Christine 1
Le jour où j'ai rencontré Christine j'ai su que j'avais touché le gros lot!
Christine a 53 ans, elle est grande, blonde, un regard bleu acier et un bon gros cul qui se balance quand elle marche sur ces hauts talons! Un belle femme avec un coté jument! Mais se sont ses seins qui attirent au premier regard, du 115 E!
Christine est DRH dans l'entreprise dans laquelle je travaille!
un soir, je suis resté tard pour un bilan, la salope portait une robe blanche d'été, boutonnée sur le devant! Christine ayant un peu grossi ces derniers temps, la robe lui tirait un peu!
Je n'étais pas bien concentré sur mon dossier et je passais plutot mon temps a lorgner sur ses gros seins dans son soutiens gorge en dentelle!
La discussion a vite pris un tournant perso, j'ai ainsi appris que son mari et elle, faisaient chambre a part, que le mari n'était pas prévenant, bref ma Christine était une femme délaissée avec un appétit inassouvi!
Les compliments dont je la couvrais depuis 2 ans la touchaient et elle n'étais pas insensible à la cour que je lui dédiais! En plus le fait qu'un homme de 15 ans de moins qu'elle s'intéresse à elle, n'était pas pour lui déplaire!
Nous étions cote a cote et a un moment, nos visages se sont retrouvé bien près! J'en ai profité, ma bouche est venue l'embrasser! Elle a été surprise, ses yeux se sont grands ouverts, elle s'est reculée mais ma bouche a suivie! Quand elle s'est redressée en balbutiant, je me suis levé aussi!
"Non, il ne faut pas! je suis mariée"
L’adrénaline fait alors son effet! C’est le moment d’agir !
"Mon dieu ! je tremble de partout, si mon mari l'apprends"
"Tu m’étonnes, tu imagines s'il l'apprends, tu vas dérouiller ma belle, attends je vais t’aider à faire ça. Tu dois te sentir coupable, n’est-ce pas ?»
En parlant je m'avançais vers elle, attrapant les revers de sa robe et la poussant vers le bureau!
"Oui, j’ai toujours peur qu’il comprenne ! Vous me troublez jean"
"La seule solution, c’est que je te punisse pour ta mauvaise conduite, ainsi, déjà punie, tu ne te sentiras plus coupable d’avoir pris du plaisir sans lui et ça t’aidera à faire redescendre tes émotions et à redevenir la petite bonne insignifiante qu’il s’attend à retrouver. Tu verras, être puni apporte un autre plaisir, tout aussi grisant ! Mais en plus, cela va te protéger de ton sourire naïf que tu n’arrives pas à effacer lorsque je m’en vais !"
"Mais Jean..."
"Tu auras peut-être encore les yeux rouges de larmes, le cul bien chaud, mal un peu partout, mais lui retrouvera sa bonne jument qui fait la gueule. Et ça, même si tu as pris trois orgasmes avant avec moi ! "
" Me punir ? Ça fait mal ? Je ne veux pas..."
"Tais toi Christine et enlève moi cette robe! Dépêches toi!"
En un tour de main la robe fut a ses pieds et le soutiens gorge aussi! Elle était seins nus, en culotte et talons hauts devant moi, appuyée au bureau!
"Et puis si tu un gros cul bien joufflu, c’est pour prendre des fessées dessus ! Tu vas voir, tu vas aimer! Tourne toi!"
Pour ajouter le geste à la parole, je décidais de lui administrer sa première correction et, main levée, j’abattais sur ses grosses fesses de belles claques qui résonnaient dans toute la pièce. Ses grosses fesses rosissaient tandis qu'elle poussait des petits cris étouffés!
« Alors, ça te plaît d’avoir les fesses qui chauffent, on dirait ? »
« Oui, c’est fou ! C’est d’accord, punis moi ! Je suis une vilaine fille ! »
Je me collais a elle, en l’attrapant par la gorge et en écartant ses longs cheveux blonds
« Voilà le visage d’une femme heureuse et épanouie, d’une femme qui vient de prendre un plaisir incroyable !
Je vais donc fesser ton gros cul jusqu’à ce que ce sourire disparaisse. Tu vas voir que ça prend du temps ! Mais j’ai tout mon temps et je connais des tas de manière pour te punir, ma chérie ! »
Si elle arborait un sourire épanoui, j' avoue que moi, j’avais le visage en feu, débordé par le plaisir d’admirer ce cul offert, sentant mes pulsions sadiques monter en moi et me submerger !
Je visais alors une fesse et je la claquais fermement, faisant se secouer ma DRH qui poussait un cri étouffé à chaque fois.
Je claquais alternativement la fesse droite puis la fesse gauche, la laissant reprendre son souffle entre chaque claque et admirant les rougeurs qui s’étalaient sur sa peau frissonnante.
Je prenais mon souffle et alors, j’impactais le gras de son cul par-dessous, regardant dans la glace accrochée derrière la porte de son bureau son beau visage qui se crispait, ses yeux bleus qui s'embrumaient, sa bouche s’ouvrir, écoutant le cri étouffé qui sortait de sa gorge grande ouverte.
Je caressais doucement la peau, préparant la zone, tandis qu’elle poussait des petits "non, non, non" et puis je claquais sèchement sa fesse, la faisant se cabrer et pousser à nouveau un long cri.
Par moment, elle se frottait les fesses, pour marquer une pause. Alors je la laissais un instant reprendre son souffle et je lui faisais constater que son joli visage n’avait pas disparu. Donc je lui replaçais les mains autour du bureau et je reprenais les grandes claques sur son gros cul, la faisant à nouveau crier.
J’adore les gros culs, larges, ronds et fermes, ils sont idéals pour de longues fessées.
Elle sautillait sur place, les fesses prises de spasmes et suppliant que j’arrête la punition.
Je m’approchais alors doucement d’elle et, posant un baiser sur son épaule, je lui murmurai :
"Le seul moyen, en fait : c’est que tu pleures à chaudes larmes ! Seule une grande souffrance peut effacer un si grand plaisir. Et je suis très fier de devoir te punir si fortement, ça veut dire que je t’ai pleinement rendu heureuse ! "
"Oh oui ! Mais ça brûle, je ne sais pas si je vais y arriver. "
" Soit tu acceptes et nous continuerons de nous voir, soit tu renonces et je serais obligé de te quitter ! Je te laisserai tranquillement rentrer auprès de ton cocu ! »
"D’accord, j’accepte. " Dit-elle d’une voix mourante.
Ayant obtenu son accord, je prétendais l’aider en accélérant maintenant les claques sans plus les retenir, afin de faire monter les larmes encore plus vite et d’en finir.
Elle acquiesça de la tête et s’agrippa au bureau en attendant la suite.
Je pris alors un instant pour me délecter de ma proie, je laissais ma main glisser de ses cheveux dans son dos et jusqu’à la naissance des fesses, appuyant dans le creux des reins pour amplifier leur courbure et admirant ce cul désormais à moi !
C’est maintenant que mon instinct sadique se dévoile complètement et je me mis à fesser ma victime sans plus aucune retenue, la saisissant par la taille d’un bras, je frappais les grosses fesses qui se trémoussaient devant moi.
Elle avait beau crier, supplier, se débattre et m’implorer, je continuais inlassablement à lui rougir le cul, en bandant toujours plus fort. Mon sexe nu, collé contre ses hanches, était écrasé par nos deux corps et chacun de ses mouvements faisais se décalotter mon gland.
Bref, je me branlais contre elle, tandis que ses cris résonnaient dans ma tête. Mes claques faisaient se secouer les fesses bien grasses et l’onde de choc remontait jusque dans mon bras.
Sentant la fatigue de ma main, je lâchais ma victime qui sanglotait sur le bureau sans bouger! Je saisis la ceinture de mon pantalon! Elle était large et en cuir tressé! Je lui fit faire un tour autour de mon poing et je revins devant ma proie! Je me remis à la frapper avec toute la puissance de mon bras endolori!
Au bout d'un quart d'heure, épuisé, la main bouillante, je relâchais enfin ma victime qui s’écroulait à genoux en pleurant à chaudes larmes. Elle n’arrivait pas reprendre son souffle et se frotter les fesses, les yeux brouillés de larmes, la bouche grande ouverte, respirant par saccades.
Je l’aidais alors à se relever doucement et tendrement, je lui caressais les épaules en lui montrant son visage dans la glace. Il était noyé de larmes et elle avait perdu son beau sourire de femme heureuse et épanouie.
À nouveau elle montrait ses traits tirés et ses yeux tristes, une moue sur la bouche et le regard vide.
« Ça, c’est à nouveau toi ! Ton petit mari ne se doutera maintenant de rien. »
Disant cela et profitant de sa cambrure je l’ai pénétré sans protection, limant comme un fou, la bouche collée dans son cou, pendant qu’elle se contractait et s'accrochait au bureau !
Nous avons joui ensemble, d’un orgasme fou et nous sommes écroulés! Nous sommes restés ensuite longuement allongés sur la moquette pour reprendre notre souffle, lovés l’un contre l’autre, heureux.
Christine a 53 ans, elle est grande, blonde, un regard bleu acier et un bon gros cul qui se balance quand elle marche sur ces hauts talons! Un belle femme avec un coté jument! Mais se sont ses seins qui attirent au premier regard, du 115 E!
Christine est DRH dans l'entreprise dans laquelle je travaille!
un soir, je suis resté tard pour un bilan, la salope portait une robe blanche d'été, boutonnée sur le devant! Christine ayant un peu grossi ces derniers temps, la robe lui tirait un peu!
Je n'étais pas bien concentré sur mon dossier et je passais plutot mon temps a lorgner sur ses gros seins dans son soutiens gorge en dentelle!
La discussion a vite pris un tournant perso, j'ai ainsi appris que son mari et elle, faisaient chambre a part, que le mari n'était pas prévenant, bref ma Christine était une femme délaissée avec un appétit inassouvi!
Les compliments dont je la couvrais depuis 2 ans la touchaient et elle n'étais pas insensible à la cour que je lui dédiais! En plus le fait qu'un homme de 15 ans de moins qu'elle s'intéresse à elle, n'était pas pour lui déplaire!
Nous étions cote a cote et a un moment, nos visages se sont retrouvé bien près! J'en ai profité, ma bouche est venue l'embrasser! Elle a été surprise, ses yeux se sont grands ouverts, elle s'est reculée mais ma bouche a suivie! Quand elle s'est redressée en balbutiant, je me suis levé aussi!
"Non, il ne faut pas! je suis mariée"
L’adrénaline fait alors son effet! C’est le moment d’agir !
"Mon dieu ! je tremble de partout, si mon mari l'apprends"
"Tu m’étonnes, tu imagines s'il l'apprends, tu vas dérouiller ma belle, attends je vais t’aider à faire ça. Tu dois te sentir coupable, n’est-ce pas ?»
En parlant je m'avançais vers elle, attrapant les revers de sa robe et la poussant vers le bureau!
"Oui, j’ai toujours peur qu’il comprenne ! Vous me troublez jean"
"La seule solution, c’est que je te punisse pour ta mauvaise conduite, ainsi, déjà punie, tu ne te sentiras plus coupable d’avoir pris du plaisir sans lui et ça t’aidera à faire redescendre tes émotions et à redevenir la petite bonne insignifiante qu’il s’attend à retrouver. Tu verras, être puni apporte un autre plaisir, tout aussi grisant ! Mais en plus, cela va te protéger de ton sourire naïf que tu n’arrives pas à effacer lorsque je m’en vais !"
"Mais Jean..."
"Tu auras peut-être encore les yeux rouges de larmes, le cul bien chaud, mal un peu partout, mais lui retrouvera sa bonne jument qui fait la gueule. Et ça, même si tu as pris trois orgasmes avant avec moi ! "
" Me punir ? Ça fait mal ? Je ne veux pas..."
"Tais toi Christine et enlève moi cette robe! Dépêches toi!"
En un tour de main la robe fut a ses pieds et le soutiens gorge aussi! Elle était seins nus, en culotte et talons hauts devant moi, appuyée au bureau!
"Et puis si tu un gros cul bien joufflu, c’est pour prendre des fessées dessus ! Tu vas voir, tu vas aimer! Tourne toi!"
Pour ajouter le geste à la parole, je décidais de lui administrer sa première correction et, main levée, j’abattais sur ses grosses fesses de belles claques qui résonnaient dans toute la pièce. Ses grosses fesses rosissaient tandis qu'elle poussait des petits cris étouffés!
« Alors, ça te plaît d’avoir les fesses qui chauffent, on dirait ? »
« Oui, c’est fou ! C’est d’accord, punis moi ! Je suis une vilaine fille ! »
Je me collais a elle, en l’attrapant par la gorge et en écartant ses longs cheveux blonds
« Voilà le visage d’une femme heureuse et épanouie, d’une femme qui vient de prendre un plaisir incroyable !
Je vais donc fesser ton gros cul jusqu’à ce que ce sourire disparaisse. Tu vas voir que ça prend du temps ! Mais j’ai tout mon temps et je connais des tas de manière pour te punir, ma chérie ! »
Si elle arborait un sourire épanoui, j' avoue que moi, j’avais le visage en feu, débordé par le plaisir d’admirer ce cul offert, sentant mes pulsions sadiques monter en moi et me submerger !
Je visais alors une fesse et je la claquais fermement, faisant se secouer ma DRH qui poussait un cri étouffé à chaque fois.
Je claquais alternativement la fesse droite puis la fesse gauche, la laissant reprendre son souffle entre chaque claque et admirant les rougeurs qui s’étalaient sur sa peau frissonnante.
Je prenais mon souffle et alors, j’impactais le gras de son cul par-dessous, regardant dans la glace accrochée derrière la porte de son bureau son beau visage qui se crispait, ses yeux bleus qui s'embrumaient, sa bouche s’ouvrir, écoutant le cri étouffé qui sortait de sa gorge grande ouverte.
Je caressais doucement la peau, préparant la zone, tandis qu’elle poussait des petits "non, non, non" et puis je claquais sèchement sa fesse, la faisant se cabrer et pousser à nouveau un long cri.
Par moment, elle se frottait les fesses, pour marquer une pause. Alors je la laissais un instant reprendre son souffle et je lui faisais constater que son joli visage n’avait pas disparu. Donc je lui replaçais les mains autour du bureau et je reprenais les grandes claques sur son gros cul, la faisant à nouveau crier.
J’adore les gros culs, larges, ronds et fermes, ils sont idéals pour de longues fessées.
Elle sautillait sur place, les fesses prises de spasmes et suppliant que j’arrête la punition.
Je m’approchais alors doucement d’elle et, posant un baiser sur son épaule, je lui murmurai :
"Le seul moyen, en fait : c’est que tu pleures à chaudes larmes ! Seule une grande souffrance peut effacer un si grand plaisir. Et je suis très fier de devoir te punir si fortement, ça veut dire que je t’ai pleinement rendu heureuse ! "
"Oh oui ! Mais ça brûle, je ne sais pas si je vais y arriver. "
" Soit tu acceptes et nous continuerons de nous voir, soit tu renonces et je serais obligé de te quitter ! Je te laisserai tranquillement rentrer auprès de ton cocu ! »
"D’accord, j’accepte. " Dit-elle d’une voix mourante.
Ayant obtenu son accord, je prétendais l’aider en accélérant maintenant les claques sans plus les retenir, afin de faire monter les larmes encore plus vite et d’en finir.
Elle acquiesça de la tête et s’agrippa au bureau en attendant la suite.
Je pris alors un instant pour me délecter de ma proie, je laissais ma main glisser de ses cheveux dans son dos et jusqu’à la naissance des fesses, appuyant dans le creux des reins pour amplifier leur courbure et admirant ce cul désormais à moi !
C’est maintenant que mon instinct sadique se dévoile complètement et je me mis à fesser ma victime sans plus aucune retenue, la saisissant par la taille d’un bras, je frappais les grosses fesses qui se trémoussaient devant moi.
Elle avait beau crier, supplier, se débattre et m’implorer, je continuais inlassablement à lui rougir le cul, en bandant toujours plus fort. Mon sexe nu, collé contre ses hanches, était écrasé par nos deux corps et chacun de ses mouvements faisais se décalotter mon gland.
Bref, je me branlais contre elle, tandis que ses cris résonnaient dans ma tête. Mes claques faisaient se secouer les fesses bien grasses et l’onde de choc remontait jusque dans mon bras.
Sentant la fatigue de ma main, je lâchais ma victime qui sanglotait sur le bureau sans bouger! Je saisis la ceinture de mon pantalon! Elle était large et en cuir tressé! Je lui fit faire un tour autour de mon poing et je revins devant ma proie! Je me remis à la frapper avec toute la puissance de mon bras endolori!
Au bout d'un quart d'heure, épuisé, la main bouillante, je relâchais enfin ma victime qui s’écroulait à genoux en pleurant à chaudes larmes. Elle n’arrivait pas reprendre son souffle et se frotter les fesses, les yeux brouillés de larmes, la bouche grande ouverte, respirant par saccades.
Je l’aidais alors à se relever doucement et tendrement, je lui caressais les épaules en lui montrant son visage dans la glace. Il était noyé de larmes et elle avait perdu son beau sourire de femme heureuse et épanouie.
À nouveau elle montrait ses traits tirés et ses yeux tristes, une moue sur la bouche et le regard vide.
« Ça, c’est à nouveau toi ! Ton petit mari ne se doutera maintenant de rien. »
Disant cela et profitant de sa cambrure je l’ai pénétré sans protection, limant comme un fou, la bouche collée dans son cou, pendant qu’elle se contractait et s'accrochait au bureau !
Nous avons joui ensemble, d’un orgasme fou et nous sommes écroulés! Nous sommes restés ensuite longuement allongés sur la moquette pour reprendre notre souffle, lovés l’un contre l’autre, heureux.
7 年 前