Pour Vous et à Vous...

Récit sans prétention littéraire...

Cela fait quelques jours que mes vacances ont commencé… J’ai rejoins mon Maître il y’ à 5 jours. C’est l’occasion pour nous de nous découvrir et pour lui de me dresser selon ses désirs… J’ai décidé de m’en remettre à lui il y’ a quelques temps déjà, suite à de nombreux échanges puis aux rencontres réels, nous avons convenu que passé mes vacances universitaires avec lui serait une bonne chose, nous permettant d’assouvir nos désirs en continu ou presque. Je vais vous raconter mon arrivée chez lui.
Je suis assez anxieuse, en même temps c’est dans ma nature, j’ai peur de ne pas être assez forte et de ne pas tenir le rythme, je sais qu’il est exigeant je l’ai su tout de suite… Il a des désirs profonds et pervers, je ne peux pas me permettre de ne pas être assez forte sinon ça ne marchera pas… Mais, en même temps, j’en ai tellement envie que je pense y parvenir… J’ai téléchargé des livres sur mon ipad pour le trajet, mais il est tellement court et je ne cesse de cogiter que j’arrive à Paris sans m’en rendre compte…
Nous nous sommes donnés rendez vous dans un café, aux abords de la gare, pour éviter le brouhaha des voyageurs… Je regarde ma montre, le train est à l’heure, j’envoie un sms « Mon train vient d’arriver en gare Maître, j’arrive »… Après avoir rassemblé mes affaires, je quitte la gare en direction du café…
Quand j’arrive, je le repère tout de suite, il se lève, me dépose un léger baiser et m’invite à m’asseoir du regard. Nous échangeons quelques minutes sur le trajet, puis son regard change, il devient sérieux et intimidant : « est-ce que tu es prête à passer tes vacances avec moi, à m’obéir en tout point et à me servir parfaitement ? », je comprends que c’est une façon de me dire que j’ai encore le choix… Pour le moment…
Je n’ai pas besoin de réfléchir, le regarder me suffit : « Oui, Maitre, j’en ai envie », je vois son regard s’éclairer et ça se répercute sur mon sourire, comme un soulagement commun de savoir que nous sommes prêts…
En arrivant chez lui, je suis un peu mal à l’aise, en même temps ça me fait ça même chez mes meilleurs amis, la peur de gêner, de ne pas être à sa place… Il me prend la main, et me fait visiter, on arrive devant sa chambre, où je vois un grand panier déposé près du lit, un frisson me parcourt… Il le voit et me caresse le bras en murmurant à mon oreille « Ne t’en fais pas, si tu es sage, tu n’y dormiras que rarement… »… Il sait que j’aime le contact et que me sentir abandonnée serait la pire punition que je pourrais endurer. Nous retournons dans la pièce principale, il s’assied dans un fauteuil et me regarde, je me sens intimidée mais étrangement excitée, il ne parle pas et se contente de me regarder… J’ignore ce que je dois faire… « Déshabille-toi », je m’y attendais mais ça me fait bizarre, « ne m’obliges pas à me répéter, dépêche toi, prends ta place »… Je sors de ma léthargie et me dévête totalement, je me retrouve nue avec mes vêtements éparpillés à mes pieds, « Ramasse, ne laisse pas trainer tes affaires »… Je me dépêche, en me penchant je m’expose encore plus, cela semble lui plaire.. Quand je termine il me demande d’approcher et de lui amener ma culotte… Je la lui tends, il passe son pouce sur la tache sombre et me regarde… « Depuis combien temps tu mouilles comme ça ? », je suis gênée car je ne sais pas «  Je.. Je ne sais pas… Maître… Depuis que je vous ai vu ou dans le train… », il sourit et passe sa main entre mes cuisses et me faisant signe de les écarter… « Tu as vraiment l’air en chaleur, heureusement que je t’ai dit de te déshabiller pour faire prendre l’air à ta petite minette… », je sais que je mouille encore plus.. il continue de me déstabiliser.. « tu es une bonne chienne, mais tu serais encore une meilleure chienne à quatre pattes », je tombe aussitôt par terre… Il se lève et reviens vers moi, « tu sais ce que c’est ? », « Oui, Maître, votre collier.. », « Oui, je vais te le passer au cou, tu le porteras fièrement chaque fois que tu seras chez moi, et tu porteras ton ras de cou et ta chevillière les reste du temps, dehors, pour te souvenir que tu m’appartiens. » Il me prend l’élastique que j’ai toujours au poignet et m’empoigne les cheveux pour les attacher, puis il me passe le collier, il passe ses mains sur mes épaules et me demande de me redresser et de bomber la poitrine.. « Fais la belle, je veux que tu me montres que tu es fière.. » j’embrasse sa main qui passe près de mon visage… C’est un moment très émotionnel pour moi, quand mon Maître me marque de cette façon, je me sens encore plus à lui.. « Je ne t’ai pas proposé à boire, je reviens.. ». Il revient avec une gamelle rempli d’eau et me demande de me désaltérer, je commence à laper et je le sens derrière moi, à me caresser les fesses, je me redresse enfin quand il appuie sur mon dos « Je ne t’ai pas dit d’arrêter, bois.. Tout », la gamelle est remplie, ça va me prendre du temps de laper… Il sent que je réfléchi et remet en question ces ordres alors que je n’ai pas ouvert la bouche, il dit « obéis », il continu de me caresser puis cesse et va s’installer dans son fauteuil avec son livre, il m’ignore totalement…
Au bout de je ne sais combien de temps je finis, je le rejoins à quatre pates, mais il ne bouge pas alors je m’approche un peu plus, et me frotte à ses jambes, posant la tête sur ses cuisses où je remarque une bosse, signe de son excitation… Il défait sa braguette et sors son sexe, je n’ai pas besoin de plus d’indication pour savoir ce que je dois faire… Je saute sur sa queue et l’englouti, elle est déjà dure comme je l’aime, je lèche toute la longueur, je m’attarde sur le gland où je fais tournoyer ma langue en l’aspirant en même temps en creusant les joues, puis je répands des petits baisers sur le gland et la queue jusqu’au couilles que j’embrasse une à une avant de les lécher, je remonte en léchant et je replonge dessus en l’avalant le plus loin possible, enfin une réaction, il me caresse la tête et passe ses doigts dans mes cheveux qu’il finit par agripper pendant que je monte et descend.. je relève la tête et le regarde puis m’attaque à son gland, en passant ma langue sur le frein… Je joue comme ça pendant longtemps en alternant toutes les caresses buccales, je lèche et suce langoureusement, des petits bruits de succion se mêlent à ses gémissements qui m’encouragent à continuer jusqu’à ce qu’il se répande dans ma bouche, j’avale tout comme il me l’a appris, je nettoie sa queue encore quelques instants jusqu’à ce qu’une petite tape me montre que je peux me relever… Il passe son pouce sur mes lèves que j’embrasse d’un petit baiser… Je commence aussi à avoir envie de faire pipi et je comprends enfin pourquoi il a tant insisté pour que je finisse ma gamelle… Je lève alors ma tête vers lui, « Oui, ma chienne ? », « Maître, j’ai envie de faire pipi… », « Oh… c’est bien embêtant, je n’ai pas le temps de sortir maintenant… » Il fait mine de réfléchir, et je sens sa perversion monter… « Tu as vraiment, vraiment très envie ? » ; « Oui, Maître, s’il vous plait… » Il revient vers moi avec une laisse qu’il accroche à mon collier et tire dessus pour que le suis, il m’amène à la douche.. « Grimpe, à quatre patte et fais pipi, attention comme une chienne… », le rouge me monte aux joues et il en faut beaucoup pour me faire rougir… Je monte comme indiqué, je me mets à quatre pattes et écartes mes jambes, ça ne vient pas tout de suite, il secoue la laisse pour m’exprimer son impatience, alors j’urine, je m’en mets partout, sur les mains, les jambes, les pieds, j’ai honte et je mouille de cet état… Quand le jet cesse, il ouvre le robinet et me lave doucement pour laisser ma honte redescendre… Il me fait sortir et me sèche vigoureusement, avant de m’embrasser sur la bouche et de murmurer tout contre mes lèvres « je suis fière de toi ».. Il ne m’en faut pas plus pour être heureuse et me donner la force de lui obéir encore plus, car oui, c’est cela que je veux, lire sa fierté dans ses yeux, qu’il soit fière de m’avoir…
Plus tard, dans la soirée, après qu’il se soit amusé à me toucher de toutes les manières possibles pour tester mes réactions, il décide de ne pas trop m’épuiser la première journée… Je dine à ses pieds, pendant qu’il me caresse les cheveux… Un moment très calme et serein… Nous allons dans sa chambre après avoir pris nos douches, il me tend une culotte en coton blanche et un t shirt assorti… « Viens enfiler ça », je m’exécute devant lui, puis il s’assied sur le lit et me fait signe de m’asseoir sur ses genoux.. Je sais qu’il veut terminer par ça avant que nous dormions… Il me caresse la cuisse, et m’attache les cheveux en un palmier sur le sommet de la tête, comme une petite fille… Il me caresse et m’embrasse et me fait rouler sur le lit, pour passer ses doigts sous ma culotte… Il fait mine de se fâcher.. « Tu mouilles ? Tu n’as pas honte ? C’est très vilain.. » Il me prend, me reverse sur ses genoux et me déculotte, laissant la culotte à mes genoux, il caresse la rondeur de mes fesses, puis je ne sens plus ses mains, jusqu’à ressentir une claque ferme sur mes fesses, pas trop douloureuse mais ferme. « Comptes, et remercies moi.. », il s’arrête enfin à 10 « 10, merci Maître… », j’ai les fesses en feu, il passe ses mains dessus, puis s’empare d’un oreiller pour me caresser avec, je m’endors presque… Il me soulève me berce un peu, puis nous allonge, j’en profite enfin pour le caresser, son torse, son cou, ses épaules, son ventre… Je me penche jusqu’à son entre cuisses, je lève les yeux en quête d’approbation, il souri et murmure « Oui, tu as le droit de téter pour t’endormir comme une gentille petite fille… » il m’embrasse le sommet de la tête, et se rallonge, pendant que je le tête….
Plus tard dans la nuit, quand je suis dans ses bras, une question me taraude… Je ne sais pas s’il dort… « Maître ? », « Humm ? » répond-t-il en en baissant les yeux vers les miens… « Pourquoi vous ne m’avez pas fait l’amour ce soir ? ou m’avoir fait jouir ? » Il sourit paresseusement puis me remonte vers lui « Parce que de une, tu es trop fatiguée pour que je te fasses l’amour, et de deux, comme ça tu seras à point pour demain, si tu es sage et parfaitement obéissante… » Il me prend le menton « D’accord ? », je souris et acquiesce « Oui, Maître, j’ai hâte… », « ça je le sais, endors toi maintenant », murmure-t-il contre mes lèvres…

Je m’endors apaisée, sereine et surtout mouillée, entortillée, dans les bras de mon Maitre….
发布者 Alchemy06
7 年 前
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LeLiGraTe
LeLiGraTe 7 年 前
Tu as donc la majuscule capricieuse. Elle me sied au "Vous"
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