2024 - Septembre un peu tabou

Marie…
Nous revoici dans le train-train quotidien, toi avec ton fils qui vit toujours chez toi, et moi avec mon Romain, après des vacances assez chaudes dans notre camping-car…

Philip, que j’ai eu l’honneur d’initier à des jeux assez spéciaux à Agde, lors de notre séjour tous les trois, m’intriguais par vos relation tendancieuses…
Je l’avais calmé en ce qui concerne ses délires tabous, mais en parlant avec toi souvent, au téléphone, tu revenais encore sur vos jeux, que tu disais anodins. Tu aimes se pavaner en lingerie coquine et escarpins à talons, dans ton appartement…

Tu avais habitué Philip plus jeune et sans repère, à cette nudité naturelle, pour le désinhiber, pensant qu’à force de te voir ainsi, il n’aurait plus envie de t’épier…

Ensuite, lors de mon week-end d’anniversaire, j’ai fait en sorte de l’intégrer à un autre jeu, avec un copain de son âge. Nous deux et nos jeunes amants… Philip était aux anges…
Des moments très chauds, où, de nuit, sans éclairage, il t’a confondue avec moi…
Un rapprochement intime, que vous avez rejeté, mais apprécié au fond de vous…

En découvrant cette erreur, ce fut pour lui, un remède direct, une leçon de respect…
Pour toi, un fantasme accompli, en pensées, en rêve…
Bref, un moment d’égarement qui lui fit du bien, et l’éloigna de ce contexte malsain.

Quand tu me parles de fin d’été, de fraîcheur relative, de jours qui baissent, je te comprends….
Alors je vous invite pour un moment de partage et d’amitié.

Tu es devenue mon amie dès cette première nuit où j’avais couché avec ton fils, sans savoir que tu existais et qu’en plus, tu dormais dans la pièce à côté…
Et comme ce n’était qu’un plan sexe, je me suis trouvée en ta présence, au réveil, et on a sympathisé, au point de devenir amantes le jour même…

Philip et moi c’était fini dès le matin, il s’était éclipsé, sans demander son reste.
Il a accepté notre rapprochement, en pensant que l’on deviendrai amies et que je t’aiderai à te redonner le moral…

Quand vous arrivez, ce samedi après-midi, c’est l’effusion générale…
Tu es très expansive de tes sentiments, et comme toujours habillée assez légèrement, c’est toujours un spectacle…

Philip, en retrait, par timidité ou par honte ( ?), nous regarde flirter quelques minutes…

Je propose un bain dans la piscine, cela nous calmera…. Ou pas…

La dernière fois, pour mon anniversaire, ces lieux ont connu bien des excès, des gémissements, des orgasmes, des jeux très sensuels…
Une liberté que mes amies vous ont transmise…

Ce fut une semaine fort agréable pour chacun, tu as ainsi connu mes copains, mon amant, Romain, mes voisines et leurs maris, et mon ex et d’autres pour le fun…

Tu en as encore l’eau à la bouche, en y repensant, sans doute ?

Tu plonges entièrement nue dans l’eau transparente, en riant aux éclats, et en nous incitant à te rejoindre…
Philip n’en rate pas une miette, adore quand tu fais des cabrioles, d’un érotisme renversant…

Il a du mal à quitter son short, j’en vois la cause !...

Tu l’as émoustillé…
En lui offrant ton corps nu, des gestes provocateurs, tes positions sensuelles, avec ton intimité offerte…
Ce n’est qu’un homme, un jeune homme, qui déborde d’hormones et de fantasmes…

En l’embrassant et en le déshabillant, je fais en sorte de le calmer, ma main caressant son sexe, et ma langue jouant avec la sienne, dans sa bouche, comme cette fameuse unique nuit, il a retrouvé la raison et s’est penché sur mon cas, en te délaissant…

Sa main a ouvert ma porte, debout, je cède à cet appel, écartant les jambes, lui ouvrant mes cuisses, pour que ses doigts m’irradient de plaisir…
Un doigt tourne et affole ma vulve, détrempe mon clitoris, mes jambes tremblent, ma main va et vient comme un métronome sur son sexe raidi…
Il en grogne de plaisir, ose une pénétration, je feule à mon tour…

Pendant qu’on se masturbe allègrement, tu joues au dauphin…
Belle et sensuelle, je sens monter mon désir, pour toi, pour moi, pour lui…
Tu nages dans l’eau claire, tu fais des aller-retours, son doigt me fait planer…
Son dard glisse dans ma main, fier et bien bandé…

Il a envie de moi… Il est prêt à me saillir…
Je m’allonge sur mon matelas, j’écarte les cuisses et m’offre sans attendre…

Le gland est accueilli par un torrent de nectar, il plonge comme toi, lui dans mon vagin, toi dans mon bassin…
Il me couvre, me savoure, puis redouble de vitesse…
J’en prends plein la chatte, sentant ses bourses remplies, taper contre mon pubis….

Maintenant, il me défonce, en massant mes seins de ses mains goulues, il m’a saisie par les chevilles, m’écartelant comme une poupée de chiffons, genoux repliés et vulve grande ouverte, et passe les étapes, se ruant en moi, explosant ma libido, éjaculant dans mon vagin sans tambour, ni trompette !...

Je jouis comme une nymphomane, éreintée par ses coups de boutoir, je récolte son sperme, en gémissant comme une lionne, et tu nous regardes ébahie, mes yeux rivés sur son sexe, dégoulinant dans ma bouche…

Je le vois dans tes yeux, tu as envie de le lécher, de venir le nettoyer, sans doute aussi d’en avaler, tu es immorale, mais si adorable…

Tu te penches sur mon sexe et lèche la semence de ton fils…
Je le pompe en suçant son jeune sperme dégoulinant….

Tes yeux ronds de désir, et ta chatte en émoi, ma main te comble de caresses et mes doigts te font jouir…
Tu ronronnes et tu feules, savourant nos retrouvailles, et les yeux de Philip, nous mangent de plaisir.

Il nous regarde nous embrasser, échanger nos nectars, en ciseaux, vulve contre vulve, ronronnant nos positions lesbiennes…

Il s’agenouille près de moi, se penche et suce ma chatte détrempée par nos nectars…
Tu lui souris, il savoure… J’aime votre complicité !

Si il continue, on va le faire devant toi…
Tu m’as dit que tu aimerais assister…

Sa langue me fait minette et mon clitoris est aux anges, dardé comme un petit sexe…

Mon esprit vagabonde, je perds pied…
Philip me pénètre, sans rien demander, comme si j’étais sienne…

Son pieu glisse tendrement, distant ma chair, prend place dans mon vagin détrempé de mouille…
J’aime sa bite de jeune homme, fière et lentement introduite jusque dans les profondeurs de mon organe reproducteur…

C’est doux, c’est tendre, c’est lent, c’est de la passion qui coule de mon ventre…
Je gémis, je ronronne comme une chatte, je me laisse emporter par son rythme, en te voyant te masturber, face à nous…

Il augmente sa cadence, se redresse comme un coq !...
Puis me change de posture et me prend en levrette…

J’adore sentir le sexe dilater mon vagin, reprendre sa place, aller plus loin, plus gros, plus intense… Comme s’il avait grandi, et grossi à la fois !

Un orgasme me submerge, je jouis en amante, étreinte et possédée.
Je ressens son ardeur, je ferme les yeux de bonheur, il me lutine en macho, me tenant par les hanches et me fourrant en cadence… Comme une poupée gonflable…
Jusqu’à ressentir un tremblement de terre…

Plus rien n’existe que ce sexe qui me laboure, et je lance des gémissements de louve, je l’appelle dans ma forêt, pour me sauver des loups enragés…

Je suis à lui…
Offerte, à sa merci, la terre tourne, le salon, la chambre, je ne sais plus où j’étais…
Je le veux, intense, et chaud dans mon ventre !
Je t’aime comme jamais, surtout quand je te partage…

Que c’est bon de vivre ces instants de pure jouissance…
Je deviens incontrôlable, il glisse dans mon ventre, comme un bateau perdu dans la tempête, il me guide, il va lâcher son lest, il va se vider, me faire un bébé…

Que c’est bon de ressentir son sexe se répandre, sentir la chaleur envahir mon ventre…
Alors, au sommet de ce nirvana, je me donne plus fort, gémissant de plaisir, comme toutes les femmes…

Quand je reviens à moi, il m’a prise dans mes bras, tendrement, et me câline doucement…
Tu es venue vers nous, tes seins doux contre mon dos…
Je m’abandonne à vous… Sur le dos, écartelée, offerte à vos mains…

Sa main caresse ma vulve, glisse et répand sa semence…
Tu l’aides innocemment, tes doigts goûtent ce nectar transparent…

Tu regardes son sexe délaissé, mais prêt à recommencer…
Tu m’avais confié que c’était ton rêve…
Ce pieu que ma main va chercher, reprend pleine vigueur…

Tu en baves de désir…
Je te dis de le faire, de t’approcher encore…

Tes lèvres se referment sur le gland majestueux, nos 2 visages détaillent le membre bandé comme un arc…
Ma main soupèse ses bourses encore pleines… Un rêve, un désir…
Ta langue glisse lentement, et comme pour une glace, tu le lèches avec délicatesse, et en ouvrant ta bouche, le glisse dans ta gorge…

Tu le ressorts et t’en régale, allant et venant avec patience, le regardant fermer les yeux, et s’abandonner à nos délires…
Je cherche ta vulve, et d’une main, te prouve ma complicité…

Il enfle dans ta bouche, les yeux rivés sur toi…
Il râle… Il profite pleinement de cette fellation taboue…

Il en a tant rêvé depuis que son père est parti, et qu’il te sentait si seule, si triste, si perdue, sans libido, tâtonnant tant bien que mal, pour te satisfaire épisodiquement…

Mais là, c’est un acte maternel qui salive son sexe…
Comme tu le faisais à son père, par amour total, avant…

Ce sont nos échanges à distance, qui t’offrent cette possibilité…
Sans commentaire envers nos actes, juste du partage…
Tu le dégustes avec art, te reprenant parfois, le ressortant, puis le reglissant tendrement, en le sentant bander de plus belle…
Et toi, tu inondes les draps de ton nectar, de ce désir qui te tenaille…
Je ne résiste pas à goûter ce nectar particulier, d’une mère qui jouit sous le joug de son fils…

Tu aimerais aller plus loin que ce plaisir sexuel ?…

Oui !... Tu jouis en même temps que lui…
Tu regardes la semence gicler de son méat, consteller ton visage, et tu sors ta langue pour en profiter…

C’est divin et je me rapproche de toi… Tête contre tête, pour un baiser câlin…
On partage ce sexe si délirant, si tentant, pour celles qui aiment ce plaisir féminin (mais pas que) de laper le sperme de son amant…
Alors je lèche ton visage, pendant que tu t’occupes du reste…

Tu ondules en jouissant, tu rêves ? Tu en as tant envie ?

Je te sens nerveuse, tu te caresses pour te calmer, tu glisses dans le lit, offerte, écartelée…
Ma bouche a repris du service, et je pense à toi, en le redynamisant…
Ses doigts dans mon vagin, me font tressaillir de plaisir, et ma tête va et vient, à ta place, il y a quelques minutes…

Mes doigts te rendent ce plaisir, tu délires, ouverte comme une huitre…
Il a repris sa forme, il aime nous faire plaisir, un amant si puissant, si endurant, je comprends ses maîtresses, que tu dis de nos âges, il doit s’en régaler…

Il s’installe sur toi, son sexe luisant de ma salive…
Tu t’offres immédiatement, genoux pliés, vulve dégoulinante, écartelée, bien ouverte…
Il ne peut que plonger son sexe dans ce fourreau doré…

Tu pousses un cri soudain, une hurlement de plaisir, une délivrance physique et morale !...

Oui, tu as enfin la clé de ton chemin… Tu le sens te prendre, glisser en toi, et ton plaisir monte, il ne prend pas de gant, évite tout sentiment, juste de donner ce que tu viens chercher de lui…

Je me caresse… C’est si intense, de vous regarder…
Tu es emportée par ses coups de reins…
Il s’active pour te donner du plaisir, te faire ressentir son amour filial, et toute cette frustration accumulée depuis des années, pour toi, de toi…

Il soulève tes cuisses les replie, te tenant par les chevilles et tu le sens de plus belle…
Chaque pénétration fait onduler tes seins, son pubis percute le tien, vous allez jouir, il va se libérer, tu cries et tu vocifères, tu vas jouir de lui, il va jouir en toi !...

Mais il se calme… Te prends tendrement, savoure cet instant éphémère sans doute…

- Oh, oui !... C’est divin !... N’hésite plus, prend-moi comme papa… Je t’aime…

Il va et vient en toi, puissant, intense, mais calme et tendre…
Alors, il te tourne et te prend en levrette…

Et là, te fait la cavalcade du siècle…
Tes seins s’envolent, tu cries ton orgasme, il t’a saisie par les hanches et te foudroie de son dard…
Il râle, il va jouir là où il a été créé…
C’est infernal, tu en feules, perdant le nord, ta voix se brouille, il se laisse aller…
Tu te cambres, te donnes à lui, dans un partage de plaisir très intime, très intense…

Tu le sens se vider, en te donnant les derniers coups de reins…

Il t’a pilonnée, autant que moi, j’en ai encore les larmes aux yeux de ce coït si particulier…
Il retombe épuisé, entre nous 2…

Je l’embrasse sur la bouche, tu le fais sur son front, ses yeux, tu caresses ses cheveux…
On s’endort tous les trois enlacés, une fin de nuit douce et pleine de rêves exaucés…

Ma main glisse entre tes cuisses, elle y retrouve la tienne, plongée dans un océan de sperme…

FIN
Marika842010 – Septembre 2024
发布者 marika842010
6 月 前
评论
2
账户以发表评论
ccandau
ccandau 6 月 前
Marika ma douce tu nous emmène dans tes joutes sexuelles que nous savourons avec plaisir ton Christian
回答
pacobuyas
pacobuyas 6 月 前
Je suis jaloux .. J'aurais aimé pouvoir faire quelque de pareil,,
回答