Nuit du 28 octobre 2014

Comme convenu par sms (très chaud !) avec Marie pendant ses vacances, je l’ai prise en pleine nuit, pendant son sommeil.

A 3h du matin, réveillé par l’envie de faire l’amour, je commence à lui caresser les fesses puis à les malaxer, en prenant soin d’en écarter une suffisamment pour toucher sa chatte au retour. Puis j’introduis sans lui laisser le temps de refuser un doigt dans la chatte un peu humide. Elle se réveille, me laissant faire, et resserre les cuisses pour bien sentir mon doigt la fouiller sans scrupule.

Décidé à lui faire passer un bon et chaud quart d’heure, je me redresse et relève une de ses jambes afin de dégager l’accès à ses trous. Je lui introduis alors deux doigts qui la fouillent sans vergogne. Ses gémissements et le déplacement de son bassin pour m’offrir un meilleur accès me convainquent qu’elle aime ce début. Je n’oublie pas de lui asséner quelques claques sur la croupe pour bien lui montrer que, cette nuit, son corps m’appartient. Elle accepte cette domination avec délectation.

N’y tenant plus, je lui enfonce ma queue bien raide et bien gonflée dans la chatte et commence à la pilonner sans retenue, pétrissant ses fesses et tirant sur ses épaules pour m’enfoncer le plus loin en elle. Elle gémit de plus en plus.

Je sors ma queue et lui enfonce deux doigts pour bien frotter son point G. Je me livre à ce petit jeu pendant quelques minutes, très excitant pour nous deux. Elle mouille de plus en plus. Je lui dis que j’adore la prendre comme ça, la baiser comme une salope et elle me confirme qu’elle aime ça aussi. L’extase !!

Je profite de sa position allongée sur le ventre, une jambe relevée, pour écarter ses fesses et sa chatte, maintenant béante après le passage de ma queue gonflée, pour la lécher profondément, sentant le délicieux nectar de sa cyprine abondante.

La queue très gonflée, j’ai envie de sentir sa bouche se serrer autour de mon gland. Je lui ordonne alors de me sucer. Elle place sa bouche devant ma queue, ouvre la bouche, je n’ai plus qu’à enfoncer mon membre dans son trou le plus large. Excité par la situation et sa totale soumission à mon désir, je lui tiens la tête et lui prends la bouche.

Elle a envie de se faire pénétrer à nouveau. Elle se relève, m’enjambe, vient s’empaler sur ma queue et entame un va-et-vient entêtant et excitant pour nous deux, emportés par nos râles. Je lui malaxe alternativement les seins et les fesses, selon la position qu’elle donne à son torse.

Je m’attarde sur ses fesses, les pétrissant énergiquement en plaquant son bassin contre moi, afin d’augmenter la pression de son clitoris sur mon pubis, ce qu’elle adore. Elle jouit au bout de longues minutes de ce traitement délicieux.

Ses gémissements de plaisir et le relâchement de sa matrice quand elle a joui m’excitent encore plus ; j’écrase ses fesses et pousse ma queue le plus fort possible dans son trou d’amour. Rapidement, j’explose en elle.

Épuisés, nous restons quelques longues minutes, l’un en l’autre, pour nous remettre de nos émotions. Vivement la prochaine séance torride !