Chap.21: Mes années d'étudiante

Je suis à genoux sur le tapis du salon, nue, à l’exception d’un fin collier de cuir noir pourvu d’une médaille dorée.

Thomas est face à moi, assis sur le canapé, attendant que je lui raconte un nouvel épisode de ma vie, telle une moderne Shéhérazade.
Il tient de sa main gauche une laisse de cuir noir, assortie à mon collier.

Je ne sais trop quel épisode pourrait mettre en émoi mon jeune cousin. Je lui ai déjà raconté tant de choses !
Quant à ce que j’ai de plus intime, il n’en ignore rien, m’ayant visitée de toutes les façons…

Et, soudain, je me souviens…

- T’ai-je déjà parlé de Max ?
- Non, répond Thomas
- C’était mon prof de Droit…

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En ce temps-là, à la fois si proche et si ancien, j’avais vingt ans et j’étudiais le Droit dans une prestigieuse université parisienne.
Je n’étais surement pas l’étudiante la plus brillante. A dire vrai, je voulais devenir avocate mais le Droit m’ennuyait.

Cela ne décourageait pas mon professeur de Droit public. Il s’appelait Max. C’était un homme d’environ quarante c i n q ans, brun et qui portait une courte barbe avec une certaine élégance.

- Ma chère Claire, vous êtes mal parti pour devenir avocate… Vous ne travaillez pas assez !

Je ne répondais rien, un peu accablée par ma propre médiocrité. Pour me rassurer un peu, Max caressait, de temps à autre mon genou.
Nous étions assis sur une banquette, au fond de la salle d’un brasserie, loin du quartier des universités, ou il était probablement inconnu, et moi encore plus.

Pou ce rendez-vous, j’avais mise une jupe noire assez courte, des collants assortis et une veste rouge sur un top noir assez décolleté.
J’avais noté que Max aimait bien regarder mes jambes ou lorgner dans mon décolleté. Bien sûr, il était discret. Mais j’ai toujours été très observatrice.

- Je peux, bien sûr, arranger un peu les choses… fit-il, avec un sourire paternel.
- Merci !
- Mais il faudra que tu y mettes du tien…. Ca ne t’ennuies pas que je te tutoie ?
- Non, pas du tout ! fis-je, lui décochant mon plus beau sourire.
- Bien…

Sa main était posée sur ma cuisse et, profitant de l’affluence dans cette brasserie, il se rapprocha de moi. La table rectangulaire offrait toute latitude à ses gestes en les masquant aux yeux des autres clients.

J’étais parfaitement consciente des intentions de Max et j’aurais pu y mettre un terme rapide en me levant et m’en allant.

Je ne me sentais pas non plus prisonnière de mes médiocres résultats universitaires. Sans doute Max pensait-il que c’était le bon axe pour que je ne me refuse pas à lui, mais il se trompait.

La vérité, c’est que la situation m’excitait. C’était un jeu pervers, dans lequel j’avais envie de jouer ma propre partition, qui me permettait de donner libre cours à mes fantasmes tout en pouvant, à tout moment, dire que j’avais été contrainte et donc innocente.

La main de Max passait entre mes cuisses. Au lieu de les verrouiller, je le laissais accéder à mon entrejambe, qu’il caressa longuement, tout en m’expliquant qu’il allait réunir une commission pour examiner, favorablement, mon cas.

J’observais les autres clients. Personne ne semblait s’être rendu compte que le monsieur, à côté de moi, me caressait la chatte à travers mon collant. C’était grisant et je me demandais jusqu’où pouvait aller un tel jeu.

Max régla la note et m’invita à examiner, chez lui, plus en détail mon cas. Il me conduisit dans un tout petit appartement qui était visiblement une garçonnière.

- Mets-toi à ton aise ! Je vis ici lorsque je suis à Paris. Ma famille est restée à Alençon.

Le décor était planté. Il me servit un mojito et prit la même chose. L’alcool me montait à la tête. Ca m’allait très bien car l’alcool désinhibe. A l’époque de mes vingt ans, j’étais encore pétrie de ma bonne éducation, jusqu’à un certain point.

- Ca ne vous gène pas si j’enlève ma veste ?
- Non, bien sûr, fais comme chez toi !

J’enlevais ma veste. Mon top noir était en soie et on pouvait clairement deviner mon corps, surtout avec un éclairage électrique.

Max ne se gênait plus pour me détailler. Je sentais croitre son désir mais je faisais semblant de ne rien remarquer.

- Tu as de nombreuses qualités ! me dit-il, tout en caressant mon bras avec ses doigts.
- Merci !
- As-tu songé à faire des photos ?
- Des photos ?
- Oui, des photos pour devenir mannequin… ce genre de choses…
- On me l’a proposé, mais je n’avais pas trop confiance… dis-je, en prenant mon air le plus innocent.
- Et avec moi ? Serais-tu en confiance ?
- Oui, bien sûr !

Il se leva et alla prendre un appareil photo dans un tiroir de son bureau. Il me fit assoir sur un bout du canapé et lui, à l’autre bout, me mitraillait, me demandant de changer l’ordonnancement de mes cheveux, de lever les bras, de prendre des poses différentes.

- Alors, ça te plait ?
- D’être prise en photo ? Oui, bien sûr !
- Alors on va continuer…

Je pensais que nous étions bien loin du Droit public mais je me doutais que, de toute façon, l’intérêt que Max portait à ma personne n’avait rien d’universitaire.

- Tu devrais… peut-être… enlever tes bas et ta jupe. Tu veux bien ?

Je me levais et je dégrafais ma jupe, que je posais sagement sur un dossier de chaise. Puis, je fis descendre mon collant, tournant le dos à Max. ainsi, il pouvait admirer mon joli fessier, qui est quand même la partie de mon corps que les hommes et les femmes aiment le plus.
J’avais un string noir sous le collant.

- Est-ce que je garde le haut ?
- Non… fit-il. Ce n’est pas forcément nécessaire…

J’ôtais mon top et Max put ainsi admirer mon splendide soutien-gorge noir, assorti à mon string.

- J’aime ta lingerie !
- Merci !

Je me replaçais sur le canapé, mes pieds posés sur la cuisse de Max. Il ouvrit la bouche mais ne dit rien. Il posa l’appareil photo et se mit à caresser mon pied.
Il me regardait tout en massant ma voute plantaire. Je soutenais son regard, d’une façon qu’il ne pouvait prendre ni comme un encouragement, ni comme un refus.
Il est bon d’entretenir le doute dans l’esprit des messieurs dont le pantalon montre une grosse déformation au niveau de la braguette.

- Tu aimes que je masse ton pied ?

Sa voix était altérée par le désir. Il était rouge mais le mojito n’y était pas pour grand-chose.

- Oui, j’aime beaucoup !

Il continua donc un moment. Puis, portant mon pied à sa bouche, il se mit à sucer mes orteils.
Là, c’est moi qui me troublait. L’affaire devenait sérieuse et j’allais devoir dévoiler un peu mon jeu.
Tout en léchant et suçant mon pied, il caressait ma jambe.
Je posais alors mon autre pied sur sa braguette et je le fis bouger. C’était une drôle de sensation que de deviner la forme d’un sexe en utilisant son pied.

Max me laissa le caresser ainsi un long moment. Puis, voyant qu’il était plus que mûr, je me levais.
Il ouvrit la bouche et je sentis le doute qui l’envahissait. M’étais-je levée pour me rhabiller et partir ?

J’attendis un instant, prenant plaisir à attiser sa tension. Puis je défis l’agrafe de mon soutien-gorge que je posais sur la chaise. Enfin, je fis glisser mon string le long de mes cuisses.
Il me regardait, rouge de désir. Je vins m’assoir sur ses genoux.

- Je crois qu’il est temps que je vous montre mes autres qualités…
- Oui… fit-il d’une voix altérée.

Je pris son visage entre mes mains et je l’embrassais. Nos langues tournoyaient et ses mains fébriles caressaient mon corps.

- Quelle va être ma première leçon, monsieur ?

Il se leva et je dus faire de même. Il me fit mettre à genoux sur le canapé, les coudes sur un accoudoir.

- Avant la première leçon, il faut évidement que je te punisse pour tes mauvais résultats !
- Oh ? Vraiment ?

Il ne répondit pas mais sa main s’abattit rudement sur mes fesses. Je criais et essayais de me débattre face à cette nouvelle situation que je n’avais pas prévue.
Mais il bloqua mes bras derrière mon dos et continua à me fesser. Ce n’était pas une fessée comme j’avais pu connaitre, en jouant avec mes amants. C’était une vraie fessée, faite pour punir, pour faire mal.

Je criais et pleurais mais il continua impitoyablement. Au bout de quelques coups, je me rendis compte, à ma grande surprise, que j’aimais cette situation. Ca faisait mal mais j’éprouvais aussi un certain plaisir.

Il me lâcha enfin et je restais un moment là, prostrée et sanglotante. Puis il me força à me lever, me tirant par les cheveux.

- Tu te rends bien compte que tu méritais d’être punie, n’est-ce pas ?
- Oui…. Oui…
- Oui qui ?
- Oui, monsieur…
- Bien ! Maintenant, nous allons passer à la première leçon…

Il se déshabilla entièrement. Une fois nu, il s’assit sur le canapé, sa bite raide à la main.

- Je suppose que tu as déjà sucé quelques bites, à ton âge ?
- Oui…
- Bien sûr… Une petite salope comme toi doit en avoir sucé pas mal, non ?
- Euh…
- Inutile de répondre. Je vais t’apprendre comment on suce vraiment ! A genoux devant moi !

Je m’agenouillais et, timidement, je commençais à caresser sa queue. Puis, enhardie par son approbation, je léchais son gland.
Au bout d’un moment, il appuya sur ma tête et sa queue entra dans ma bouche. Je l’avalais et le recrachais. Puis il relâcha sa pression et je compris qu’il me laissait l’initiative.

Je le suçais longuement, aspirant sa bite. Puis je léchais la totalité de la tige de chair tout en le branlant doucement. Je faisais en sorte que son plaisir ne monte pas trop vite et qu’il profite vraiment de la pipe que je lui prodiguais.
Il s’en rendit compte.

- Tu suces comme une reine ! fit-il, dans un soupir.

Je ne répondis pas. On ne parle pas la bouche pleine. Mais j’étais fière de moi. Il n’avait encore rien vu.
Je remontais un peu vers lui et je plaçais sa queue entre mes seins. J’avais déjà, à vingt ans, une poitrine qui permettait ce genre de caresse. Je fis coulisser sa bite entre mes seins et je le vis sourire, extatique.

- Aucune pute ne m’a fait ça aussi bien ! souffla t’il

Alors, je le repris en bouche et je le suçais rapidement, tout en massant sa bite. Il gémissait et râlait, essayant de retarder au maximum son orgasme. Mais j’avais décidé de le faire jouir maintenant.

Il éjacula, dans un spasme, en maintenant ma tête avec ses mains.
Mais je n’avais pas l’intention de me dérober. Je gardais en bouche sa semence, puis, lorsqu’il me libéra, je le regardais dans les yeux et je déglutis, avalant tout son sperme.

La suite... bientôt !
3 月 前
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sainte_levrette
sainte_levrette 出版商 2 月 前
ccandau : Merci !
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ccandau
ccandau 2 月 前
sainte_levrette : c'est ce que j'aime en toi 
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sainte_levrette
sainte_levrette 出版商 2 月 前
ccandau : Merci ! Oui, j'aime bien, parfois, être soumise :wink:
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ccandau
ccandau 2 月 前
oh Claire quelle superbe initiation tu deviens la soumise de Thomas qui t'oblige a te dévoiler c'est très érotique
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sainte_levrette
sainte_levrette 出版商 2 月 前
Catwomanmeows : Well summarized ! Thanks !
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Catwomanmeows
Catwomanmeows 2 月 前
Thomas is so lucky to have his cousin Claire tell him more sordid stories of her life. And Claire needs to be naked except for a proper submissive collar since you are such a slut !! (lol)

And now we meet Max who properly punishes you, spanking your beautiful butt till it is red. I’m drinking my egg nog (with rum, of course) while I read this, and lick my lips. Max learns you have given many oral pleasures and remember to stroke him “gently” to prolong his spasm. Which you don’t swallow until you savor it and lock eyes with him !!! (meow!!) 
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sainte_levrette
sainte_levrette 出版商 3 月 前
laurent7891 : Thomas est dans tout ses états ! Heureusement, je sais comment résoudre ce genre de problème :wink:
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laurent7891
laurent7891 3 月 前
Quel plaisir de retrouver tes récits, Claire. Ce récit initiatique d’un érotisme bandant, va ouvrir bien d’après portes, je le sens bien ( c’est ce qu’on parfois en baisant) ... j’imagine l’état de Thomas en t’écoutant ! ... il doit bander comme un âne ! ....à défaut de pouvoir soulager le lecteur,  j’espère qu’il aura l’occasion de t’exprimer son excitation concrètement.... et de libérer sa tension....en tout cas, te voilà mûre pour le barreau... bien dur le barreau bien sûr...
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