2024 - Marie en rêve
Tu te reconnaîtras…
Oui, toi avec laquelle j’ai tant échangé cette année, pour laquelle j’ai tant écrit…
Oui, tu te reconnaitras à travers ces lignes, qui reprennent parfois des passages de nos conversations.
Toi, Marie, (ou Elle ou Lui ?), éternelle et fuyante, et ton fils Philip, m’avez tant émue, divertie, intriguée, puis portée aux nues, comblée, chacun à votre manière, sans vous poser de questions, tout en partageant le plaisir d’être aimée, telle que tu es toi, dans ton rôle de femme et de mère…
Nous avons été amantes, juste après ma nuit avec Philip, plan éphémère comme je pratique parfois…
Tu m’as confié tes tourments de femme seule…
Tes désirs secrets envers ton garçon, et ton plaisir à te prélasser devant lui très peu couverte, en talons aiguilles…
Femme secrète, femme aux rêves inachevés…
Amante, amie, tu m’as invitée dans tes rêves, ces désirs sexuels envers ton fils désormais, majeur, libre et généreux… Beau et tendre avec toi…
Je t’ai aidée à les vivre, ces instants tant espérés :
« Maintenant, si dans la nuit, tu le sens rejoindre ton lit, se glisser dans ton dos, laisse-le te désirer un instant, savourer le contact insolent de son sexe en érection, laisse-le empoigner tes seins et les masser délicatement, en jouant avec tes tétons dressés par le désir...
Laisse-le caresser ton corps dénudé, ouvrir tes cuisses et effleurer ta vulve d’un doigt hésitant…
Cambre-toi, offre-toi, donne lui le feu vert…
Il est là, brûlant de désir pour toi...
Accompagne sa main dans cet acte, délecte-toi de ce doigt que tu diriges en toi et qui découvre ton puits d’amour détrempé de désir…
Son sexe glisse dans ton sillon, tu lui offres ta croupe...
Et là, tu le sens pointer sur ton puits d'amour...
Tu trembles, tu résistes, tu retiens ta respiration…
Tu en avais envie, tu rêvais de nous...
Acte, tabou en principe, que je t’ai inventé dans un premier texte, te le décrivant comme un acte d’amour, entre deux adultes éperdus de tendresse et désorientés par leurs sentiments…
Il glisse dans ton vagin détrempé par ce désir immoral que rien n'arrête, et te pourfend doucement et tendrement, comme une amante, avec des baisers dans ton cou...
Laisse-toi gémir de plaisir, t'offrir à ses fantasmes, tu en avais envie, alors va jusqu'au bout...
Là, assouvie et satisfaite, il s'en va sans bruit, pensant que tu t’es assoupie, alors qu'il tétait et suçotait tes seins, en t'enlaçant tendrement...
Ce que tu ressens est divin ! Tu le perçois encore maintenant...
Et la chaleur de sa semence irradie ton ventre de maman...
Tu penses à moi, tu aimerais mes caresses ?
Tu aimerais mon avis, ma bénédiction…
Alors voilà, je me glisse contre toi, et je viens butiner ses traces...
Te souviens-tu de ces moments intenses entre nous, de mon récit quand j’étais avec lui, dans la chambre d’à-côté, et que je jouissais de ses faveurs de mâle en rut !...
Oui, tu entendais mes gémissements, tu nous imaginais, moi en levrette, et lui, me possédant avec agilité…
Tu ne voyais pas mes mains crispées sur le drap, tandis que je frémissais sous ses coups de queue, qui m’emportaient vers l’orgasme tant espéré…
Tu avais gravé ce sexe dans ton esprit…
Tu l'avais aperçu plusieurs fois, lors de ses provocations
Ce sexe, que dont tu rêvais, le prenant tendrement dans ta main en le léchant avec tendresse…
Ce sexe que tu imaginais dans ta bouche, que tes lèvres chérissaient en le gâtant de ta tendresse et de ton amour maternel…
Tu jouissais de ces images, au point de ressentir un orgasme…
Ta main plongée dans ton sexe, te donnait le change, d’un rapport consenti…
Tu étais jalouse de voir ce que tu désirais, ce dont tu rêvais, emportée par des visions très crues de ton amour filial…
Jouir est un but en soi, jouir d’un être que l’on a procréé, en ressentir le sexe, comme celui de son père, il y a 25 ans, c’est un tableau irréel, mais si intense, et profond, que tu rêvais de l’accomplir…
Surtout que pendant ses jeunes années, il mettait tout son cœur à te faire exploser de colère, se libérant sur ton linge intime ou venant t’épier dans la salle de bain…
Ce n’était que du désir, ce besoin qui taraude les jeunes hommes, sans barrière, ni jugement, véritable cheval sauvage…
Au fond de toi, ces hommages secrets, te touchaient comme une déclaration d’amour…
Maintenant, je te donne la clé…
Prends-la…
Jouis de lui, aime-le, autant qu’il t’aime, car ce plaisir qu’il prend avec toi, n’est pas du sexe malsain, mais un amour inconditionnel…
Marie, pour cela je t’envie, certaines d’entre-nous ont combattu ce démon, mais elles ont raté ce plaisir infini de goûter à l’amour filial dans sa version libre…
En faisant l’amour avec lui, j’ai ressenti tant de tendresse… ta tendresse…
Marie… Je t’aime ! »
FIN
Marika842010 – Octobre 2024
Oui, toi avec laquelle j’ai tant échangé cette année, pour laquelle j’ai tant écrit…
Oui, tu te reconnaitras à travers ces lignes, qui reprennent parfois des passages de nos conversations.
Toi, Marie, (ou Elle ou Lui ?), éternelle et fuyante, et ton fils Philip, m’avez tant émue, divertie, intriguée, puis portée aux nues, comblée, chacun à votre manière, sans vous poser de questions, tout en partageant le plaisir d’être aimée, telle que tu es toi, dans ton rôle de femme et de mère…
Nous avons été amantes, juste après ma nuit avec Philip, plan éphémère comme je pratique parfois…
Tu m’as confié tes tourments de femme seule…
Tes désirs secrets envers ton garçon, et ton plaisir à te prélasser devant lui très peu couverte, en talons aiguilles…
Femme secrète, femme aux rêves inachevés…
Amante, amie, tu m’as invitée dans tes rêves, ces désirs sexuels envers ton fils désormais, majeur, libre et généreux… Beau et tendre avec toi…
Je t’ai aidée à les vivre, ces instants tant espérés :
« Maintenant, si dans la nuit, tu le sens rejoindre ton lit, se glisser dans ton dos, laisse-le te désirer un instant, savourer le contact insolent de son sexe en érection, laisse-le empoigner tes seins et les masser délicatement, en jouant avec tes tétons dressés par le désir...
Laisse-le caresser ton corps dénudé, ouvrir tes cuisses et effleurer ta vulve d’un doigt hésitant…
Cambre-toi, offre-toi, donne lui le feu vert…
Il est là, brûlant de désir pour toi...
Accompagne sa main dans cet acte, délecte-toi de ce doigt que tu diriges en toi et qui découvre ton puits d’amour détrempé de désir…
Son sexe glisse dans ton sillon, tu lui offres ta croupe...
Et là, tu le sens pointer sur ton puits d'amour...
Tu trembles, tu résistes, tu retiens ta respiration…
Tu en avais envie, tu rêvais de nous...
Acte, tabou en principe, que je t’ai inventé dans un premier texte, te le décrivant comme un acte d’amour, entre deux adultes éperdus de tendresse et désorientés par leurs sentiments…
Il glisse dans ton vagin détrempé par ce désir immoral que rien n'arrête, et te pourfend doucement et tendrement, comme une amante, avec des baisers dans ton cou...
Laisse-toi gémir de plaisir, t'offrir à ses fantasmes, tu en avais envie, alors va jusqu'au bout...
Là, assouvie et satisfaite, il s'en va sans bruit, pensant que tu t’es assoupie, alors qu'il tétait et suçotait tes seins, en t'enlaçant tendrement...
Ce que tu ressens est divin ! Tu le perçois encore maintenant...
Et la chaleur de sa semence irradie ton ventre de maman...
Tu penses à moi, tu aimerais mes caresses ?
Tu aimerais mon avis, ma bénédiction…
Alors voilà, je me glisse contre toi, et je viens butiner ses traces...
Te souviens-tu de ces moments intenses entre nous, de mon récit quand j’étais avec lui, dans la chambre d’à-côté, et que je jouissais de ses faveurs de mâle en rut !...
Oui, tu entendais mes gémissements, tu nous imaginais, moi en levrette, et lui, me possédant avec agilité…
Tu ne voyais pas mes mains crispées sur le drap, tandis que je frémissais sous ses coups de queue, qui m’emportaient vers l’orgasme tant espéré…
Tu avais gravé ce sexe dans ton esprit…
Tu l'avais aperçu plusieurs fois, lors de ses provocations
Ce sexe, que dont tu rêvais, le prenant tendrement dans ta main en le léchant avec tendresse…
Ce sexe que tu imaginais dans ta bouche, que tes lèvres chérissaient en le gâtant de ta tendresse et de ton amour maternel…
Tu jouissais de ces images, au point de ressentir un orgasme…
Ta main plongée dans ton sexe, te donnait le change, d’un rapport consenti…
Tu étais jalouse de voir ce que tu désirais, ce dont tu rêvais, emportée par des visions très crues de ton amour filial…
Jouir est un but en soi, jouir d’un être que l’on a procréé, en ressentir le sexe, comme celui de son père, il y a 25 ans, c’est un tableau irréel, mais si intense, et profond, que tu rêvais de l’accomplir…
Surtout que pendant ses jeunes années, il mettait tout son cœur à te faire exploser de colère, se libérant sur ton linge intime ou venant t’épier dans la salle de bain…
Ce n’était que du désir, ce besoin qui taraude les jeunes hommes, sans barrière, ni jugement, véritable cheval sauvage…
Au fond de toi, ces hommages secrets, te touchaient comme une déclaration d’amour…
Maintenant, je te donne la clé…
Prends-la…
Jouis de lui, aime-le, autant qu’il t’aime, car ce plaisir qu’il prend avec toi, n’est pas du sexe malsain, mais un amour inconditionnel…
Marie, pour cela je t’envie, certaines d’entre-nous ont combattu ce démon, mais elles ont raté ce plaisir infini de goûter à l’amour filial dans sa version libre…
En faisant l’amour avec lui, j’ai ressenti tant de tendresse… ta tendresse…
Marie… Je t’aime ! »
FIN
Marika842010 – Octobre 2024
5 月 前