J’ai une amie, que je vais appeler Justine ici, avec laquelle on adore se dire « tu pues du cul ». Justine est mignonne, avec une chevelure noire, des yeux verts, un petit cul et des seins moyens. On a l’habitude d’aller courir tous les deux. Quand, je lui dis « tu pues du cul », j’ai trop envie qu’elle me réponde de venir le sentir… Il me vient un fantasme sur ce sujet : Je dis à Justine : - « tu pues du cul ». - Non, me répond-elle avec un magnifique sourire. -Si, si… tu pues du cul. - Ca, tu ne sais pas, tu ne l’as jamais senti, petit zizi... … 阅读更多内容
L'odeur de son cul
Voici une histoire totalement inventée par mon esprit pervers… Je suis en soirée avec une pote. Sophie, une jolie petite blonde aux cheveux coupés au carré avec de grands yeux bleus, avec un joli petit cul et des petites fesses arrondies, mais des petits seins remplissant tout juste un bonnet A, n’est pas des plus en joie. Elle vient encore de se faire plaquer… Un connard de plus qui l’a jetée. J’essaie de lui remonter le moral. On passe une petite soirée sympa tous les deux. Vers 23h00, on décide de filer en boîte. On danse tous les deux. Elle boit, vodka sur vodka. Elle veut oublier sa pei… 阅读更多内容
Les culottes sales !!!
J’ai un gros pêché mignon : j’adore les sous-vêtements féminins, surtout ceux qui ont été portés ! Quel bonheur, à mon sens, de sentir l’odeur de la chatte de la nana. Ça me fait bien bander. J’en profite pour me branler. Déjà à l’adolescence, j’avais l’habitude d’aller voler les petites culottes de mes petites voisines qui séchaient sur les fils à linge. Elles étaient propres. Mais j’aimais imaginer le coton du fond toucher leurs petites minous. Il m’arrivait de les enfiler et de me caresser avec. Je vais vous raconter certaines histoires de culottes qui me sont arrivées. Les préno… 阅读更多内容
Mon expérience avec un mec
J’étais adolescent, aux alentours des 15 ans. Un samedi après-midi, il me semble que ça devait être vers le printemps, j’étais chez un pote, Stéphane. On était tous les deux dans sa chambre assis sur son lit 2 personnes. On ne faisait rien de précis, on papotait, on glandait. Il s’absente aux toilettes. Il revient avec le jean déboutonné, la ceinture pendante. Il se rassoit sur le haut du lit. Moi, j’étais sur le bas. Il me dit « vas-y met toi à l’aise ». Et il se soulève les fesses pour baisser son jean jusqu’aux chevilles. Il était en slip, les jambes écartées. Je me lève, débou… 阅读更多内容