Chap.14: Thomas (suite)
Je ne sais pas comment ça se fait, mais mon peignoir de bain glisse et je me retrouve toute nue dans les bras de Thomas.
Il m’embrasse et me caresse avec fébrilité. J’ai l’impression qu’il a plusieurs mains tellement les siennes parcourent mon corps rapidement.
Moi je savoure sa langue dans ma bouche, je la suce et il a l’air de bien aimer. Je caresse la protubérance qui déforme son boxer et je finis par me dire que la grosse bête qui se trouve cachée là est un peu à l’étroit sous le tissu qui la comprime. D’une main habile je fais sortir l’animal de sa cage.
Depuis que je l’ai rencontré, j’ai remarqué certaines ressemblances entre Thomas et Romain. Ils sont cousins, donc, forcément, ils ont un air de famille. Jusque dans le slip.
Je n’ai pas mesuré de façon très rigoureuse, j’ai juste utilisé ma main. Et, au toucher, Thomas possède entre les cuisses de quoi rendre heureuse la plus exigeante des femmes. Cela me rend encore plus dubitative sur son entourage féminin.
Tant mieux, je vais être la première à profiter des bonnes dispositions de ce garçon !
Enfin, je crois. Il faudrait quand même vérifier l’information. Ce qui est plutôt délicat.
Heureusement, Thomas, dans sa candeur naturelle, me facilite la tache.
- Je… euh… bredouille t’il.
- Tu veux me dire quelque chose, mon chéri ?
- Eh bien… C’est la première fois que… enfin, bref…
- Il faut toujours une première fois. Tu as de la chance, je suis experte en premières fois !
Il rit et nos lèvres se joignent. Il est affamé et j’ai l’impression que sa queue grossit encore dans ma main.
Il est temps de passer à des choses plus sérieuses. Ma bouche parcourt le corps parfait de Thomas. Je sens son ventre se soulever au passage de mes lèvres. Erigée comme un obélisque, son sexe me montre le plafond.
Je regarde un court instant cette colonne de chair palp.itante. Je sais que cet épieu va bientôt être planté profondément dans mon ventre et je savoure cette idée, bien décidée à faire durer le plus longtemps possible cette attente. Et le plus agréablement.
Ma langue parcourt la bite de Thomas. Je sens la veine qui irrigue son pénis palpiter au passage de ma bouche. Un peu de liqueur perle à l’extrémité du méat.
D’un coup de langue gourmand, je lèche cette friandise. Puis, mes lèvres font comme un capuchon à ce drôle de moine. J’avale son engin jusqu’à la moitié.
Thomas est allongé sur le dos. Il gémit et halète.
- Tu aimes que je te suce ?
- Oh oui !
- On te l’a déjà fait ?
- Non…
Génial ! Je continue donc, motivée comme jamais. Ma bouche et mes lèvres parcourent sa bite, ma langue lèche ses couilles.
J’ai toujours aimé sucer les sexes d’hommes.
J’aime aussi lécher les minous des femmes.
Un de mes profs disait que j’étais la meilleure à l’oral… Sa femme avait confirmé.
- On va jouer à un jeu !
- Un jeu… ?
- Tu dois résister le plus longtemps possible !
Il ne dit rien, il a juste envie que je le reprenne dans ma bouche. Ca tombe bien, j’ai encore envie de le sucer.
Il ne sait pas que les rè.gles du jeu sont truquées. Je sais déjà qu’il ne va pas résister longtemps.
J’ai une certaine habitude, aucun homme ne résiste à ma bouche gourmande.
Je savoure dans ma tête l’idée que je vais être la première à déguster la crème un peu gluante qui va jaillir de sa bite.
Alors, je la suce, je l’aspire, je la lèche. Je fais des pauses afin que Thomas savoure, lui aussi, sa première fellation. Il aime.
Il s’agite et balbutie un mélange de mots indistincts et de gémissements. Sa bite se gonfle et j’ai l’impression de sentir sous mes lèvres le sperme monter, comme la lave d’un volcan en éruption.
Une dernière aspiration et, dans un râle, Thomas décharge sa semence dans ma bouche.
Gloups !
J’ai du mal à tout avaler d’un coup et je dois rendre la liberté à sa queue pour ne pas m’étouffer. Le sperme coule un peu partout. Je déglutis, savourant la semence de Thomas, puis j’entreprends de lécher ce qui a coulé sur ses couilles ou son ventre.
Thomas semble groggy, accablé par la puissance du plaisir que je lui ai donné. Il sourit béatement, les yeux mi-clos. Je me colle à lui et, alors que ses bras se referment sur mon corps, je l’embrasse goulûment, partageant avec lui ce qui reste de sa semence.
Je le laisse se remettre de ses émotions. Il faut qu’il reprenne des forces car j’ai l’intention de profiter de lui toute la nuit.
C’est la raison pour laquelle j’aime faire l’amour avec deux hommes à la fois, parfois plus. Les hommes, une fois vidés de leur substance virile, doivent recharger leurs batteries.
J’aime donc en avoir au moins deux sous la main, si j’ose dire, afin de pouvoir continuer à baiser sans interruption, car il y en a toujours un d’actif quand l’autre récupère.
J’imagine un instant que Romain et Thomas me baisent ensemble. Ce serait surement un grand moment pour moi. Peut-être un jour…
Mais je sens que mon jeune mâle retrouve déjà de la vigueur. Sa queue durcit sous mes doigts, signe que Thomas sera bientôt opérationnel à nouveau. A cet âge là, on récupère vite.
Je le branle doucement mais lui, d’un mouvement rapide, me renverse sur le lit en riant.
Posant ses mains sur mes épaules, il me cloue au lit et, me dominant de sa force virile, il m’embrasse.
- C’était génial ! dit-il. Maintenant, c’est à mon tour !
Il m.o.rd doucement mon épaule, puis la lèche. Sa bouche descend jusqu’à ma poitrine, qu’il embrasse et caresse en même temps. Ses lèvres jouent avec mes tétons. Il n’ose pas les m.o.r.dr.e. Bientôt.
Sa main est entre mes cuisses moites. Il embrasse furtivement mon ventre et, rapidement, se concentre sur son but : ma chatte.
Certains hommes n’aiment pas lécher la chatte de leur partenaire. Heureusement, Thomas n’est pas de cette catégorie.
Il est curieux et gourmand et n’hésite pas à y aller, à grands coups de langue et de lèvres. Je lui indique où se trouve mon clitoris et je le guide dans sa découverte du corps féminin.
Ses doigts explorent mon vagin. Je m’abandonne à lui et je sens qu’il aime ça. Sa bouche rejoint ses doigts et il lèche mon clito tout en découvrant la moiteur douce de ma grotte, dans laquelle il effectue des va-et-vient avec deux doigts.
Je savoure à mon tour et je me laisse aller. Des gémissements passent le seuil de mes lèvres et je sens bien que ca motive Thomas.
Je jouis sous ses caresses. Il est aux anges et moi aussi.
Il est couché sur moi et je goûte ma liqueur sur ses lèvres. Je sens l’impatience de son sexe dur et je l’encourage.
- Baise-moi, mon chéri !
Il ne se le fait pas dire deux fois. Ecartant un peu plus mes cuisses, il place son gland juste à l’entrée de mon vagin. Puis il me pénètre doucement. Trop doucement à mon goût.
Je le veux en moi, je suis impatiente de me donner complètement à lui. Je referme mes jambes autour de ses reins et je l’encourage.
- Baise-moi à fond… Plus fort !
Alors commence un pilonnage en règle comme je les aime. Ses reins puissants actionnent sa queue et je sens sa chair envahir la mienne.
Je voulais qu’il y aille plus fort, je suis servie. Je m’accroche à lui pour bien profiter de ses longs coups de boutoir qu’il m’inflige. Je crie, je gémis, je supplie, j’encourage et je finis par crier mon plaisir lorsque l’orgasme me saisit.
Il se retire soudain et me retourne comme une crêpe. Surprise, je crie, mais je suis ravie. L’animal qui sommeillait se réveille.
Il me prend en levrette, me bourre et me baise sans ménagements. Il claque mes fesses à chaque fois qu’il me prend.
Soudain, il pousse un long râle. Je n’ai pas le temps de lui dire que je le veux dans ma bouche que, déjà, il se répand en longs jets dans mon vagin.
Sa bite un peu flasque sort lentement. Je sens la semence suinter entre mes cuisses.
- Viens… ! lui dis-je.
Je veux sa queue dans ma bouche afin que ma langue profite des dernières gouttes de sa semence.
à suivre !
Il m’embrasse et me caresse avec fébrilité. J’ai l’impression qu’il a plusieurs mains tellement les siennes parcourent mon corps rapidement.
Moi je savoure sa langue dans ma bouche, je la suce et il a l’air de bien aimer. Je caresse la protubérance qui déforme son boxer et je finis par me dire que la grosse bête qui se trouve cachée là est un peu à l’étroit sous le tissu qui la comprime. D’une main habile je fais sortir l’animal de sa cage.
Depuis que je l’ai rencontré, j’ai remarqué certaines ressemblances entre Thomas et Romain. Ils sont cousins, donc, forcément, ils ont un air de famille. Jusque dans le slip.
Je n’ai pas mesuré de façon très rigoureuse, j’ai juste utilisé ma main. Et, au toucher, Thomas possède entre les cuisses de quoi rendre heureuse la plus exigeante des femmes. Cela me rend encore plus dubitative sur son entourage féminin.
Tant mieux, je vais être la première à profiter des bonnes dispositions de ce garçon !
Enfin, je crois. Il faudrait quand même vérifier l’information. Ce qui est plutôt délicat.
Heureusement, Thomas, dans sa candeur naturelle, me facilite la tache.
- Je… euh… bredouille t’il.
- Tu veux me dire quelque chose, mon chéri ?
- Eh bien… C’est la première fois que… enfin, bref…
- Il faut toujours une première fois. Tu as de la chance, je suis experte en premières fois !
Il rit et nos lèvres se joignent. Il est affamé et j’ai l’impression que sa queue grossit encore dans ma main.
Il est temps de passer à des choses plus sérieuses. Ma bouche parcourt le corps parfait de Thomas. Je sens son ventre se soulever au passage de mes lèvres. Erigée comme un obélisque, son sexe me montre le plafond.
Je regarde un court instant cette colonne de chair palp.itante. Je sais que cet épieu va bientôt être planté profondément dans mon ventre et je savoure cette idée, bien décidée à faire durer le plus longtemps possible cette attente. Et le plus agréablement.
Ma langue parcourt la bite de Thomas. Je sens la veine qui irrigue son pénis palpiter au passage de ma bouche. Un peu de liqueur perle à l’extrémité du méat.
D’un coup de langue gourmand, je lèche cette friandise. Puis, mes lèvres font comme un capuchon à ce drôle de moine. J’avale son engin jusqu’à la moitié.
Thomas est allongé sur le dos. Il gémit et halète.
- Tu aimes que je te suce ?
- Oh oui !
- On te l’a déjà fait ?
- Non…
Génial ! Je continue donc, motivée comme jamais. Ma bouche et mes lèvres parcourent sa bite, ma langue lèche ses couilles.
J’ai toujours aimé sucer les sexes d’hommes.
J’aime aussi lécher les minous des femmes.
Un de mes profs disait que j’étais la meilleure à l’oral… Sa femme avait confirmé.
- On va jouer à un jeu !
- Un jeu… ?
- Tu dois résister le plus longtemps possible !
Il ne dit rien, il a juste envie que je le reprenne dans ma bouche. Ca tombe bien, j’ai encore envie de le sucer.
Il ne sait pas que les rè.gles du jeu sont truquées. Je sais déjà qu’il ne va pas résister longtemps.
J’ai une certaine habitude, aucun homme ne résiste à ma bouche gourmande.
Je savoure dans ma tête l’idée que je vais être la première à déguster la crème un peu gluante qui va jaillir de sa bite.
Alors, je la suce, je l’aspire, je la lèche. Je fais des pauses afin que Thomas savoure, lui aussi, sa première fellation. Il aime.
Il s’agite et balbutie un mélange de mots indistincts et de gémissements. Sa bite se gonfle et j’ai l’impression de sentir sous mes lèvres le sperme monter, comme la lave d’un volcan en éruption.
Une dernière aspiration et, dans un râle, Thomas décharge sa semence dans ma bouche.
Gloups !
J’ai du mal à tout avaler d’un coup et je dois rendre la liberté à sa queue pour ne pas m’étouffer. Le sperme coule un peu partout. Je déglutis, savourant la semence de Thomas, puis j’entreprends de lécher ce qui a coulé sur ses couilles ou son ventre.
Thomas semble groggy, accablé par la puissance du plaisir que je lui ai donné. Il sourit béatement, les yeux mi-clos. Je me colle à lui et, alors que ses bras se referment sur mon corps, je l’embrasse goulûment, partageant avec lui ce qui reste de sa semence.
Je le laisse se remettre de ses émotions. Il faut qu’il reprenne des forces car j’ai l’intention de profiter de lui toute la nuit.
C’est la raison pour laquelle j’aime faire l’amour avec deux hommes à la fois, parfois plus. Les hommes, une fois vidés de leur substance virile, doivent recharger leurs batteries.
J’aime donc en avoir au moins deux sous la main, si j’ose dire, afin de pouvoir continuer à baiser sans interruption, car il y en a toujours un d’actif quand l’autre récupère.
J’imagine un instant que Romain et Thomas me baisent ensemble. Ce serait surement un grand moment pour moi. Peut-être un jour…
Mais je sens que mon jeune mâle retrouve déjà de la vigueur. Sa queue durcit sous mes doigts, signe que Thomas sera bientôt opérationnel à nouveau. A cet âge là, on récupère vite.
Je le branle doucement mais lui, d’un mouvement rapide, me renverse sur le lit en riant.
Posant ses mains sur mes épaules, il me cloue au lit et, me dominant de sa force virile, il m’embrasse.
- C’était génial ! dit-il. Maintenant, c’est à mon tour !
Il m.o.rd doucement mon épaule, puis la lèche. Sa bouche descend jusqu’à ma poitrine, qu’il embrasse et caresse en même temps. Ses lèvres jouent avec mes tétons. Il n’ose pas les m.o.r.dr.e. Bientôt.
Sa main est entre mes cuisses moites. Il embrasse furtivement mon ventre et, rapidement, se concentre sur son but : ma chatte.
Certains hommes n’aiment pas lécher la chatte de leur partenaire. Heureusement, Thomas n’est pas de cette catégorie.
Il est curieux et gourmand et n’hésite pas à y aller, à grands coups de langue et de lèvres. Je lui indique où se trouve mon clitoris et je le guide dans sa découverte du corps féminin.
Ses doigts explorent mon vagin. Je m’abandonne à lui et je sens qu’il aime ça. Sa bouche rejoint ses doigts et il lèche mon clito tout en découvrant la moiteur douce de ma grotte, dans laquelle il effectue des va-et-vient avec deux doigts.
Je savoure à mon tour et je me laisse aller. Des gémissements passent le seuil de mes lèvres et je sens bien que ca motive Thomas.
Je jouis sous ses caresses. Il est aux anges et moi aussi.
Il est couché sur moi et je goûte ma liqueur sur ses lèvres. Je sens l’impatience de son sexe dur et je l’encourage.
- Baise-moi, mon chéri !
Il ne se le fait pas dire deux fois. Ecartant un peu plus mes cuisses, il place son gland juste à l’entrée de mon vagin. Puis il me pénètre doucement. Trop doucement à mon goût.
Je le veux en moi, je suis impatiente de me donner complètement à lui. Je referme mes jambes autour de ses reins et je l’encourage.
- Baise-moi à fond… Plus fort !
Alors commence un pilonnage en règle comme je les aime. Ses reins puissants actionnent sa queue et je sens sa chair envahir la mienne.
Je voulais qu’il y aille plus fort, je suis servie. Je m’accroche à lui pour bien profiter de ses longs coups de boutoir qu’il m’inflige. Je crie, je gémis, je supplie, j’encourage et je finis par crier mon plaisir lorsque l’orgasme me saisit.
Il se retire soudain et me retourne comme une crêpe. Surprise, je crie, mais je suis ravie. L’animal qui sommeillait se réveille.
Il me prend en levrette, me bourre et me baise sans ménagements. Il claque mes fesses à chaque fois qu’il me prend.
Soudain, il pousse un long râle. Je n’ai pas le temps de lui dire que je le veux dans ma bouche que, déjà, il se répand en longs jets dans mon vagin.
Sa bite un peu flasque sort lentement. Je sens la semence suinter entre mes cuisses.
- Viens… ! lui dis-je.
Je veux sa queue dans ma bouche afin que ma langue profite des dernières gouttes de sa semence.
à suivre !
7 月 前
But I'm willing to teach you what you don't know... When are you free for the first class?
Welcome to your two guests !
Oh, and when I visit, I’ll remember to bring two men for your pleasure, meow.