Au tableau
- Marina, au tableau.
Non, ce n’est possible. Pas maintenant. J’en peux plus de ce prof. Une fois sur deux, dès que je suis en jupe, il m’appelle au tableau. Je m’en fous de son théorème de Pythagore. En plus j’étais trop en retard pour passer aux toilettes avant le premier cours, son cours. Le fond de ma culotte est complètement humide. Une cata. J’ai l’impression que tout le monde le devine, pourtant j’essaie de marcher normalement. Déjà que d’habitude, j’aime pas passer au tableau mais là, c’est le pompon. Même mes copines se sont aperçues du petit ménage du prof. Elles me charrient en disant que je suis sa chouchoute.
Allez, on va pas y passer la matinée.
Je n’ose pas me lever, j’ai la foufoune collée à ma culotte. Le sperme a coulé dedans pendant que je me hâtais dans la rue pour ne pas arriver en retard au collège.
Ce matin, je me suis réveillée plus tôt avec l’idée de faire une surprise à Yannick pour nos deux mois ensemble. J’ai mis un petit pull noir ultra moulant même si il n’y a pas grand choses à mouler mais il dessine parfaitement ma poitrine, un peu plus opulente depuis que je prends la pilule en cachette. J’ai enfilé ma nouvelle jupe écossaise plissée. Elle m’arrive à peine mi-cuisse et elle fait vraiment son effet. Mes Doc Martins complètent mon look collégienne rock. Je n’ai pas attaché mes longs cheveux châtain. Je suis passée en coup de vent dans la cuisine en expliquant à ma mère que je n’avais pas très faim et me voilà dans la rue direction l’appartement de Yannick. Avant de passer le porche de son immeuble, je vérifie que personne que je connais traîne dans les parages. Je toque enfin à sa porte. Il m’ouvre, en caleçon et les cheveux ébouriffés. Je lui saute au cou en murmurant surprise et l’embrasse goulûment. Il me soulève, me dépose à l’intérieur et referme la porte vite fait.
Qu’est-ce que tu fais là? Tu n’as pas cours?
Si mais je voulais te faire un petit bisous pour nos deux mois comme on pourra pas se voir en fin d’aprem.
Sexy cette jupette. Tu l’as jamais mise avant non? Je m’en souviendrais.
Cette fois, c’est lui qui m’embrasse. Je sens sa main qui se faufile sous ma jupe et s’immisce dans ma culotte. Ses doigts caressent directement mon petit bouton. J’aime trop ça. En deux mois, il m’a fait découvrir tellement de plaisirs charnels. Il me répète tout le temps que je suis une vraie coquine pour mes 14 ans, plus que des femmes de son âge. Moi, tout ce que je sais, c’est que j’adore jouir, peu importe comment. Il a fait de mon corps son instrument de musique et il sait en tirer toutes une gamme de gémissements qui m’échappe sans cesse. Encore et encore.
Je mouille déjà, et pas qu’un peu. J’ai sorti son sexe de son caleçon et le branle doucement. Il me parait loin le temps où je ne savais pas quoi faire et encore moins comment.
Mon chéri, il faut que j’y aille sinon je vais être en retard et je fais finir en perm, sans parler de l’heure de colle que je vais…
J’ai pas eu le temps de finir ma phrase. Il vient de me retourner et de me pousser contre le mur. Je m’appuie des deux mains dessus pour ne pas perdre l’équilibre. J’essaie de protester mais il a déjà relevé ma jupe et écarté ma culotte. Je lâche un cri quand il me pénètre. C’est si bon.
Non non, je vais vraiment être en retard
Vas-y, penche toi un peu plus en avant. Oui, voilà. Comme ça
Ses coups de reins sont vigoureux et je le sens trop bien en moi. La pénétration est profonde et intense. J’aime trop quand il me prend comme ça. Et il le sait.
T’es trop bandante ma petite collégienne! Oh putain… Je vais tout balancer.
Non non, pas en moi s’il te plaît
Trop tard. Il remet déjà ma culotte en place puis ma jupe et me retourne pour m’embrasser puis il me met une petite claque sur les fesses en me disant que j’allais être en retard au collège.
J’arrive juste à temps, la sonnerie a déjà retenti et il n’y a plus personne dans la cour. Je n’ose pas courir de peur que ma culotte se déplace trop. C’est une vraie piscine à l’intérieur, je dois aller aux toilettes au plus vite pour m’essuyer. Je croise un pion qui me dit de me dépêcher. J’entre en classe juste avant que le prof ferme la porte. Ma culotte me gêne mais je ne peux pas la remettre en place correctement. je m’installe à côté d’Audrey. Ma meilleure amie. Il y a deux jours, elle m’a raconté qu’un 3e lui avait tripoté les seins sous sa brassière dans le vestiaire du gymnase. Je ne sais pas si c’est vrai. Moi je ne peux rien lui dire pour Yannick, à cause de la trop grande différence d’âge. Et puis me croirait-elle à son tour? Comment lui dire que je me retrouve parfois à 4 pattes pour me faire prendre? Elle me répondrait que je dis n’importe quoi. On est loin du romantisme de nos discussions lors des soirées pyjamas pas si lointaines que ça. Je détecte l’odeur du sperme quand je bouge un peu trop sur ma chaise. J’espère que c’est juste dans ma tête. Mais l’odeur se fait vraiment prégnante. Ma culotte me colle trop à la vulve, cette heure de cours va me paraître interminable.
Le prof m’appelle une dernière fois. Je me lève et tire un peu sur ma jupe que je trouve trop courte tout d’un coup. J’espère qu’il n’y a pas une tâche derrière. Et me voilà, debout, devant la classe et le prof qui ne me quittent pas des yeux. Je croise le regard de certains boutonneux qui rêvent sans doute de me rouler une pelle et de me peloter les nichons comme de pauvres ados qu’ils sont. Je me tourne vers le prof et surprend son regard qui fixait mes jambes. Je suis sûre qu’il m’imagine à poil ce gros porc. Et là il me prend une folle envie de tout leur dire. Que je viens de me faire culbuter contre un mur par mon amant de 11 ans mon aîné. Qu’il a éjaculé dans ma foufoune et que je sens encore son sperme couler de ma fente, que j’ai ma petite culotte inondée de sa semence et que ça macule ma vulve. J’ai 14 ans, j’ai la chatte souillée de sperme et je me tiens debout devant vos gueules de puceaux mais je m’en fous après tout. J’aime faire l’amour et jouir comme une folle et je me moque de ce que vous pensez en vrai.
Non, ce n’est possible. Pas maintenant. J’en peux plus de ce prof. Une fois sur deux, dès que je suis en jupe, il m’appelle au tableau. Je m’en fous de son théorème de Pythagore. En plus j’étais trop en retard pour passer aux toilettes avant le premier cours, son cours. Le fond de ma culotte est complètement humide. Une cata. J’ai l’impression que tout le monde le devine, pourtant j’essaie de marcher normalement. Déjà que d’habitude, j’aime pas passer au tableau mais là, c’est le pompon. Même mes copines se sont aperçues du petit ménage du prof. Elles me charrient en disant que je suis sa chouchoute.
Allez, on va pas y passer la matinée.
Je n’ose pas me lever, j’ai la foufoune collée à ma culotte. Le sperme a coulé dedans pendant que je me hâtais dans la rue pour ne pas arriver en retard au collège.
Ce matin, je me suis réveillée plus tôt avec l’idée de faire une surprise à Yannick pour nos deux mois ensemble. J’ai mis un petit pull noir ultra moulant même si il n’y a pas grand choses à mouler mais il dessine parfaitement ma poitrine, un peu plus opulente depuis que je prends la pilule en cachette. J’ai enfilé ma nouvelle jupe écossaise plissée. Elle m’arrive à peine mi-cuisse et elle fait vraiment son effet. Mes Doc Martins complètent mon look collégienne rock. Je n’ai pas attaché mes longs cheveux châtain. Je suis passée en coup de vent dans la cuisine en expliquant à ma mère que je n’avais pas très faim et me voilà dans la rue direction l’appartement de Yannick. Avant de passer le porche de son immeuble, je vérifie que personne que je connais traîne dans les parages. Je toque enfin à sa porte. Il m’ouvre, en caleçon et les cheveux ébouriffés. Je lui saute au cou en murmurant surprise et l’embrasse goulûment. Il me soulève, me dépose à l’intérieur et referme la porte vite fait.
Qu’est-ce que tu fais là? Tu n’as pas cours?
Si mais je voulais te faire un petit bisous pour nos deux mois comme on pourra pas se voir en fin d’aprem.
Sexy cette jupette. Tu l’as jamais mise avant non? Je m’en souviendrais.
Cette fois, c’est lui qui m’embrasse. Je sens sa main qui se faufile sous ma jupe et s’immisce dans ma culotte. Ses doigts caressent directement mon petit bouton. J’aime trop ça. En deux mois, il m’a fait découvrir tellement de plaisirs charnels. Il me répète tout le temps que je suis une vraie coquine pour mes 14 ans, plus que des femmes de son âge. Moi, tout ce que je sais, c’est que j’adore jouir, peu importe comment. Il a fait de mon corps son instrument de musique et il sait en tirer toutes une gamme de gémissements qui m’échappe sans cesse. Encore et encore.
Je mouille déjà, et pas qu’un peu. J’ai sorti son sexe de son caleçon et le branle doucement. Il me parait loin le temps où je ne savais pas quoi faire et encore moins comment.
Mon chéri, il faut que j’y aille sinon je vais être en retard et je fais finir en perm, sans parler de l’heure de colle que je vais…
J’ai pas eu le temps de finir ma phrase. Il vient de me retourner et de me pousser contre le mur. Je m’appuie des deux mains dessus pour ne pas perdre l’équilibre. J’essaie de protester mais il a déjà relevé ma jupe et écarté ma culotte. Je lâche un cri quand il me pénètre. C’est si bon.
Non non, je vais vraiment être en retard
Vas-y, penche toi un peu plus en avant. Oui, voilà. Comme ça
Ses coups de reins sont vigoureux et je le sens trop bien en moi. La pénétration est profonde et intense. J’aime trop quand il me prend comme ça. Et il le sait.
T’es trop bandante ma petite collégienne! Oh putain… Je vais tout balancer.
Non non, pas en moi s’il te plaît
Trop tard. Il remet déjà ma culotte en place puis ma jupe et me retourne pour m’embrasser puis il me met une petite claque sur les fesses en me disant que j’allais être en retard au collège.
J’arrive juste à temps, la sonnerie a déjà retenti et il n’y a plus personne dans la cour. Je n’ose pas courir de peur que ma culotte se déplace trop. C’est une vraie piscine à l’intérieur, je dois aller aux toilettes au plus vite pour m’essuyer. Je croise un pion qui me dit de me dépêcher. J’entre en classe juste avant que le prof ferme la porte. Ma culotte me gêne mais je ne peux pas la remettre en place correctement. je m’installe à côté d’Audrey. Ma meilleure amie. Il y a deux jours, elle m’a raconté qu’un 3e lui avait tripoté les seins sous sa brassière dans le vestiaire du gymnase. Je ne sais pas si c’est vrai. Moi je ne peux rien lui dire pour Yannick, à cause de la trop grande différence d’âge. Et puis me croirait-elle à son tour? Comment lui dire que je me retrouve parfois à 4 pattes pour me faire prendre? Elle me répondrait que je dis n’importe quoi. On est loin du romantisme de nos discussions lors des soirées pyjamas pas si lointaines que ça. Je détecte l’odeur du sperme quand je bouge un peu trop sur ma chaise. J’espère que c’est juste dans ma tête. Mais l’odeur se fait vraiment prégnante. Ma culotte me colle trop à la vulve, cette heure de cours va me paraître interminable.
Le prof m’appelle une dernière fois. Je me lève et tire un peu sur ma jupe que je trouve trop courte tout d’un coup. J’espère qu’il n’y a pas une tâche derrière. Et me voilà, debout, devant la classe et le prof qui ne me quittent pas des yeux. Je croise le regard de certains boutonneux qui rêvent sans doute de me rouler une pelle et de me peloter les nichons comme de pauvres ados qu’ils sont. Je me tourne vers le prof et surprend son regard qui fixait mes jambes. Je suis sûre qu’il m’imagine à poil ce gros porc. Et là il me prend une folle envie de tout leur dire. Que je viens de me faire culbuter contre un mur par mon amant de 11 ans mon aîné. Qu’il a éjaculé dans ma foufoune et que je sens encore son sperme couler de ma fente, que j’ai ma petite culotte inondée de sa semence et que ça macule ma vulve. J’ai 14 ans, j’ai la chatte souillée de sperme et je me tiens debout devant vos gueules de puceaux mais je m’en fous après tout. J’aime faire l’amour et jouir comme une folle et je me moque de ce que vous pensez en vrai.
8 月 前