2024 – Mes Héléna - Cerise
La fin de l’été s’annonce, température fraîchissante, les jours diminuent, les voisins rentrent de vacances…
Ma piscine est idéale et je nage en pensant à de futures vacances…
Le soleil de l’Espagne, les délices du Portugal ou les Pyrénées, la montagne plus sauvage, plus vraie que les Alpes ravagées par les stations de ski sans neige…
Mon portable se met à chanter…
Cerise…
Elle a eu mon numéro par Julie, ma coiffeuse et amie… Elle aimerait me rencontrer…
Je lui dis que je suis libre comme l’air aujourd’hui et que suis dans ma piscine et qu’elle est la bienvenue…
Une demi-heure plus tard, on sonne au portillon, j’enfile un peignoir, c’est elle…
Cerise…
Sa voix ne correspond pas à son physique, surtout à son âge.
La quarantaine, châtain clair, sobre, peu maquillée, ses joues trahissent quelques larmes et ses yeux révèlent de la tristesse…
Une robe d’été, simple, cache ses formes, mais laisse entrevoir sa poitrine…
Elle a mis un maillot de bain en vitesse, pour me rejoindre dans mon bassin…
Face à face, un jus de fruit à portée, elle me raconte ses malheurs…
39 ans, mariée à Albert depuis 15 ans, après un premier mariage et un enfant, elle pensait avoir trouvé l’amour éternel. Bonne situation, cadre, Albert lui avait apporté la sérénité, un nid douillet dans une belle villa confortable bâtie à 2…
15 ans sans ombrage, ils avaient voyagé avec sa fille, Anne, jusqu’à ce qu’elle prenne sa liberté…
Ah, ces ados, quelle plaie.
Elle lui avait lâché du lest, elle travaillait bien et se dirigeait vers le commerce, comme Albert.
Ils s’entendaient bien maintenant, après une période difficile…
Cerise lui avait demandé de considérer Albert comme son père, qui l’avait oubliée…
Le fait de vivre avec un homme imposé, n’était pas la meilleure chose qu’elle lui avait apporté. Mais elle aimait Albert, ils avaient construits un nid ensemble, refondé une famille…
Il l’adorait et la couvrait de cadeaux, la défendait quand Cerise la grondait vertement…
Maintenant, cela se passait en douceur, Anne en profitait…
L’été dernier, ils étaient partis en croisière, sans Anne…
Anne avait eu 18 ans, et voulait prendre des vacances en Corse, avec des amies…
Cerise et Albert lui donnèrent leur bénédiction…
Pendant la croisière de quinze jours, entre Méditerranée et Atlantique, Cerise fut dorlotée, choyée par son mari.
Le temps était comme un rêve, elle lui faisait l’amour avec passion, oubliant sa vie professionnelle et ses tracas.
Il semblait heureux de partager ces instants de magie, de liberté, il trouva même qu’elle était plus amoureuse…
- Il avait raison, tu sais… Je me sentais libre malgré tous ces gens, dans cette ambiance de fête, on me regardait, dans mon maillot, dans mes robes, en dansant le soir, où pendant les excursions…
Je me rendais compte que je me mettais simplement à vivre.
Sans ma fille, sans mon job, sans la maison, sans les contraintes de la vie…
Il me semblait jouir plus intensément, plus longtemps, plus intimement, et partager, me donner, vouloir lui faire plaisir et acceptant tout ce qu’il demandait…
- Oui, c’est ça le sexe en vacances… Nous aussi on se lâche avec Romain, et depuis quelques années nous devenons libertins, pimentant nos séjours avec d’autres couples…
- C’est ce qu’il m’a demandé, car on avait surpris des attitudes, des regards, de la part de couples de notre entourage… En dansant avec un des hommes de notre table, il me demanda si j’étais d’accord pour une soirée à 4… J’avais bien deviné. Ils organisaient des rencontres entre couples et plus…
Quand je cherchais Albert, en me rendant aux toilettes, je l’ai trouvé avec la femme de mon danseur… Debout, sa robe de soirée relevée, elle jouissait sous le sexe de mon mari, les bras autour de son cou, en gémissant, l’embrassant, dépoitraillée…
Je voyais Albert la baiser, avec des coups de reins puissants, qui la faisaient gémir en cadence…
- Tu as réagi comment ?
- Je suis sortie, j’étais calme, sereine… Il m’avait trompée sur cet Eden… On avait fait l’amour une bonne partie de la nuit, et ce soir, il baisait une bourgeoise assoiffée de sexe… Je suis retournée dans la salle… Je retrouvais mon danseur…
Des pensées se bousculèrent dans ma tête… Je revoyais sa femme, le visage illuminé par le plaisir, se donnant à mon chéri, trompant ouvertement son mari…
Quand il me serra contre lui, je ne dis rien… Au contraire, je profitais…
La chaleur de ses mains qui glissaient dans mon dos, sur mes reins, effleurant mes fesses, le visage rivé dans mon décolleté généreux, j’avais des pensées de vengeance, des pensées perverses…
- Tu as ressenti du désir pour lui ?…
- Oui, j’ai senti son sexe, il me désirait… Je n’avais jamais trompé mes maris… Pas même un flirt, ni une caresse… Mais là, je me sentais en chaleur, portée vers lui…
J’ai senti ses lèvres sur les miennes, douces et parfumées… J’ai aimé… Je lui ai rendu le baiser comme sa femme avec Albert, en frottant mon bas-ventre contre lui… « Viens !... »
Je l’ai suivi, dans une coursive, une porte, une pièce sombre… Une sorte de cabine sommaire, avec un lit… Il referma la porte et mit un verrou…
Il me plaqua contre la paroi métallique… On s’embrassa sauvagement…
Sa main découvrit mes seins et les massa… une autre s’infiltra dans mon intimité…
Je pris sa verge dans ma main…
Il déboutonna, dézippa, dégrafa, et je sentis un doigt parcourir mon sillon…
Je me rendis compte que j’étais nue, trempée de désir, tenant sa bite dans ma main en le masturbant… Je le poussais sur le lit en plongea sur sa bite… Je frétillais contre lui, sur lui en le suçant avec passion… Mon première fellation adultère…
Il me fit me retourner, j’enjambais sa tête, lui offrant ma chatte…
La cabine se mit à tourner… J’eus un orgasme, je lâchais son sexe, et il m’écartela sur le dos, repliant mes genoux, ma vulve grande ouverte par ses caresses, son sexe bandé me pénétra et je vis trente-six chandelles et des centaines d’étoiles, il allait et venait en moi, tendre et puissant, me rendant folle, consentante, offerte comme une souillon, sur une paillasse… Je me mis à jouir, gémissant de tout mon être, scandant ses coups de reins, délirant ses massages de seins, et il me prit en levrette…
Quel délice, quelles envolées lyriques, un concert de mots doux, d’onomatopées, son sexe jouait du trombone à coulisse dans ma vulve détrempée…
Je voulais qu’il me baise encore, jusqu’au bout, sentir son sperme signer cet accouplement adultérin…
Je n’arrivais pas à enlever les images de sa femme se donnant à mon mari, de mon esprit, soulevant une cuisse, dévoilant son intimité, en vociférant son plaisir…
Il tuméfiait ma chatte, disloquait mon vagin, quand je sentis un doigt glisser subrepticement autour de mon anus, reprendre doucement une ronde infernale en étalant mes sucs féminins…
Je me laissais faire… Il sortit son dard, et le posa contre ma porte sombre…
Je le sentis pousser, pénétrer, puis lentement passer ma rondelle et s’offrir la visite de mes entrailles, avec un orgasme, réfréné trop longtemps !
Il me sodomise !
Les seins ballants, pétris par ses larges mains, mes gémissements de louve, et sa bite qui me harcèle, qui me déglingue et me pilonne…
Ses ongles griffent mes hanches, il va jouir en moi !
Il masse mes seins, et pince les bouts en redoublant ses efforts…
Je vais jouir de lui !
Il me fornique jusqu’au bout en grognant ses coups de reins, j’en perds l’équilibre et me retrouve punaisée par sa bite, allongée sur le ventre, les fesses écartelées comme une putain au 14 juillet…
- On dirait un film porno ton histoire…
- Pardon, c’est vrai, je ne voulais pas aller si loin, mais je t’ai commenté les images qui venaient à mon esprit… En différé… Ma première baise extra-conjugale… Tu me trouves trop crue ? Trop directe ? Je n’ai pas l’habitude de commenter mes orgasmes… Tu as vécu ma première fois, sur ce navire de perdition…
- Tu as recommencé ?
- En rentrant dans la cabine, on a parlé… je l’avais vu… Sa pute lui a aussitôt rapporté que son mari m’avait baisée… On s’était laissés entraînés, sans doute aussi par des substances… Je m’étais sentie différente, le voulant, le désirant, voulant faire l’amour… Lui aussi avait craqué pour cette belle femme aux seins généreux, qui l’avait chauffé sur la piste de dance et entraîné vers un endroit discret… On regrettait… On n’était pas nous-même, on nous avait piégés… Mais ceci resterait dans le contexte croisière, liberté, parenthèse… On était d’accord sur le principe, mais la croisière ne faisait que commencer… Mon amant m’avait donné leur numéro de cabine… Il était simple d’aller leur parler… Je passais une robe courte, sans soutif, et éclaira mon visage d’un fond de teint coloré…
- Et vous êtes allés les retrouver ?
- Oui… Il était l’heure de l’apéro, on avait sommeillé, rattrapant notre sommeil, juste quelques câlins, mais je ne voulais pas faire l’amour avec lui…
- La porte s’ouvrit… Elle était devant moi, presque nue… Elle nous fit rentrer…
- Oh que cela est adorable de venir nous retrouver tous les deux… Je te demande pardon, Cerise, de t’avoir volé ton mari, Albert, hier au soir… Une envie d’autre chose, nous sommes un couple libre, et aimons le sexe… Tu m’as plu Albert, j’ai senti une attirance… Pareil pour Luc qui dansait avec toi… Il savait que j’étais partie avec ton mari… Il t’a entraînée dans nos libertinages…
- Je ne regrette pas, cela donne un tournant nouveau à notre croisière, elle s’amuse vraiment, avec vous et on a décidé de recommencer ce soir…
- Ce soir on reçoit un couple comme vous, débutants dans ce jeu… On va partager, plus on est de fous… Ils viennent ici pour l’apéro… On mangera plus tard…
On parle de nous, de nos professions, de notre fille, et eux de leurs enfants, de leur couple, de ce désir de pimenter leur croisière, mais en toute sécurité et respect des partenaires… Chacun est libre, chacun est consentant…
- Tu vois, nous c’est pareil avec Romain, mais dans un camping-car… Parfois cela débute en-dehors, par lui ou par moi, un regard, et je craque sur la plage, dans les sanitaires, ou en jouant à des jeux interdits… Ensuite on partage nos rencontres, un cadeau… Et ensuite, vous avec baisé ensemble ?
- Oui… Après 2 verres, les robes ont glissé, on s’est mélangés, elle s’est jetée sur Albert, se planant son sexe dans la chatte écartelée devant moi et jouissant comme hier soir… Alors j’ai fait pareil et tout ce qu’elle faisait, je le lui refaisais…
- Les amis sont arrivés, on était presque nus… Il se sont glissés contre nous et on a échangé… La fille était plus jeune, lui plus beau, et j’ai pris mon pied… C’est ainsi que j’ai goûté à ce plaisir divin, d’être prise par deux hommes en même temps…
- Oui, c’est délicieux… Complet et exaltant…
- Oui, je jouissais par les deux trous de mes deux nouveaux amants… et les deux femmes se partageaient mon Albert… Elles lui offraient un spectacle torride de lesbiennes, se bouffant la chatte, se tortillant et se frottant en gémissant de plaisir…
- J’ai ressenti quelque chose… Mais ils m’ont emportés dans les arcanes du sexe, me baisant comme des sauvages, détruisant mon cul et mon sexe…
Je jouissais de leurs queues, empalée, plantée, porté au supplice du pal… j’étais à eux, et râlais mes orgasmes, jusqu’à ressentir leurs semences m’inonder, gicler en moi, et finir dans mes cheveux et sur mes seins… Mes deux amies, perforées par Albert à tour de rôle, n’avaient rien manqué de ma prestation… Elle m’assaillirent, découvrant les caresses lesbiennes et me transformant en amante, tandis que les hommes buvaient des bières en nous regardant jouir…
Je ne savais toujours pas pourquoi elle avait frappé à ma porte…
- Bien, tout cela m’a l’air très coquin et tu t’es amusée pendant cette croisière. Si les soirées ont été toutes comme ça, je ne vois pas ce qui explique ta présence ici…
L’air interrogateur, je fixe ses yeux, et elle se remet à pleurer…
- Ben… Tu n’as pas compris ?
- Quoi ?
- Je suis enceinte…
Et c'est là que tout a commencé entre nous...
FIN
Marika842010 - Août 2024
Ma piscine est idéale et je nage en pensant à de futures vacances…
Le soleil de l’Espagne, les délices du Portugal ou les Pyrénées, la montagne plus sauvage, plus vraie que les Alpes ravagées par les stations de ski sans neige…
Mon portable se met à chanter…
Cerise…
Elle a eu mon numéro par Julie, ma coiffeuse et amie… Elle aimerait me rencontrer…
Je lui dis que je suis libre comme l’air aujourd’hui et que suis dans ma piscine et qu’elle est la bienvenue…
Une demi-heure plus tard, on sonne au portillon, j’enfile un peignoir, c’est elle…
Cerise…
Sa voix ne correspond pas à son physique, surtout à son âge.
La quarantaine, châtain clair, sobre, peu maquillée, ses joues trahissent quelques larmes et ses yeux révèlent de la tristesse…
Une robe d’été, simple, cache ses formes, mais laisse entrevoir sa poitrine…
Elle a mis un maillot de bain en vitesse, pour me rejoindre dans mon bassin…
Face à face, un jus de fruit à portée, elle me raconte ses malheurs…
39 ans, mariée à Albert depuis 15 ans, après un premier mariage et un enfant, elle pensait avoir trouvé l’amour éternel. Bonne situation, cadre, Albert lui avait apporté la sérénité, un nid douillet dans une belle villa confortable bâtie à 2…
15 ans sans ombrage, ils avaient voyagé avec sa fille, Anne, jusqu’à ce qu’elle prenne sa liberté…
Ah, ces ados, quelle plaie.
Elle lui avait lâché du lest, elle travaillait bien et se dirigeait vers le commerce, comme Albert.
Ils s’entendaient bien maintenant, après une période difficile…
Cerise lui avait demandé de considérer Albert comme son père, qui l’avait oubliée…
Le fait de vivre avec un homme imposé, n’était pas la meilleure chose qu’elle lui avait apporté. Mais elle aimait Albert, ils avaient construits un nid ensemble, refondé une famille…
Il l’adorait et la couvrait de cadeaux, la défendait quand Cerise la grondait vertement…
Maintenant, cela se passait en douceur, Anne en profitait…
L’été dernier, ils étaient partis en croisière, sans Anne…
Anne avait eu 18 ans, et voulait prendre des vacances en Corse, avec des amies…
Cerise et Albert lui donnèrent leur bénédiction…
Pendant la croisière de quinze jours, entre Méditerranée et Atlantique, Cerise fut dorlotée, choyée par son mari.
Le temps était comme un rêve, elle lui faisait l’amour avec passion, oubliant sa vie professionnelle et ses tracas.
Il semblait heureux de partager ces instants de magie, de liberté, il trouva même qu’elle était plus amoureuse…
- Il avait raison, tu sais… Je me sentais libre malgré tous ces gens, dans cette ambiance de fête, on me regardait, dans mon maillot, dans mes robes, en dansant le soir, où pendant les excursions…
Je me rendais compte que je me mettais simplement à vivre.
Sans ma fille, sans mon job, sans la maison, sans les contraintes de la vie…
Il me semblait jouir plus intensément, plus longtemps, plus intimement, et partager, me donner, vouloir lui faire plaisir et acceptant tout ce qu’il demandait…
- Oui, c’est ça le sexe en vacances… Nous aussi on se lâche avec Romain, et depuis quelques années nous devenons libertins, pimentant nos séjours avec d’autres couples…
- C’est ce qu’il m’a demandé, car on avait surpris des attitudes, des regards, de la part de couples de notre entourage… En dansant avec un des hommes de notre table, il me demanda si j’étais d’accord pour une soirée à 4… J’avais bien deviné. Ils organisaient des rencontres entre couples et plus…
Quand je cherchais Albert, en me rendant aux toilettes, je l’ai trouvé avec la femme de mon danseur… Debout, sa robe de soirée relevée, elle jouissait sous le sexe de mon mari, les bras autour de son cou, en gémissant, l’embrassant, dépoitraillée…
Je voyais Albert la baiser, avec des coups de reins puissants, qui la faisaient gémir en cadence…
- Tu as réagi comment ?
- Je suis sortie, j’étais calme, sereine… Il m’avait trompée sur cet Eden… On avait fait l’amour une bonne partie de la nuit, et ce soir, il baisait une bourgeoise assoiffée de sexe… Je suis retournée dans la salle… Je retrouvais mon danseur…
Des pensées se bousculèrent dans ma tête… Je revoyais sa femme, le visage illuminé par le plaisir, se donnant à mon chéri, trompant ouvertement son mari…
Quand il me serra contre lui, je ne dis rien… Au contraire, je profitais…
La chaleur de ses mains qui glissaient dans mon dos, sur mes reins, effleurant mes fesses, le visage rivé dans mon décolleté généreux, j’avais des pensées de vengeance, des pensées perverses…
- Tu as ressenti du désir pour lui ?…
- Oui, j’ai senti son sexe, il me désirait… Je n’avais jamais trompé mes maris… Pas même un flirt, ni une caresse… Mais là, je me sentais en chaleur, portée vers lui…
J’ai senti ses lèvres sur les miennes, douces et parfumées… J’ai aimé… Je lui ai rendu le baiser comme sa femme avec Albert, en frottant mon bas-ventre contre lui… « Viens !... »
Je l’ai suivi, dans une coursive, une porte, une pièce sombre… Une sorte de cabine sommaire, avec un lit… Il referma la porte et mit un verrou…
Il me plaqua contre la paroi métallique… On s’embrassa sauvagement…
Sa main découvrit mes seins et les massa… une autre s’infiltra dans mon intimité…
Je pris sa verge dans ma main…
Il déboutonna, dézippa, dégrafa, et je sentis un doigt parcourir mon sillon…
Je me rendis compte que j’étais nue, trempée de désir, tenant sa bite dans ma main en le masturbant… Je le poussais sur le lit en plongea sur sa bite… Je frétillais contre lui, sur lui en le suçant avec passion… Mon première fellation adultère…
Il me fit me retourner, j’enjambais sa tête, lui offrant ma chatte…
La cabine se mit à tourner… J’eus un orgasme, je lâchais son sexe, et il m’écartela sur le dos, repliant mes genoux, ma vulve grande ouverte par ses caresses, son sexe bandé me pénétra et je vis trente-six chandelles et des centaines d’étoiles, il allait et venait en moi, tendre et puissant, me rendant folle, consentante, offerte comme une souillon, sur une paillasse… Je me mis à jouir, gémissant de tout mon être, scandant ses coups de reins, délirant ses massages de seins, et il me prit en levrette…
Quel délice, quelles envolées lyriques, un concert de mots doux, d’onomatopées, son sexe jouait du trombone à coulisse dans ma vulve détrempée…
Je voulais qu’il me baise encore, jusqu’au bout, sentir son sperme signer cet accouplement adultérin…
Je n’arrivais pas à enlever les images de sa femme se donnant à mon mari, de mon esprit, soulevant une cuisse, dévoilant son intimité, en vociférant son plaisir…
Il tuméfiait ma chatte, disloquait mon vagin, quand je sentis un doigt glisser subrepticement autour de mon anus, reprendre doucement une ronde infernale en étalant mes sucs féminins…
Je me laissais faire… Il sortit son dard, et le posa contre ma porte sombre…
Je le sentis pousser, pénétrer, puis lentement passer ma rondelle et s’offrir la visite de mes entrailles, avec un orgasme, réfréné trop longtemps !
Il me sodomise !
Les seins ballants, pétris par ses larges mains, mes gémissements de louve, et sa bite qui me harcèle, qui me déglingue et me pilonne…
Ses ongles griffent mes hanches, il va jouir en moi !
Il masse mes seins, et pince les bouts en redoublant ses efforts…
Je vais jouir de lui !
Il me fornique jusqu’au bout en grognant ses coups de reins, j’en perds l’équilibre et me retrouve punaisée par sa bite, allongée sur le ventre, les fesses écartelées comme une putain au 14 juillet…
- On dirait un film porno ton histoire…
- Pardon, c’est vrai, je ne voulais pas aller si loin, mais je t’ai commenté les images qui venaient à mon esprit… En différé… Ma première baise extra-conjugale… Tu me trouves trop crue ? Trop directe ? Je n’ai pas l’habitude de commenter mes orgasmes… Tu as vécu ma première fois, sur ce navire de perdition…
- Tu as recommencé ?
- En rentrant dans la cabine, on a parlé… je l’avais vu… Sa pute lui a aussitôt rapporté que son mari m’avait baisée… On s’était laissés entraînés, sans doute aussi par des substances… Je m’étais sentie différente, le voulant, le désirant, voulant faire l’amour… Lui aussi avait craqué pour cette belle femme aux seins généreux, qui l’avait chauffé sur la piste de dance et entraîné vers un endroit discret… On regrettait… On n’était pas nous-même, on nous avait piégés… Mais ceci resterait dans le contexte croisière, liberté, parenthèse… On était d’accord sur le principe, mais la croisière ne faisait que commencer… Mon amant m’avait donné leur numéro de cabine… Il était simple d’aller leur parler… Je passais une robe courte, sans soutif, et éclaira mon visage d’un fond de teint coloré…
- Et vous êtes allés les retrouver ?
- Oui… Il était l’heure de l’apéro, on avait sommeillé, rattrapant notre sommeil, juste quelques câlins, mais je ne voulais pas faire l’amour avec lui…
- La porte s’ouvrit… Elle était devant moi, presque nue… Elle nous fit rentrer…
- Oh que cela est adorable de venir nous retrouver tous les deux… Je te demande pardon, Cerise, de t’avoir volé ton mari, Albert, hier au soir… Une envie d’autre chose, nous sommes un couple libre, et aimons le sexe… Tu m’as plu Albert, j’ai senti une attirance… Pareil pour Luc qui dansait avec toi… Il savait que j’étais partie avec ton mari… Il t’a entraînée dans nos libertinages…
- Je ne regrette pas, cela donne un tournant nouveau à notre croisière, elle s’amuse vraiment, avec vous et on a décidé de recommencer ce soir…
- Ce soir on reçoit un couple comme vous, débutants dans ce jeu… On va partager, plus on est de fous… Ils viennent ici pour l’apéro… On mangera plus tard…
On parle de nous, de nos professions, de notre fille, et eux de leurs enfants, de leur couple, de ce désir de pimenter leur croisière, mais en toute sécurité et respect des partenaires… Chacun est libre, chacun est consentant…
- Tu vois, nous c’est pareil avec Romain, mais dans un camping-car… Parfois cela débute en-dehors, par lui ou par moi, un regard, et je craque sur la plage, dans les sanitaires, ou en jouant à des jeux interdits… Ensuite on partage nos rencontres, un cadeau… Et ensuite, vous avec baisé ensemble ?
- Oui… Après 2 verres, les robes ont glissé, on s’est mélangés, elle s’est jetée sur Albert, se planant son sexe dans la chatte écartelée devant moi et jouissant comme hier soir… Alors j’ai fait pareil et tout ce qu’elle faisait, je le lui refaisais…
- Les amis sont arrivés, on était presque nus… Il se sont glissés contre nous et on a échangé… La fille était plus jeune, lui plus beau, et j’ai pris mon pied… C’est ainsi que j’ai goûté à ce plaisir divin, d’être prise par deux hommes en même temps…
- Oui, c’est délicieux… Complet et exaltant…
- Oui, je jouissais par les deux trous de mes deux nouveaux amants… et les deux femmes se partageaient mon Albert… Elles lui offraient un spectacle torride de lesbiennes, se bouffant la chatte, se tortillant et se frottant en gémissant de plaisir…
- J’ai ressenti quelque chose… Mais ils m’ont emportés dans les arcanes du sexe, me baisant comme des sauvages, détruisant mon cul et mon sexe…
Je jouissais de leurs queues, empalée, plantée, porté au supplice du pal… j’étais à eux, et râlais mes orgasmes, jusqu’à ressentir leurs semences m’inonder, gicler en moi, et finir dans mes cheveux et sur mes seins… Mes deux amies, perforées par Albert à tour de rôle, n’avaient rien manqué de ma prestation… Elle m’assaillirent, découvrant les caresses lesbiennes et me transformant en amante, tandis que les hommes buvaient des bières en nous regardant jouir…
Je ne savais toujours pas pourquoi elle avait frappé à ma porte…
- Bien, tout cela m’a l’air très coquin et tu t’es amusée pendant cette croisière. Si les soirées ont été toutes comme ça, je ne vois pas ce qui explique ta présence ici…
L’air interrogateur, je fixe ses yeux, et elle se remet à pleurer…
- Ben… Tu n’as pas compris ?
- Quoi ?
- Je suis enceinte…
Et c'est là que tout a commencé entre nous...
FIN
Marika842010 - Août 2024
6 月 前