Espace temps interrompu. ....
Après nos deux rdv précédents dont l'intensité avait été croissante j'étais curieuse de voir si nous pouvions nous accorder plus encore.
A l hôtel je suis prête et impatiente quand je recois un appel du desk . Je demande qu on lui indique ma chambre.
Les dés sont jetés. Alea jacta est !
Toujours ce sourire et ce calme. Ce regard qui détaille sans être pour autant gênant.
On discute étrangement le temps qu il se mette à son aise. Ses gestes sont lents, mesurés et de fait appesants. Aucune gêne ni aucune fausse pudeur ni du lieu ni de l'âge ni du physique. Rien n'a d'importance hormis l'instant présent!
Me voici assise au bord du lit au moment où il me présente son beau dard déjà tendu .
Je veux que tu commences!
Rien d'autre.
Soit , je ne demande pas mieux.
souffler doucement pour approcher ma bouche. Lècher calmement la hampe et le frein. M'y attarder un instant sur cette tension perceptible. Descendre le long de la verge pour goûter de la langue la longueur et la force.
Explorer les bourses que je devine pleines et débordantes. Revenir happer ce gland gorgé et incandescent et le laisser gérer une irrumation mesurée pour initier une joute bucale. Légèrement branler! en avoir le reproche. Se forcer à être plus pressante sur une tige tendue à l'extrême. Profiter de la main, de la bouche et langue des palpitations saccadées du mat vivifié.
Humm
Lentement il me renverse pour explorer mon intimité déjà noyée sous l'effet de la fellation que je viens de prodiguer.
Un doux effet de langue. Une caresse me tend. Je suis à sa merci et je fonds littéralement.
Après la jouissance le revoilà a genoux sur le lit pour me présenter sa hampe tout en me doigtant . Je peine à le sucer tant sa main me trouble. Il refuse de stopper avant que la digue ne cède.
Un preservatif enfilé et une prise pénétrante qui se joue longuement et avec vigeur. Je coule et le bruit en est plus que perceptible. Il me rassure.
S'abandonner à ses coups de boutoirs. Se sentir transpercée. Il s'en amuse. Mais c'est aussi cela que de baiser avec lui. Accepter qu il en joue et qu il domine de ce regard moqueur.
Voici poindre la levrette. Elle est a la fois divine et horrible.
Divine car incapable de cesser de jouir.
Horrible par les sécrétions qu elle provoque, par le bruit de la mouille sur ce préservatif.
morte de honte.
Il se fait rassurant et poursuit comme si de rien n'était.
Baiser c'est cela avec lui.
Accepter d'être libre. Accepter de couler de jouissance profonde.
Accepter d'être une vulve toujours plus avide et ouverte sur sa queue démesurément dure et longue.
Accepter de dire
oui vas y ! Prends moi.
Il est endurant et procure une jouissance quasi ininterrompue.
Aimer baiser ainsi. Sans retenue ni question.
Il finit par juter et se retire lentement.
Se poser côte a cote enfin à discuter comme si rien ne s'était passé.
Reprendre corps à la vie ordinaire et se quitter.
A l hôtel je suis prête et impatiente quand je recois un appel du desk . Je demande qu on lui indique ma chambre.
Les dés sont jetés. Alea jacta est !
Toujours ce sourire et ce calme. Ce regard qui détaille sans être pour autant gênant.
On discute étrangement le temps qu il se mette à son aise. Ses gestes sont lents, mesurés et de fait appesants. Aucune gêne ni aucune fausse pudeur ni du lieu ni de l'âge ni du physique. Rien n'a d'importance hormis l'instant présent!
Me voici assise au bord du lit au moment où il me présente son beau dard déjà tendu .
Je veux que tu commences!
Rien d'autre.
Soit , je ne demande pas mieux.
souffler doucement pour approcher ma bouche. Lècher calmement la hampe et le frein. M'y attarder un instant sur cette tension perceptible. Descendre le long de la verge pour goûter de la langue la longueur et la force.
Explorer les bourses que je devine pleines et débordantes. Revenir happer ce gland gorgé et incandescent et le laisser gérer une irrumation mesurée pour initier une joute bucale. Légèrement branler! en avoir le reproche. Se forcer à être plus pressante sur une tige tendue à l'extrême. Profiter de la main, de la bouche et langue des palpitations saccadées du mat vivifié.
Humm
Lentement il me renverse pour explorer mon intimité déjà noyée sous l'effet de la fellation que je viens de prodiguer.
Un doux effet de langue. Une caresse me tend. Je suis à sa merci et je fonds littéralement.
Après la jouissance le revoilà a genoux sur le lit pour me présenter sa hampe tout en me doigtant . Je peine à le sucer tant sa main me trouble. Il refuse de stopper avant que la digue ne cède.
Un preservatif enfilé et une prise pénétrante qui se joue longuement et avec vigeur. Je coule et le bruit en est plus que perceptible. Il me rassure.
S'abandonner à ses coups de boutoirs. Se sentir transpercée. Il s'en amuse. Mais c'est aussi cela que de baiser avec lui. Accepter qu il en joue et qu il domine de ce regard moqueur.
Voici poindre la levrette. Elle est a la fois divine et horrible.
Divine car incapable de cesser de jouir.
Horrible par les sécrétions qu elle provoque, par le bruit de la mouille sur ce préservatif.
morte de honte.
Il se fait rassurant et poursuit comme si de rien n'était.
Baiser c'est cela avec lui.
Accepter d'être libre. Accepter de couler de jouissance profonde.
Accepter d'être une vulve toujours plus avide et ouverte sur sa queue démesurément dure et longue.
Accepter de dire
oui vas y ! Prends moi.
Il est endurant et procure une jouissance quasi ininterrompue.
Aimer baiser ainsi. Sans retenue ni question.
Il finit par juter et se retire lentement.
Se poser côte a cote enfin à discuter comme si rien ne s'était passé.
Reprendre corps à la vie ordinaire et se quitter.
7 年 前
Crus et populaires;.. Ce sont des mots qui expriment une réalité. L 'effet de contraste
. Je n'ai pas à juger de la plume d'autrui.
chaque expression vaut
j’adore la présence de certains mots "plus crus et populaires " cela donne plus d'intensité au texte, j'ai adoré.
j'espère que tu ne liras pas mes blogs, mon 2eme pseudo c'est "affreuse plume "
Ces coïts torrides et passionnés
Où soudain douceur et sensualité
S'effacent au profit de pénétrations
Brutales,
Buccales, vaginales ou annales...
Ce pieu que sans relâche
Je fais durcir
Pour limer ta chatte et ton cul,
Pour fouetter tes seins et ta joue,
Tandis que tu te prosternes à genoux
Ô combien consentente !
Cyr
Merci
Je termine le mien pour que tu te plonges dans une lecture apaisante comme j'ai pu le faire en le lisant le tiens.
J'ai adoré nos échanges qui ont été intense et unique chacun
Gros kiss de ton géant