Atelier cuisine
Imaginons que nous soyons capable de nous téléporter...
Te voilà sur tes frêles gambettes plantée au milieu de ma cuisine.
Nous devons préparer un fondant au chocolat, quelle bonne idée.
Chocolat, beurre, farine, œufs... tout est là.
Nous nous répartissons les tâches, tu t'occupes de faire fondre le chocolat pendant que je mélange les autres ingrédients.
Bien sûr tout ça dans la bonne humeur, quand soudain je t'entends jurer. Tu viens de tâcher la petite robe que tu portais.
- Retire là, je vais t'en prêter une et mettre celle-ci à tremper.
- Ok, me réponds tu avec un sourire malicieux.
Sans hésiter, tu ôtes ta robe, et te retrouve entièrement nue au milieu de la pièce... Je suis absorbée par la vision de ce corps de poupée que j'ai subitement envie de le toucher...
Mais je ne vais pas oser, bien sûr. C'est sans compter sur ton espièglerie, malicieusement tu laisses traîner un doigt dans le chocolat fondu, lentement tu déposes cette appât sur un de tes si tentant téton.
- Oups ! Je me suis salie... Tu ne veux pas m'aider ?
Qui pourrait refuser une telle invitation ?
En effet qui pourrait se refuser un tel plaisir. Une si jolie poitrine qu'on a envie de sucer, de pétrir.
Alors je m'avance et prends ce téton chocolaté en bouche et le lèche, un délice …
Et là tout s’enchaîne.
- Mets toi nue !
Je me déshabille en toute hâte, pendant que tu t'es saisi de casserole et commence à t'étaler du chocolat sur tes seins, sut ton ventre et sur ta chatte toute lisse.
Je m'empare de la casserole et me badigeonne le corps à mon tour. Et riant tu crues : « A table ! »
Nous nous jetons l'une sur l'autre cherchant à lécher chacune à tour de rôle les tétons de l'autre. Ces caresses passionnées déclenchent irrémédiablement l'ouverture des vannes. Nous finissons par nous allongées sur le sol, nos langues continuent de nous abreuver de leurs subtiles caresses. N'y résistant plus, je te plaque au sol colle ma chatte sur ton visage en même temps que je me jette gouluement sur la tienne. Nos langues s'insinuent simultanément entre les lèvres charnues de nos chattes détrempée par le d »sir. Nous nous léchons, nous aspirons le clito, puis nos doigts pénètre nos vagins pour donner plus d'ampleur à ce cuni endiablé. Nos corps vacille avec la monté du plaisir, deux goulues endiablées qui se délectent des sucs l'une de l'autre. Brutalement tu interromps ton bouffage de chatte pour me dire: »Baise moi ! »
Mes yeux scrutent la cuisine à la recherche de l’instrument idéal... Je tombe sur le mortier et le presse purée dont me manche est intéressant. Je me saisi des deux instruments, les enduis de beurre et te dis d'un ton qui est sans appel : « On va s'enculer comme de grosses salopes. »
Le 69 de “l'enculade “ peut commencer. Je reprends ma place au dessus de toi, relève tes jambes en le coinçant derrière mes bras me donnant ainsi un libre accès à ton anus que je commence par lécher généreusement. De ton coté, tu n'es pas resté de reste et tu as commencé par étaler ma cyprine sur mon petit trou en le massant , puis ta langue a remplacé tes doigts. N'en pouvant plus, tellement envie de sentir quelque chose me pénétrer, à mon tour je te le demande : « Encule moi ! »
Chacune de notre coté nous saisissons de nos armes fatales et les faisons adroitement pénétrer dans le cul de l'autre. Si Alice reste silencieuse, je ne peux m’empêcher de gémir sous la poussée du mortier qu'elle introduit en moi.
Chorégraphie parfaitement orchestrée, nous synchronisons nos allés et venus en de rapides mouvement, pendant que nos langues continuent de se régaler de nous chattes. Nos sensations s'entremêlent pour un plaisir confus, intense....Bip....Bip....Bip.... « mais qu'est ce que... oh putain, c'est déjà l'heure... j'étais en train de faire un rêve de dingue !... »
Te voilà sur tes frêles gambettes plantée au milieu de ma cuisine.
Nous devons préparer un fondant au chocolat, quelle bonne idée.
Chocolat, beurre, farine, œufs... tout est là.
Nous nous répartissons les tâches, tu t'occupes de faire fondre le chocolat pendant que je mélange les autres ingrédients.
Bien sûr tout ça dans la bonne humeur, quand soudain je t'entends jurer. Tu viens de tâcher la petite robe que tu portais.
- Retire là, je vais t'en prêter une et mettre celle-ci à tremper.
- Ok, me réponds tu avec un sourire malicieux.
Sans hésiter, tu ôtes ta robe, et te retrouve entièrement nue au milieu de la pièce... Je suis absorbée par la vision de ce corps de poupée que j'ai subitement envie de le toucher...
Mais je ne vais pas oser, bien sûr. C'est sans compter sur ton espièglerie, malicieusement tu laisses traîner un doigt dans le chocolat fondu, lentement tu déposes cette appât sur un de tes si tentant téton.
- Oups ! Je me suis salie... Tu ne veux pas m'aider ?
Qui pourrait refuser une telle invitation ?
En effet qui pourrait se refuser un tel plaisir. Une si jolie poitrine qu'on a envie de sucer, de pétrir.
Alors je m'avance et prends ce téton chocolaté en bouche et le lèche, un délice …
Et là tout s’enchaîne.
- Mets toi nue !
Je me déshabille en toute hâte, pendant que tu t'es saisi de casserole et commence à t'étaler du chocolat sur tes seins, sut ton ventre et sur ta chatte toute lisse.
Je m'empare de la casserole et me badigeonne le corps à mon tour. Et riant tu crues : « A table ! »
Nous nous jetons l'une sur l'autre cherchant à lécher chacune à tour de rôle les tétons de l'autre. Ces caresses passionnées déclenchent irrémédiablement l'ouverture des vannes. Nous finissons par nous allongées sur le sol, nos langues continuent de nous abreuver de leurs subtiles caresses. N'y résistant plus, je te plaque au sol colle ma chatte sur ton visage en même temps que je me jette gouluement sur la tienne. Nos langues s'insinuent simultanément entre les lèvres charnues de nos chattes détrempée par le d »sir. Nous nous léchons, nous aspirons le clito, puis nos doigts pénètre nos vagins pour donner plus d'ampleur à ce cuni endiablé. Nos corps vacille avec la monté du plaisir, deux goulues endiablées qui se délectent des sucs l'une de l'autre. Brutalement tu interromps ton bouffage de chatte pour me dire: »Baise moi ! »
Mes yeux scrutent la cuisine à la recherche de l’instrument idéal... Je tombe sur le mortier et le presse purée dont me manche est intéressant. Je me saisi des deux instruments, les enduis de beurre et te dis d'un ton qui est sans appel : « On va s'enculer comme de grosses salopes. »
Le 69 de “l'enculade “ peut commencer. Je reprends ma place au dessus de toi, relève tes jambes en le coinçant derrière mes bras me donnant ainsi un libre accès à ton anus que je commence par lécher généreusement. De ton coté, tu n'es pas resté de reste et tu as commencé par étaler ma cyprine sur mon petit trou en le massant , puis ta langue a remplacé tes doigts. N'en pouvant plus, tellement envie de sentir quelque chose me pénétrer, à mon tour je te le demande : « Encule moi ! »
Chacune de notre coté nous saisissons de nos armes fatales et les faisons adroitement pénétrer dans le cul de l'autre. Si Alice reste silencieuse, je ne peux m’empêcher de gémir sous la poussée du mortier qu'elle introduit en moi.
Chorégraphie parfaitement orchestrée, nous synchronisons nos allés et venus en de rapides mouvement, pendant que nos langues continuent de se régaler de nous chattes. Nos sensations s'entremêlent pour un plaisir confus, intense....Bip....Bip....Bip.... « mais qu'est ce que... oh putain, c'est déjà l'heure... j'étais en train de faire un rêve de dingue !... »
10 月 前