Cours particulier (Fin)
Bon, la question était la suivante ; qui était l’homme cet après-midi là ? La réponse : moi, bien évidemment. Alors, c’est à moi que revenait la tâche de quitter cette chambre pour un petit moment, juste le temps d’aller acheter des petits gâteaux, histoire de reprendre des forces.
Revenue dans la pièce (ou peut-être devrais-écrire dans la salle de cours?) j’ai constaté avec satisfaction que mon élève avait profité de ma courte absence pour se recoiffer et rectifier son maquillage. A peine le temps de déposer les sucreries sur la table et je la rejoignais. Elle m’attendait, uniquement vêtue de ma nuisette blanche, les jambes croisées en tailleur, adossée à la tête du lit.
Plus tard, je me rappelle m’être penché au-dessus de sa « bouche-baiser » pour venir lécher un minuscule éclat d’amande venu se nicher sur la ligne mélodique de sa lèvre. Et puis…
Immobile, elle se laissa entourer de mes bras sur son corps. Elle frissonna légèrement. Je fis glisser les deux bretelles de la nuisette et me délectait de ses mamelons. Ma bouche était encore sucrée et je me régalais de cet autre dessert inattendu. Au dernier moment, avant que son visage ne se rapproche un peu trop de moi et perde sa netteté, je vis qu’elle changeait d’expression. Un faible sentiment (mais perceptible tout de même) de peur venait de s’insinuer dans son esprit. Je l’embrassai et elle ferma les yeux.
Ma main glissa le long de son dos (j’aime tant le contact avec le nylon soyeux!) dépassa le creux de sa taille, atteignit la courbe de ses hanches et je l’attirai contre moi. Son corps était brûlant de désir. Ce seul contact me révéla combien elle était affamée. Elle devint chatte et louve à la fois. Le soupir se transforma en miaulement, en feulement de fauve. Je lui chuchotai à l’oreille :
-Tu es si sexy ma chérie… Je ne peux me retenir plus longtemps…
-Mmmmmmm
-Je suis excité comme un fou ! Regarde !
A peine une seconde d’hésitation et elle m’avait déjà saisi le sexe.
Elle n’eut pas besoin de la caresser… ma bite se redressa illico !
A ce moment là, notre désir était si fort que la v******e et la hâte nous rendîmes maladroits. Nous vêtements nous génèrent, ils devinrent encombrants et difficiles à enlever, nos bras étaient pleins de coudes qui nous embarrassaient. Nous nous affalâmes en travers du lit, dans une position inconfortable. Je réussis tout de même à la positionner. J’aurai juré que son corps avait encore grimpé en température !
Pourtant, malgré le désir, je pris grand soin de préparer son petit trou avec mon doigt et ma salive. C’était bien entendu la toute première fois qu’un homme allait lui donner du plaisir de cette façon. Il s’ouvrit lentement comme le calice d’une fleur que l’on va cueillir. N’y tenant plus, j’introduisis lentement mon gland… Elle poussa un petit râle plaintif et puis, au fur et à mesure que je la pénétrai elle devint bruyante ! Le râle se transforma en cri rauque…
Ensuite, la chambre s’emplit de gémissements et de râles de plaisir. Je dois l’avouer, elle me rendait dingue ! Notre étreinte devint une réunion de muscles tendus par le désir, de ventres palpitants et de souffles brûlants se mélangeant sur l’oreiller. Je ne cessai de lui murmurer à l’oreille qu’elle devenait femme, qu’elle me rendait totalement dépendant !
Je ne sais combien de temps dura cette étreinte mais, pourquoi chercher à mesurer le temps dans ces moments-là ?
Puis, ce fut l’instant de l’explosion presque silencieuse qui vint clore notre coït. Elle absorba mon foutre comme une pièce insonorisée absorbe les cris !
Lorsque nous nous retrouvâmes face à face de nouveau, elle resta les yeux fermés, les paupières fortement serrées. Son corps était agité de petits tremblement nerveux.. Elle se « réveilla » lorsque je fis un mouvement pour quitter le lit, m’attrapant le bras au passage. Les yeux maintenant grands ouverts, un sourire illuminant son visage, elle me murmura..
-Merci..
-Hummm… Tu sais, ma chérie, dans ces moments-là, nous sommes deux.
-Oui, bien sur. Mais je te remercie d’avoir été si doux…
elle baissa la tête
-Pour ma première fois..
Revenue dans la pièce (ou peut-être devrais-écrire dans la salle de cours?) j’ai constaté avec satisfaction que mon élève avait profité de ma courte absence pour se recoiffer et rectifier son maquillage. A peine le temps de déposer les sucreries sur la table et je la rejoignais. Elle m’attendait, uniquement vêtue de ma nuisette blanche, les jambes croisées en tailleur, adossée à la tête du lit.
Plus tard, je me rappelle m’être penché au-dessus de sa « bouche-baiser » pour venir lécher un minuscule éclat d’amande venu se nicher sur la ligne mélodique de sa lèvre. Et puis…
Immobile, elle se laissa entourer de mes bras sur son corps. Elle frissonna légèrement. Je fis glisser les deux bretelles de la nuisette et me délectait de ses mamelons. Ma bouche était encore sucrée et je me régalais de cet autre dessert inattendu. Au dernier moment, avant que son visage ne se rapproche un peu trop de moi et perde sa netteté, je vis qu’elle changeait d’expression. Un faible sentiment (mais perceptible tout de même) de peur venait de s’insinuer dans son esprit. Je l’embrassai et elle ferma les yeux.
Ma main glissa le long de son dos (j’aime tant le contact avec le nylon soyeux!) dépassa le creux de sa taille, atteignit la courbe de ses hanches et je l’attirai contre moi. Son corps était brûlant de désir. Ce seul contact me révéla combien elle était affamée. Elle devint chatte et louve à la fois. Le soupir se transforma en miaulement, en feulement de fauve. Je lui chuchotai à l’oreille :
-Tu es si sexy ma chérie… Je ne peux me retenir plus longtemps…
-Mmmmmmm
-Je suis excité comme un fou ! Regarde !
A peine une seconde d’hésitation et elle m’avait déjà saisi le sexe.
Elle n’eut pas besoin de la caresser… ma bite se redressa illico !
A ce moment là, notre désir était si fort que la v******e et la hâte nous rendîmes maladroits. Nous vêtements nous génèrent, ils devinrent encombrants et difficiles à enlever, nos bras étaient pleins de coudes qui nous embarrassaient. Nous nous affalâmes en travers du lit, dans une position inconfortable. Je réussis tout de même à la positionner. J’aurai juré que son corps avait encore grimpé en température !
Pourtant, malgré le désir, je pris grand soin de préparer son petit trou avec mon doigt et ma salive. C’était bien entendu la toute première fois qu’un homme allait lui donner du plaisir de cette façon. Il s’ouvrit lentement comme le calice d’une fleur que l’on va cueillir. N’y tenant plus, j’introduisis lentement mon gland… Elle poussa un petit râle plaintif et puis, au fur et à mesure que je la pénétrai elle devint bruyante ! Le râle se transforma en cri rauque…
Ensuite, la chambre s’emplit de gémissements et de râles de plaisir. Je dois l’avouer, elle me rendait dingue ! Notre étreinte devint une réunion de muscles tendus par le désir, de ventres palpitants et de souffles brûlants se mélangeant sur l’oreiller. Je ne cessai de lui murmurer à l’oreille qu’elle devenait femme, qu’elle me rendait totalement dépendant !
Je ne sais combien de temps dura cette étreinte mais, pourquoi chercher à mesurer le temps dans ces moments-là ?
Puis, ce fut l’instant de l’explosion presque silencieuse qui vint clore notre coït. Elle absorba mon foutre comme une pièce insonorisée absorbe les cris !
Lorsque nous nous retrouvâmes face à face de nouveau, elle resta les yeux fermés, les paupières fortement serrées. Son corps était agité de petits tremblement nerveux.. Elle se « réveilla » lorsque je fis un mouvement pour quitter le lit, m’attrapant le bras au passage. Les yeux maintenant grands ouverts, un sourire illuminant son visage, elle me murmura..
-Merci..
-Hummm… Tu sais, ma chérie, dans ces moments-là, nous sommes deux.
-Oui, bien sur. Mais je te remercie d’avoir été si doux…
elle baissa la tête
-Pour ma première fois..
5 年 前
