Avant (5)
Germaine et Gabrielle seraient désormais mes débaucheuses, il était difficile de ne pas le reconnaître.
Ma grand-mère avait une juste autorité sur moi en l'absence de ma mère, et je la respectais et lui obéissais en tout point.
D'ailleurs, et peut-être en concertation avec ma mère, lorsque je me retrouvais chez elle pendant les vacances, elle aussi me masturbait le soir avant de dormir. L'ambiance était alors toute autre : lorsque je m'étais mis au lit, la veilleuse allumée, elle venait me rejoindre, m'embrassait sur le cou sais dire un mot, passait son bras gauche sous les draps et, entre le pouce et l'index, elle me décalottait avec une grande douceur. Elle commençait un très léger va-et-vient, me regardant dans les yeux, des ongles de la main droite elle excitait tout doucement mes petits tétons et me disait d'un air mutin Oh mon petit chéri, tu es notre petite pute avec Germaine maintenant, il ne faut le dire à personne tu sais, c'est notre secret, tu es gentil mon petit chéri c'est ta maman va être contente de toi. Lorsque venaient les contractions du bassin qui annonçaient ma jouissance imminente, ma grand-mère passait prestement la tête sous mes draps et déposait mon gland dans sa bouche, afin que mon éjaculat ne risque point de souiller les draps. Elle me gardait longuement en bouche en me malaxant entre langue et palais (comme un bon vin, me dit-elle une fois) et, lorsqu'elle était sûre que plus rien n'allait déborder, elle posait comme maman un baiser sur mon front, me bordait, éteignait la lumière et quittait la chambre, laissant la porte entrebâillée.
Il vint un jour où la jeune fille, ou plutôt la fillette, promise par Germaine lors de notre orgie inaugurale, fut amenée par sa mère à la maison pour y passer l'après-midi en notre compagnie.
A son œil infiniment brillant lorsqu'elle me regarda pour la première fois, je compris qu'il s'agissait déjà d'une petite traînée. La mère, très ordinaire, était je crois ouvrière à l'usine de conserverie voisine, elle ne resta pas. Sa fille, Elisabeth je me souviens, était vêtue d'un robe un peu râpée, usée. Ses cheveux, bien que propres, étaient mal peignés. Ses chaussures, des galoches, étaient déjà hors-d'âge et trop petites pour elle. Elle devait avoir treize ans à peine, des tâches de rousseur un peu partout jusque sur le cou, elle ne dépassait pas le mètre et demi. Lorsque sa mère nous eût quittés, Germaine, d'autorité, lui demanda de se déshabiller entièrement. Ma grand-mère Gabrielle, assise sur une chaise, ne disait mot et nous regardait avec bonhomie. Elle se dévêtit avec une rapidité stupéfiante. je fais quoi ? elle a demandé (elle parlait mal, vite, je la comprenais à grand peine) Rien, a dit Germaine, reste debout. Le petit va venir te lécher. Je comprenais à demi mots, mais sans être bien certain de ce que l'on attendait de moi. je me tournai vers ma grand-mère, l'air interrogatif (et sans doute, tremblant, de crainte et de désir). Vas-y mon chéri, va lécher Elisabeth. Mais lécher où, lécher quoi ? J'étais encore habillé, je me suis approché d'Elisabeth et celle-ci, brusquement, à relevé ses bras au-dessus de sa tête, en me regardant de son air vicieux, une petite fille vicieuse, pensai-je, elle a l'habitude, elle le fait à tous les hommes, c'est une petite fille qui doit faire jouir les hommes du village, les branler, les sucer que sais-je ; je bandai plus fort, tout de suite, rien que par ces mots-là, une petite fille vicieuse, sale et vicieuse ; si bien que par atavisme presque, je suis venu, penché vers elle, vers ses aisselles, j'ai tiré la langue et je les lui ai léchées.
Oh, joie, oh félicité, elle n'avait pas dû se laver par là depuis des jours et des jours, je lapai doucement pour recueillir tous les sucs de cette toute petite pute, une enfant-pute, j'enfouis mon museau, mon nez, oh mon dieu quel goût divin, quelle odeur exotique ! Sors ta pissette, a dit ma grand-mère, mais ne la touche pas, laisse-là à l'air et lèche bien ta petite copine.
Bon Dieu, cela recommençait, nous allions à coup sûr accomplir de nouvelles et terrifiantes horreurs. Je tremblais pour de bon, et contenais comme je le pouvais les ardeurs de ma queue, libérée.
(à suivre)
Ma grand-mère avait une juste autorité sur moi en l'absence de ma mère, et je la respectais et lui obéissais en tout point.
D'ailleurs, et peut-être en concertation avec ma mère, lorsque je me retrouvais chez elle pendant les vacances, elle aussi me masturbait le soir avant de dormir. L'ambiance était alors toute autre : lorsque je m'étais mis au lit, la veilleuse allumée, elle venait me rejoindre, m'embrassait sur le cou sais dire un mot, passait son bras gauche sous les draps et, entre le pouce et l'index, elle me décalottait avec une grande douceur. Elle commençait un très léger va-et-vient, me regardant dans les yeux, des ongles de la main droite elle excitait tout doucement mes petits tétons et me disait d'un air mutin Oh mon petit chéri, tu es notre petite pute avec Germaine maintenant, il ne faut le dire à personne tu sais, c'est notre secret, tu es gentil mon petit chéri c'est ta maman va être contente de toi. Lorsque venaient les contractions du bassin qui annonçaient ma jouissance imminente, ma grand-mère passait prestement la tête sous mes draps et déposait mon gland dans sa bouche, afin que mon éjaculat ne risque point de souiller les draps. Elle me gardait longuement en bouche en me malaxant entre langue et palais (comme un bon vin, me dit-elle une fois) et, lorsqu'elle était sûre que plus rien n'allait déborder, elle posait comme maman un baiser sur mon front, me bordait, éteignait la lumière et quittait la chambre, laissant la porte entrebâillée.
Il vint un jour où la jeune fille, ou plutôt la fillette, promise par Germaine lors de notre orgie inaugurale, fut amenée par sa mère à la maison pour y passer l'après-midi en notre compagnie.
A son œil infiniment brillant lorsqu'elle me regarda pour la première fois, je compris qu'il s'agissait déjà d'une petite traînée. La mère, très ordinaire, était je crois ouvrière à l'usine de conserverie voisine, elle ne resta pas. Sa fille, Elisabeth je me souviens, était vêtue d'un robe un peu râpée, usée. Ses cheveux, bien que propres, étaient mal peignés. Ses chaussures, des galoches, étaient déjà hors-d'âge et trop petites pour elle. Elle devait avoir treize ans à peine, des tâches de rousseur un peu partout jusque sur le cou, elle ne dépassait pas le mètre et demi. Lorsque sa mère nous eût quittés, Germaine, d'autorité, lui demanda de se déshabiller entièrement. Ma grand-mère Gabrielle, assise sur une chaise, ne disait mot et nous regardait avec bonhomie. Elle se dévêtit avec une rapidité stupéfiante. je fais quoi ? elle a demandé (elle parlait mal, vite, je la comprenais à grand peine) Rien, a dit Germaine, reste debout. Le petit va venir te lécher. Je comprenais à demi mots, mais sans être bien certain de ce que l'on attendait de moi. je me tournai vers ma grand-mère, l'air interrogatif (et sans doute, tremblant, de crainte et de désir). Vas-y mon chéri, va lécher Elisabeth. Mais lécher où, lécher quoi ? J'étais encore habillé, je me suis approché d'Elisabeth et celle-ci, brusquement, à relevé ses bras au-dessus de sa tête, en me regardant de son air vicieux, une petite fille vicieuse, pensai-je, elle a l'habitude, elle le fait à tous les hommes, c'est une petite fille qui doit faire jouir les hommes du village, les branler, les sucer que sais-je ; je bandai plus fort, tout de suite, rien que par ces mots-là, une petite fille vicieuse, sale et vicieuse ; si bien que par atavisme presque, je suis venu, penché vers elle, vers ses aisselles, j'ai tiré la langue et je les lui ai léchées.
Oh, joie, oh félicité, elle n'avait pas dû se laver par là depuis des jours et des jours, je lapai doucement pour recueillir tous les sucs de cette toute petite pute, une enfant-pute, j'enfouis mon museau, mon nez, oh mon dieu quel goût divin, quelle odeur exotique ! Sors ta pissette, a dit ma grand-mère, mais ne la touche pas, laisse-là à l'air et lèche bien ta petite copine.
Bon Dieu, cela recommençait, nous allions à coup sûr accomplir de nouvelles et terrifiantes horreurs. Je tremblais pour de bon, et contenais comme je le pouvais les ardeurs de ma queue, libérée.
(à suivre)
8 年 前