Avant de partir travailler...
Sommeil poisseux. Rêves en cascades. Il est 7h et je sors de ma nuit avec toutes les difficultés du monde. L’humeur est maussade. Je laisse S. la femme avec qui j’ai une relation suivie en cette période, maugréer de son côté du lit. S. est une beurette voluptueuse. Marocaine, 37 ans, un beau visage et une bouche merveilleuse aux lèvres pulpeuses et admirablement dessinées. Elle a des formes S. et là où il faut. Une poitrine généreuse avec des tétons réactifs. Bien gros ses seins et lourds aussi. Elle n’hésite pas à en jouer. Un peu partout d'ailleurs : dans la rue, dans les soirées... Elle sait que sa séduction passe aussi par là. Elle a un joli cul aussi. Pas si gros mais bien rebondi et ferme. Elle a eut pas mal d’aventures dans sa vie mais avec des types un peu conventionnels. Pas des obsédés comme moi. Pas des amoureux de l’amour. Pas de vrais baiseurs. Des types qui devaient tirer leur coup sans porter trop d’attention à elle alors elle vit une petite révolution depuis 3 mois que nous sommes ensemble. Il n’y a pas de promesse de ma part. Juste de l’écoute et des parties de jambes en l’air qui durent longtemps. Elle a compris que j’aimais ça. Je file dans la douche, histoire de me réveiller et je me lave consciencieusement le sexe... Se caresser comme ça, au réveil, ça a du bon. On retrouve peu à peu ses sensations, on prolonge un peu aussi l’érection matinale. C’est agréable. Ça l’est d’autant qu’au sortir de la douche, S. se retourne, peine à ouvrir les yeux mais finit par se retrouver le nez sur ma pine. Elle en aime l’épaisseur et les veines. J’ai fait exprès de lui coller ma queue sur le visage. Mes grosses couilles lui couvrant les yeux. Je passe ma pine sur le visage, je me frotte. Elle esquisse un sourire. Le sourire s’élargit. A peine réveillée, la voilà qui ouvre grand la bouche et qui commence à pomper. C’est une bonne suceuse. Vraiment. Elle aime ça et ça se voit. Elle dit qu’elle a le sentiment de faire ce qu’elle veux du type quand elle suce comme ça sa queue et je la crois volontiers. Elle s’applique. Elle veut bien faire. S. redouble d’effort. Elle lèche timidement d’abord et ensuite plus fort puis elle salive. Elle aspire. S. gobe, y compris mes couilles rasées et pleines de jus. Elle me dit que sa chatte s’ouvre d’excitation en même temps. Elle s’active. Il n’y a plus d'équivoque. S. devient une vraie salope qui pompe ma queue comme si sa vie en dépendait. Elle a le cœur sur la main, elle est comme ça S. : elle veut faire plaisir. Mon sang ne fait qu’un tour. Elle redouble d’ardeur. Elle fait la bonne élève alors elle rengorge. Elle se concentre et elle avale mon chibre centimètre par centimètre en me fixant du regard. Ses yeux de salope plantés dans les miens. Elle jute, je le sais. Et elle pousse dès vagissements en même temps qu’elle hoquète, c’est le plaisir du fond de gorge, une fois passé le haut le cœur, elle se retrouve le nez contre mon pubis, collé contre ma toison. La langue sur la base de ma hampe.
-« Mmmmmmmmmhhh ... mmmh... Hmmmm... »
-« T’aimes ça, salope? »
Elle opine du chef, me regarde dans les yeux. Implorante. La gorge profonde lui fait venir des larmes aux yeux. Et c’est la joie de la soumission dans son regard reconnaissant.
Elle capitule en reculant. Une énorme inspiration pour reprendre de l’air. Ma pine est grosse, glaireuse, elle est maculée de salive. Ça coule. Ça coule de sa bouche, sur son menton, sur ses gros seins. Elle en fout de partout. Je lui biffle le visage. Elle ferme les eux par réflexe et cherche aveuglément le gland pour l’engloutir de nouveau. Elle l’enfourne. Je lui choppe les cheveux et j’imprime le va et vient qu’il faut en la traitant de tous les noms. Des mots durs. Des mots d’amour et de confiance. Elle pompe et pompe encore.
Les bruits de succion saccadés. Les bruits de gorge doublés des joyeusetés que je lui susurre, tout ça me fait monter le jus. Elle aussi le sait et le sens. Mes couilles glabres et couvertes de suc viennent frapper son menton. Elle gargouille. Mon orgasme monte. Je sent que ça vient, c’est comme une lame de fond, une vague qui part du tréfonds de mon cul et de mes bourses. Ça me fait perdre pied. Elle gémit comme une grosse salope vicieuse. Je décharge à gros traits. Giclée de foutre sur giclée avec une première rasade copieuse au fond. Le reste en me dégageant de cette pompeuse et en balançant sur son visage, ses lèvres. Les jets sont puissants, j’en mets partout. Je me vide littéralement. Je râle. Je sue. J’explose dans une dernière insulte. Quelle salope ! Elle recueille le sperme sur ses lèvres et sa langue. Elle essaye d’en récupérer la moindre goutte.
C’est beau l’envie de baiser.
-« Mmmmmmmmmhhh ... mmmh... Hmmmm... »
-« T’aimes ça, salope? »
Elle opine du chef, me regarde dans les yeux. Implorante. La gorge profonde lui fait venir des larmes aux yeux. Et c’est la joie de la soumission dans son regard reconnaissant.
Elle capitule en reculant. Une énorme inspiration pour reprendre de l’air. Ma pine est grosse, glaireuse, elle est maculée de salive. Ça coule. Ça coule de sa bouche, sur son menton, sur ses gros seins. Elle en fout de partout. Je lui biffle le visage. Elle ferme les eux par réflexe et cherche aveuglément le gland pour l’engloutir de nouveau. Elle l’enfourne. Je lui choppe les cheveux et j’imprime le va et vient qu’il faut en la traitant de tous les noms. Des mots durs. Des mots d’amour et de confiance. Elle pompe et pompe encore.
Les bruits de succion saccadés. Les bruits de gorge doublés des joyeusetés que je lui susurre, tout ça me fait monter le jus. Elle aussi le sait et le sens. Mes couilles glabres et couvertes de suc viennent frapper son menton. Elle gargouille. Mon orgasme monte. Je sent que ça vient, c’est comme une lame de fond, une vague qui part du tréfonds de mon cul et de mes bourses. Ça me fait perdre pied. Elle gémit comme une grosse salope vicieuse. Je décharge à gros traits. Giclée de foutre sur giclée avec une première rasade copieuse au fond. Le reste en me dégageant de cette pompeuse et en balançant sur son visage, ses lèvres. Les jets sont puissants, j’en mets partout. Je me vide littéralement. Je râle. Je sue. J’explose dans une dernière insulte. Quelle salope ! Elle recueille le sperme sur ses lèvres et sa langue. Elle essaye d’en récupérer la moindre goutte.
C’est beau l’envie de baiser.
7 年 前