Spleen
Je hais les vacances !
La ville est morte, totalement alanguie sous la chaleur. Le téléphone ne sonne plus , mais çà, au moins, c’est une bonne chose ! Ce jour-là, j’avais choisi un bon remède contre le spleen ; une petite visite dans la douce quiétude d’un musée parisien. J’étais assise déjà depuis un bon petit moment sur la banquette qui faisait face aux deux danseuses de Kupka. Deux belles femmes, main dans la main, dansant une plage ensoleillée. Je rêvais que j’étais l’une d’elle lorsque je sentis que quelqu’un s’asseyait à côté de moi. Je ne tournai pas la tête immédiatement et restai encore de longues minutes, les yeux fixés sur la toile. Mon inconnu ne bougeait pas non plus. Enfin, une voix douce me murmura :
-Vous êtes probablement celle qui entraîne l’autre.
Je tournai la tête pour découvrir une silhouette digne des vieux films des années 5O. Un costume noir, des cheveux blancs plaqués vers l’arrière et la moustache en trait de crayon. Je répondis :
-Pourquoi pas ?
Il sourit et son beau visage aux pommettes taillées dans le granit, s’éclaira.
-Puis-je vous offrir un rafraîchissement pour nous remettre de nos émotions ?
-Avec plaisir.
Quelques minutes plus tard, attablés à la petite terrasse du café du musée, nous regardions les visiteurs sortir de la boutique, leurs souvenirs sous le bras.
-Laissez-moi deviner, lui dis-je. Vous êtes marchand de tableau ou antiquaire en visite à Paris ?
Son visage s’éclaira de nouveau.
-Et je viens de quel pays ?
-Un pays sud-américain, à n’en pas douter. Je dirais l’Argentine.
IL fit une petite moue.
-Mumm… Non, je viens de Colombie et je suis narcotrafiquant, évidemment !
Nos rires résonnèrent dans le grand hall du musée.
Nous jouâmes encore à ce petit jeu pendant le reste de l’après-midi et il m’invita à le rejoindre pour dîner le soir-même à son hôtel.
Revenue chez moi, bien heureuse d’avoir enfin brisé ce cercle si monotone des vacances, je me préparai pour ce rendez-vous si inattendu. J’hésitai entre une petite jupe de cuir très courte et une autre plissée, plus classique et un peu plus longue. J’optai finalement pour la classique que je complétai avec un chemisier noir ajouré. Enfin, j’enfilai la parure slip et soutien-gorge en dentelles noires et blanches achetée dans la matinée.
En entrant dans le hall de l’hôtel, je me félicitai d’avoir opté pour le classique. L’endroit était très chic et très feutré. Quelques personnes chuchotaient au bar, disparaissant presque dans la profondeur des grands fauteuils de cuir, d’autres glissaient sur les grands tapis, comme des adeptes du patinage artistique accompagnées d’une musique si douce que l’on entendait à peine. Je retrouvai mon nouvel ami niché dans une petite alcôve , bien installé sur un canapé rouge. Il se leva dès qu’il me vit et inclina la tête pour m’accueillir.
-J’ai pris la liberté de commander du champagne, me dit-il, alors que le serveur se montrait.
-Vous avez bien fait. Répondis-je en m’asseyant face à lui.
Je remarquai que mes bas-top à motifs rayés lui plaisait beaucoup.
-Savez-vous que le grand Borges a séjourné dans cet hôtel ? Me demanda-t-il. J’aime son calme et sa sérénité.
-Oui. Et Oscar Wilde aussi.
-Décidément, vous êtes une personne tout à fait surprenante !
Je lui rendis son sourire en glissant :
-Et vous n’êtes peut-être pas au bout de vos surprises…
Nous passâmes la totalité du repas à parler peinture (je vous épargne ce passage car je sais que vous attendez avec impatience de connaître la suite de cette aventure) et il me pria de venir prendre un dernier verre dans sa chambre.
Dans l’ascenseur, nous étions presque collés l’un à l’autre. Il me chuchota à l’oreille.
- « Et vous n’êtes pas au bout de vos surprises », c’est une phrase très énigmatique, non ?
Pour toute réponse, je lui souriais et lui pris la main et la posait sur mon entrejambe. Son visage s’illumina et il lança :
-Hummm… Quel beau cadeau vous me faites !
Luxe, calme et volupté. C’est ainsi que l’on pourrait résumer l’intérieur de cette très belle suite. Alors, voyons comment mes souvenirs s’organisent...
Nos deux visages sont si proches que nos lèvres se touchent presque. Je lui prends la main et la guide vers ma poitrine. Ses doigts tremblent en déboutonnant mon chemisier. Puis, il glisse la main sous l’étoffe de soie et la pose sur un des bonnets de mon soutien-gorge. Il caresse lentement la bordure de dentelle avant de l’écarter d’un doigt. Il frôle simplement mon téton. Je le sens durcir. Dieu que c’est bon !
Il a maintenant totalement déboutonné mon chemisier et nous sommes tombés tous les deux sur l’épaisse moquette. Je pose mes mains sur ses cheveux, je le caresse tendrement. Sa tête a disparu entre mes seins. Sa bouche avide att**** mon téton qui pointe , le lèche, le suce, et c’est comme si je m’épanouissais , une fleur entre ses lèvres, moi qui me sent mouiller et m’alanguir.
Il bande. Je tend le bras, ouvre sa braguette, et le prend dans ma paume. Il gémit. Je lui sort complètement la queue et la caresse tandis que, d’une main hésitante, il glisse sous ma jupe pour att****r mon sexe qui sort de ma petite culotte . Je bande fort, très fort. Il frotte du doigt mon prépuce . Ma bite durcit encore ! Je creuse les reins et me cambre de plus en plus fort, gémit, pleure, laissant filer sa bouche sur mon ventre. Il me suce maintenant et me lèche comme s’il apaisait une plaie, pour la sentir toute entière. Je suis perdue, je plane dans une sorte de Paradis où jaillissent mille feux ! Lorsque ma semence explose dans sa bouche, il n’en perd pas une seule goutte. Je reste étendue sur la moquette, les yeux fermés, la respiration lente, comme une nageuse qui vient d’achever une longue course. Je sens qu’il me caresse le cou, les cheveux. Il me dit :
-Je suis là. Tout va bien.
Je me redresse et me penche vers lui. Je veux prendre sa queue dans ma bouche moi aussi, mais il me dit
- C’est en toi que je veux être. Tu veux bien ?
Je lui réponds « oui ». Pourtant, en m’enlaçant, il demande encore :
-Tu veux bien ?
-Je l’embrasse et lui chuchote à l’oreille :
-Je te veux en moi.
Je me dirige à quatre pattes vers le grand fauteuil, pose mes deux mains sur le coussin et lui présente mon cul. Dès qu’il se colle contre moi, sa chaleur m’envahit. Il m’embrasse encore et encore, ses lèvres sont incandescentes. Je prend sa queue et la guide vers mon petit trou dilaté. Je mouille comme une belle salope ! Il pousse doucement. J’att**** ses cuisses et le pousse plus fort, plus profond. Je me cabre pour qu’il me pénètre toute entière. Tout n’est que chaleur et mouillure. Sa bite coulisse comme un piston infernal. Je mouille tellement ! Il me caresse le dos, le cul , les jambes et gémit :
-C’est si bon...C’est si bon !
De sa queue, il cherche le point, le trouve. La sueur emperle mes lèvres et mon dos. Il la lèche. Il lèche cette coulure douce et tendre qui colle nos deux corps. Il grogne :
-Je vais jouir .
Je réponds :
-Oui, chéri. Jouis en moi, jouis en moi, jouis en moi.
Et il s’enfonce encore autant qu’il le peut. Mes fesses rouges de chaleur frappent régulièrement ses couilles. Je me cabre . Il m’att**** par le cou et tire brutalement ma tête vers l’arrière. Il me chevauche comme une jument, fouette ma croupe et me pousse vers le poteau final ! J’adore le bruit sec de ses claques, leur morsure sur ma peau, je sens au plus profond de moi-même cette palpitation qui me rend totalement folle ! J’ai mal. Ma peau brûle, mon cul brûle, tandis qu’il me fesse et me baise comme une vraie pute ! Il me frappe au rythme des mes grognements. Je lâche un long hurlement primitif et chevrotant quand il jouit avant de s’effondrer dans la chaleur de mon épaule. Je lui dis :
-J’adore te sentir à l’intérieur de moi.
Il sourit et me pistonne encore deux ou trois fois, pour me montrer qu’il est encore là. Nous nous endormons, corps contre corps. Lorsque j’ouvre les yeux, la chambre est plongée dans la pénombre et il n’est plus là.
La ville est morte, totalement alanguie sous la chaleur. Le téléphone ne sonne plus , mais çà, au moins, c’est une bonne chose ! Ce jour-là, j’avais choisi un bon remède contre le spleen ; une petite visite dans la douce quiétude d’un musée parisien. J’étais assise déjà depuis un bon petit moment sur la banquette qui faisait face aux deux danseuses de Kupka. Deux belles femmes, main dans la main, dansant une plage ensoleillée. Je rêvais que j’étais l’une d’elle lorsque je sentis que quelqu’un s’asseyait à côté de moi. Je ne tournai pas la tête immédiatement et restai encore de longues minutes, les yeux fixés sur la toile. Mon inconnu ne bougeait pas non plus. Enfin, une voix douce me murmura :
-Vous êtes probablement celle qui entraîne l’autre.
Je tournai la tête pour découvrir une silhouette digne des vieux films des années 5O. Un costume noir, des cheveux blancs plaqués vers l’arrière et la moustache en trait de crayon. Je répondis :
-Pourquoi pas ?
Il sourit et son beau visage aux pommettes taillées dans le granit, s’éclaira.
-Puis-je vous offrir un rafraîchissement pour nous remettre de nos émotions ?
-Avec plaisir.
Quelques minutes plus tard, attablés à la petite terrasse du café du musée, nous regardions les visiteurs sortir de la boutique, leurs souvenirs sous le bras.
-Laissez-moi deviner, lui dis-je. Vous êtes marchand de tableau ou antiquaire en visite à Paris ?
Son visage s’éclaira de nouveau.
-Et je viens de quel pays ?
-Un pays sud-américain, à n’en pas douter. Je dirais l’Argentine.
IL fit une petite moue.
-Mumm… Non, je viens de Colombie et je suis narcotrafiquant, évidemment !
Nos rires résonnèrent dans le grand hall du musée.
Nous jouâmes encore à ce petit jeu pendant le reste de l’après-midi et il m’invita à le rejoindre pour dîner le soir-même à son hôtel.
Revenue chez moi, bien heureuse d’avoir enfin brisé ce cercle si monotone des vacances, je me préparai pour ce rendez-vous si inattendu. J’hésitai entre une petite jupe de cuir très courte et une autre plissée, plus classique et un peu plus longue. J’optai finalement pour la classique que je complétai avec un chemisier noir ajouré. Enfin, j’enfilai la parure slip et soutien-gorge en dentelles noires et blanches achetée dans la matinée.
En entrant dans le hall de l’hôtel, je me félicitai d’avoir opté pour le classique. L’endroit était très chic et très feutré. Quelques personnes chuchotaient au bar, disparaissant presque dans la profondeur des grands fauteuils de cuir, d’autres glissaient sur les grands tapis, comme des adeptes du patinage artistique accompagnées d’une musique si douce que l’on entendait à peine. Je retrouvai mon nouvel ami niché dans une petite alcôve , bien installé sur un canapé rouge. Il se leva dès qu’il me vit et inclina la tête pour m’accueillir.
-J’ai pris la liberté de commander du champagne, me dit-il, alors que le serveur se montrait.
-Vous avez bien fait. Répondis-je en m’asseyant face à lui.
Je remarquai que mes bas-top à motifs rayés lui plaisait beaucoup.
-Savez-vous que le grand Borges a séjourné dans cet hôtel ? Me demanda-t-il. J’aime son calme et sa sérénité.
-Oui. Et Oscar Wilde aussi.
-Décidément, vous êtes une personne tout à fait surprenante !
Je lui rendis son sourire en glissant :
-Et vous n’êtes peut-être pas au bout de vos surprises…
Nous passâmes la totalité du repas à parler peinture (je vous épargne ce passage car je sais que vous attendez avec impatience de connaître la suite de cette aventure) et il me pria de venir prendre un dernier verre dans sa chambre.
Dans l’ascenseur, nous étions presque collés l’un à l’autre. Il me chuchota à l’oreille.
- « Et vous n’êtes pas au bout de vos surprises », c’est une phrase très énigmatique, non ?
Pour toute réponse, je lui souriais et lui pris la main et la posait sur mon entrejambe. Son visage s’illumina et il lança :
-Hummm… Quel beau cadeau vous me faites !
Luxe, calme et volupté. C’est ainsi que l’on pourrait résumer l’intérieur de cette très belle suite. Alors, voyons comment mes souvenirs s’organisent...
Nos deux visages sont si proches que nos lèvres se touchent presque. Je lui prends la main et la guide vers ma poitrine. Ses doigts tremblent en déboutonnant mon chemisier. Puis, il glisse la main sous l’étoffe de soie et la pose sur un des bonnets de mon soutien-gorge. Il caresse lentement la bordure de dentelle avant de l’écarter d’un doigt. Il frôle simplement mon téton. Je le sens durcir. Dieu que c’est bon !
Il a maintenant totalement déboutonné mon chemisier et nous sommes tombés tous les deux sur l’épaisse moquette. Je pose mes mains sur ses cheveux, je le caresse tendrement. Sa tête a disparu entre mes seins. Sa bouche avide att**** mon téton qui pointe , le lèche, le suce, et c’est comme si je m’épanouissais , une fleur entre ses lèvres, moi qui me sent mouiller et m’alanguir.
Il bande. Je tend le bras, ouvre sa braguette, et le prend dans ma paume. Il gémit. Je lui sort complètement la queue et la caresse tandis que, d’une main hésitante, il glisse sous ma jupe pour att****r mon sexe qui sort de ma petite culotte . Je bande fort, très fort. Il frotte du doigt mon prépuce . Ma bite durcit encore ! Je creuse les reins et me cambre de plus en plus fort, gémit, pleure, laissant filer sa bouche sur mon ventre. Il me suce maintenant et me lèche comme s’il apaisait une plaie, pour la sentir toute entière. Je suis perdue, je plane dans une sorte de Paradis où jaillissent mille feux ! Lorsque ma semence explose dans sa bouche, il n’en perd pas une seule goutte. Je reste étendue sur la moquette, les yeux fermés, la respiration lente, comme une nageuse qui vient d’achever une longue course. Je sens qu’il me caresse le cou, les cheveux. Il me dit :
-Je suis là. Tout va bien.
Je me redresse et me penche vers lui. Je veux prendre sa queue dans ma bouche moi aussi, mais il me dit
- C’est en toi que je veux être. Tu veux bien ?
Je lui réponds « oui ». Pourtant, en m’enlaçant, il demande encore :
-Tu veux bien ?
-Je l’embrasse et lui chuchote à l’oreille :
-Je te veux en moi.
Je me dirige à quatre pattes vers le grand fauteuil, pose mes deux mains sur le coussin et lui présente mon cul. Dès qu’il se colle contre moi, sa chaleur m’envahit. Il m’embrasse encore et encore, ses lèvres sont incandescentes. Je prend sa queue et la guide vers mon petit trou dilaté. Je mouille comme une belle salope ! Il pousse doucement. J’att**** ses cuisses et le pousse plus fort, plus profond. Je me cabre pour qu’il me pénètre toute entière. Tout n’est que chaleur et mouillure. Sa bite coulisse comme un piston infernal. Je mouille tellement ! Il me caresse le dos, le cul , les jambes et gémit :
-C’est si bon...C’est si bon !
De sa queue, il cherche le point, le trouve. La sueur emperle mes lèvres et mon dos. Il la lèche. Il lèche cette coulure douce et tendre qui colle nos deux corps. Il grogne :
-Je vais jouir .
Je réponds :
-Oui, chéri. Jouis en moi, jouis en moi, jouis en moi.
Et il s’enfonce encore autant qu’il le peut. Mes fesses rouges de chaleur frappent régulièrement ses couilles. Je me cabre . Il m’att**** par le cou et tire brutalement ma tête vers l’arrière. Il me chevauche comme une jument, fouette ma croupe et me pousse vers le poteau final ! J’adore le bruit sec de ses claques, leur morsure sur ma peau, je sens au plus profond de moi-même cette palpitation qui me rend totalement folle ! J’ai mal. Ma peau brûle, mon cul brûle, tandis qu’il me fesse et me baise comme une vraie pute ! Il me frappe au rythme des mes grognements. Je lâche un long hurlement primitif et chevrotant quand il jouit avant de s’effondrer dans la chaleur de mon épaule. Je lui dis :
-J’adore te sentir à l’intérieur de moi.
Il sourit et me pistonne encore deux ou trois fois, pour me montrer qu’il est encore là. Nous nous endormons, corps contre corps. Lorsque j’ouvre les yeux, la chambre est plongée dans la pénombre et il n’est plus là.
6 年 前
C'est en fait parfaitement sexy tout en étant tendre, doux, et sensuel...
Des mots de femme quoi !
Kiss en passant...))