Les mots de ma petite salope 2

Hummm j’aime imaginer qu’après m’avoir raconter toutes ces vilaines choses, votre pine devait être grosse comme j’aime, Elle a du exploser précocement, en présence de Madame Sylvie.

Vous savez après avoir dialogué avec vous, avant-hier, j’ai baisé Elodie, debout dans la cuisine, juste troussée, et culotte à mi cuisses, en nylon jaune pale. Je lui ai fait un délicieux branle culotte, et puis je lui ai brouté le minou, en tirant juste sa culotte sur le coté pour la faire jouir, car je savais que je ne tiendrais pas longtemps, ce qui à été le cas. Hummmmmmm
Je l’ai prise de dos, elle courbée les mains appuyés sur la table, troussée hummm mais ce n’est pas elle que je baisais c’était Madame votre épouse.

Et vous savez quoi Monsieur Thomas, c’est la petite culotte que je porte pour être avec vous en ce moment, ma petite culotte de pute à bite

Elle me serre un peu mais je sais que vous aimez cela

Je suis à genoux, regardant votre grosse pine gonflée à bloc, le gland reluisant d’envie. Elle est à trois centimètres de ma bouche.
Je l’effleure du bout des doigts, depuis le gland jusqu'à la base des testicules. Je suis véritablement en contemplation. Avec la paume de la main, je la presse contre ma joue. Puis je la saisit et commence à me caresser le visage avec ce gland rendu visqueux par le désir.
Humm comme cela sent bon la bite de mâle.

Je l'approche de mes lèvres et l'embrasse amoureusement, passant ma langue sur le méat mouillé. J'imprègne mes lèvres de salive et les laisse entrouvertes. Je les presse légèrement contre votre gland et me met à la caresser en légers mouvements.

Ma langue court tout le long de cette merveille, léchant passionnément les testicules, les prenant en bouche tandis que mes mains continuent leurs caresses.

Savoure bien ma queue ! Caresse mes belles couilles bien remplies de foutre Prends ma queue dans ta main et branle-moi doucement ! Oui, comme ça, oh oui Comme ça, c'est bon!


Vos mains caressent mes cheveux, puis augmente la pression sur ma tête,

     Je lève les yeux vers vous. Je sens la pression augmenter, ma bouche se fait coopérante. Vous enfoncer votre gland tout doucement en prenant mon visage entre vos mains.

     Quel merveilleux moment il m'est donné de vivre, que de regarder mon maître prendre possession de ma bouche.

     Quel véritable bonheur que de sucer votre belle grosse bitte.

     Je me détache de votre grosse pine, pour remonter vers votre visage, et aller vous rouler une pelle, bien juteuse.

.Humm c’est bon ma petit pute mais tu dois me finir maintenant il faut que je jute dans ta bouche vagin. Oh oui chatte, laisse moi te baiser le vagin, laisse moi te tringler, laisse moi éjaculer sur ta langue, laisse-moi cracher mon foutre au fond de ta gorge de lady boy. Viens ma petite tapette . Relève-toi un peu. Je vais baiser ta bouche. Donne-moi du plaisir, fais-moi jouir avec ta langue. Je ne tiens plus. J'ai envie de jouir. J'en ai mal la queue de bander si fort depuis tout ce temps.

 Je me mets légèrement assis. Vous passez vos mains derrière ma nuque et introduisiez votre queue dans ma bouche et vous amorcez le mouvement lentement. Je regarde ce beau membre aller et venir dans ma bouche.

     - Regarde-moi ma petite pute, quand je baise ta bouche ! Ca te plaît, hein ? Avoue ! Avoue que tu aimes quand ma bitte glisse dans ta bouche ! Ne lâche plus tes yeux des miens.

     Au fur et à mesure que votre plaisir s'intensifie, votre visage se crispe. Ma langue se plaque contre votre gland quand celui-ci pénètre ma bouche et tourne autour une fois dedans.

     Vous vous crispez encore et je sens les giclées de liqueur chaude se répandre dans ma bouche. Ma main presse délicatement vos grosses couilles. Ma langue encore en mouvement s'imprègne de ce nectar divin. Le liquide chaud et épais, légèrement salé a aspergé le fond de ma gorge, mes joues, mon palais, coulant sur ma langue, la matière gluante se noie dans ma propre salive, coulant avec elle dans ma gorge, tandis que mes lèvres sont toujours solidement arrimées autour de votre gland éjaculant.



Oh Monsieur Thomas je n’en peux plus je vais vite voir si vous êtes par miracle sur skype pour pouvoir jouir avec vous.

Humm je crois que je vais inonder sa petite culotte de foutre, oh elle est déjà toute mouillée hummmmm