d’elle-même, en toutes circonstances, semble t’il. Elle jette un regard indulgent sur son mari et Nicole.
Elle me sourit lorsqu’elle voit Felix afficher ce geste de propriété un peu puéril. Son sourire semble me dire ‘’On va voir comment tu te débrouilles’’.
Elle s’approche de Romain et l’attrape… par sa bite !
- Cher Romain, j’espère qu’il te reste un peu d’énergie ?
- Oh oui ! répond-il.
- Tant mieux ! fait Elena, en l’entrainant sur un sofa.
Felix est derrière moi. Ses mains glissent sur mon corps, s’attardent sur mes seins. Il caresse ma chatte et, observant des traces d’humidité sur ses doigts, me les donne à lécher.
- Est-ce que tu aimes, par derrière ? me murmure t’il.
- Oui, beaucoup !
- Moi aussi. C’est la meilleure façon pour que le mâle donne le plus de plaisir à la femelle !
Il est collé à moi et m’embrasse dans le cou, sur l’épaule. Je sens son sexe se dresser contre ma fesse.
Face à moi, je vois les deux autres couples. Elena est à genoux sur le sofa et Romain l’a prise en levrette. Je souris à l’idée qu’Elena et moi avons ce plaisir en commun.
Un peu plus loin, Nicole est à quatre pattes sur le sol. Paul, lui aussi, l’a prise par derrière.
C’est le moment levrette !
Félix me penche vers l’avant, le buste couché sur la table. Il écarte mes jambes et, sans plus attendre, il me fourre sa bite dans le vagin. Je pousse un cri de surprise.
- Tu la sens bien ? me demande t’il.
Je sens un peu d’ironie dans sa voix. Il sait pertinemment qu’il a été richement doté par la nature et que je ne peux qu’avoir senti sa queue me pénétrer d’un seul coup.
- J’aime les blondes ! ajoute-t-il. Surtout lorsqu’elles sont épilées comme toi !
- C’est en ton honneur que je me suis rasée le minou.
- Menteuse ! fait-il en riant.
Il va et vient dans ma chatte, comme un énorme piston dans une machine bien huilée. Je m’écroule sur la table. J’espère qu’elle est solide, car il me pilonne sans relâche.
- C’est un vrai plaisir de te fourrer, ma belle ! murmure-t-il, presque allongé sur moi.
Le plaisir est réciproque, mais j’ai un peu le souffle coupé et je ne réponds rien. Il insiste.
- Tu aimes ?
- Oui… dis-je dans un souffle.
Le fait est que Félix sait s’y prendre. Il est à demi-couché sur moi, me caresse les seins tout en mordillant mon épaule. Puis, il se redresse et s’enfonce encore plus profondément, tout en me claquant les fesses.
Il aime visiblement dominer et je ne déteste pas être la femelle d’un grand mâle qui sait y faire.
Je gémis et je crie, ce qui déclenche son rire. Il saisit ma chevelure qu’il rassemble pour tirer ma tête en arrière. Je me cambre et je crie encore plus fort. Et plus je crie, plus il me pilonne.
Je sens mes cuisses se raidir. A ce rythme, je ne tiendrais plus très longtemps.
Ouvrant les yeux, je vois que Romain, lui aussi, pilonne la belle Elena. Elle gémit et l’encourage avec des mots très crus qui m’étonnent autant qu’ils m’excitent.
Il y a comme une connivence entre eux et je me demande soudain si c’est vraiment la première fois que mon chéri baise la femme de son patron.
- Ton mari sait s’y prendre ! murmure Félix. Elena aime ce qu’il lui fait !
Je ne réponds rien car je sens monter le plaisir dans tout mon corps. Je ne me contrôle plus et je crie à Félix de continuer à me baiser car je vais jouir.
Il redouble de vigueur. Puis il se met à éructer et se raidit. Il sort de moi et je pousse un cri de frustration. Je l’entends grogner en éjaculant sur mes reins.
Puis, d’un coup, il me pénètre à nouveau. C’est comme une décharge électrique qui parcourt mon vagin, mes reins et toute ma colonne vertébrale.
Et je jouis, allongée sur la table, en tremblant de tous mes muscles.
Je tremble encore après l’orgasme et Félix caresse doucement mon corps. Je sens son sexe fondre doucement en moi, comme un ballon qui se dégonfle.
Je reprends doucement conscience quand Elena crie à Romain de jouir en elle. J’ouvre les yeux juste au moment où, dans un grand râle, mon chéri se répand dans le vagin de la belle Elena.
Paul est allongé sur le sol. Dans un autre contexte, je dirais qu’il est inanimé. Mais là, il a juste fermé les yeux pour savourer ce que la bouche de Nicole fait à sa bite. Elle le pompe, l’aspire et le suce, jusqu’à ce que Paul, au bout de sa résistance, finisse par gicler dans sa bouche.
Romain a les doigts gluants de sa propre semence qui coule un peu du vagin d’Elena. Notre hôtesse respire lentement, ses cheveux répandus masquent son visage. Je remarque le petit tatouage discret qui orne le haut de sa fesse gauche.
Romain humecte doucement l’anus d’Elena avec sa semence. Il masse le petit muscle jusqu’à ce qu’il puisse y faire pénétrer son pouce.
- Il va l’enculer… commente Félix.
Je l’avais un peu oublié, mais il est bien là, derrière moi. Si ce que je sens contre ma cuisse est bien ce que je crois, il a déjà rechargé ses batteries.
Comme pour donner raison à Félix, mon Romain place son gland entre les fesses d’Elena. Celle-ci se raidit un peu et ondule afin d’aider Romain à la sodomiser. Elle pousse une sorte de gros soupir lorsque mon chéri s’enfonce. Il est attentif à ce qu’elle n’ait pas trop mal et il lui dit des trucs à l’oreille.
- Et toi, ma beauté, tu me veux dans ton cul ? me demande Félix.
J’ai quelque appréhension, ayant pu juger du calibre du sexe du bel Antillais. Mais voir mon Romain prendre le cul d'Elena sous mes yeux a déclenché dans mon ventre un orage qui bouillonne.
- Oui, encule-moi…
Je me mets à quatre pattes sur le tapis. Je prends la position qui me semble la plus impudique et je défie Romain du regard. Il me sourit en continuant à besogner Elena.
Félix attrape le beurre, qui était resté sur une desserte, et le ramollit entre ses doigts. Il le badigeonne largement ma rondelle de chair.
- Ooh ! Il y a déjà du monde qui est passé par là ! fait-il, peu galant.
- Oui, Romain, dis-je
- Je parierais qu’il n’est pas le seul, réplique Félix.
- Non… fais-je, un peu piquée.
Il fait entrer son doigt et, patiemment, élargit le muscle. Il est bien plus doux que ce à quoi je m’attendais. Mais lorsqu’il s’enfonce, je ne peux m’empêcher de pousser un cri qui fait se tourner tous les autres vers moi.
- Je te fais mal, ma colombe ? demande Félix.
- Je… je ne sais pas si ça va rentrer…
- Attends ! s’exclame Nicole.
La compagne de Félix nous rejoint et s’installe sous moi, son visage juste sous mon entrejambe. Je sens une bouche gourmande lécher ma vulve et mon clitoris et un torrent d’endorphines explose dans mon corps tout entier.
Félix parvient à faire entrer sa bite dans mon cul. J’ai l’impression d’être un papillon fixé sur un support par une grosse épingle. La langue de Nicole me fait du bien et contrebalance la douleur que j’éprouve.
Une main remonte mon menton. Paul est devant moi, sa bite à la main.
- Je suis abandonné, m’offririez-vous l’hospitalité ? me demande-t-il.
Je ris et ouvre ma bouche, dans laquelle il introduit sa queue. Cette soirée est décidément pleine de surprises.
Félix est moins offensif que tout à l’heure et je prends désormais du plaisir à sentir sa bite coulisser dans mon rectum.
Nicole continue à me lécher, ce qui me procure un frisson proche de l’orgasme. Si j’en crois Félix, elle en profite aussi pour lécher les couilles de son compagnon. Et Félix semble apprécier car il me semble qu’il grossit un peu en moi.
Paul n’hésite pas à pousser sa bite loin dans ma gorge, au risque de m’étouffer un peu.
Je ne sais pas ce que doit donner, esthétiquement parlant, notre étrange assemblage de quatre corps qui se combinent pour tirer d’eux-mêmes un maximum de plaisir. Je sais juste que je suis au centre de l’action.
Nicole, très altruiste, se consacre à mon plaisir mais j’avoue que d’être l’objet sexuel de deux hommes qui me possèdent et tirent de moi le maximum qu’ils peuvent me fait rapidement escalader vers le septième ciel.
Je ne suis plus qu’une boule de jouissance et je crie mon plaisir sans aucune retenue.
Mon orgasme semble avoir donné le signal à mes amants. Pour la seconde fois de la soirée, Paul jouit dans ma bouche. Puis, il se retire et il promène son gland sur mes joues, mes yeux et mon front.
Je sens Félix se raidir dans mon cul et lâcher de longues giclées dans mes entrailles. Lui aussi se retire et je vois que Nicole le prend aussitôt dans sa bouche.
Pour remercier la jolie Nicole, je déguste son abricot, qui est quasiment sous mon visage désormais.
Elle apprécie et, Félix s’étant reculé, elle me prodigue la même caresse. Nous restons comme ça, dans la classique position du 69, jusqu’à ce que le plaisir nous submerge ensemble.
Je me sens complètement épuisée et courbatue lorsque je me relève. Mais, surtout, je plane comme si j’avais fumé la moquette et il faut que deux mains secourables m’aident à marcher sans tomber.
- Eh bien ! Quelle soirée ! fait Paul juste derrière moi.
- La soirée n’est pas finie ! proteste Elena.
1 年 前
