La psychologie de l’anilingus sur une fille

Je me suis longtemps demandé pourquoi je ressentais une telle attirance pour l’anilingus et pourquoi cette pratique me procurait un tel plaisir. Je ne parle pas du fait de la recevoir, mais de la procurer, ce qui est d’autant plus troublant. Car certes, j’ai déjà reçu des anilingus fort bien maîtrisés par des filles qui ont été mes partenaires sexuelles, et j’avoue en avoir ressenti un immense plaisir, mais le plaisir que j’en ai tiré n’a jamais été aussi puissant que celui que je ressentais en la prodiguant moi-même à la fille.

Alors pourquoi ?

Eh bien après y avoir réfléchi des années, je crois avoir trouvé une réponse. C’est parce que, d’une, l’anilingus actif procure un plaisir bien plus psychologique que sensuel et que, de deux, cette pratique, pour celui qui la donne, n’est pas un acte de dévotion ni de soumission, mais bien un acte de domination, contrairement à ce qu’on peut penser d’emblée : il n’y a en effet pas de manière plus puissante de pénétrer l’intimité d’une fille que de lui pénétrer l’anus avec la langue.

L’anus est la partie la plus intime des filles, celle qu’elles rechignent le plus à nous montrer, car elle se rapporte aux pets et à la merde qu’elles aussi, comme tout être humain, produisent quotidiennement et à longueur de journée, alors qu’elles préfèrent se montrer sous leurs atours de princesse et conserver d’elles cette image pure d’êtres éthérés qui ne chient pas et ne pètent jamais.

Alors prendre une fille, en 69 allongé sur un lit, ou par derrière debout contre un mur, bien écarter son cul des deux mains et y fourrer sa langue, c’est un viol de leur intimité, bien plus puissant qu’un baiser avec la langue, un plotage de seins ou un doigtage de chatte. L’anilingus ramène la fille à son anus, lui rappelle violemment l’existence de cet organe qu’elle nous cache, d’autant plus violemment que nombre d’entre elles se laissent aller et jouissent comme des salopes lorsqu’on leur fourre la langue dans le trou du cul.

J’aime passionnément l’anilingus que j’ai pratiqué sur quasiment toutes les filles que j’ai pu sauter. Et mon premier fantasme sur une fille qui m’attire physiquement, inconnue croisée dans la rue, connaissance récente ou de longue date, est de lui enfoncer ma langue dans l’anus, précisément pour la posséder entièrement.
12 月 前
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